Le 03/07/2015
Le collectif contre la privatisation de l'aéroport de Toulouse-Blagnac ironise sur cette situation rocambolesque.
Aujourd’hui, ce jeudi, Manuel Valls doit rencontrer son homologue à Toulouse.
Nous lui donnons un sujet de conversation à évoquer avec lui : Mike Poon, le richissime industriel chinois qui avait racheté l’aéroport de Toulouse en 2014, s’est volatilisé.
Ce riche industriel chinois est le PDG de Symbiose qui a signé l’acquisition en avril dernier à hauteur de 49,9 % de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac.
Selon certaines sources, Mike Poon ferait l’objet d’une procédure de justice dans son pays pour « corruption ».
Cette nouvelle court depuis le Salon du Bourget.
Le 18 avril dernier, Mike Poon déclarait au quotidien régional La Dépêche du Midi : « Vous verrez que nous tiendrons les promesses que nous avons faites. »
Il assurait vouloir « favoriser le développement de vols internationaux et en particulier en provenance de l’Asie et de la Chine » et investir 1,4 milliard d’euros d’ici à 2020.
Il n’y a pas que Mike Poon qui soit dans l’œil du cyclone avec son consortium.
Il y a également l’opérateur canadien Lavalin dont on ne connaît pas le rôle dans cette nouvelle gestion.
Lavalin est interdit bancaire par la Banque mondiale également pour des faits de corruption, en Libye notamment.
On ne sait même pas si Monsieur Poon a fait le chèque de 308 millions.
Il y a décidément une très grosse dose d’opacité dans tout cela.
Le collectif contre la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac ironise sur cette situation rocambolesque au moyen de plusieurs affiches « Wanted Mike Poon, le nouvel acquéreur de l’aéroport de Toulouse-Blagnac vient d’être cité dans un scandale de corruption en Chine ».
Le même collectif avait alerté en vain lors de la procédure sur l’opacité de cette affaire.
Il s’avère malheureusement que les craintes étaient fondées…
Vendre cette concession à un opérateur opaque accompagné d’un partenaire en interdit bancaire en dit long sur la lucidité de nos dirigeants…
Et, pourtant, ceux-là se targuent d’une rigueur à toute épreuve !
Comment peut-on gouverner avec un tel degré d’amateurisme, c’en est confondant.
Ou est-ce autre chose que de l’amateurisme ?
On peut légitimement se poser la question !
Nous lui donnons un sujet de conversation à évoquer avec lui : Mike Poon, le richissime industriel chinois qui avait racheté l’aéroport de Toulouse en 2014, s’est volatilisé.
Ce riche industriel chinois est le PDG de Symbiose qui a signé l’acquisition en avril dernier à hauteur de 49,9 % de la société de gestion de l’aéroport de Toulouse-Blagnac.
Selon certaines sources, Mike Poon ferait l’objet d’une procédure de justice dans son pays pour « corruption ».
Cette nouvelle court depuis le Salon du Bourget.
Le 18 avril dernier, Mike Poon déclarait au quotidien régional La Dépêche du Midi : « Vous verrez que nous tiendrons les promesses que nous avons faites. »
Il assurait vouloir « favoriser le développement de vols internationaux et en particulier en provenance de l’Asie et de la Chine » et investir 1,4 milliard d’euros d’ici à 2020.
Il n’y a pas que Mike Poon qui soit dans l’œil du cyclone avec son consortium.
Il y a également l’opérateur canadien Lavalin dont on ne connaît pas le rôle dans cette nouvelle gestion.
Lavalin est interdit bancaire par la Banque mondiale également pour des faits de corruption, en Libye notamment.
On ne sait même pas si Monsieur Poon a fait le chèque de 308 millions.
Il y a décidément une très grosse dose d’opacité dans tout cela.
Le collectif contre la privatisation de l’aéroport de Toulouse-Blagnac ironise sur cette situation rocambolesque au moyen de plusieurs affiches « Wanted Mike Poon, le nouvel acquéreur de l’aéroport de Toulouse-Blagnac vient d’être cité dans un scandale de corruption en Chine ».
Le même collectif avait alerté en vain lors de la procédure sur l’opacité de cette affaire.
Il s’avère malheureusement que les craintes étaient fondées…
Vendre cette concession à un opérateur opaque accompagné d’un partenaire en interdit bancaire en dit long sur la lucidité de nos dirigeants…
Et, pourtant, ceux-là se targuent d’une rigueur à toute épreuve !
Comment peut-on gouverner avec un tel degré d’amateurisme, c’en est confondant.
Ou est-ce autre chose que de l’amateurisme ?
On peut légitimement se poser la question !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Ici, les commentaires sont libres.
Libres ne veut pas dire insultants, injurieux, diffamatoires.
À chacun de s’appliquer cette règle qui fera la richesse et l’intérêt de nos débats.
Les commentaires injurieux seront supprimés par le modérateur.
Merci d’avance.