Le 23/07/2015
Rappelons que la CIMADE, lorsqu’elle dénonce nos lois, a pour alliés - étonnant ? - le fameux Syndicat de la magistrature, le Syndicat des avocats de France, la Ligue des droits de l’homme, le MRAP, le PCF, le Parti de gauche…
Contrôler un étranger en France est une incursion dans sa vie… privée !
Selon les « droits-de-l’hommistes » !
Donc, si un inconnu vient chez eux fouiller leurs tiroirs pour y chercher des biens utiles à sa vie privée, ils devront le laisser faire.
Parmi les associations critiquant les nouvelles mesures en faveur (« au détriment », selon elles, mais « trop en faveur », selon nous) de certains étrangers, la CIMADE 1 a publié le 17 juillet un texte intitulé : « Étrangers sous contrôle : un projet de loi sans rupture. » Car, pour elle, au lieu « de revenir sur ces dispositifs tant décriés pour restaurer les droits des personnes étrangères, c’est globalement le choix de la continuité qui a été fait ».
Rappelons que la CIMADE, lorsqu’elle dénonce nos lois, a pour alliés – étonnant ? – le fameux Syndicat de la magistrature, le Syndicat des avocats de France, la Ligue des droits de l’homme, le MRAP, le PCF, le Parti de gauche…
Et tout ce monde fait la fête avec l’Association des travailleurs maghrébins de France ou le Groupe d’information et de soutien des immigré(e)s.
La CIMADE implore les députés de « garantir les droits des personnes étrangères, leur offrir un séjour stable et rompre enfin avec une politique obsédée par le contrôle, la peur de l’autre, l’enfermement et les expulsions ».
Qui plus est, « les interpellations à domicile sont rendues possibles » : oh… c’est inadmissible !
Que la police interpelle des Français chez eux – elle le fait tous les jours pour meurtre ou escroquerie , OK, mais elle ne doit pas pouvoir le faire avec des étrangers !
Et, nouveauté inadmissible, s’insurge la CIMADE, des pouvoirs de contrôle démesurés seront confiés aux préfets. Pour vérifier la situation des personnes qui bénéficient d’un titre de séjour, ils pourront ainsi, véritable intrusion dans la vie privée des personnes, demander des informations à des interlocuteurs aussi divers que les fournisseurs d’énergie et de télécommunication, les banques, la Sécurité sociale, les hôpitaux ou les écoles. »
Comme c’est scandaleux !
Imaginons : Mme Geneviève Jacques, présidente de la CIMADE, invite chez elle des amis à dîner. L’un d’eux vient avec un homme qu’elle ne connaît pas.
Peu après, elle le retrouve fouillant sa chambre.
Il lui rétorquera : « Enrhumé, je cherche un mouchoir ; ma santé, c’est ma vie privée, vous n’avez rien à me dire ! »
C’est pourtant ce qu’elle demande aux autorités : ne pas agir contre des étrangers qui ne respecteraient ni notre mode de vie, ni nos lois.
Truander l’EDF, les télécoms ou la Sécu, c’est voler dans nos poches dont la vôtre, Mme la présidente…
Selon les « droits-de-l’hommistes » !
Donc, si un inconnu vient chez eux fouiller leurs tiroirs pour y chercher des biens utiles à sa vie privée, ils devront le laisser faire.
Parmi les associations critiquant les nouvelles mesures en faveur (« au détriment », selon elles, mais « trop en faveur », selon nous) de certains étrangers, la CIMADE 1 a publié le 17 juillet un texte intitulé : « Étrangers sous contrôle : un projet de loi sans rupture. » Car, pour elle, au lieu « de revenir sur ces dispositifs tant décriés pour restaurer les droits des personnes étrangères, c’est globalement le choix de la continuité qui a été fait ».
Rappelons que la CIMADE, lorsqu’elle dénonce nos lois, a pour alliés – étonnant ? – le fameux Syndicat de la magistrature, le Syndicat des avocats de France, la Ligue des droits de l’homme, le MRAP, le PCF, le Parti de gauche…
Et tout ce monde fait la fête avec l’Association des travailleurs maghrébins de France ou le Groupe d’information et de soutien des immigré(e)s.
La CIMADE implore les députés de « garantir les droits des personnes étrangères, leur offrir un séjour stable et rompre enfin avec une politique obsédée par le contrôle, la peur de l’autre, l’enfermement et les expulsions ».
Qui plus est, « les interpellations à domicile sont rendues possibles » : oh… c’est inadmissible !
Que la police interpelle des Français chez eux – elle le fait tous les jours pour meurtre ou escroquerie , OK, mais elle ne doit pas pouvoir le faire avec des étrangers !
Et, nouveauté inadmissible, s’insurge la CIMADE, des pouvoirs de contrôle démesurés seront confiés aux préfets. Pour vérifier la situation des personnes qui bénéficient d’un titre de séjour, ils pourront ainsi, véritable intrusion dans la vie privée des personnes, demander des informations à des interlocuteurs aussi divers que les fournisseurs d’énergie et de télécommunication, les banques, la Sécurité sociale, les hôpitaux ou les écoles. »
Comme c’est scandaleux !
Imaginons : Mme Geneviève Jacques, présidente de la CIMADE, invite chez elle des amis à dîner. L’un d’eux vient avec un homme qu’elle ne connaît pas.
Peu après, elle le retrouve fouillant sa chambre.
Il lui rétorquera : « Enrhumé, je cherche un mouchoir ; ma santé, c’est ma vie privée, vous n’avez rien à me dire ! »
C’est pourtant ce qu’elle demande aux autorités : ne pas agir contre des étrangers qui ne respecteraient ni notre mode de vie, ni nos lois.
Truander l’EDF, les télécoms ou la Sécu, c’est voler dans nos poches dont la vôtre, Mme la présidente…
Notes:
- En 1939, le CIM (Comité inter-mouvements de jeunesse) crée la CIMADE (Comité inter-mouvements auprès des évacués : pourquoi « la », puisque c’est un comité ?) pour aider les 200.000 personnes évacuées d’Alsace/Lorraine, projet que nous aurions encouragé. En 2015, elle est partenaire de comités en Algérie, Mali, Maroc, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tunisie, pays ô combien chrétiens.
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