Réflexions sur l'actualité et la
politique Française.
Avec quelques exceptions sur le reste du monde.
Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Basé au Texas, Flowserve a racheté Velan, maison-mère de Segault, une
PME française, qui équipe la totalité des sous-marins nucléaires
français et du porte-avions Charles de Gaulle.
La transaction doit être
finalisée d’ici à la fin du deuxième trimestre.
Le nom de cette entreprise ne dira pas grand chose au grand public.
Et pourtant, Segault, fondé en 1921, fait partie de ces entreprises
sensibles au sein de la base industrielle et technologique de défense,
la fameuse BITD. Et pour cause, elle conçoit et fabrique depuis 1950 une
robinetterie répondant à des situations d’utilisations extrêmes comme
dans le secteur du nucléaire et les bancs d’essais aéronautiques avec
des robinets qui fonctionnent à 2000°K.
Lors
de sa visite à Berlin, le 21 mars dernier, le président tchèque Petr
Pavel a proposé, à l’issue de son entrevue avec son homologue le
président Frank-Walter Steinmeier, ancien ministre social-démocrate des
Affaires étrangères dans le gouvernement Merkel de 2013 à 2017, que
l’Allemagne « joue un rôle de premier plan dans les efforts de sécurité européenne » et prenne même « la direction des opérations en Europe ».
Cet ancien général récemment élu président avait fini sa carrière
militaire en tant que président du comité militaire de l’OTAN.
Européiste et atlantiste avéré, le général Pavel rêve donc d’une armée
européenne sous commandement allemand. Cette nouvelle n’est pas neutre
au moment où l’Allemagne investit 100 milliards dans sa Défense, voulant
faire de la Bundeswehr l’armée modèle de l’OTAN. Nul doute que cette
déclaration du président tchèque doit gêner quelque peu la « fausse
modestie » de nos voisins d’outre-Rhin, au moment où le Bundestag vient
d’éditer, le 14 mars, un rapport catastrophique sur l’état de l’armée
fédérale allemande selon lequel cette dernière « manquerait de tout » suite à son aide à l’Ukraine et serait dans une situation matérielle jugée « pitoyable ».
Alors, pourquoi cette déclaration incongrue, voire surprenante, de la
part d’un chef d’État européen, d’un ancien pays du pacte de Varsovie,
dont le zèle otanien et européen se double d’une admiration pour le pays
qui a pourtant martyrisé sa population à l’époque où un certain
Reinhard Heydrich fut « vice-gouverneur de Bohème-Moravie » du 27
septembre 1941 au 27 mai 1942, date de son assassinat par des résistants
tchécoslovaques entraînés et parachutés par les Britanniques quelques
mois auparavant. Heydrich, le planificateur en chef de la solution
finale, avait également fait condamner à mort le Premier ministre
tchèque soupçonné de contacts avec Londres.
Le président Pavel a sans doute la mémoire courte et, à sa place,
quelqu’un de plus attaché à la mémoire de sa nation aurait sans doute
demandé à la France de reconstituer une Petite Entente à l’est de
l’Europe avec la Pologne, la Tchéquie et la Slovaquie
(ex-Tchécoslovaquie) ainsi que la Roumanie où un colonel français,
depuis le 10 mars dernier, commande actuellement le Battle Group de
l’OTAN face à la menace russe. Non ! Monsieur Pavel admire la « deutsche Qualität » du Leopard 2
allemand et rêve d’une armée européenne où chacun des contingents
obéirait (en allemand ou en anglais, selon…) à un général de la
Bundeswehr. Les Français portent-ils encore les stigmates de la
conférence de Munich de 1938 au terme de laquelle la Tchécoslovaquie fut
démembrée ? La Tchécoslovaquie abandonnée par Daladier et Gamelin, la
Pologne laissée à son triste sort un an plus tard. Non, décidément,
autant faire confiance à ces Germains américanisés si rassurants et avec
des équipements terrestres tellement fiables, tels que le Leopard ou le Gepard (char antiaérien), voire le Patriot américain servi par des Allemands qui en ont déjà engagé une batterie chez le voisin slovaque.
🔴🇲🇫 Macron : l'homme le plus heureux de France, dépense sans compter notre argent !
"...Nous avons décidé de dédier au fond mondial 300 millions d'euros supplémentaires sur 3 ans soit près d' 1,6 milliard d'euros entre 2023 et 2025..." ☎️ Allô la France ! Êtes-vous d'accord ? pic.twitter.com/hwILp8bx6x
Quelle est la contribution de la France au budget de l'Union européenne ?
Le projet de loi de finances 2023 fixe à 24 586 millions d'euros la contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2023.https://t.co/UQldH0ID9B.
La France est en faillite malgré des prélèvements et des taxes spectaculaires…
Comment
est-ce possible, comment est-il concevable de dépenser 250 milliards
chaque année dans un système de soin qui est incapable de recevoir en
urgence un gamin de 17 ans atteint de pneumopathie ?
Ce n’est pas le
premier, il en existe des dizaines et des dizaines qui décèdent car il
n’y a personne pour les soigner. Le seul responsable de ce désastre est
Emmanuel macron et son équipe gouvernementale car il est au pouvoir
depuis 6 ans et il n’a absolument rien fait, pire, la situation se
dégrade de plus en plus. Buzyn, Véran et Braun sont responsables de ce
carnage, de ces morts qui se cumulent… Puisse-t-il reposer en paix, en
souhaitant beaucoup de courage à sa famille.
Reste à savoir maintenant où est passé l’argent, où vont ces 250 milliards ? un véritable mystère…
Le dernier voyage de Nicolas a eu lieu mardi 21 mars à
Cazères en Haute-Garonne. Ses parents l’y ont enterré. Il n’avait que 17
ans.
Le
10 mars dernier, le jeune homme décède sur le parking d’une pharmacie
alors qu’il souffrait de symptômes grippaux pendant une semaine.
MOSCOU, 24 mars – RIA Novosti. L’utilisation d’obus
contenant de l’uranium appauvri, que le Royaume-Uni va transférer à
l’armée ukrainienne, conduira à la contamination d’un grand nombre de
zones cultivées, et la pénétration de poussière d’uranium dans le corps
humain entraîne de graves pathologies, a déclaré le lieutenant- Le général Igor Kirillov, chef des troupes de radioprotection, de protection chimique et biologique.
« À la suite d’un impact avec des munitions à l’uranium appauvri, un
nuage chaud mobile d’aérosol d’uranium 238 finement dispersé et de ses
oxydes se forme, ce qui, lorsqu’il est exposé au corps, peut provoquer
ultérieurement le développement de pathologies graves. Le principal
risque d’irradiation de l’uranium appauvri se produit s’il pénètre dans
le corps sous forme de poussière », a-t-il déclaré lors d’un briefing.
Le général a rappelé que l’uranium appauvri est un nom trivial pour
un métal qui est basé sur plus de 90% d’isotopes d’uranium-238 et moins
d’un pour cent d’uranium-235.
Les flux de rayonnement alpha provenant des particules de poussière
déposées dans les voies respiratoires, les poumons et l’œsophage
provoquent le développement de tumeurs malignes. Et leur accumulation
dans les reins, le foie et les tissus osseux entraîne des changements
dans les organes internes, a déclaré Kirillov.
Macron ne cédera rien parce qu’il n’est pas là pour gouverner.
Il
n’est même pas là pour être réélu et encore moins pour faire une
carrière politique.
Il se fout de tout ça, et donc il se fout de ce
qu’on pense ou dit de lui, de sa cote de popularité, de son avenir
politique, il se fout de tout ça. Macron est un condottiere mandaté par
des commanditaires pour détricoter et privatiser tout ce qui est
collectif et solidaire en France. Et sa récompense ne sera pas d’être
réélu ou de prendre place dans le paysage politique français, sa
récompense sera d’aller siéger dans tous les conseils d’administration
des sociétés qu’il aura privatisées pour ses commanditaires.
Ce n’est rien d’autre qu’un homme de main qui obéit à des ordres et
qui a agi en deux temps : en pourrissant l’État français de l’intérieur
sous un Hollande complètement manipulé, et en prenant ensuite prétexte
de ce pourrissement pour mener à bien son pillage en règle de l’état.
Voilà pourquoi il se moque de tous ces scandales à répétition le
concernant et concernant son gouvernement.
Voilà pourquoi nous avons un gouvernement « de crise » composé sans
vergogne à moitié de millionnaires, voilà pourquoi il garde un Président
de l’Assemblée mis en examen, pourquoi sa ministre de la justice peut
dire en rigolant qu’elle a juste oublié de déclarer trois appartements
au fisc.
Manipulés par l’ultra gauche qui souffle
sur les braises, ils passent à l’action en allumant des incendies et en
ciblant eux aussi les agents.
La France brûle, l’ultra gauche souffle sur les braises chaque soir
avec méthode et personne n’entrevoit jusqu’ici la sortie de cette crise
crépusculaire.
Comme l’a révélé Le Figaro,
240 dégradations par incendie ont été répertoriées par la préfecture de
police dans la nuit de lundi à mardi à Paris, où les forces de l’ordre
ont interpellé 234 personnes. Depuis jeudi dernier, le même scénario se
répète à la nuit tombée. Après une manifestation déclarée, qui a cette
fois réuni place Vauban des manifestants chauffés à blanc par l’échec
des motions de censure, quelque 2000 personnes sont parties en cortèges
sauvages dans les rues de la capitale.
Par petits groupes à
géométrie variable, très mobiles et éclatés, la haine et la révolte se
sont vaporisées sur plusieurs arrondissements. Sans prévenir, les
casseurs se sont dispersés puis se sont regroupés soudain pour
multiplier les exactions et incendier en chemin les poubelles que la
maire de Paris, Anne Hidalgo, a laissées s’empiler dans les rues.”
Plus jeunes, plus urbains et plus politisés que les «gilets jaunes»
issus de la France périphérique, ils incarnent une métamorphose de la
colère. Lancés dans un improbable jeu du chat et de la souris, 2000
policiers ont été à la manœuvre jusqu’à 2 heures du matin. Tandis que
les unités de forces mobiles protégeaient les commerces, les Brigades de
répression des actions violentes motorisées (Brav-M) ont tenté
d’intercepter pyromanes et émeutiers potentiels.
Ce
week-end, ils déferleront en masse dans la commune de Sainte-Soline
dans les Deux-Sèvres.
Combien y aura-t-il de blessés chez les forces de
l’ordre.
Jeudi, ils ont tenté d’interdire la venue d’Eric Zemmour à Villeurbanne
dans le Rhône : le tribunal administratif de Lyon a finalement imposé
au maire la tenue de la réunion ce 24 mars. Eux, ce sont les Antifas,
ces milices armées qui s’attaquent physiquement aux Français de droite,
détruisent volontairement à la matraque les symboles du capitalisme,
banques, assurances, abribus publicitaires, et s'en prennent dans
l'ultra-violence aux tenants de l’ordre, policiers et gendarmes.
Des gendarmes qu'ils attaquent à coups de pierres, à coups de poings,
qu'ils bousculent et blessent. Ils brûlent les poubelles, allument des
cocktails Molotov et lancent des mortiers d’artifices. Ils traitent les
gendarmes de « bâtards », taguent les murs, viennent de brûler un
kiosque à journaux parisien, emblème de la liberté de la presse, de la
liberté d’expression, partant de la confrontation des idées et de la
démocratie. Dans un silence respectueux des grands défenseurs de la
liberté d’expression. Ils s’attaquent aux symboles de l’Etat. A
l’occasion, ils interdisent les meetings des partis de droite, s’en
prennent physiquement aux journalistes qui ne pensent pas comme eux,
brisant leur matériel, détruisant, frappant. Ces milices anarchistes et
gauchistes se sont jetées sur le trouble né d’une réforme des retraites
mal conçue et mal fagotée par le pouvoir pour accomplir une fois de plus
leur œuvre de démolition, car toute occasion est bonne.
Ce 23 mars, au lendemain de l’intervention télévisée d’Emmanuel Macron, lesdits Antifas se sont surpassés : «
On a recensé hier 903 feux de mobilier urbain ou de poubelles à Paris,
457 interpellations partout en France, 441 policiers et gendarmes
blessés », a énuméré le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin ce 24 mars sur CNews, parlant d’un bilan « difficile ». 441 blessés du côté des forces de l’ordre ! Jusqu’où irons-nous sans réagir ?
Le spectacle de la haine anti-flics en France, qui accompagne la
plongée de ce pays dans une forme de chaos, a quelque chose de glaçant.
Etrangement, comme le remarque Matthieu Valet, les organisations
humanitaires si promptes à voler au secours des victimes restent
silencieuses. Les gendarmes et policiers sont-ils des êtes humains, des
Français, des sujets de la loi ?
Près de 400 #policiers blessés pour protéger les #Manifestations contre la #ReformeDesRetraites des fauteurs de troubles issus souvent de l’ultra-gauche. Étrangement aucune réaction de l’ONU, Amnesty International ou des comités de droits de l’homme pour dénoncer ces violences! pic.twitter.com/UIjN6YXWCH
Selon @LindaKebbab (SGP Police) : « on peut arrêter les blacks blocks mais on ne nous le demande pas. ». Monsieur le ministre, quand allez-vous remplir votre ministère et assurer la sécurité des Français plutôt que de servir par la violence votre doxa politique ? https://t.co/bSVlkiWm7Y
L’eugéniste Charles III de Windsor, roi d’une monarchie
constitutionnelle, n’ose pas trop venir rendre visite à son frère en
Davos, Emmanuel 1er de Versailles, pseudo-monarque d’une pseudo-république qui avait une constitution, mais a fait ses besoins dessus.
Les Anglo-normands, ils gèrent : on a un peu embrouillé et empoisonné
le paysan – pas grave : Boris saute, un peu de démolition contrôlée
moyennant les Hancock leaks, et roulez jeunesse ! En revanche, la première visite d’un Windsor intronisé est censée se faire en France.
Et là, problème. Déjà que les espaces peuplés de trop de bipèdes,
Charles, il aime pas trop (il préfère la Transylvanie – moi aussi,
d’ailleurs, mais on m’a expulsé). Et ces jours-ci, faut dire,
l’Hexagone, ça craint.
La France n’étant jamais passée par la case « monarchie constitutionnelle », une fois que la Constitution, pour cause de grippe télévisuelle, s’y transforme (en mars 2020) en tampon hygiénique de substitution, ce n’est pas à la case « monarchie éclairée » qu’on revient, mais à la case « barbarie ».
Le ministre Bruno Le Maire a reconnu que les calculs de
rentabilité pour les actionnaires remontant à la privatisation des
autoroutes en 2006 n’avaient « pas été bons ».
Le gouvernement a demandé au Conseil d’État de quelle manière il
serait possible de raccourcir « de quelques années » la durée des
concessions de certaines sociétés autoroutières, qui ont été plus
rentables que prévu, a indiqué mercredi le ministre de l’Économie Bruno
Le Maire, voulant « éviter toute rente ». Il a reconnu devant les
commissions des Finances et du Développement durable de l’Assemblée
nationale que les calculs de rentabilité pour les actionnaires remontant
à la privatisation des autoroutes en 2006 n’avaient « pas été bons ».
Sérieux ?
Cela fait des années que nous sommes très nombreux à dire que ce
qu’il s’est passé avec la privatisation des autoroutes est du vol en
bande organisée de la nation, du bien commun.
On peut dire ce que l'on
veut des guerres coloniales, et on en dit souvent n'importe quoi, mais
on ne peut pas, on ne doit pas oublier cette bataille de désespoir et
d'héroïsme absolu.
La cuvette de Ðiện Biên Phủ, sur le territoire de
l'actuel Vietnam, a vu mourir près de quatre mille soldats français.
C'est l'une des dernières pages de grandeur et d'un sacrifice, presque
médiéval dans sa pureté, que notre pays ait connues. Les plus jeunes se
renseigneront sur les minutes terribles où les Français attendaient «
dans la cuvette/Le tout dernier assaut des Viets ». Ils ne pourront lire
sans trembler les récits de la guerre d'Indochine : les paras
vietnamiens qui, faute de chant régimentaire, chargeaient sous les
balles en chantant « la Marseillaise » ; les officiers qui se savaient
condamnés et refusaient les ordres de repli ; les avions qui larguaient,
sur cette cuvette infernale, déjà perdue, des gens qui n'avaient jamais
sauté en parachute de leur vie, qui savaient qu'ils ne reviendraient
probablement pas et qui voulaient juste mourir avec les copains plutôt
que de les abandonner.
Ðiện Biên Phủ, c'était tout cela. Ce sera ensuite, après
les morts et les blessés, les prisonniers des tristement célèbres camps,
dont près des deux tiers ne reviendront pas. Ce sera, pour ces hommes,
le lavage de cerveau par des tortionnaires sadiques, comme l'immonde
Georges Boudarel, qui mourra dans son lit, protégé par le monde
universitaire. Ce sera aussi la découverte du sabotage des munitions par
les ouvriers communistes, les campagnes de presse, et puis l'Algérie,
pour certains immédiatement après leur libération des camps.
C'est du maintien de l'ordre ça? Ces brutes se défoulent sur un gamin à terre. Ils sont dingues. Macron est dingue. Il faut maintenant que tous les partis, syndicats, ONG, ambassades et autres responsables condamnent ce qu'il se passe en France et que la folie macroniste cesse. pic.twitter.com/H120oId0Hn
Encore de bonnes images pour l'étranger... Sachant que leurs médias mainstream n'ont non-plus très envie qu'on montre ça, au cas ça pourrait donner d'imiter... pic.twitter.com/bmnm4R7aVz
Partagez cette vidéo sous tous les posts des médias et des politiques qui saluent le travail des forces du désordre. Ils doivent être démasqués. Nous sombrons si le grand public et la communauté internationale ne sont pas alertés. Ce n’est pas la police. pic.twitter.com/w6hZmuKHQZ
Les séides armés de Macron sont la pour mutiler, terroriser, et sur cette scène on entend "tue-le!" ce qui ne laisse aucun doute sur la nature réelle du régime.#manif23marspic.twitter.com/wVdojTf1fp
A
la une de cette édition, première journée de mobilisation après l’échec
des motions de censure. La pression se maintient dans la rue alors que
le paysage politique pourrait se recomposer.
Nous reviendrons ensuite sur le Service National Universel d’Emmanuel
Macron qu’il entend rendre obligatoire.
Entre pastiche de service
militaire et colonie de vacances républicaine, ce SNU pourrait bien être
un nouvel échec pour le président.
Et enfin, un détour par les îles britanniques où un texte de
compromis pourrait être trouvé pour la gestion de la frontière
irlandaise.
Si le Royaume-Uni fournit à l'Ukraine des munitions à l'uranium appauvri, la Russie sera contrainte de réagir- a averti le dirigeant russe.
Cette déclaration faisait suite à une
question posée à la Chambre des Lords par le hors-parti Lord Hylton, qui
voulait savoir si "l'une des munitions actuellement fournies à
l'Ukraine contenait de l'uranium appauvri".
Lady Goldie, secrétaire d'État à la défense, a répondu :
Outre la fourniture d'un escadron de chars de combat Challenger 2 à
l'Ukraine, nous fournissons également des munitions, y compris des obus
perforants, qui contiennent de l'uranium appauvri. Ces missiles sont
très efficaces pour vaincre les chars et les véhicules blindés modernes.
Réponse britannique [1:40-1:48]: L'uranium
appauvri n'a rien à voir avec l'arme nucléaire. C'est juste un composant
que l'armée britannique utilise comme un élément dans ses guerres
depuis des décennies.
***
Putin warns UK over depleted uranium weapons - BBC News [2:34] traduction automatique disponible
Cette histoire de fin des voitures thermiques en 2035 n’en finit toujours pas !
Et il semblerait que l’Allemagne commence à faire plier l’Europe
puisque l’Europe autorisera finalement la vente de véhicules thermiques
après 2035 s’ils fonctionnent exclusivement avec des e-carburants
(e-Fuels) neutres en émissions carbonnées.
« L’Allemagne, l’Italie et d’autres pays insistaient pour que les
véhicules thermiques roulant au e-Fuel soient exceptés de la mesure
Aucun autre carburant que les e-carburants ne doit toutefois pouvoir être compatible avec ces véhicules après 2035.
Après de longs débats sur la fin des voitures thermiques en 2035, et la
volte-face de certains pays dont l’Allemagne, la Commission européenne
semble avoir enfin trouvé une solution pour apaiser les tensions entre
les pays membres. Selon un texte récemment consulté par plusieurs
médias, la Commission accepte d’ajouter un amendement permettant la
vente de voitures à moteur à combustion interne (ICE) après 2035, à
condition que les véhicules en question fonctionnent exclusivement avec
des e-carburants neutres en CO2.
L’Allemagne tentait d’imposer par tous les moyens cette mesure depuis
des semaines. D’autres pays comme l’Italie, la République tchèque et la
Pologne se sont joints aux soutiens de la position allemande. La
Commission européenne a donc préféré plier, et accepte de soumettre au
vote une proposition modifiée qui inclut cette exemption. Les
pourparlers entre les différentes parties sont toujours en cours ».
Le chantier de réserves d’eau enclenché dans les Deux-Sèvres – les fameuses « méga-bassines »
- n’a pas fini de créer la polémique.
On se souvient du 29 octobre
dernier, où des manifestations menées par les opposants au projet
avaient abouti à d’importantes violences, faisant notamment 61 blessés côté gendarmes
et 30 chez les manifestants. Une nouvelle édition devrait avoir lieu ce
week-end, les 24, 25 et 26 mars, et le rassemblement qui se profile
semble présager d'une ampleur inédite.
C’est une note du service central du renseignement territorial (SCRT), à laquelle RTL a eu accès, qui lance l’alerte. « Une multitude d’actions offensives » devraient avoir lieu et, parmi les manifestants, « plus d’un millier d’éléments radicaux »
suscitent l'inquiétude des renseignements. 7.000 à 10.000 personnes
sont attendues, alors même que la manifestation d’octobre avait
rassemblé entre 3.000 et 4.000 personnes. La note rapporte, en outre,
que des « cortèges et actions périphériques se constitueront dans le plus grand secret » et que « des opérations de sabotage sont susceptibles d'être menées par des groupes d'activistes ». Autant de menaces qui ont amené les renseignements à classer le week-end « à haut risque » - et cela, malgré les trois arrêtés pris par la préfecture :
un arrêté d’interdiction de manifester autour des communes concernées,
un arrêté d’interdiction de transporter des armes et un autre pour
interdire le transport de produits dangereux.
Lundi, il aura fallu beaucoup d’énergie au gouvernement pour accoucher la réforme des
retraites aux forceps du 49.3.
Une énergie renouvelable ou pas ? On le
saura dans les prochains jours avec une Élisabeth Borne qui, bien que
gardant la confiance d'Emmanuel Macron, semble passablement essorée.
Mardi, en revanche, l’adoption de la loi sur l’accélération du nucléaire est passée comme une lettre à la poste, quand elle n’est pas en grève : 402 voix pour, 102 contre.
Les groupes de la majorité présidentielle (Renaissance, Horizons et
MoDem) ont voté largement pour le projet de loi présenté par Agnès Pannier-Runacher, mais aussi les oppositions LR
et RN, pas vraiment rancunières après s’être fait pratiquement insulter
par Aurore Bergé, présidente du groupe Renaissance, lors de son
allocution, lundi, pour soutenir le gouvernement. Comme quoi l’intérêt
général peut être plus fort que la basse politicaillerie et le
sectarisme. D’ailleurs, l’argument entendu du côté de la majorité,
dénonçant les attelages improbables, voire « clownesques »,
pour reprendre le qualificatif employé par Bruno Le Maire, lors du
ralliement des voix RN et NUPES sur la motion du groupe LIOT portée par
Charles de Courson, est rangé comme par miracle au rancard. Là, pas de
problème : en clair, pour voter cette loi sur le nucléaire, le RN ne
sent pas le gaz ! D’ailleurs, le ministre a bien été obligé de saluer
les « majorités de projets » et « l’esprit de construction » en espérant qu’il pourra perdurer. Ça, c’est une autre histoire…
Ah voilà, on embauche des violents dans la police ! Arié Alimi, avocat, membre du bureau national de la Ligue des droits de l'homme @cvoulepic.twitter.com/mbD92X85eH
— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) March 22, 2023
Vue de l’étranger (le monde nous regarde) 😔⬇️
FRANCE - Ce n'est pas de la démocratie, c'est de la tyrannie contre des citoyens non armés 🔥 https://t.co/Pu2ywBZ8gn
— for true and humane medicine (@tatiann69922625) March 22, 2023
Le Pr Adriano Segatori est un psychiatre et psychothérapeute italien. Son analyse du
profil d’Emmanuel Macron, fondée notamment sur sa biographie et ses
images de campagne, le poussait à conclure, de manière très argumentée
que « Macron était un psychopathe qui travaille uniquement pour lui-même ».
Un diagnostic validé par le président Macron, à voir ici.
Six ans après ce premier diagnostic, le Pr Adriano Segatori nous
rapporte des nouvelles peu rassurantes pour les Français en ces temps de
la réforme des retraites. Macron lui-même a validé les conclusions du
Pr Segatori, lorsqu’il a déclaré vouloir emmerder les Français. Le pire
aveu d’insensibilité, c’est le psychopathe Macron qui en est l’auteur.
L'arrogance de macron n'est dépassée que par sa stupidité
😂Pour le plus grand journal🇬🇧 «L'ARROGANCE DE MACRON N'EST DÉPASSÉE QUE PAR SA STUPIDITÉ» Depuis 7 ans,la propagande faisait croire que Macron était un «Jupiter» génial. C'est fini. En🇫🇷 et dans le🌍, on a compris que c'est un psychopathe bête et méchant. https://t.co/pkuX4sU68m
Comment fera-t-il pour tenir plus de 4 ans alors que la partition
entre les Français et le pouvoir n’a jamais été aussi prégnante ?
Si ce
n’est en usant de méthodes encore plus clivantes, en rendant aux
Français, en quelques sortes, la monnaie de leur pièce, en continuant à
les contraindre, en abusant de ce pouvoir qui exacerbe les tensions, les
insurrections, la détestation ?
Un quart de la population seulement se satisfait de la politique
menée par le président de la République. Et ce sont 9 petites voix
d’écart qui, du moins le croit-il, légitiment sa réforme, son autorité,
sa fonction.
Nul ne peut prédire ce que seront les jours à venir dans notre pays.
Mais nous pouvons d’ores et déjà en déduire que ce n’est pas en misant
sur le pourrissement de la situation que l’exécutif va, cette fois ci,
l’emporter. Le scénario millésimé 2023 n’a rien à voir avec celui des
Gilets jaunes. Tout d’abord car il s’exprime 6 ans après la première
élection d’Emmanuel Macron et son accession au pouvoir. Ce qui pouvait
encore être pardonné, absous ou accepté en 2018 ne l’est plus
aujourd’hui, car sont passés par là les atermoiements de la crise covid
et une interminable période de confinements pendant laquelle si rien ne
fut véritablement obligé, tant de choses furent abusivement interdites.
La liste est longue de ce qui ne tourne plus rond en France
Rajoutons à cela les petites phrases présidentielles, les mises en
examen ministérielles, les élucubrations élyséennes avec des rappeurs en
bas résille et autres gages distribués par Mac Fly ou Carlito, les
débats citoyens placebos, l’inflation, la chute du pouvoir d’achat, la
hausse du coût des matières premières, celle de l’énergie qu’elle soit
ou non corrélée au conflit ukrainien et, entre autres avanies, un
système de santé, dans les territoires comme en ville, qui dérive aux
frontières de l’agonie.
La liste est longue de ce qui ne tourne plus rond en France avec une
balance commerciale déficitaire pour de nombreux secteurs et une dette
publique qui dépasse 3000 milliards d’euros, dont 800 imputables en
grande partie au « quoi qu’il en coûte ».
Abordons à présent la forme et l’économie pouvant soi-disant être
réalisée grâce à la réforme des retraites. Une économie qui pourrait
rapporter, selon Bruno Le Maire, 17.7 milliards à l’Etat d’ici 2030.
Sachant qu’il faut défalquer de cette somme le montant des surcoûts
engendrés par le décalage de l’âge de départ, autrement dit l’assurance
chômage, les minimas sociaux, les pensions d’invalidité… Ce qui ramène
le gain à 13.5 milliards, soit 0.45 % du déficit public. (Et
accessoirement, mais c’est pécher que de le dire, 6.5 % de la fortune
détenue par Bernard Arnault en 2022…)
Et puis, après les chiffres arrivent les mots, ceux de Charles de
Courson qui, avant que la présidente de l’Assemblée ne coupe le son de
son micro, énuméra de façon admirable et très respectable, dans une
intervention tirée au cordeau, ce que les Français subissent au
quotidien depuis des années. Le Républicain Olivier Marleix n’a pas
forcement dit le contraire en prononçant, à bien y regarder, un discours
à charge contre le gouvernement. Seulement voilà il ne vota pas la
motion de censure prêtant allégeance, comme le fit Ciotti à celui qui a
peut-être promis de ne pas dissoudre l’Assemblée pour que tout ce beau
monde reste encore bien au chaud, et plus si affinités, pendant quelques
années.
Au
programme ce soir, retour sur l’intervention du président de la
République ce midi. Emmanuel Macron s’est montré insensible face au
désarroi des Français et n’envisage aucun consensus.
Nous évoquerons ensuite la nouvelle formule du Baccalauréat, dont une
partie des épreuves a eu lieu ce début de semaine. Des modalités qui
cassent le principe d’égalité du diplôme.
Et puis pour terminer, nous reviendrons sur les discussions autour de l’élargissement de l’OTAN.
Lors de la perquisition au domicile de Nicolas Jeanneté, les
enquêteurs ont découvert des centaines d’images pédopornographiques sur
le matériel informatique de l’élu. La garde à vue du suspect se poursuit
dans le volet trafic de drogues de synthèse de l’enquête.
INFO LE PARISIEN. Les policiers de la brigade des stupéfiants
de Paris ont interpellé ce lundi le directeur du parti politique
Nouveau Centre, Nicolas Jeanneté, par ailleurs conseiller municipal à
Paris. Il est soupçonné d’avoir détenu et revendu des drogues de
synthèse à ses partenaires au cours de soirées « chemsex ». […]
Macron, pompier pyromane par ses outrances politiques, fait mine
d’avoir été élu et d’être légitime lui que sa réélection « obligeait »
au soir du front républicain voté par les gens de sensibilité de gauche
en majorité.
Double trahison.
Macron en ce début de second mandat vient de répéter la même erreur
mais encore plus vite que celle réalisée au moment des gilets jaunes.
C’est affligeant de naïveté politique.
Désormais Macron « dirige » un peuple qui le déteste profondément des gilets jaunes à la gauche.
Désormais Macron « dirige » un peuple sui souffre de l’inflation et des gamelles qui se vident.
Les dynamiques révolutionnaires prennent du temps et plus le point de
départ est « confortable » plus la dynamique insurrectionnelle prend du
temps à se mettre en place.
Tout est, désormais, presqu’en place pour que notre pays connaisse une conflagration d’ampleur historique.
Nos vedettes ne voient rien venir.
Le temps vient où il risque de leur falloir courir.
L’ambiance était électrique, au conseil stratégique de LR, ce mardi matin.
Après le vote de la motion de censure
qui a échoué à neuf voix près, les Républicains ont perdu le nord. Car
la veille, alors qu’Olivier Marleix venait d'expliquer à la tribune que
son groupe ne voterait aucune motion, 19 députés de son groupe l'ont
contredit, manquant faire tomber le gouvernement d’Élisabeth Borne.
Alors, c’en est fini, de LR ? Cette question se pose
à vrai dire depuis l’échec de François Fillon au premier tour de
l’élection présidentielle de 2017. Cela fait six ans que les
Républicains n’y arrivent pas. Tout d’abord saignés une première fois
par les sirènes de l’élection d’Emmanuel Macron qui ont attiré quelques
cadres en manque de ministère, puis séparés à l’Assemblée nationale
entre les constructifs et les opposants. Six ans plus tard, les
Républicains ne tiennent plus aucune métropole et la ville la plus
importante gérée par LR pointe à la vingt-et-unième place du classement national (Nîmes). Récemment, c'est le maire d’Orléans Serge Grouard qui est parti en claquant la porte. « Je ne pense pas que le parti se scindera », déclare à BV l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy Maxime Tandonnet. « Les réfractaires ont besoin de l’étiquette et de l’investiture et aucun n’a intérêt à voir le parti s’affaiblir davantage. »
Une impression corroborée par la sortie de Bruno Retailleau en bureau
stratégique ce mardi matin, rapportée par le journaliste de Marianne Jules Pecnard : « On ne doit pas mettre la poussière sous le tapis, on est trop faible pour se diviser. »
On a déjà beaucoup écrit, ici, sur la fracture
territoriale qui coïncide souvent avec « l’âme et conscience » des
députés frondeurs. Ils sont les élus de la France rurale et périphérique
dans les derniers bastions ayant échappé au RN et à la gauche, de
Belfort à Charolles. En Moselle, dans le Lot et dans les Ardennes, les
électeurs LR
ne sont pas les cossus retraités des Alpes-Maritimes. Chacun des élus
LR ayant voté pour la motion le savait bien évidemment. Et ils savaient
aussi qu’ils devaient leur siège à leur enracinement local, certes, mais
aussi à une étiquette assumée d’opposant à la politique d’Emmanuel
Macron. Facteur primordial qui explique leur maintien. « Il y a trois lignes chez LR, analyse Maxime Tandonnet, les
partisans d’un pacte avec Emmanuel Macron, les constructifs et les
réfractaires. Ces derniers sont issus de la jeune génération et
généralement enclavés dans des territoires ruraux. ». Ce sont ceux-ci qui ont largement voté la motion de censure.
💰🗳LES "30 DENIERS DE JUDAS" -SUITE En attendant un "grand ministère", Ciotti vient d'être payé cash pour sa trahison: il est nommé "questeur"de l'Assemblée. Fromage🧀où il n'y a rien d'autre à faire qu'avoir un somptueux logement de fonction et empocher une prime de 5000€/mois https://t.co/SvJjnX6YJk
Pierre Meurin interpelle Elisabeth Borne sur le rapport à charge de l'IGF.
"Vous avez tenté de dissimuler un rapport sur les autoroutes qui vous place en situation de grave conflit d'intérêts. C'est maintenant clair : vous travaillez pour les superprofiteurs ! " pic.twitter.com/8LjtnXqs4Y
Nous publions la liste des députés Républicains qui ont refusé de
voter la motion de censure contre le gouvernement, après l’utilisation
du 49-3 pour faire adopter la réforme des retraites sans débat.
Ces élus
devront rendre des comptes aux électeurs français en cas d’élections
futures, qu’elles soient locales ou nationales.
La motion de censure transpartisane, initiée par le groupe Liot, a
été rejetée ce lundi à l’Assemblée nationale. Elle visait à renverser le
gouvernement qui a eu recours au 49-3, une procédure constitutionnelle
permettant d’adopter une loi sans vote des députés.
Nous invitons nos lecteurs à prendre connaissance de cette liste, à
la diffuser largement, à l’imprimer sur support papier pour faire des
tracts ou autres et à utiliser tous les moyens légaux pour que les noms
soient connus de tous. Si les députés s’arrogent le droit de mettre à la
retraite les travailleurs à 64 ans, ils doivent savoir que ces mêmes
travailleurs les écarteront de toute élection future.
Les Républicains
Éric Ciotti (Alpes-Maritimes)
Olivier Marleix (Eure-et-Loir)
Bazin, Thibault (Meurthe-et-Moselle)
Valérie Bazin-Malgras (Aube)
Anne-Laure Blin (Maine-et-Loire)
Émilie Bonnivard (Savoie)
Jean-Luc Bourgeaux (Ille-et-Vilaine)
Xavier Breton (Ain)
Hubert Brigand (Côte-d’Or)
Christelle D’Intorni (Alpes-Maritimes)
Marie-Christine Dalloz (Jura)
Virginie Duby-Muller (Haute-Savoie)
Nicolas Forissier (Indre)
Jean-Jacques Gaultier (Vosges)
Annie Genevard (Doubs)
Philippe Gosselin (Manche)
Victor Habert-Dassault (Oise)
Michel Herbillon (Val-de-Marne)
Patrick Hetzel (Bas-Rhin)
Philippe Juvin (Hauts-de-Seine)
Mansour Kamardine (Mayotte)
Marc Le Fur (Côtes-d’Armor)
Véronique Louwagie (Orne)
Emmanuel Maquet (Somme)
Alexandra Martin (Alpes-Maritimes)
Frédérique Meunier (Corrèze)
Yannick Neuder (Isère)
Jérôme Nury (Orne)
Éric Pauget (Alpes-Maritimes)
Isabelle Périgault (Seine-et-Marne)
Christelle Petex-Levet (Haute-Savoie)
Alexandre Portier (Rhône)
Nicolas Ray (Allier)
Vincent Rolland (Savoie)
Vincent Seitlinger (Moselle)
Nathalie Serre (Rhône)
Michèle Tabarot (Alpes-Maritimes)
Jean-Pierre Taite (Loire)
Jean-Louis Thiériot (Seine-et-Marne)
Antoine Vermorel-Marques (Loire)
Alexandre Vincendet (Rhône)
Stéphane Viry (Vosges)
Au
programme de cette édition, la majorité acculée par l’Assemblée !
A neuf
voix près, le gouvernement tombait mais la motion de censure a échoué.
Emmanuel Macron devrait donc continuer à exercer sa violence sur les
Français.
Nous nous intéresserons ensuite à la commission d’enquête
parlementaire sur le meurtre d’Yvan Colonna. Des travaux parlementaires
qui soulèvent d’étonnantes questions.
Et pour terminer, nous reviendrons sur le rapprochement en cours
entre la Chine et la Russie, sur fond de guerre en Ukraine. Une
transformation qui crispe les Etats-Unis.