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vendredi 31 mars 2023

Lettre à Marine Tondelier (EELV) qui était à Sainte Soline et qui s’est trompée de combat [par J.-P. Pelras]

 


Madame,

 vous étiez le week-end dernier aux côtés des activistes venus dénoncer la construction des réserves d’eau dans les Deux-Sèvres. 

Une manifestation que vous avez soutenue en tant que secrétaire générale d’Europe Écologie les Verts.

 Et un rassemblement, est-il nécessaire de le rappeler, qui donna lieu à des scènes d’extrême violence et à un épilogue dramatique. Loin de partager vos opinions, et nous avons eu l’occasion d’échanger brièvement sur twitter à ce propos voici quelques temps, je pense que vous vous trompez, ici, de combat. D’une part, car vous vous êtes transportée au mauvais endroit. D’autre part, car la cause que vous défendez pourrait, si elle était utilisée différemment, au lieu de les stigmatiser, servir à soutenir les agriculteurs français. 

Pour illustrer ce propos, je vais vous raconter une histoire. Voilà une trentaine d’années, dans le Midi de la France, des paysans se sont battus contre les distorsions déloyales et le rouleau compresseur des marchandises importées. Maraicher et arboriculteur, j’appartenais à ce peuple de producteurs transfrontaliers qui, de surcroît, ne percevaient aucune prime car historiquement non éligibles aux aides PAC. Pendant des décennies, nous nous sommes mobilisés contre vents et préfets, nous avons vidé des camions, nous en avons incendiés d’autres qui arrivaient chargés de marchandises en provenance du Sud de l’Espagne ou du Maghreb. Nous nous sommes retrouvés allongés sur des civières, dans des camions de pompiers ou sur des lits d’hôpitaux. En 1993, je fus emprisonné pendant 14 jours pour avoir manifesté contre ces importations qui venaient dégrader nos marchés, car le coût de la main d’œuvre variait du simple au double selon que l’on se situait d’un côté ou de l’autre des Pyrénées. En 1999, toujours dans les P.-O., un autre arboriculteur fut arrêté et passa 69 jours derrière les barreaux. Au décès de son vieux père, il fallut négocier avec les forces de l’ordre pour que les menottes lui soient retirées le temps de l’inhumation…

Et puis, les années ont passé, comme les camions sur l’autoroute A9.

Ces connards sont dopés à quoi?



Macron : l’ordre et la violence - JT du vendredi 31 mars 2023


 Publiée le 31/03/2023

Au programme de cette édition : le président de la République tente de tourner la page de la bataille des retraites mais d’autres fronts pourraient se dresser face à lui…

Une page sécurité ensuite avec la délinquance qui progresse en France. Alors que l’attention se focalise sur la question sociale, la criminalité n’a pas pris de vacances.

Et enfin, un peu d’exercice avec les trans qui provoquent des scandales dans le monde du sport

Macron et son plan eau, c’est zéro.


Encore une fois dans ce pays notre classe politique a une vision assez indigente de l’avenir.

En fait il n’y a pas de vision de l’avenir.

Oui, il va nous falloir nous adapter au changement climatique, et pour cela dans un pays qui ne récupère même pas 1 % de l’eau qui tombe sur notre territoire alors que c’est 25 % en Espagne, la seule chose que nous promet Macron, c’est de payer plus cher.

Travailler toujours plus longtemps, pour payer tout toujours plus cher et avoir des services de moins en moins accessibles.

Ahurissant.

Toujours moins, toujours plus cher !

Pour prévenir de nouvelles pénuries d’eau durant l’été, Emmanuel Macron a annoncé la mise en place d’ici à mai d’un « écowatt » de l’eau pour mesurer la consommation par rapport aux ressources disponibles, ainsi qu’un plan de sobriété par secteur économique (agriculture, industrie, etc.).

« Les premiers mètres cubes sont facturés à un prix modeste, proche du prix coûtant, ça correspond à l’eau dont nous avons tous besoin. Au-delà d’un certain niveau, le prix sera plus élevé, c’est normal pour les consommations de confort », a-t-il expliqué.

Alors les grandes mesures ce ne sont pas des récupérateurs d’eau sur les maisons, ce ne sont pas la construction de nouvelles retenues, ce n’est pas l’aménagement de nouvelles infrastructures, non, c’est l’augmentation du prix de l’eau après celui de l’énergie.

Sainte-Soline : pour en finir avec l’insupportable procès des gendarmes


 

Le Monde, Mediapart et la Ligue des droits de l’homme, trois organismes au-dessus de tout soupçon comme il se doit, ont leur version des événements ultra-violents qui se sont déroulés aux abords de la bassine de Sainte-Soline, ce samedi 25 mars. 

Pour eux, c’est simple : les gendarmes ont empêché les secours d’approcher des blessés. Le Monde va jusqu’à titrer, sans le moindre doute, « Sainte-Soline : des élus de LFI appellent à la démission de Gérald Darmanin après des révélations prouvant une entrave à l’intervention des secours ».

Tout est dans le mot « prouvant »… La NUPES se déchaîne ainsi une fois de plus contre Darmanin et « les violences policières », vieux mantra rassembleur à gauche de la gauche.

Dans ce concert de propagande, il n’est pas inutile de s’en référer aux faits. D’abord, les victimes. Elles ont un profil particulier, pas tout à fait celui du Bisounours. Ce sont les parents du manifestant grièvement blessé qui en parlent le mieux. Dans un communiqué signé Les Parents de Serge et daté du 29 mars 2023, ils expliquent : « Oui, Serge est fiché S, comme des milliers de militants dans la France d’aujourd’hui. Oui, Serge a eu des problèmes judiciaires, comme la plupart des gens qui se battent contre l’ordre établi. Oui, Serge a participé à de nombreux rassemblements anticapitalistes – comme des millions de jeunes dans le monde qui pensent qu’une bonne révolution ne serait pas de trop. » Un Monsieur Tout-le-Monde, en somme, gentil tout plein. « Ces actes sont au contraire tout à son honneur », concluent les parents. Ils ont porté plainte pour tentative de meurtre, entrave volontaire à l’arrivée des secours, violation du secret professionnel dans le cadre d’une enquête de police et détournement d’informations. Tant qu’on y est…

Le Parlement européen s'alarme de la violence des forces de répression en France



Bulletin N°127. Poloneries, dédollarisation, GPA pour tous. 30.03.2023.


 

jeudi 30 mars 2023

Alerte: Première frappe contre l'OTAN



Sous réserve de confirmation


(NDLR) Il semblerait que cette nouvelle date un peu numidia-liberum en parlait le 15 mars dernier 

 

 

Les USA ont demandé à leurs ressortissants en Russie de quitter immédiatement le territoire de la Fédération.

Cette info semble confirmer la frappe russe subie par un quartier général de l'OTAN en Ukraine

En attendant confirmation et chiffres avancés concernant cette frappe russe, il faut voir que cette attaque russe contre un  QG de l'OTAN pose cette dernière au pied du mur de son engagement dans le conflit.

Je répondrai demain aux questions posées avec plus de détails je l'espère.

Erwan  


La retraite: On en parle?



Ti tac, tic tac, tic tac: Aléa jacta est


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Macron : la diversion climatique - JT du jeudi 30 mars 2023


Publiée le 30/03/2023

Au programme de cette édition : Emmanuel Macron essaie d’allumer un contre-feu face à la gronde sociale. Le président était jeudi en déplacement pour présenter un “Plan eau”.

Nous reviendrons ensuite sur la saga des trottinettes qui agitent la ville de Paris.

Et enfin, une page Jeux Olympiques. Une aubaine pour instaurer une surveillance générale par des technologies dites "intelligentes".

"tueur de chars"

 

 


 28 mars 2023

 de Karin Leukefeld

La Grande-Bretagne équipe des chars pour l'Ukraine avec des munitions à l'UA. Les munitions à l'uranium appauvri contaminent des zones pendant des générations

La Grande-Bretagne veut soutenir l'Ukraine avec 14 chars "Challenger 2". Des munitions perforantes, appelées munitions DU, seraient également fournies. DU signifie "Depleted Uranium" - uranium appauvri.

Durcis avec le sous-produit de la production nucléaire, les projectiles ressemblent à des "lances de métaux lourds". Ils contiennent de l'uranium 238, explique Johann Höcherl, expert en technologie des armes et des munitions à l'Université de la Bundeswehr à Munich. Les "armes très efficaces dans un duel de chars" ont volé très loin et avaient un pouvoir de pénétration élevé en raison de la forte densité, Höcherl est cité dans un rapport de RadioNetzwerk Deutschland (rnd, 24 mars 2023). Höcherl décrit l'uranium 238 comme "relativement bon marché", il possède "de très bonnes propriétés balistiques sur la trajectoire et sur la cible".

poussière de la mort

L'uranium appauvri est un déchet issu de la fabrication des éléments combustibles des réacteurs. La munition explose à l'intérieur d'une cible, principalement utilisée comme arme contre les chars ennemis, provoquant la mort instantanée de l'équipage du char.

Il libère également une poussière radioactive toxique. Si cette poussière est inhalée, la radioactivité dans le corps développe un cancer et des modifications génétiques. Les hommes qui inhalent la poussière engendrent des enfants atteints de malformations congénitales ou de cancer. Les femmes enceintes qui inhalent la poussière donnent naissance à des enfants malades ou morts. Si la poussière radioactive toxique pénètre dans le sol, l'eau et les nappes phréatiques, elle empoisonne la nature et pénètre dans la chaîne alimentaire.

Si cette poussière est emportée par le vent, les zones et plans d'eau éloignés de la cible réelle peuvent également être empoisonnés et contaminés par la radioactivité. L'Irak a tenté à plusieurs reprises d'obtenir une compensation des États-Unis et de la Grande-Bretagne pour les conséquences de l'utilisation de munitions à l'UA, sans succès.

Fin de l'obligation vaccinale pour les soignants


 

 

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Oups–En échec, le Pentagone met fin au programme de missiles hypersoniques de Lockheed Martin



Guerre en Ukraine, l’Etat français veut décréter la mobilisation… de l’épargne !



 par | 30 Mar 2023

Et oui. Côté pile si l’Etat revend en catimini l’ensemble des entreprises du secteur de la défense à nos gentils amis les Américains, côté face, le gouvernement veut « mobiliser » l’épargne des Français pour financer l’effort de guerre en Ukraine et l’industrie de la défense.

Le financement d’une « économie de guerre » visant à l’augmentation des capacités de production de l’industrie de défense française passe par une « mobilisation de l’épargne des Français », préconise un rapport parlementaire. Le député Horizons de Charente-Maritime Christophe Plassard vient de rendre son rapport parlementaire.

Pour lui, il faut « mobiliser l’épargne des Français au bénéfice de l’industrie de défense, via la création d’un livret ou d’un plan d’épargne réglementée ou à travers un emprunt d’État ».

Tout ceci arrive dans un contexte où Emmanuel Macron a organisé une réunion avec les industriels de la défense « pour faire le point sur le passage à une « économie de guerre » appelée de ses vœux par le chef de l’État ».

Cette « économie de guerre » vise à créer les conditions nécessaires pour permettre aux industriels de produire davantage, à moindres coûts et dans de meilleurs délais pour faire face à la perspective d’un conflit dit de haute intensité ».

Pour Christophe Plassard « les banques et institutions financières sont de « plus réticentes à financer l’industrie de défense » car elles ont « tendance à surinterpréter les règles de conformité » et craignent de voir leur « réputation entachée » par des investissements dans un secteur « considéré comme non éthique », pointe-t-il. Il faut donc selon lui « envisager la création sous le contrôle de l’État d’un “pool bancaire”, regroupant les grandes banques françaises, destiné au financement des petites entreprises de la base industrielle et technologique de défense, et dont une partie des prêts seraient garantis par l’État »…

Et oui, côté RSE, la responsabilité sociale des entreprises, financer les armements pour faire des centaines de milliers de morts, cela ne fait pas franchement rêver… en plus pour faire tous ces morts, il faut consommer beaucoup de pétrole car nous ne sommes pas encore à la guerre 0 carbone, ni aux chars électriques avec des batteries made in China, ou des avions avec panneaux solaires.

[Réaction] Serge Bousquet-Cassagne : «Que Marine Tondelier rentre chez elle !»


 Marc Eynaud 29 mars 2023

Visite mouvementée dans le département du Lot-et-Garonne pour la secrétaire nationale d'EELV Marine Tondelier après que Serge Bousquet-Cassagne, président de la chambre d'agriculture du Lot-et-Garonne, lui a déclaré qu'elle n'était pas la bienvenue dans le département. 

Des paroles suivies d'effets... Explications au micro de Boulevard Voltaire.



Marc Eynaud. Pourquoi vous êtes-vous opposé à la visite de Marine Tondelier dans votre département ?
 
Serge Bousquet-Cassagne. Pour la simple raison que durant la journée de dimanche, j’ai visionné des reportages sur les chaînes d’info qui montraient l’extrême violence à Sainte-Soline. Ces violences ont complètement été couvertes par EELV. Donc, je ne voyais pas arriver en Lot-et-Garonne, où se trouvent des paysans respectueux, travailleurs et performants, quelqu’un qui viendrait nous dicter ce qu’on a à faire chez nous et, surtout, qui viendrait nous dire que c’était les gendarmes qui avaient mis eux-mêmes le feu à leur véhicule. Voilà pourquoi nous avons décidé que cette dame ne viendrait pas en Lot-et-Garonne et que nous avons mené ces actions qui ont fait qu’elle a pu seulement participer à une petite manifestation à Marmande pendant un quart d’heure. Ensuite, elle a dû être exfiltrée de la manifestation par les forces de l’ordre. Toutes les opérations qu’elle devait mener et ses réunions n’ont pas eu lieu.
 
M. E. N’avez-vous pas l’impression qu’il s’agit d’une forme de violence, d’interdire à un élu de circuler librement sur le territoire national ?
 
S. B.-C. Pas du tout ! J’ai trente ans de syndicalisme agricole derrière moi, j’ai souvent mis du purin sur les voitures de gendarmerie, mais je ne les ai jamais brûlées.

Les Soulèvements de la Terre : deux ans de sabotages, harcèlement et violences


Photo BV. Manifestation de Sainte-Soline le 25 mars 2023.

« Je constate comme vous l’extrême violence de certains groupuscules [...] et je pense notamment au groupement de fait des Soulèvements de la Terre. […] J’ai donc décidé d’engager la dissolution des Soulèvements de la Terre que je proposerai après contradictoire à un prochain Conseil des ministres. »

  Quelques jours après les scènes de guérilla à Sainte-Soline, Gérald Darmanin, qui depuis plusieurs mois dénonce l’action « écoterroriste » des collectifs radicaux opposés aux méga-bassines, joint finalement le geste à la parole.

Un mode opératoire violent

Fondé sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, Les Soulèvements de la Terre rassemble, à son origine, des militants de l’extrême gauche en quête d’un nouveau combat contre l’État. Dès sa création, en mars 2021, le mot d’ordre est donné : « Concentrer nos forces pour cibler, boquer et démanteler. » Adieu, la désobéissance civile, jugée inopérante, place aux destructions et au sabotage. Rythmé par des saisons de quelques mois, le mouvement rassemble alors des activistes radicaux, rejoints par quelques associations écologistes, venus des quatre coins du pays pour des actions coup de poing. Son mode opératoire ? Le sabotage. Vendanges sauvages dans les vignes de Bernard Arnault, désarmement d’une dizaine de canons à neige à La Clusaz, dégradations de retenues d’eau… Comme le souligne les services de renseignement, dans une note dévoilée par Le Parisien« on constate que la protection de l’environnement est de plus en plus souvent mise en avant pour justifier l’action violente et clandestine ». Avant de s’en prendre aux méga-bassines des Deux-Sèvres, les Soulèvements de la Terre s’attaquait aux industriels. Le 11 décembre dernier, près de 200 activistes, vêtus de combinaisons blanches, s’introduisent de force dans l’une des usines du groupe Lafarge. En moins d’une heure, ils détruisent de nombreuses installations. Résultat de l’opération : quatre millions d’euros de dégâts. Si l’action n'est pas directement revendiquée par Les Soulèvements de la Terre, le mouvement s’en réjouit. Et rapidement, les soupçons des enquêteurs de la sous-direction antiterroriste du parquet d’Aix-en-Provence se portent contre le mouvement écologiste radical.


mercredi 29 mars 2023

Non, vous ne rêvez pas: «Le président de la République parle à "Pif gadget"»


 


Quand le passage en force remplace les arguments


 Michel Poniatowski, ancien ministre de Giscard d’Estaing écrivait en 1991: « Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi et surtout à cause de la société, à la fois pluriethnique et pluriculturelle qu’on  s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges à lui imposer ».

Hier la résistance à l’implantation de clandos se faisait à Callac, aujourd’hui elle se situe à Belâbre (département de l’Indre). 

Dans cette petite ville, le maire un socialiste immigrationniste pur jus, qui se veut « humaniste » persiste dans sa volonté d’imposer 80 migrants, malgré une opposition résolue de la majorité de ses administrés.

La population réclame un référendum qu’il lui refuse, sachant sans doute ce que serait le résultat du vote. Par contre, des parfaits démocrates comme ce maire ne se refusent pas d’en demander un pour les retraites. Ou est la cohérence ? Ce 49.3, que nos gouvernants utilisent sans se priver, d’autres s’en  servent aussi pour imposer leur volonté au niveau local. De plus, le Préfet s’est invité à la salle des Fêtes avec l’association immigrationniste Voltaïs pour soutenir l’équipe municipale. Ils se sont assurés aussi de l’appui de la LDH qui ressort ses poncifs habituels, parlant « d’incitation à la haine ». Avec menaces de procès.

C’est le combat du pot de terre contre le pot de fer, mais rien ne prouve que les gagnants d’un jour soient ceux de demain ! L’organigramme du système est bien ficelé mais il n’est pas infaillible.

Pédoland : la fin du silence !


Une compilation très dense et violente sur la pédocriminalité en France. 

De nombreux extraits de vidéos publiées depuis ces 20 dernières années. Montage anonyme. Une bonne vue d'ensemble sur le sujet pour ceux qui le découvrent.

De l’horreur à s’identifier au ‘camp du Bien’ selon les normes occidentales


 

 Par Daniel Vanhove

Il est des dates-anniversaires dont on aimerait bien ne jamais se souvenir. 

A moins qu’elles ne permettent de dénoncer un atroce et impardonnable crime. 

Ces jours-ci marquent celui de l’intervention américaine en Irak, il y a 20 ans. Non contents de leurs sanctions meurtrières – personne n’oubliera les propos de M. Albright justifiant leur application au nom des ‘valeurs’ occidentales, malgré la mort de près de 600.000 enfants privés de médicaments – le monde entier sait aujourd’hui que cette intervention avait comme prétexte un mensonge grossier de la part des plus hautes autorités américaines en la personne du Secrétaire d’État Colin Powell et sa fiole devant les instances de l’ONU, censée contenir des produits hautement toxiques détenus en quantité industrielle par le gouvernement du Président Saddam Hussein et qualifiés d’Armes de Destruction Massives (ADM) par ceux-là mêmes qui allaient incendier le pays à l’aide de leur arsenal dévastateur.

Dans la certitude de leur suprématie hégémonique, les Etats-Unis flanqués de leurs alliés tout aussi complices, se sont lancés dans la destruction systématique de tout un pays. Aucun mot ne pourra dire ni traduire l’horreur que les habitants ont enduré depuis. Sans même compter le nombre exact des victimes – qui s’embarrasse en Occident d’un décompte précis dès lors que ces pays nous sont présentés comme ‘barbares’ – la majorité de ses citoyens ont tout perdu. Et le pays a été, comme promis par les funestes promoteurs de ces crimes, ramené à l’âge de pierre. 

Voyez notre suprématie s’étaler dans toute sa splendeur, et tentez de ressentir et comprendre le regard de ces enfants traumatisés à jamais, en imaginant que ce seraient les vôtres :

La France de l’époque, quelque peu esseulée parmi les pays occidentaux, avait dénoncé ce recours délibéré à la force, dès lors qu’aucune preuve probante n’avait pu conclure aux affirmations de Washington. 

Le ministre des Affaires étrangères, Dominique de Villepin et le Président Jacques Chirac avaient résisté malgré les pressions exercées sur eux en coulisses. L’image de la France s’en était d’ailleurs trouvée magnifiée en bien des endroits du monde, ce qui n’est plus de mise aujourd’hui, que du contraire, depuis que Nicolas Sarkozy s’est aligné docilement sur la politique atlantiste. Sacrée leçon pour ceux qui tentent de comprendre les tenants et aboutissants des faits.

Après les quelques premières années de cette dévastation, une voix, parmi d’autres, m’avait interpellé lors de cette tragédie. Une voix de femme. La voix irakienne de Layla Anwar que j’avais relayée dans mon livre ‘La Démocratie Mensonge’ (2008) et dont je veux rappeler les propos d’une actualité brûlante :

Le blues d’une femme arabe –

Pas de passé, pas d’avenir…

Y a-t-il quelque chose en Irak, que les Américains n’aient pas détruit ?

La moindre chose ?

Et vous osez vous étonner que je vous déteste tellement… 

Invitation à abuser des enfants ? Plus de 49 enfants abusés par jour en Allemagne !


Le 26/03/2023

kla.tv

  Des abus sexuels horribles sur des enfants – comment en est-on arrivé là ? 

 Depuis les rapports Kinsey, il y a 75 ans, notre société évolue dans une direction totalement mauvaise. 

Comme dans le cas d'une rupture de barrage, où le cours du petit ruisseau au départ se transforme finalement en une inondation catastrophique. Il est temps de reconstruire la digue de protection pour nos enfants !

Interpellée chez elle pour avoir insulté Emmanuel Macron sur les réseaux sociaux


 

lavoixdunord 

 Elle est accusée d’outrage et insulte envers le président de la République suite à la publication d’un message sur les réseaux sociaux. 

Elle sera jugée au tribunal de 20 juin.

Lorsque Valérie a ouvert la porte de son logement vendredi 24 mars vers 10 heures, elle ne s’attendait pas à se retrouver devant trois policiers. « Je leur ai demandé si c’était une blague ; c’est la première fois que je suis arrêtée », raconte-t-elle. Elle est alors placée en garde à vue.

En convalescence suite à une blessure au bras, elle est d’abord transportée au centre hospitalier de la région de Saint-Omer pour contrôler son état de santé. De retour au commissariat en début d’après-midi, on lui explique alors qu’elle est soupçonnée d’avoir écrit « Macron ordure » devant le dépôt de déchets d’Arques. « Faux, j’ai juste été prise en photo devant en train de sourire », assure-t-elle.


Une procédure très rare

En revanche, sur sa page sur le réseau social Facebook, un message attire l’œil des policiers. Il a été posté mardi 21 mars et dit ceci : « L’ordure va parler demain à 13 heures, pour les gens qui ne sont rien, c’est tjrs (sic) à la télé que l’on trouve les ordures ». Le lendemain, Emmanuel Macron devait donner un entretien télévisé aux journaux de la mi-journée sur France 2 et TF1. La Saint-Martinghémoise se défend d’avoir voulu utiliser ce terme et plaide la maladresse : « C’est bien moi qui ai fait cette publication mais je voulais faire un jeu de mots et écrire "l’or dur", le correcteur a modifié et je n’ai pas relu avant d’envoyer. D’ailleurs, je ne le cite même pas. » L’argumentaire n’a pas convaincu les enquêteurs.

La publication Facebook qui a conduit Valérie en garde à vue. 

La publication Facebook qui a conduit Valérie en garde à vue.

Vers 18 heures, Valérie a été présentée au procureur du tribunal de Saint-Omer. Elle sera jugée le 20 juin pour outrage envers une personne dépositaire de l’autorité publique.


« On veut faire de moi un exemple »

Macron joue avec le feu - JT du mercredi 29 mars 2023


 Publiée le 29/03/2023

Au programme de cette édition, retour sur la journée de mobilisation de mardi avec un reportage dans le cortège de Tours. 

Nous reviendrons avant sur les perspectives politiques et syndicales.

Pour terminer, nous irons aux Etats-Unis où une personne transgenre a commis une fusillade dans une école. Une affaire qui suscite une fois de plus des débats sur le port d’armes pour évincer un autre sujet de société inquiétant.

Sainte-Soline : les milices vertes ultra-violentes dans le collimateur. Enfin !


 

 Photo BV. Manifestation de Sainte-Soline le 25 mars 2023.

Marc Baudriller 28 mars 2023 

Quatre jours après les scènes de guerre de Sainte-Soline, dans le département des Deux-Sèvres, le ministre de l’Intérieur tire les leçons du déchaînement de violence qui s’est abattu sur nos forces de l’ordre. 

À l’Assemblée nationale, devant les députés, Gérald Darmanin a évoqué, ce 28 mars, « des événements inqualifiables », rappelant que la manifestation de Sainte-Soline était interdite par la préfecture depuis le 17 mars.

Le ministre a surtout accusé nettement les responsables de cette véritable bataille rangée. Il évoque les 47 militaires de la gendarmerie blessés. Et passe aux décisions : « Je constate comme vous l’extrême violence de certains groupuscules [...] et je pense notamment au groupement de fait des Soulèvements de la Terre : plusieurs envahissements d’entreprises, énumère le ministre, plusieurs exactions fortes contre les forces de l’ordre, plusieurs destruction de biens, des centaines de gendarmes et de policiers blessés, plusieurs appels à l’insurrection. J’ai donc décidé d’engager la dissolution des Soulèvements de la Terre que je proposerai après contradictoire à un prochain Conseil des ministres. ». Enfin ! Le gouvernement prend au sérieux la menace de ces milices rouges-vertes ultra-violentes qu’on a vues avancer en tortue contre les gendarmes positionnés à Sainte-Soline, boucliers en avant, jetant des pierres et des cocktails Molotov à l’arrière, sur fond de véhicules policiers en feu.

« Oui, on s’y attendait. Mais on n’avait jamais vu cela : c’étaient des scènes de guerre, face à un adversaire manœuvrier organisé de façon militaire. » Jointe, ce 28 mars, par BV, une source proche du dossier au sein des forces de l’ordre rappelle que Les Soulèvements de la Terre, issue des mobilisations si sympas de Notre-Dame-des-Landes notamment, joue les plaques tournantes. « C’est une organisation insurrectionnelle, révolutionnaire, qui intègre différents mouvements venus de l’extrême gauche et de l’écologie radicale. Elle met au point une planification stratégique. Les manifestants ont réfléchi depuis longtemps à leur organisation, poursuit notre source au sein des forces de l’ordre, chacun a un rôle précis et des effets à obtenir. Ils organisent la protection du secret pour éviter que leurs conversations parviennent aux Renseignements généraux (RG). C’est la poutre porteuse de l’ultra-gauche violente en ce moment. »

Sur son site, l’association Les Soulèvements de la Terre explique bien ses fondamentaux, une forme de panique écologique sur fond de marxisme qui justifie toutes les destructions et tous les moyens : « Seul un basculement radical - un soulèvement - pourrait permettre d'enrayer le réchauffement climatique et la sixième extinction massive des espèces déjà en cours. Au fond, nous le savons, il ne nous reste aujourd'hui plus d'autre voie que de mettre toutes nos forces dans la bataille pour enrayer le désastre en cours et abattre le système économique dévorant qui l'engendre. » L’opinion des peuples, la démocratie, les élus, tout cela importe peu.

« Crise bancaire. BNP, Société Générale, Natixis perquisitionnées par 6 procureurs allemands ». L’édito de Charles SANNAT


 

 par | 29 Mar 2023 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Il y a des évènements qui peuvent sembler surprenants et dont le moment où ils arrivent doivent interroger.

Alors que nous sommes en pleine pré-panique bancaire, que les gens ont peur, que le monde retient son souffle, des Etats-Unis et de sa Silicon Valley Bank, aux alpages suisses où nos amis helvètes ont dû sauver le Crédit Suisse, sans oublier la grosse et plantureuse Deutsche Bank, partout, les banques vacillent et leur solidité est sujette à caution.

C’est dans ce contexte particulioèrement tendu, que le PNF, le parquet national financier, a décidé accompagné de 6 procureurs allemands, de procéder à la perquisition de 5 banques en France dont trois de nos établissements majeurs à savoir BNP, Natixis et Société Générale.

Il s’agit selon le PNF d’une vaste enquête impliquant d’autres pays en Europe et portant sur des faits de fraude fiscale relatifs aux dividendes.

« Les perquisitions interviennent dans le cadre de cinq enquêtes préliminaires ouvertes en décembre 2021 du chef de blanchiment aggravé de fraude fiscale aggravée et pour certaines de fraude fiscale aggravée, relatives au schéma de fraude dit « CumCum », a expliqué le PNF.

Cette fraude consiste pour un actionnaire étranger d’une société cotée en France à transférer temporairement, autour de la date de versement du dividende, les titres qu’il détient à un établissement bancaire français, afin d’éviter le paiement de la retenue à la source appliquée sur le paiement de ce dividende.

Les opérations en cours sont conduites par 16 magistrats du PNF et plus de 150 enquêteurs, accompagnés de six procureurs allemands du parquet de Cologne intervenant dans le cadre de la coopération judiciaire européenne.

Des enquêtes similaires sont actuellement menées dans d’autres pays européens, notamment en Allemagne où la justice a condamné en décembre à huit ans de prison l’avocat fiscaliste Hanno Berger, accusé d’avoir orchestré l’une des plus grandes fraudes de l’après-guerre dans le pays grâce à un système d’arbitrages de dividendes ».

Pourquoi maintenant ?

mardi 28 mars 2023

Des politiciens intelligents alors qu'il y a 50% d'imbéciles dans ce gouvernement, dixit la borne



Les putes à macron posent questions chez les Suisses


 

 

 


Macron : l’entêtement jusqu’à quand ? - JT du mardi 28 mars 2023


 Publiée le 28/03/2023

Au programme de cette édition, le désordre organisé par la majorité. 

Après avoir semé la colère, le gouvernement récolte la violence à l’occasion d’une nouvelle journée de grève ponctuée par des heurts.

Nous reviendrons ensuite sur la guerre en Ukraine qui ne semble plus intéresser les médias français.

Et pour terminer, nous irons en Ecosse où un nouveau chef de gouvernement local vient d'être élu.

La vraie raison de la réforme des retraites : éviter la dégradation de la note de la France par les agences de notation


D’Agnès Verdier-Moliné, directrice de la Fondation Ifrap, dans Valeurs Actuelles :

[…] On le voit bien à l’insistance du gouvernement pour faire passer une réforme des retraites avec report de l’âge de départ à 64 ans alors que la même majorité y était opposée pendant le précédent quinquennat. Emmanuel Macron a lui-même expliqué l’urgence financière devant le Conseil des ministres convoqué jeudi dernier avant l’utilisation du 49.3 :

« Je considère qu’en l’état, les risques financiers, économiques, sont trop grands. Et je vous autorise donc à utiliser le 49.3. »

Oui, les risques financiers qui pèsent sur la France sont énormes et, jusque-là, le gouvernement n’avait pas été très clair dans sa communication sur le sujet. Pourquoi n’avoir pas dit plus tôt que les nuages financiers sont déjà au-dessus de nos têtes et pas seulement en 2027 ou 2030 ? Que nous risquons une attaque des marchés sur la dette de la France ?

Le gouvernement est resté dans le flou, ces derniers mois, en ne disant pas la vraie raison de la réforme des retraites : éviter la dégradation de la note de la France par les agences de notation et, derrière, un emballement des taux et une explosion du coût annuel de la dette qu’on ne pourrait pas payer.

​Pourquoi n’avoir pas dit clairement, au début des débats sur la réforme des retraites, que, dès cette année 2023, nous risquons de graves problèmes de financement de nos services publics, de nos retraites et des salaires des fonctionnaires, car les taux sur la dette française augmentent ? Bientôt 60 milliards d’euros en budgétaire alors que nous étions à 39 milliards en 2019.

Mourir pour une bassine… quand la folie nous gouverne.



 par | 28 Mar 2023 |

Je vais vous dire ce que je pense de cette affaire de bassines à Sainte-Soline.

Après la cuvette de Diên Biên Phu de mon pépé, voici la bassine de Sainte-Soline, et je peux vous dire, que là-bas il n’y avait pas de général Bigeard.

Tout d’abord je fais partie de ceux qui pensent qu’il faut aménager notre territoire, construire notre irrigation de demain et d’aujourd’hui, adapter nos infrastructures aux évolutions climatiques et que cela doit pouvoir se discuter, techniquement, scientifiquement, et aussi politiquement.. Mais, MAIS…

Je pense aussi que les gendarmes ont été mis dans une situation totalement stupide par les politiques qui nous gouvernent et qui confondent depuis les « gilets jaunes » maintien de l’ordre avec le maintien au pouvoir de cette petite caste honnie par l’écrasante majorité de la population qui ne peut plus les voir en peinture, à commencer par le mamamouchi du Palais.

Mourir pour une bassine, que l’on soit gendarme ou écologiste, manifestant ou paysan est d’une infinie tristesse.

Personne dans ce pays ne doit mourir pour « tenir » une bassine qui n’est en aucun cas un « intérêt » stratégique pour la France.

Personne ne doit être blessé, gendarme comme manifestant pour une bassine.

Tout ceci n’a strictement aucun sens, et demander aux gendarmes de « tenir » ce site est sans doute l’une des plus grosses ânerie politique de cette administration qui ne vaut pas un clou et qui le montre jour après jour avec un bilan désastreux à tous les niveaux.

D’ailleurs, la hiérarchie de la gendarmerie devrait expliquer à notre maréchal président, que sa bassine, il peut se faire un bain d’arrière train dedans comme le recommandait Rika Zaraï ! Cela lui fera le plus grand bien.

[C’est vrai, ça ?] L’extrême droite a-t-elle incendié la mairie de Bordeaux ?


 

 Sabine de Villeroché 27 mars 2023

Au lendemain de l'intervention télévisée du Président Macron, les manifestations à Paris et en province contre la réforme des retraites adoptée par le passage en force du 49.3 se multiplient. 

Avec leur cortège désormais quotidien de débordements, dégradations et violences. À Bordeaux, dans la soirée du jeudi 23 mars, des émeutiers ont allumé un incendie qui a dévoré la porte du XVIIIe siècle, un chef-d'œuvre du patrimoine français.

Quatorze personnes ont été interpellées dans les heures qui ont suivi. Un individu a été mis en examen et placé en détention provisoire, trois autres personnes suspectées d'avoir participé à l'incendie comparaissent, ce lundi, devant le tribunal correctionnel de Bordeaux et un mineur a été déféré au tribunal pour enfants.

Mais le site d'information Rue89 et le député LFI se sont empressés de dénoncer le coupable : l'extrême droite.

Dès 22 heures, ce jeudi 23 mars, Rue89 interrogeait : « Des casseurs d'extrême droite derrière la tentative d'incendie de la mairie de Bordeaux ? » À l'appui, plusieurs vidéos et quelques arguments. Dans l'une de ces vidéos, « tournée par Rue89 Bordeaux », selon les auteurs de l'article, « on  peut entendre en effet distinctement quelqu’un crier "elle est à qui, la France ?" et plusieurs personnes répondre : "Elle est à nous" ».



Sur d’autres vidéos de la même scène, toujours selon Rue89, « "Front national remplace Macron !" est clairement audible ».

« Une signature des identitaires », conclut imprudemment Rue89, pour qui la tenue d'un procès « de huit militants d'extrême droite jugés pour violences racistes » le même jour à Bordeaux vient renforcer la preuve.

C'est comme si l'éditeur du Rouge et le Noir avait dit à Stendhal "appelle ça Féminicide à Grenoble"


 CampagnolTVL

RESTEZ COUCHÉS ;(ÉPISODE 103): ILLUMINÉS DE BAVURE


 Brunolelosq

lundi 27 mars 2023

INFO BLAST : Macron et Kohler détournent la correspondance de l'Elysée


 
INFO BLAST : Macron et Kohler détournent la correspondance de l'Elysée

Benjamin Jung


À travers des documents, courriers internes et témoignages exclusifs, Blast révèle la manière dont le service de la correspondance de l'Elysée a été réquisitionné au moment des législatives de 2022, pour servir de boîte aux lettres au parti d'Emmanuel Macron, Renaissance ! 

Le service s'est transformé en officine partisane malgré le principe de neutralité auquel ses agents sont tenus. 

Explosive, l’affaire met en cause le plus haut sommet de l'Etat, notamment Alexis Kohler, le secrétaire général de l'Elysée. Ce fonctionnement clandestin révèle un détournement de fonds publics et constitue, à l’évidence, une infraction aux règles de financement des campagnes électorales.

Branle-bas de combat au palais de l'Alma. Face à l'Elysée, sur l'autre rive de la Seine, le service de correspondance de la présidence de la République est une véritable ruche. En ce mois d'avril 2022, les fonctionnaires en charge du courrier du président s'affairent à une tâche inhabituelle. Ce service, qui compte 72 agents, est un des plus importants de l’Élysée. Chaque jour, il traite les 1 000 à 1 500 lettres et mails adressés à Emmanuel et Brigitte Macron. Mais pendant plusieurs semaines, une tâche peu orthodoxe accapare les employés de l'État. Pour la première fois de son histoire, ce service public effectue le travail d'un parti politique. Celui du président de la République.


L’impératif de Macron

Nous sommes deux mois avant le scrutin des législatives de juin 2022. Réélu le 24 avril sur la promesse d’un changement de méthode face à Marine Le Pen, Emmanuel Macron a besoin d'un maximum de sièges à l'Assemblée nationale pour se garantir une majorité et pouvoir gouverner. La partie s’annonce d’autant plus ardue, à l’approche de l’échéance, que la gauche fait front commun sous la bannière de la toute Nouvelle union populaire écologique et sociale (NUPES).

Mise en cause des plus hauts niveaux de l'État, au cœur de l'Elysée, au sein-même de la présidence de la République.



Violences policières : Même les gendarmes sont choqués par la violence de la BRAV-M


 

  27 mars 2023

par Le Libre Penseur

Il est vraiment urgent de dissoudre immédiatement cette milice dangereuse extrêmement violente qui n’a strictement rien à voir avec le maintien de l’ordre mais plus avec le terrorisme. 

Même le gendarme gradé est choqué par leur comportement absurde alors qu’ils contrôlent la situation. Tout le monde peut convenir, comprendre qu’avec des comportements aussi violents ça ne peut qu’attiser en face encore plus de violence. Il n’y a, semble-t-il ,aucune volonté de retour au calme de la part des macronistes qui seront les seuls responsables des drames à venir.

source : Le Libre Penseur

Note de la rédaction de Profession-Gendarme :

Chers camarades, chers collègues, quand allez-vous cesser de jeter le discrédit sur l’uniforme que j’ai porté avec fierté ?

Ronald Guillaumont, retraité de la Gendarmerie Nationale.

Le ministre Olivier Dussopt révèle son homosexualité mais les Français n’en ont rien à foutre


Publié le

Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a récemment révélé dans une interview au magazine LGBT Têtu avoir été la cible de « nombreuses remarques homophobes » ces dernières semaines.

Cette déclaration publique marque également la première fois que le ministre admet publiquement son homosexualité.

Pour certains, cette révélation ressemble fortement à une « politique de diversion » en plein climat insurrectionnel contre la réforme des retraites. Le ministre sort la carte immunité et peut au passage accuser une partie des manifestants d’homophobie.

En ce qui concerne les commentaires sur internet, les Français se contrefoutent de connaître les préférences sexuelles d’un ministre en exercice. Chacun étant libre de son orientation, il importe peu au peuple de France de savoir si Olivier Dussopt a des prédilections en termes d’orifices ou s’il pratique le fist-fucking.

Alors que le ministre se plaint d’avoir été victime d’homophobie — dans cette tentative de diversion à ras les pâquerettes — France info a eu accès à un enregistrement long de 20 minutes dans lequel des policiers des Brav-M ont arrêté un jeune de 23 ans.

Le cynisme de macronescu



Ces repris de justice qui nous gouvernent



RETRAITS D’ARGENT PHARAONIQUES : « Les gens commencent à PANIQUER et retirent tous leurs DEPOTS des petites banques…Même la DEUTSCHE BANK est impactée ! ATTENTION, le mois d’avril sera TERRIBLE !!! »


 

  27 mars 2023

businessbourse 

Un milliard de dollars, c’est beaucoup d’argent. Si vous empiliez des billets d’un milliard de dollars les uns sur les autres, la pile ferait 107 kilomètres de haut, mais si vous empiliez des billets de 100 milliards de dollars les uns sur les autres, la pile ferait 155 956 145,39 kilomètres de haut. 

C’est plus long que la distance de la Terre au Soleil.

 Un milliard de dollars est une somme d’argent si énorme qu’il est vraiment difficile à imaginer, mais comme vous le verrez ci-dessous, cette somme d’argent a déjà été retirée des banques américaines « vulnérables » au cours de l’année écoulée. Des hordes de petites et moyennes banques sont maintenant en difficulté, et c’est vraiment une mauvaise nouvelle car ces institutions émettent la plupart des prêts hypothécaires, des prêts automobiles et des cartes de crédit sur lesquels repose notre économie. L’autre jour, j’ai demandé à mes lecteurs « d’imaginer à quoi ressemblera notre pays si le système bancaire implosait et si l’économie plongeait dans une dépression », car si nos banques continuent de s’effondrer, c’est précisément ce qui va se passer.

Malheureusement, la récente panique bancaire a grandement accéléré les choses. En fait, 98,4 milliards de dollars ont été retirés des banques américaines au cours de la semaine se terminant le 15 mars…

Le chiffre exacte, publié peu de temps après la fermeture du marché vendredi, est intervenu à peu près au même moment où de nouvelles données de la Fed ont montré que les clients des banques avaient collectivement retiré 98,4 milliards de dollars des comptes pour la semaine terminée le 15 mars.

Cela aurait couvert la période où les faillites soudaines de la « Silicon Valley Bank » et de la « Signature Bank » ont secoué l’industrie.

Pensez-y un instant.

Près de 100 milliards de dollars de dépôts se sont évaporés en une semaine seulement.

Et il s’avère que les petites banques ont été les plus durement impactées. Sans surprise, les grandes banques ont en fait enregistré d’énormes entrées de capitaux

Macron : le chaos - JT du lundi 27 mars 2023


 Publiée le 27/03/2023

Au programme de cette édition, retour sur la situation explosive dans le pays. 

Alors que les mobilisations se poursuivent contre l’exécutif, Emmanuel Macron choisit le bras de fer. Une décision toxique pour la France et les Français.

Et puis nous reviendrons ensuite sur la question énergétique et plus précisément du nucléaire. Alors que le secteur était un atout pour notre pays, les décisions successives ont peu à peu battu en brèche notre point fort. Un retournement de situation largement incité par l’Allemagne et Bruxelles.

Les black blocs sont surtout utiles… au gouvernement


 


À Nantes et à Rennes, on est habitué à voir surgir lors des manifestations ceux qu’on appelle les « black blocs ». Un cortège contrôlé par les syndicats avance tranquillement jusqu’à ce que l’affaire dérape.

« Un groupe d’environ 200 personnes masquées et habillées en noir » (Ouest-France, Ille-et-Vilaine, vendredi 20 janvier 2023) cassent les vitrines des banques, des assurances, et des entreprises qui font dans l’intérim et l’immobilier. A Rennes, ces black blocs savent également piller des magasins de vêtements qui proposent des marques à la mode. A coup sûr, du boulot pour l’artisan qui s’est spécialisé dans la réparation rapide des vitrines.

Plusieurs questions s’imposent : d’où sortent ces jeunes ? Qui sont-ils ? A quel jeu jouent-ils ? Pour qui travaillent-ils ? Qui les manipulent ? De quoi vivent-ils ? Ils apparaissent, ils disparaissent, ils sont très mobiles… Après la manifestation du jeudi 19 janvier, la maire de Rennes, Nathalie Appéré (PS), condamne « très fermement les dégradations, vols et violences commis par un groupe de casseurs, qui ont tenté de dévoyer la manifestation populaire pour commettre leurs méfaits, malgré la mobilisation des forces de l’ordre » (Ouest-France, Rennes, vendredi 20 janvier 2023).

De « belles » images pour le JT de 20-heures

Depuis, elle s’est habituée… Une certitude, ces « gens » rendent service au gouvernement car ils fournissent  de « belles » images pour le JT de 20-heures. Tout ce qui peut contribuer à discréditer un mouvement social est bon à prendre pour les gouvernants. Celles et ceux qui ont de la mémoire se souviennent avoir vu les black blocs à l’œuvre à Notre-Dame-des-Landes ; ils étaient installés dans une ferme qu’ils incendièrent lorsque la « lutte » prit fin. Les autres zadistes les détestaient… et réciproquement.

B. Morvan

Photo d’illustration : DR
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