L’eugéniste Charles III de Windsor, roi d’une monarchie constitutionnelle, n’ose pas trop venir rendre visite à son frère en Davos, Emmanuel 1er de Versailles, pseudo-monarque d’une pseudo-république qui avait une constitution, mais a fait ses besoins dessus.
Les Anglo-normands, ils gèrent : on a un peu embrouillé et empoisonné le paysan – pas grave : Boris saute, un peu de démolition contrôlée moyennant les Hancock leaks, et roulez jeunesse ! En revanche, la première visite d’un Windsor intronisé est censée se faire en France. Et là, problème. Déjà que les espaces peuplés de trop de bipèdes, Charles, il aime pas trop (il préfère la Transylvanie – moi aussi, d’ailleurs, mais on m’a expulsé). Et ces jours-ci, faut dire, l’Hexagone, ça craint.
La France n’étant jamais passée par la case « monarchie constitutionnelle », une fois que la Constitution, pour cause de grippe télévisuelle, s’y transforme (en mars 2020) en tampon hygiénique de substitution, ce n’est pas à la case « monarchie éclairée » qu’on revient, mais à la case « barbarie ».
Pas d’Habeas corpus pour les gueux sur le passage de Charles III
Sur les ordres d’un garde des Sceaux aussi justiciable qu’une Marine qui ne collaborerait pas suffisamment, la maréchaussée, en cachant soigneusement ses identifiants personnels, tabasse avec ardeur, et arrache aux gueules sans-dents ces niqabs sanitaires dont le non-port, il y a quelques mois encore, exposait ces mêmes factieux aux 135€ de l’amende infligée par ces mêmes cognes. Faut suivre !
Des gens qui se sont prêtés sans trop moufter au jeu du café debout/café assis auraient d’ailleurs mauvaise grâce de râler sous prétexte qu’on bafoue leur « droits fondamentaux ». L’homme est, nous dit Aristote, un animal rationnel. Les droits fondamentaux de l’animal non-rationnel, tout piqué et tout protégé avec Mamie confinée à la cuisine, c’est de faire où on lui dit.
De ce point de vue, même si les services du protocole de l’autre fin de race tirent un peu la gueule à cause des feux de poubelles, il faut le dire : la radicalité française nous a probablement fait gagner du temps. S’étant économisé un vrai 1789, les Godons n’ont pas eu droit non plus à un mars 2020 suffisamment tranché. Ils vont donc continuer à boire leur thé (avec, désormais, un nuage d’ARNm), pendant que le Gaulois réfractaire pourra commencer une vraie Sécession.
On n'en rien à faire de ce type qui n'a même pas encore été couronné ,je ne reconnais pas ce type qui n'a jamais rien fait et qui ne sera jamais à la hauteur de la Reine Elisabeth II
RépondreSupprimer