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mercredi 30 juin 2021

La Capsule #56 - Opération Intimidation


Publié le 30 Jun 2021

La Croix du Sud

Maddie de Garay, 12 ans, en fauteuil roulant à cause du vaccin Pfizer


30 juin 2021

On dit souvent que ça n’arrive qu’aux autres jusqu’au moment où cela nous arrive. 

C’est ce qui s’est passé pour Stéphanie de Garay, la mère de Maddie

Le sénateur Ron Johnson a recueilli le lundi 28 juin dans le Milwaukee, les témoignages de vaccinés qui subissent de graves effets secondaires. Celui de Maddie est particulièrement émouvant, à douze ans elle se retrouve dans un fauteuil roulant et sa maman est totalement désemparée « Pourquoi n’est-elle pas revenue à la normale ? Elle allait parfaitement bien avant cela… », a déclaré Stéphanie de Garay.

En larmes, la mère de Maddie a déclaré que sa fille était allée aux urgences neuf fois et qu’elle avait été hospitalisée trois fois. « Tout ce que nous voulons, c’est que Maddie soit vue, entendue et crue, parce qu’elle ne l’a pas été. Et nous voulons qu’elle reçoive les soins dont elle a désespérément besoin, afin qu’elle puisse revenir à la normale. »

Maddie de Garay était ravie de faire partie de l’essai du vaccin Covid. Ses parents sont en médecine et en ingénierie et voulaient que leurs enfants aident à mettre fin à la pandémie. Mais maintenant, Maddie est en fauteuil roulant et a besoin d’une sonde d’alimentation. Ils veulent qu’on la croie.

D’autres témoignages ont également été entendus par le sénateur Johnson — républicain — pour faire part de leurs histoires après avoir reçu un vaccin Covid-19. Comme Kristi Dobbs, une hygiéniste dentaire du Missouri : « C’est comme si vous aviez un petit choc électronique qui parcourait votre corps, comme si vous étiez coincé dans une chaise vibrante, comme collé dedans, et ça ne s’arrête jamais. J’ai des tremblements dans les mains qui m’ont fait douter de pouvoir à nouveau exercer mon métier d’hygiéniste. Et je crains tellement d’avoir un problème neurologique après cela, comme la maladie de Parkinson. »

Brianne Dressen,  une enseignante du préscolaire de l’Utah, qui s’est portée volontaire pour l’essai du vaccin AstraZeneca : « Nous sommes les dommages collatéraux de la pandémie. Comme vous pouvez le voir, je me rétablis. Je peux marcher, le contact de la main de mon petit fils ne me donne plus l’impression de brûlure. »

L’ancien joueur des Green Bay Packers, Ken Ruetggers, a déclaré que sa femme Sheryl Ruetggers souffrait toujours de réactions neurologiques graves, notamment des douleurs musculaires, des engourdissements, de la faiblesse et des paresthésies.

Et ce crétin de veran veut nous faire croire qu'il se préoccupe de la santé de nos vieux en Ehpad?


Vaccins : le Figaro vous DÉSINFORME à la puissance 8 !


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Pris la main dans le sac, cet article de désinformation sur les vaccins ! 

Il est paru dans le Figaro, mais j’aurais pu tout aussi bien m’attaquer à un article du Monde ou de Libération, car tous les grands médias nous enfument, en ce moment.

L’article s’appelle : Ces huit idées reçues qui circulent sur les vaccins anti-Covid[1].

Il s’attaque donc à 8 idées qui, selon le Figaro, seraient « fausses » ou « trompeuses ».

Prenons-les une par une :

Idée reçue 1 : « le développement des vaccins a été bâclé donc on ne peut pas leur faire confiance »

Le Figaro commence très fort, car il est difficile de nier que ces vaccins ont été mis sur le marché dans un temps record, sans avoir été correctement testés !

Leur argument phare : « les vaccins n’ont pas échappé aux différentes étapes réglementaires ».

Formellement, ce n’est pas faux : il y a bien eu une phase 1, une phase 2 et une phase 3.

Mais elles ont été faites quasiment en même temps, dans l’urgence – normalement, il faut au moins 10 ans pour mettre un vaccin sur le marché, et non pas 1 an !

Et surtout, Le Figaro oublie de vous dire que la phase 3 n’est pas finie, loin de là !!

La phase 3 se finit en 2022 ou 2023 selon les vaccins – ce qui veut dire que nous sommes encore en phase d’expérimentation.

C’est d’ailleurs pour cela que les vaccins n’ont qu’une autorisation « conditionnelle » (et non définitive), liée à l’urgence de la pandémie.

Le Figaro se veut rassurant en disant que le vaccin Pfizer a été « testé sur 43 000 volontaires », mais c’est en réalité un chiffre très faible, non seulement : 

  • Pour juger de l’efficacité : dans cet essai clinique, seules 200 personnes ont été infectées par le coronavirus, ce qui est un chiffre ridiculement bas pour savoir si le vaccin fonctionne ou non sur les formes graves (souvenez-vous qu’on a moqué le Pr Raoult pour avoir fait une étude sur 80 malades – là il n’y en a que 200 et on a déjà vacciné plus d’un milliard de gens sur cette base !) ;
     
  • Mais aussi pour évaluer les effets indésirables : avec seulement 43 000 cobayes, il est impossible de détecter 1 effet indésirable grave sur 10 000 – donc vous ne pouvez pas savoir si le produit testé ne tue pas un vacciné sur 10 000 (ce qui ferait tout de même 4 000 morts sur 40 millions de vaccinés).

Et bien sûr, mettre sur le marché aussi rapidement des vaccins veut dire qu’on n’a aucune idée de leurs effets indésirables à moyen et long terme, après 6 mois ou 1 an.

La variante DELTA prouve que les vaccins covidiques ne sont pas faits pour guérir


 



Mercredi 30 juin 2021

L'hystérie variante DELTA expose la vérité qui donne à réfléchir : les vaccins Covid ne fonctionnent pas, et les « variantes » sont présentées comme des histoires effrayantes pour exiger plus de vaccins, plus de masque et des confinements destructeurs.

 Nous avons maintenant atteint un point de basculement étonnant dans la poussée mondiale pour les vaccinations de masse qui injectent aux gens des armes biologiques à protéines de pointe.  

De nouvelles recherches révèlent que les individus « complètement vaccinés » souffrent d'un taux de mortalité huit fois plus élevé que les non-vaccinés. Et un rapport étonnant en provenance du Royaume-Uni révèle que 62% des personnes décédées du covid sont des personnes qui ont été vaccinées.
Il s'avère que le vaccin contre le covid ne protège pas vraiment.
Plus précisément, il ne fournit pas d'immunité non spécifique aux variations même légères de la morphologie du coronavirus. Alors que l'immunité naturelle produit des anticorps plus «généraux» qui agissent contre toutes sortes de variantes, le vaccin contre le covid - composé d'armes biologiques à protéines de pointe injectées à des cobayes humains dans le cadre d'une expérience médicale mondiale - fournit peu ou pas d'immunité contre les variantes virales (même en supposant que cela fonctionne contre la souche d'origine, ce qui est optimiste).
Les implications de ceci sont profondes. Cela signifie que les personnes qui ont choisi la voie vaccinale au lieu de la voie immunitaire naturelle seront à jamais dépendantes des injections de « rappel » pour essayer de traiter chaque nouvelle variante à mesure que des mutations apparaissent dans la nature. Cela signifie des injections répétées avec plus d'armes biologiques, et cela signifie que les vaccins contre le covid qui ont été initialement promus comme une voie vers la « liberté » et l'immunité ne sont pas une telle chose. Cela ressemble plus à une dépendance à la piquouse, car vous avez besoin d'injections sans fin juste pour rester à jour, car les virus mutent constamment dans la nature.
Alors qu'une personne naturellement immunisée a atteint une véritable liberté avec un système immunitaire pleinement fonctionnel, une personne dépendante du vaccin n'a aucune protection générale et doit vivre dans la peur constante qu'une nouvelle mutation rende soudainement ses anticorps limités existants complètement obsolètes.
Pourtant, les passeports vaccinaux sont donnés aux vaccinés – les plus vulnérables – et non à ceux qui ont acquis une immunité naturelle beaucoup plus puissante. Ce n'est qu'une des nombreuses façons dont l'ensemble de la réponse à la pandémie-arnaque est en fait conçue pour continuer à propager les infections afin que les confinements, les obligations de masques et des vaccins puissent être joyeusement justifiées par des bureaucrates ivres de pouvoir et des tyrans médicaux (comme Fauci).
L'échec du vaccin de la variante Delta est désormais utilisé pour exiger le retour aux confinements, aux masques et à la distanciation sociale.

Vaccin : Les nouveaux chiens de garde – Le Journal du mercredi 30 juin 2021


 

Au sommaire de cette édition, retour sur le vaccin et le désormais célèbre variant Delta. 

 Alors que la population est divisée sur la vaccination, avec de moins en moins de volontaires… La parole médiatique se radicalise à l’égard des réticents.

Nous reviendrons ensuite sur l’adoption du projet de loi dit bioéthique, mardi, à l’assemblée nationale. La présidente de la Manif pour tous, Ludovine de la Rochère, réagira dans cette édition.

Les petits enfants de Joseph Goebbels sont parmis nous

 

Le Dr Amine Umlil défie Olivier Véran de venir débattre avec lui sur un plateau télévisé


Courrier très intéressant du Dr Amine Umlil à Olivier Véran ! Le Dr Umlil propose d’ailleurs à Véran un face-à-face télévisé en direct, serein et apaisé, qui porte sur ce sujet d’intérêt général.

 On sait déjà qu’il le refusera car il n’accepte de débattre qu’avec les journalistes laquais de la Doxa…

 

Lettre originale publiée sur le site du Centre Hospitalier de Cholet, reprise avec leur aimable autorisation.

 

LETTRE OUVERTE – Vaccins contre la Covid-19 et agressions des personnes « non-vaccinées », réponse au ministre des Solidarités et de la Santé : proposition d’un face-à-face télévisé en direct.

Monsieur le Docteur Olivier VÉRAN,

Ministre des Solidarités et de la Santé,

République Française,

 

Copie adressée à :

Monsieur le Président de la République, Emmanuel MACRON ;

Monsieur le Premier ministre, Jean CASTEX ;

l’Assemblée nationale ;

[au] Sénat ; la haute autorité de santé (HAS) ; l’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM).

 

« Covid-19 : Olivier Véran menace d’imposer une vaccination obligatoire aux soignants en Ehpad [établissements d’hébergement de personnes âgées dépendantes] » (Les Echos, le 17 juin 2021) ;

« Le ministre de la santé, Olivier Véran, en visite ce jeudi dans les Landes, annonce que c’est une soignante non vaccinée qui a fait rentrer le variant Delta dans l’établissement » (France Bleu, le 24 juin 2021) ;

« Non-vaccinés récalcitrants : notre patience a des limites » (Par Caroline Fourest, le 25/06/2021, Marianne) ;

« Covid-19. L’Italie suspend les soignants qui refusent le vaccin » (Ouest-France, le 27/06/2021) ; etc.

Ces exemples non exhaustifs publiés par divers médias, et ci-dessus rappelés, mettent en évidence la stigmatisation, injustifiée, des personnes qui ont fait le choix de ne pas se vacciner contre la Covid-19.

Les « soignants » figurent parmi ces personnes mises à l’index de façon infondée.

Dans un pays civilisé, les rapports entre les personnes sont régulés par notamment le Droit. Comme vous le savez parfaitement, les conditions juridiques d’une « obligation » vaccinale contre la Covid-19 ne sont pas remplies. Alors, certains semblent vouloir user de la « violence » pour contraindre ces personnes à se vacciner.

Dans une précédente lettre ouverte en date du 5 mars 2021, je n’ai pas manqué de vous alerter en vous rappelant quelques principes fondamentaux. Cette alerte a été complétée par celle adressée, le 8 mars 2021, aux sept Ordres professionnels de santé.

Le 14 mars 2021, le journal le Courrier de l’Ouest publie un complément d’informations dans un article intitulé : « Covid-19. Vaccination : un pharmacologue choletais s’oppose à toute obligation en l’état ». La version papier, en date du 15 mars 2021, est parue sous le titre « Vaccin : les réserves du Dr Umlil » (voir en fin d’article).

D’ailleurs, il suffit de lire vos propres écritures, adressées au Conseil d’État à plusieurs reprises, et de se souvenir de vos propres déclarations lors d’une conférence de presse : vos propres affirmations remettent en cause l’efficacité des vaccins contre la Covid-19. Et, il est, pour le moins, inacceptable de voir cette version livrée au Conseil d’État venir contredire la propagande destinée au public.

Notre patience aussi a des limites.

 Il semble facile de s’en prendre à des infirmiers et à des aides-soignants en les accusant, publiquement, sans preuves vérifiables.

Et vous pouvez constater, à travers mes écritures notamment, à quel point j’ai peur des menaces. Lesdites écritures ne présument d’ailleurs pas du sens de ma décision (de se vacciner ou non) ; et je n’ai pas à « donner l’exemple » à propos de l’administration de tel ou tel médicament (vaccin). Une telle administration est un acte médical qui relève du colloque singulier unissant la personne à son médecin dans le strict respect du secret professionnel.

Arrêtez de mettre le personnel soignant non-vacciné sous pression ! “Il n’existe aucune obligation de vaccination contre la Covid”


  par 30 juin 2021

Le ministre de la Santé Véran, relayé par divers partisans inconditionnels de Big Pharma, ne cesse de répéter depuis quelques jours que le personnel de santé sera probablement obligé de se faire vacciner contre le Covid en septembre.

Et nous recevons de nombreux témoignages de personnes travaillant dans des hôpitaux qui nous expliquent être, semaine après semaine, soumises de façon incessante à des pressions professionnelles.

Maître Brusa, président de l’association Réaction 19, a diffusé sur les réseaux sociaux un courrier daté du 24 juin 2021 que lui adresse Anne Rubinstein, au nom de l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris (AP-HP).

« il n’existe aucune obligation de vaccination contre la Covid pour les professionnels de l’AP-HP », écrit Anne Rubinstein. Alors stop au chantage pour contraindre les gens à se faire piquer contre leur gré !

Nous devons tous encourager le personnel soignant qui refuse de se faire vacciner à tenir bon !

Celui là, le jour de l'épuration il ne faudra pas l'oublier

 

 

Foutez moi ça dans un cul de basse fosse au pain sec et à l'eau, ça ne peut que lui faire le plus grand bien! 

Véran: accusation gratuite

 

Les deux tiers des véhicules interdits en ville avant 2030 ?


 
 

N’aurait-on pas dû voter davantage aux régionales ? C’est en tout cas ce que laisse penser un article du Point, paru ce lundi. 

Cela aurait peut-être pu éviter les mesures aberrantes qui se préparent, dans la plupart des grandes métropoles, à interdire de séjour entre la moitié et les deux tiers des véhicules particuliers à l’horizon 2030.

Concrètement, si vous habitez en centre-ville et que vous possédez une voiture, il va devenir important de vérifier si vous pouvez encore vous déplacer. Des intelligents pourront lire votre vignette Crit’air sur votre pare-brise (ou constater son absence) et vous enverront un PV directement chez vous. Que vous alliez chez le médecin ou à un rendez-vous urgent n’aura aucune importance. Dans la chasse aux émissions de carbone, c’est nous, le gibier.

On aurait pu penser qu’une prime gouvernementale aiderait les familles modestes à effectuer cette onéreuse conversion écologique. Mais non. On pourrait également se demander si le fait de jeter au rebut des véhicules qui fonctionnent très bien est réellement écologique. La question ne semble avoir effleuré ni les collectivités locales ni les parlementaires.

Covid-19 : des interrogations gênantes


 
 

 Dr. Jacques Michel Lacroix

Alors que la de vaccination bat son plein avec, espérons-le, des résultats positifs, les recherches sur les traitements curatifs marquent le pas, et à part ceux proposés par l’industrie pharmaceutique pour promouvoir des médicaments hors de prix comme le remdesivir, ils ne sont pas favorisés par les autorités.

Passons sur les polémiques qui ont eu lieu à propos de l’usage de l’hydroxychloroquine et de l’ivermectine, alors que leurs utilisateurs estiment qu’il s’agit d’aides précieuses pour éviter une aggravation de la maladie, tout comme sur l’usage des antibiotiques (et des corticoïdes) que la Direction générale de la , dans un avis du 18 mai 2020, déconseillait formellement d’employer. 

Rappelons aussi que les autorités de santé ne recommandent que le paracétamol comme traitement du Covid (en attendant que le sujet s’étouffe pour l’envoyer en réanimation). Heureusement, de nombreux médecins n’ont pas tenu compte de ces avis et ont utilisé les médicaments qu’ils avaient à leur disposition pour traiter les patients atteints du Covid-19 avec, selon leurs dires (et leur parole vaut au moins autant que celle des professeurs parisiens qui hantent les studios de ), des résultats très satisfaisants.

Certes, on peut traiter les médecins généralistes d’ignares et de charlatans, mais il sera plus difficile de faire les mêmes reproches à l‘Institut Pasteur de Lille qui, en octobre 2020, annonçait avoir peut-être trouvé un médicament anti-Covid. Il ne s’agit pas d’un nouveau produit mais d’une molécule déjà bien connue, le clofoctol, apparentée à la famille des antibiotiques et commercialisée dans les années 80 jusqu’en 2005 sous le nom de Octofene. Ce n’était pas un antibiotique très performant sur les infections bactériennes mais l’Institut Pasteur qui l’a testé (comme des centaines d’autres molécules) sur le coronavirus a montré son efficacité in vitro pour inhiber la réplication du virus. Ce médicament  a déjà eu une autorisation de mise sur le marché et il ne reste plus qu’à effectuer des essais cliniques en double aveugle pour vérifier son efficacité chez les patients atteints du Covid.

Tout cela semblait simple ; trop, peut-être.

« La retraite à 64 ans passée pendant les vacances… ! » L’édito de Charles SANNAT


 fabrication béton bétonnière

 par | 30 Juin 2021 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

« Bruno Le Maire favorable au recul de l’âge de départ, sans attendre ».

Le mot important est « sans attendre ».

Alors pendant que vous serez tranquillement sur une plage des Landes à éviter le variant Delta, au lieu de vous prendre une bière, vous vous prendrez une nouvelle réforme de la retraite avec âge de départ à 64 ans, en attendant la mise en bière définitive.

Il faut dire qu’il faut faire plaisir et l’Europe et passer sous les fourches caudines de la grosse Commission.

D’après le quotidien « Les Echos », certains membres de l’exécutif souhaiteraient porter l’âge de départ en retraite à 64 ans, contre 62 ans aujourd’hui, et ce, avant la prochaine élection présidentielle.

Cela n’est pas un hasard du tout.

La France vient de verser 80 milliards d’euros à l’Union Européenne pour financer le plan de relance européen.

En échange de nos 80 milliards, l’Europe bonne fille, nous en redonne 40, mais à condition évidemment que l’on fasse quelques réformes désagréables comme par exemple… reculer l’âge de départ à la retraite !

Il va y en avoir des couillonnés…

Vive l’Europe! C’est la paix et la misère…

Bon, remarquez, c’est assez logique.

Il n’y a plus de sous dans les caisses, alors à un moment ou à un autre, il faut payer.

Casquer.

Raquer.

Il n’y a jamais de repas gratuits.

Il n’y a pas d’aides gratuites.

Il n’y a pas de retraites gratuites.

La pénibilité.

Le vrai sujet de cette réforme des retraites c’est fondamentalement la pénibilité, et ce sujet est toujours éludé.

Pourtant c’est la clef.

Bien évidemment, un type derrière son ordinateur, chauffé l’hiver, climatisé l’été, n’a pas d’usure physique particulière contrairement aux gars du BTP par exemple.

La pénibilité devrait être prise en compte de façon plus importante.

Les uns peuvent parfaitement travailler jusqu’à 65 ans, là où d’autres à 50 ans doivent impérativement pouvoir changer de métier ou de travail pour ménager les organismes.

Véran déroule l’agenda de la vaccination obligatoire



L'agenda de la vaccination obligatoire suit son cours. 
 
Alors que les mesures autoritaires, comme le QR Code dans les restaurants ou le pass sanitaire dans les discothèques, semblent avoir échoué lamentablement sur le mur de l'indifférence populaire, une campagne médiatique commence pour tenter de sauver ce qui peut encore l'être du fantasme dun contrôle social à l'occasion du COVID : la vaccination obligatoire. Véran a commencé à dérouler son agenda pour la rentrée. 
 

L’agenda de la vaccination obligatoire est lancé, même si personne ne sait jusqu’où l’indifférence des Français pour ces mesures coercitives le laissera aller. Olivier Véran lui a fait franchir une nouvelle étape hier en annonçant l’obligation vaccinale pour les soignants à la rentrée.

L’agenda de la vaccination obligatoire suit son cours

Lundi n’a pas seulement été le lendemain d’une élection désastreuse pour le parti majoritaire. C’est aussi le jour où Olivier Véran a envoyé un courrier comminatoire aux directeurs d’EHPAD leur annonçant que la vaccination de leurs personnels serait obligatoire à partir de septembre si le taux de vaccination ne franchissait pas les 80% dans cette catégorie de population. Seuls 55% des personnels seraient vacinés aujourd’hui. 

C’est insuffisant et ce n’est pas une situation normale au regard de la fragilité des résidents, dans un contexte de menaces liées à l’apparition et à la diffusion de certains variants préoccupants.

Dans la pratique, on comprend mal ce chiffre de 80%. En effet, il vise la vaccination de tous les personnels d’EHPAD. Mais ceux-ci sont dispersés et, même avec 80% des soignants vaccinés, certains établissements pourraient connaître des taux moindres.

On voit bien ici que le gouvernement a en réalité mis le doigt dans le mécanisme de la vaccination obligatoire des soignants, et que celle-ci sera décidée à la rentrée. Ce faisant, Véran souscrit aux propositions de l’Académie Nationale de Médecine émises il y a un mois, et que nous avions décortiquées dans la vidéo ci-dessous.

mardi 29 juin 2021

La minute de Ricardo

 

Maffesoli : « L’ère des soulèvements arrive, et le sang va couler »


Michel Maffesoli a publié L'ère des soulèvements aux éditions du CERF. 
 
Il nous a donné une interview pour évoquer ce livre qui aborde les thématiques contemporaines avec l'oeil du sociologue. Son analyse est sans appel : nous nous dirigeons tout droit vers des soulèvements populaires contestant l'ordre vertical imposé par la caste. Mais par quoi cet ordre vertical sera-t-il remplacé ? Et dans quelles conditions ? Le sociologue bien connu de nos lecteurs prédit une effusion de sang qui mérite d'être mûrement réfléchie.


Les lecteurs de Michel Maffesoli n’auront probablement pas manqué son dernier livre, L’Ere des soulèvements, dont nous avons déjà publié des textes qui en sont l’écho

Le sociologue nous a reçu chez lui pour un entretien chaleureux dont les conclusions sont glaçantes. Selon lui, les soulèvements vont être violents, vont contester l’ordre vertical imposé par la caste. 

Et ils feront couler le sang. 

Vaccin : la nouvelle vague – Le Journal du mardi 29 juin 2021


 

Au programme de ce journal, la pression s’accentue sur la vaccination. 

Alors que la campagne a considérablement ralenti, les pouvoirs publics laissent entrevoir une possible coercition pour forcer la main des réfractaires… Un plan bien rodé.

Egalement au sommaire, une nouvelle réforme du baccalauréat. Après avoir déstructuré le plus célèbre des examens français, le ministre de l’Education nationale, Jean-Michel Blanquer, souhaite aller encore plus loin.

Et puis nous terminerons par une page internationale avec le retour sur scène de Donald Trump. L’ancien président des Etats-Unis était dans l’Ohio samedi. L’occasion de se lancer dans la campagne des élections de mi-mandat.

Il faut récupérer la Démocratie en mode manuel parce qu'en automatique ça devient n'importe quoi


 June 29th, 2021

 Le tout numérique, c'est comme les commandes du Rio-Paris : pour savoir si la Démocratie est en plein décrochage il faut se fier au manche et à lui seul faute de quoi c'est le crash.

« The Guardian. Pourquoi la plupart des personnes qui meurent du Covid en Angleterre ont été vaccinées !!! » L’édito de Charles SANNAT



 par | 29 Juin 2021 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Il arrive un moment où faire rentrer des ronds dans des carrés cela devient compliqué et l’inconvénient avec la réalité c’est qu’elle ne s’encombre ni des idéologies ni des mensonges proférés.

La réalité est.

Que cela vous plaise ou non elle est.

L’eau ça mouille.

Le feu brûle.

Et vous n’y pourrez rien.

The Guardian, qui est l’un des principaux journaux anglais tout de même, vient donc de titrer un long article en « Une » avec ce texte impressionnant et qui devrait faire réfléchir tout le monde sans que personne n’insulte personne. (Pour la source cliquez ICI)

« Pourquoi la plupart des personnes qui meurent maintenant avec Covid en Angleterre ont été vaccinées »

« Ne considérez pas cela comme un mauvais signe, c’est exactement ce que l’on attend d’un vaccin efficace mais imparfait

Le titre du MailOnline le 13 juin disait : « Une étude montre que 29 % des 42 personnes décédées après avoir attrapé la nouvelle souche ont eu les deux vaccins. »

Lors du briefing technique de Public Health England le 25 juin, ce chiffre était passé à 43 % (50 sur 117), la majorité (60 %) ayant reçu au moins une dose.

Il peut sembler inquiétant que la majorité des personnes décédées en Angleterre avec la variante désormais dominante Delta (B.1.617.2) aient été vaccinées. Cela signifie-t-il que les vaccins sont inefficaces ? Loin de là, c’est ce que l’on attendrait d’un vaccin efficace mais imparfait, un profil de risque qui varie énormément selon l’âge et la manière dont les vaccins ont été déployés ».

Vous pouvez dire ce que vous voulez, j’attends la démonstration de l’efficacité vaccinale !

 Depuis que nous avons vu cet article ce matin au petit déjeuner avec ma tendre épouse nous tentons tous les raisonnements possibles pour comprendre comment un « vaccin » qui marcherait pourrait nous permettre d’obtenir un nombre de morts plus élevés chez les « vaccinés » que chez les non-vaccinés.

La seule hypothèse qui nous semble crédible serait de dire que si nous avions disons 90 % de vaccinés, et seulement 10 % de non-vaccinés, il pourrait y avoir ce genre de résultat à savoir que le « vaccin » n’étant pas efficace à 100 % il y aura toujours des morts chez les « vaccinés » et que comme ils sont les plus nombreux et très largement majoritaires, alors ils seraient surreprésentés chez les décédés et le taux de mortalité serait donc supérieur en réalité chez les « non-vaccinés » même si ces derniers sont moins nombreux à mourir.

Le problème c’est que même en avance sur nous l’Angleterre n’est pas du tout à 90 % de taux de couverture vaccinale, loin s’en faut.

Alors comment expliquer cela ?

Le grand silence électoral

 

 
 

Il y eut des rois sans tête, nous voici avec une démocratie sans électeurs. 

L’abstentionnisme massif au dernier scrutin régional constitue un désastre, le signe d’un peuple ouvertement en grève contre ses représentants politiques de tout bord, et insoumise inclus. Pourtant, cette situation ne semble guère perturber outre mesure nos dirigeants. Après quelques propos convenus, petits larmoiements de circonstance, les vainqueurs se mirent immédiatement à claironner gaiement et les vaincus à inventer toutes sortes d’excuses pour justifier de leurs déboires. Les chiffres se font néanmoins aussi éloquents que cruels. En Île-de-France, au second tour, Valérie Pécresse arrive à 14,87 % des inscrits, soit 85,13 % contre elle, sans même compter les bulletins blancs ou nuls. Xavier Bertrand atteint 16,76 %, soit 83,24 % contre lui, Laurent Wauquiez 17,78 %, soit 82,22 % contre lui, et ils constituent cependant parmi les mieux élus. La palme du plus mauvais revient à la . Loïg Chenais-Girard s’impose en Bretagne avec 10,49 %, soit 89,51 % contre lui. Il récolte un maigre 3/20, véritable score de cancre.

Ceux qui ont perdu obtiennent encore pire. Pour le gouvernement, la déconvenue se présente comme générale. a été mis en déroute dès le premier tour de scrutin. Un total de 2,91 % des inscrits le renvoya sèchement aux Sceaux dont il assure la garde. Marlène Schiappa, sur le département de Paris, réalise 3,77 % au second tour. Promouvoir l’ du lissage brésilien trouve ses limites. Elle eut beau aussi pousser la vocalise, à la manière des kermesses agricoles, rien n’y fit.

Quelles conséquences, alors, tirer de ce naufrage du système politique français ?

Lattes (34) : Lorenzo, 19 ans, victime d’un lynchage, est resté paraplégique. Ses agresseurs remis en liberté sous contrôle judiciaire (MàJ : Réaction de sa mère)

 


 

 

Le jeune homme a été tabassé dans la nuit du 24 août, sur un parking de Lattes, dans l’Hérault, où ses amis finissaient leur soirée. Depuis, dans l’incapacité de parler, il n’a toujours pas été entendu et sa famille réclame justice.

“Tout s’est arrêté le 24 août. Je ne souhaite cela à personne. Notre vie s’est arrêtée !” Les parents du jeune Lorenzo, 19 ans, sont anéantis depuis que leur fils est cloué sur un lit d’hôpital, au département anesthésie et réanimation (Dar) du CHU Lapeyronie. Paraplégique jusqu’à la poitrine, ses bras et ses mains ne fonctionnent plus normalement. Quatre de ses cervicales ont été fracturées et la moelle a été touchée.

Le jeune Pérolien est resté seize jours dans le coma. Il respire grâce à une trachéotomie, ses poumons ne fonctionnant plus seuls. “Il ne peut même plus manger, se laver les dents, aller aux toilettes…”, décrit sa mère Élise qui, avec le beau-père du jeune homme, a dû arrêter de travailler pour s’occuper de lui sans savoir quand il sortira de l’hôpital : “Il a déjà fait cinq infections pulmonaires, il a failli mourir deux fois depuis qu’il est là”

Cinq mis en cause sous contrôle judiciaire

Élise s’est fait décrire la scène par les copains de son fils : “Il n’a participé à aucune bagarre, il n’avait rien demandé. Il était joyeux comme toujours, il dansait quelques minutes avant, on le voit même sur une vidéo. Lui et ses copains n’ont pas eu le temps de s’enfuir. Mon fils a été immédiatement poussé dans un fossé et ils se sont acharnés à deux sur lui. Il y en a un qui lui a donné des coups sur la nuque avec son genou ou son tibia.”

Une situation que ses proches vivent d’autant plus mal que trois individus suspectés d’avoir commis des violences ce 24 août, placés en détention provisoire par un juge de la liberté et de la détention sur réquisition du parquet, ont été remis en liberté et placés sous contrôle judiciaire quatre jours plus tard grâce à une procédure en urgence de référé-liberté devant la cour d’appel, où ils ont présenté des garanties de représentation. (…)

Midi Libre

lundi 28 juin 2021

Vaccination Party : Tu as entre 18 et 25 ans ? Alors, joue ta santé à la loterie !

 

 
28 juin 2021
 
Ce n’est pas une fake news ! A Nîmes, ils osent tout !

« Tu as entre 18 et 25 ans ? Tu résides dans une des communes de l’Agglo nîmoise ? Tu hésites à te faire vacciner et tu cherches une motivation pour passer à l’acte ? C’est maintenant ! Fais-toi vacciner et gagne de nombreux lots. »

Qui a pris cette audacieuse initiative ?

C’est Franck Proust, président de l’Agglo. 

Du 6 au 8 juillet, il répondra de trafic d’influence sur fond de ventes de terrains et de favoritisme sur l’usage de marchés sans appel d’offres. Quelqu’un de confiance !

S’il suffit d’un billet de loterie pour décider de se faire vacciner, alors, cela contredit le premier principe du Code international de Nuremberg : 

« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir : qu’elle doit être laissée libre de décider, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes de contraintes ou de coercition. »

Pétition contre l’obligation vaccinale Covid 19


 

(Publié par Jean-Michel Grau)

[Source : FLORIAN PHILIPPOT]

 

Le 24 novembre 2020, à la télévision et à la radio, Emmanuel Macron avait pris un engagement très clair devant les Français : il respecterait la liberté vaccinale et ne rendrait jamais la vaccination contre le Covid 19 obligatoire.

Pourtant, depuis quelques semaines, nous sentons une pression monter très fortement dans le sens de l’obligation vaccinale.


Ces derniers jours, Olivier Véran a explicitement menacé les soignants de décider cette obligation vaccinale. Dès le mois de septembre prochain.
Des journalistes, des éditorialistes, des médecins de plateaux de télé, des politiques de tous bords, de Yannick Jadot à François Bayrou en passant par LFI et le RN, se prononcent pour l’obligation vaccinale.
Dans un communiqué publié le 24 juin 2021, l’Académie de médecine se montre plus pernicieuse encore en suggérant de rendre payant le test PCR, afin d’inciter par l’argument financier les gens à se faire vacciner. Horrible.

Pourtant, ce vaccin est toujours en phase d’expérimentation. C’est officiel.
Pourtant, la balance bénéfice-risque chez les jeunes n’est pas à l’avantage du bénéfice.
Pourtant, il est philosophiquement insupportable d’accepter de conditionner sa propre liberté à un acte médical. Un acte médical doit toujours se faire pour des raisons strictement médicales. Toute autre raison est toujours une mauvaise raison.
Pourtant, on peut s’étonner que les autorités n’évoquent jamais les traitements.

En signant cette pétition, je refuse l’obligation vaccinale covid19, je demande à Emmanuel Macron de tenir son engagement, et je participe à informer nos compatriotes de la menace d’obligation qui pèse sur nous tous collectivement.
En signant, je dis « Vive la liberté ! »


Pour signer la pétition : Pétition nationale contre l’obligation vaccinale Covid 19 – Les Patriotes (les-patriotes.fr)

Soeur Anne : “le variant delta arrive”

 

 
” Je ne vois rien que le virus qui poudroie, et l’indien qui merdoie” (Manu Perrault-Macron, en 1697 après Jésus Covid)

L’adolescent perturbé, épidémiologiste à ses heures perdues, celui qui annonçait 400 000 morts en novembre dernier… le jeune Manu vient une fois de plus d’avoir une vision.

Scientifique cela va s’en dire.

“Le variant Delta arrive” déclare Emmanuel Macron “nous devons être vigilants”(source L’Alsace)

Barbe Bleue a choppé un sida mental. Et cela annonce très clairement la couleur pour la fin de l’été… Bleue.

Prenons un autre exemple, typique et odieux.

Sur la progression du variant Delta dans les Landes, Sylvie Quelet, responsable au sein de l’Agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine indique à franceinfo : “Les dépistages montrent que les jeunes de moins de 15 ans sont très touchés. Ces jeunes ont souvent des formes asymptomatiques, ils ont souvent beaucoup de contacts, donc ça diffuse tout doucement dans la population.”

Cette fonctionnaire dont l’unique fonction est de justifier son inutilité… ment.

Les moins de 15 ans ne sont pas plus “touchés” par le variant indien que par le breton, le belge, le sud-africain ou le vatefaireenculer.

Élections : Piège à Macron ! – Le Journal du lundi 28 juin 2021



Édition consacrée aux élections et au premier parti de France : celui de l’abstention

Grèce : une femme enceinte et handicapée violée par un Afghan, puis par des passants pakistanais à qui elle demandait de l’aide



 27/06/2021

Selon le journal grec OEMA, le parquet de première instance d’Athènes a engagé des poursuites contre trois Pakistanais arrêtés pour le viol d’une femme enceinte de 25 ans à Agios Panteleimon aux premières heures de la matinée de mercredi dernier.

Sur la base de l’accusation, les trois Pakistanais font face aux charges suivantes : Le viol par deux auteurs, le viol conjoint et l’assistance au viol et l’enlèvement conjoint dans le but de contraindre la victime. 

En outre, une quatrième personne est recherchée par les autorités a été accusée de viol. Les accusés devraient être présentés devant un juge d’instruction.

La jeune fille, qui en est à son troisième mois de grossesse et qui souffrirait de troubles mentaux, a déclaré à la police avoir été violée par quatre étrangers.

D’après ce qu’elle a décrit à la police, la jeune femme de 25 ans s’était rendue à Omonia mardi soir pour réparer son téléphone portable. Elle a été abordée par un jeune homme d’origine afghane, qui l’a conduite dans un endroit sombre et l’a violée.

Choquée, la jeune femme de 25 ans a demandé de l’aide à trois Pakistanais qui l’ont persuadée de les suivre pour l’aider. Ils l’ont emmenée en taxi dans un appartement souterrain à Agios Panteleimon où ils l’ont violée collectivement.

La minute de Ricardo


[Édito] Vaccinés ré-infectés, fichés, infantilisés… le lourd prix de la docilité



 

Le secrétaire d’État au numérique Cédric O montrant l'application StopCovid (LUDOVIC MARIN/AFP via Getty Images)
 
 Par La Rédaction

27 juin 2021
Mis à jour: 28 juin 2021 

Les pays qui nous ont été donnés comme modèles à suivre, à la fois pour l’organisation des campagnes de vaccination et pour le civisme de leurs nationaux, ces pays qui ne subissent pas comme la France l’affreux tempérament râleur des Gaulois, ont du mal aujourd’hui à dissimuler leur « gueule de bois ».


Dur lendemain d’une ivresse de confiance : en Israël, laboratoire grandeur nature des campagnes de vaccinations, entre 40 et 50% des nouveaux cas du mois de juin sont des personnes déjà vaccinées, re-contaminées par le Covid-19

Quarante à cinquante pour cent, alors que les deux tiers de la population israélienne a reçu les deux doses de vaccin ! Si les analyses détaillées confirment ces chiffres, cela signifiera qu’il y a autant, voire plus de contaminations chez les vaccinés que dans le reste de la population. Déjà en mai on avait découvert l’explosion en France des infections Covid chez les personnes ayant reçu une première injection du vaccin. Le relâchement de vigilance de ces personnes avait, alors, été l’explication avancée pour cet étrange phénomène.

Même tendance au Royaume-Uni, dont 80% de la population est vaccinée et qui constate cette fin juin, d’après le journal The Hill, « le plus grand nombre de cas Covid-19 depuis février. » Les deux pays-modèles remettent donc leur population sous cloche avec port de masque obligatoire et restrictions aux déplacements, pendant que la presse s’empare du sujet avec de grandes rames pour expliquer que, contrairement aux apparences, ce phénomène est normal. Les experts qui martelaient le principe d’immunité collective comme un fait scientifique indiscutable justifiant les vaccinations massives, se font experts en gymnastique pour affirmer maintenant que les vaccins ont seulement un effet « statistique » pour limiter les formes graves des maladies. Et qu’il faut accélérer les campagnes pour éviter une nouvelle vague à la rentrée.

La vérité qui pointe le bout de son nez est malheureusement un peu plus rude que cette nouvelle potion de sommeil qu’on tente d’administrer à l’opinion publique. Au printemps, on avait déjà observé que tous les pays avec de forts taux de couverture vaccinale vivaient le même phénomène de ré-infections : Seychelles, Indonésie, Chili…. La première interprétation avait été que ceci était le reflet de l’inefficacité du vaccin chinois Sinovac, mis sur le marché sans essais cliniques contrôlés et avec comme d’habitude une absence totale de transparence du gouvernement chinois sur les résultats obtenus et les effets secondaires observés. Le président Macron lui-même craignait alors que le Sinovac fût responsable de l’apparition de variants plus contagieux et dangereux de Covid-19.

COVID-19 : une épidémie déroutante



 
 
 Bulletin d'information scientifique de l'IHU - Nous avons le droit d'être intelligents ! Pr Didier Raoult, Directeur de l'IHU Méditerranée Infection
 

Abstention aux régionales : malaise dans la démocratie


Au deuxième tour des régionales, l'abstention a confirmé hier sa signfication politique, celle d'un malaise dans la démocratie. 
 
Massivement, les Français ont refusé de voter (plus de 65% des inscrits, semble-t-il), pour le deuxième dimanche de suite. Les prétextes à ce désintérêt pour la démocratie sont nombreux et variés. Collectivement, ils montrent combien est large le fossé entre les Français et leurs institutions dont la légitimité est désormais très contestable. Cette alerte démocratique ne semble guère prise au sérieux par la caste au pouvoir. Elle rend pourtant possible tous les débordements et préfigure peut-être une ère de chaos. 
 

Malaise dans la démocratie : une semaine après un premier cataclysme électoral, le deuxième tour des régionales a confirmé le verdict d’une sécession populaire. Les Français ont envoyé un signal très inquiétant quant à leur adhésion à leurs institutions démocratiques hier. En toute connaissance de cause, ils ont dit leur désintérêt et leur désamour pour le vote.

L’abstention annonce-t-elle le pire pour la rentrée ?

Cette vague de « reflux » démocratique met en lumière la distance grandissante que les Français prennent avec les institutions de la République. Beaucoup d’analystes y voient la manifestation d’une torpeur ou d’un désintérêt pour la chose publique. Nous penchons plutôt pour une prise de distance vis-à-vis de la caste qui détient le pouvoir, dont les Français contestent de façon grandissante la légitimité. 

Sur ordre gouvernemental, les supporteurs hongrois ont été molestés, arrêtés sans raison par la police allemande


12'000 drapeaux arc-en-ciel ont été distribués aux supporteurs lors du match Hongrie-Allemagne à Munich.


Lors de l'hymne national hongrois, les agents des lobbys LGBT sont entrés sur le terrain pour embêter les joueurs hongrois. Mais ce n'est pas tout.
En effet, la police allemande avait reçu l’ordre de molester les supporteurs hongrois. À voix basse, les agents se sont excusés mais par peur de perdre leur job, ils ont exécuté les ordres.
C’est ce harcèlement des Hongrois qui est assimilable à du racisme, et pas la loi votée par la Hongrie.
Ces provocations organisées contre les joueurs hongrois sont scandaleuses et inadmissibles, pourtant les médias occidentaux ont condamné la Hongrie en raison de la loi anti-pédophile votée par le parlement hongrois, loi qui déplaisaient au lobby LGBT.
Dans toute cette histoire, les autorités allemandes et européennes - avec les médias complices - ont "marché sur la tête" pour satisfaire le lobby susmentionné qui tirait les ficelles de cette mascarade.
La Suisse romande, la RTS ont participé à cette ignominie.

En Europe, en Occident, il n’y a presque plus d’art, de concours, de festival qui ne soit pas contaminé par cette subversion marxiste.
Le ministre des affaires étrangères Peter Szijjarto, conférence de presse du 24.06.2021:

Seize des dix-huit fans de football hongrois ont déjà été libérés par la police allemande, a déclaré jeudi le ministre des Affaires étrangères et du Commerce dans une déclaration à Debrecen TV.

Péter Szijjártó l'a exprimé ainsi : mercredi, l'équipe de football hongroise a obtenu un « nul avec une victoire » contre les Allemands. Il a déclaré que l'ambassadeur à Berlin avait déjà reçu de nombreuses félicitations pour la performance des Hongrois, ce qui montre qu'un match de football entre des équipes qui recherchent des relations humaines normales ne devrait pas poser de problème.

Et le genre d'atmosphère qu'ils essayaient de créer autour du match est une honte pour tous ceux qui ont essayé d'entraîner le match, les athlètes et les spectateurs dans un enjeu politique ignoble et une "campagne de mensonges", a-t-il  déclaré.

Selon Péter Szijjártó, tous ceux qui étaient venus applaudir à Munich pouvaient ressentir les provocations constantes, le traitement qui - dit-il - est très loin de ce que l'on puisse qualifier de comportement correct.

Entre autres, le ministre a mentionné l'épisode des commandos ayant défilé devant le camp de fans hongrois, ou celui des bus de supporters hongrois arrêtés pendant des heures ainsi que les consuls hongrois empêchés de les rejoindre.

Szijjarto a souligné qu'une telle attitude anormalement hostile des autorités bavaroises était inadmissible.

Le terrible choix entre « vaccin » incertain et virus mortel…



 par | 28 Juin 2021 |

C’est parce que nous sommes dans une situation d’une grande complexité que nos dirigeants comme tous les journalistes et autres commentateurs devraient faire preuve d’une immense pondération et d’une grande retenue dans leurs « bons » conseils.

Israël, pays le plus avancé dans la vaccination de masse, en découvre tous les jours un peu plus sur les effets indésirables et non désirés d’une « vaccination » et d’une technologie ARNm dont nous ne connaissons encore que peu de chose sur ses effets à large échelle et de long terme.

Nous apprenons aujourd’hui que des chercheurs israéliens ont souligné cette semaine un lien entre le vaccin Pfizer Covid-19 et une « maladie auto-immune rare ». 

 

 

« Les chercheurs, associés au département d’hématologie du centre médical Shamir, ont découvert une incidence accrue de purpura thrombotique thrombocytopénique (aTTP) acquis en Israël sur une période d’un mois, et ont noté que les cas sont apparus chez ceux qui avaient reçu le vaccin Pfizer. jusqu’à un mois avant. » A noter que cette maladie est mortelle à 90 % sans diagnostic et traitement très précoce.