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vendredi 30 juin 2023

Alerte: Le directeur de la police nationale demande le déclenchement immédiat de l’état d’urgence.



Le Premier ministre polonais diffuse cette vidéo comparant un pays avec immigrés à un pays sans immigrés.



Heureusement on arrive au bout des 100 jours d'apaisement



 Une vision de Paris, un champ de bataille : émeutes et émeutes graves, incendies criminels et jets de pierres, les nuits, aux mains des jeunes (racailles), après des jours d'émeutes et de perte de contrôle sur la capitale

Émeutes ou révolte ? - JT du vendredi 30 juin 2022



Publiée le 30/06/2023

A la une de cette édition, encore une nuit d’émeutes partout en France. 

Les jours se suivent et les violences essentiellement nocturnes s’intensifient. Dans ce journal, un reportage exclusif dans la ville de Tours en Indre-et-Loire.

Nous reviendrons ensuite sur les tensions entre Kiev et Budapest à propos des prisonniers ukrainiens ethniquement hongrois.

Et enfin, une page culturelle, pour changer, avec le spectacle “La Dame de Pierre”, en hommage à Notre-Dame de Paris. Une fresque historique qui se produit aujourd’hui dans la Capitale et demain partout en France.

Au lendemain d'une nuit de saccages et de pillages dans le Loiret, les habitants de Montargis sous le choc


 
La pharmacie Mirabeau n'existe plus © Pascale Auditeau 

Immeubles incendiés, vitrines brisées, voitures brûlées : les habitants de Montargis sont sous le choc et désemparés ce vendredi matin après les nombreuses dégradations commises dans le centre-ville par plus de 200 personnes. "C'est impensable ce qui s'est produit cette nuit".

Ce vendredi 30 juin, beaucoup d'habitants de Montargis ont eu la sensation, en découvrant leur ville en plein jour, qu'une guerre s'y était déroulée au cours de la nuit.


 


Deux cents à trois cents personnes, dont beaucoup de très jeunes gens, ont saccagé le centre-ville et particulièrement les abords de la rue Dorée, à partir de 23 h 30. Les vitrines des commerces ont été brisées, les magasins pillés, et des immeubles incendiés, rue Dorée et rue du Général-Leclerc. "Des cocktails molotov ont été lancés", témoignait ce vendredi matin une habitante de la rue Leclerc, très choquée.


 


En direct - Commissariats incendiés, commerces dévastés... La tension ne retombe pas après la mort de Nahel

Les sapeurs-pompiers des centres de secours du Gâtinais ont bataillé toute la nuit pour tenter de maîtriser les incendies et éviter qu'ils se propagent à d'autres immeubles. Trois d'entre eux devront sans doute être détruits, s'ils ne s'écroulent pas avant. L'occupant d'un logement a dû être hospitalisé, intoxiqué par les fumées.

 

Rue Dorée, un immeuble incendié.

Les fumées s’échappent toujours du bâtiment qui fait l’angle de la rue Dorée et de la rue du Général Leclerc, bâtiment presque intégralement détruit par les flammes. Une scène « surréaliste », dit une habitante.

Des pompiers du Montargois, particulièrement éprouvés par les violences de la nuit, font, eux, état de "scènes de desolation", témoigne une source syndicale.

Beaucoup de gens, de leur côté, pleuraient ce vendredi, face à ces scènes de dévastation.

"On savait que ça allait arriver. On laisse tout faire depuis des années", s'insurgeait une habitante du centre-ville.

"Oui, ça fait des années que ça couve. Et voilà, on y est. Cette nuit, j'ai vraiment eu peur quand j'ai vu ces centaines de jeunes, dont des enfants et des jeunes filles, déferler sur le centre-ville", admet un locataire d'une rue riveraine de la rue Dorée.

"C'était vraiment des scènes de guerre".

"C'est impensable, ce qui s'est produit cette nuit", commentait un Montargois, abasourdi devant les ruines encore fumantes de la pharmacie Mirabeau, où les pompiers étaient toujours à l’œuvre dans la matinée."

La mairie de l'Argonne vandalisée, tirs de mortiers d'artifice à La Source et à Place d'Arc... Un début de nuit sous tension à Orléans

"Une telle violence est inaceptable"


Partout, des groupes de personnes débattent ça et là. « Va vraiment falloir que Macron se réveille » ; « Une telle violence est inacceptable » ; « On aurait jamais pensé ! »

Non, rien!


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Ces images de Trappes illustrent l’état de la France ce matin

 

Trappes, l'avenue centrale dévastée par les émeutiers
 
Trappes, l’avenue centrale dévastée par les émeutiers

  par 30 juin 2023 

 

Regardez ces images filmées sur l’avenue centrale de Trappes. Et c’est la même désolation dans des dizaines de villes de France ce matin.



« Du côte à côte au face à face … ». L’édito de Charles SANNAT


 apar | 30 Juin 2023 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Les scènes que nous avons pu voir la nuit dernière sont épouvantables.

Je ne parle même pas des dégradations sur les biens publics vides et sans occupants dans ces heures tardives. Je ne justifie aucune exaction, mais je veux juste attirer l’attention de tous sur l’essentiel. Et l’essentiel c’est que nous allons vers d’autres drames terribles dans ces prochains jours si nous ne faisons rien de décisif et très rapidement.

Regardez cet immeuble d’habitation qui a été réduit en fumée. Cela n’a rien à voir avec la mort du jeune Nahel. Rien. Cela a tout à voir avec la folie qui s’empare de certaines franges de la population qui sont en roues libres.

Nous sommes passés à deux doigts d’un drame encore pire.

Plusieurs blessés, mais aucun mort.

Pas de secours. Pas de police. Pas de pompiers.

L’Etat absent pour protéger et secourir ses citoyens.



Vous voyez évidemment ici un nouveau dépassement de seuil.


Dans notre pacte social, l’Etat doit veiller à la sécurité de tous.

Police, justice, secours, sont les justifications même à l’impôt.

Nous payons des impôts pour avoir des services collectifs qui nous protègent.

La protection de tous.

La sécurité pour tous.

C’est le premier droit de tout citoyen à l’égard de l’Etat.

Un Etat qui, ces dernières années, avec ce président a instrumentalisé la police, en la transformant en milice.

Une « milice » pour qui, la frontière entre maintien de l’ordre et maintien au pouvoir s’est effacée.

Tout ceci était prévisible et cela fait des années que j’écris sur ce sujet du maintien de l’ordre et du maintien au pouvoir et des grands dangers que cela représente pour notre pays, notre démocratie (ou ce qu’il en reste) et notre stabilité et notamment de la violence des forces de l’ordre notamment lors des manifestations.


La sécurité n’est plus assurée.

Émeutes à Nanterre : quand la poudrière s’embrase


 

 Clémence de Longraye 29 juin 2023

 

« Si vous vous rendez seule à Nanterre, soyez prudente, faites attention. Restez en centre-ville, ne vous aventurez pas dans certains quartiers, n’allez pas dans la cité Pablo Picasso ».

 

 En octobre dernier déjà, alors que BV réalisait un reportage sur des échauffourées aux abords d’un lycée, un fonctionnaire de police nous mettait en garde contre l’insécurité grandissante à Nanterre. Sept mois plus tard, la ville des Hauts-de-Seine est devenue l’épicentre des émeutes en France. La mort tragique de Nahel, originaire de Nanterre, a mis le feu aux poudres. Ces 27 et 28 juin, à la nuit tombée, des centaines de jeunes, habillés de survêtements et capuches sombres, affrontent les forces de l’ordre. En quelques heures, ce 28 juin, Nanterre devient hors de contrôle. Explosions, tirs de mortiers, voitures incendiées… La violence se déchaine dans les rues de la cité Pablo Picasso. Soumises à d’importants assauts, les forces de l’ordre finissent par se replier, laissant les émeutiers maitres de la rue. Au petit matin, les cris et explosions cessent enfin. Sur les trottoirs, les voitures incendiées la veille fument encore. Stigmates de la nuit de violence, les tags hostiles à la police – « Nanterre nike les condés, on va vous faire une Shoah » (sic) - fleurissent sur les murs de la cité. « Nous sommes à deux nuits d’émeutes et la situation est vraiment tendue à Nanterre », nous confirme une source policière. « Des policiers sont à court de munitions » alerte le fonctionnaire de police qui craint de nouvelles nuits d’émeutes dans les Hauts-de-Seine. Ce 29 juin déjà, en marge de la marche blanche d’hommage à Nahel organisée à Nanterre, les affrontements reprennent.

Une ville gangrenée par la violence

« Je ne suis malheureusement pas étonné que Nanterre s’embrase » confie Christophe Versini, délégué départemental du Rassemblement national (RN) des Hauts-de Seine, joint par BV. « La ville est gangrénée par la violence depuis de nombreuses années » soupire-t-il. Ici, le trafic de drogue règne en maitre.

jeudi 29 juin 2023

Bulletin N°140. Prigojineries, crash test sanglant, hypersonique français, Dourakovlev. 29.06.2023.


 Centre d'Analyse Politico-Stratégique

Documentaire : « Détransition, ils ont changé de sexe et ils regrettent »



 Publié le

Depuis quelques années, les consultations de jeunes en questionnement de genre explosent. 

Certains se réclament de l’autre sexe, d’autres ne se sentent ni strictement homme, ni strictement femme. En Suisse, un ado a le droit de faire une transition de genre, sociale ou médicale.

 Mais que se passe-t-il quand on souhaite revenir à son sexe de naissance ? Certains chercheurs et des associations de parents dénoncent des prises en charge d’ados précipitées, qui suscitent des inquiétudes.

lemediaen442 

A part la légion, je ne vois pas beaucoup de solutions!...Wagner?


 

 Le 29/06/2023

 Wagner a bien repris Bakhmout, je pense que Nanterre ne devrait pas poser de problème majeur et après  Paris! Pourquoi pas.

Allo Prigozhin?


 

 


Émeutes : leur chaos - JT du jeudi 29 juin 2023


 Publiée le 29/06/2023

A la une de cette édition : une nouvelle nuit d’émeutes après la mort d’un jeune de 17 ans abattu alors qu’il fuyait un contrôle de police. 

Un chaos en banlieue qui rappelle les émeutes de 2005. Emmanuel Macron, lui, était à un concert d’Elton John.

Nous reviendrons ensuite sur France Travail, l’entité devant remplacer en 2024, Pôle emploi.

Et pour beaucoup c’est bientôt les vacances… Des congés estivaux qu’Emmanuel Macron veut raccourcir pour les enfants.

Emeutes ethniques partout en France suite à la mort de « Nahel ». Le point après la nuit du 28 au 29 juin 2023


 Le 29 juin 2023

Après la mort de Nahel, 17 ans, tué par un tir policier suite à un deuxième refus d’obtempérer (en une semaine), une seconde nuit de violences s’est déroulée dans plusieurs villes de France, et notamment à Nanterre. 

Des violences à caractère ethnique, organisées notamment via les réseaux sociaux, et qui ont amené à peu près toute la racaille de France, appuyée par les déclarations de députés gauchistes, à descendre dans la rue et à tout casser.

Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, toujours en poste malgré un CV qui l’aurait exclu de toute entreprise pour faute grave depuis longtemps, rapporte ce matin 150 interpellations, contre 31 pour la nuit de mardi à mercredi. D’autres grandes villes ont connu des violences dans la nuit, comme Lyon, Toulouse, Rennes ou encore Nantes.

Médiathèques, mairies, commissariats, tout y est passé. Florilège d’une situation de guerre civile.  L’Élysée a d’ailleurs annoncé la convocation d’une cellule interministérielle de crise à 8 h, après la nuit de violences.


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Selon des informations Europe 1, le petit protégé de toute la racaille de France était connu pour 15 mentions au fichier des antécédents judiciaires et avait été mis en cause à cinq reprises pour des refus d’obtempérer depuis 2021.

Par ailleurs, il était connu des services de police pour des faits de droit commun, à savoir recel et rébellion contre des policiers en 2020. En février 2022, il avait été mis en cause pour utilisation de fausses plaques d’immatriculation, recel et circulation sans assurance.

En janvier et mars 2023, il a de nouveau eu affaire aux forces de l’ordre pour consommation et vente de produits stupéfiants.

Un gamin de 17 ans comme le vôtre en quelque sorte, c’est évident !

Crédit photo : DR

[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

Nanterre et ses émeutes vue de russie


 


Nanterre. Un moment Obertone ?


Ce qui se passe suite au décès d’un gamin à Nanterre pourrait s’appeler un moment Obertone en référence au « moment Minsky » qui en économie est un phénomène macroéconomique par lequel des investisseurs surendettés sont contraints de vendre en masse leurs actifs pour faire face à leur besoin de liquidité, déclenchant une spirale de baisse auto-entretenue du prix de ces actifs et un assèchement de la liquidité.

Dans l’idée de « moment Obertone », je fais évidemment référence à l’auteur du livre Guérilla, ouvrage publié en 2016.

« Dans une France proche et obscure, une descente dans une cité sensible tourne au drame : un policier pris dans un guet-apens perd son sang-froid et tire aveuglément. La cité s’embrase et tout le pays vacille. De villes en villes, le feu se propage et la République explose. Forces de l’ordre, terroristes, responsables, citoyens, journalistes, tous sont submergés par le raz-de-marée du chaos. Rapidement, réseaux électriques et hydrauliques tombés, faute d’approvisionnements, d’ordre, de moyens de communication, de transports et de secours, la déferlante gagne la campagne, la société vole en éclats et les villes sont la proie de violences, de pillages et de gigantesques incendies. Des terroristes, dépassés par les troubles, déclenchent des actions de grande ampleur depuis les terres, la mer et le ciel. Privés de tout, livrés à eux-mêmes, les citoyens s’apprêtent à faire face au carnage. »

Voilà en gros le résumé de livre.

Je peux vous dire que tous les décideurs actuellement en situation de responsabilité ont en tête ce scénario noir et l’hypothèse de ce moment Obertone.

Souvenez-vous de l’expression de Gérard Colomb alors ministre de l’intérieur de Macron. « Nous vivons côte à côte, mais demain j’ai peur que nous vivions face à face ».

Voilà donc la première clef de lecture concernant toutes les déclarations politiques que l’on peut entendre du Premier Ministre au Président de la République qui en réalité tremblent d’effroi.

Pour le reste comment cela est-il devenu possible ?

Comment, dans notre pays, avons nous pu laisser des gosses sans permis conduire des bolides de 300 chevaux ?

Comment l’effondrement de l’éducation, de l’instruction, des règles en société nous a menés à de tels drames, car c’est bien de cela qu’il s’agit.

Mineurs isolés : à Châteauneuf-Grasse, pour le maire, la coupe est pleine !


Châteauneuf-Grasse

 Sabine Faivre 28 juin 2023

A Châteauneuf-Grasse, commune limitrophe de Grasse, dans les Alpes-Maritimes, la transformation de l'hôtel Campanile du village en centre d’accueil permanent pour jeunes migrants (MNA) suscite la polémique. 

Une pétition des riverains a été lancée contre les nuisances qu’engendre l’arrivée de ces migrants en nombre croissant dans cette petite commune.

En quatre mois, le nombre de mineurs non accompagnés est en effet passé d’une vingtaine à une centaine de jeunes, et le rythme ne risque pas de ralentir avec les phénomènes migratoires à la frontière franco-italienne. Le maire Emmanuel Delmotte dit n’avoir pas été officiellement informé de la transformation de l’hôtel en centre d’accueil, et dénonce un « business social » et dit être inquiet pour la sécurité de ces concitoyens. « On est dans un pays, où tant qu’il n’ y a pas d’accident, tout le monde s’en fout » déplore-t-il, alertant sur les risques de dégradations dans les prochaines semaines : « On est dans des problématiques de vie, d’immédiateté et de dangerosité », affirme-t-il.



Il annonce porter plainte : « Je vais saisir les instances judicaires et utiliser toutes les voies de recours pour éviter la pérennisation de ce centre », ajoutant, excédé, « je veux juste qu’ils me rendent mon hôtel ! » En attendant, les migrants vivotent, certains depuis un mois, sans perspective.

Selon le Figaro, pour leur prise en charge, partagé en hébergement et « accompagnement éducatif », le Département verserait quotidiennement près de 6.500 euros à l'association, soit 91,18 euros par individu. Une convention signée entre le Département et l’association Entraide Pierre Valdo au titre de l’aide à la protection de l’enfance a entraîné le licenciement de 7 salariés de l’hôtel : un énorme coup dur pour ce personnel, que l’on propose d’envoyer sur d’autres postes en Bretagne.

Avant, il y a longtemps, Nanterre, c’était la ville de sainte Geneviève…


 

 ©Shutterstock

Iris Bridier 28 juin 2023

Avant, Nanterre, c’était la ville de sainte Geneviève. La bergère qui repoussa Attila et ses hordes barbares. 

La sainte patronne « des gendarmes français, gardiens de l'ordre public », dépositaires de la violence légitime, cet autre nom de la légitime défense de la majorité silencieuse. Parce qu’un État n’en est plus un quand il est faible avec les forts, et intraitables avec les innocents. Parce qu’un État n’est plus un État quand il laisse hors de contrôle des enclaves hors la loi. Parce qu’un État n’est plus un État quand il laisse se creuser un fossé entre la police et la justice, au nom d’une impunité endémique. C’était cela l’État régalien au temps de sainte Geneviève et de saint Louis son voisin des Yvelines.

Mais ce n’est plus cela Nanterre.
Nanterre, c’est un « jeune » de 17 ans, au volant d’une Mercedes, engagée sur une voie de bus et refusant d’obtempérer au contrôle de la police.
C’est la mort par balle du jeune homme dans un geste du policier que seule l’enquête permettra de qualifier.
C’est la vidéo qui embrase les réseaux sociaux puis les banlieues, sans discernement, relayés par cette gauche morale d’habitude si attentive au temps du deuil et à la présomption d’innocence.
C’est le concert de  réactions, comme autant de verdicts déjà prononcés : l’émotion du président de la République (n’est pas Saint Louis qui veut) ; « l’appel au calme » de M. Véran (n’est pas sainte Geneviève qui veut). La machine militante étonnement réactive et parfaitement huilée : un avocat de la famille déjà sur les plateaux TV, la réaction de la mère relayée par Assa Traoré, et l’inénarrable Mélenchon pointant les violences policières au côté de son utile électorat qu’il a substitué aux ouvriers depuis longtemps abandonnés. Ajoutons la marche blanche et les mots sirupeux des personnalités préférées des Français, intouchables depuis leurs palais dorés : Omar Sy, Mbappé, pleurant leur « mal à la France » et « le petit ange parti trop tôt ».

mercredi 28 juin 2023

« LE CYANURE VOUS TUE RAPIDEMENT ; LA PROTÉINE DE POINTE VOUS TUE LENTEMENT. »



Ne leur pardonnez pas! Ils savaient très bien ce qu'ils faisaient



La présence de Pierre Palmade en boite de nuit samedi confirmée: retour sur la polémique

 


Par Etienne Fauchaire
27 juin 2023 

Mis en examen en février dernier pour homicide et blessures involontaires par conducteur ayant fait usage de produits stupéfiants en état de récidive légale, Pierre Palmade aurait été aperçu dans une boite de nuit bordelaise, l’Ultra Klubs, dans la nuit de samedi à dimanche selon deux vidéos partagées sur les réseaux sociaux.

 De quoi susciter une polémique retentissante alors que le comédien, qui a percuté un véhicule sous l’emprise de cocaïne le 10 février, faisant trois blessés graves et causant la mort d’un bébé, est toujours placé sous contrôle judiciaire. En revanche, si la virée de Pierre Palmade est fortement critiquée, légalement, elle reste néanmoins autorisée : le 25 avril, son contrôle judiciaire a été assoupli le même jour que son transfert d’un hôpital parisien à un CHU bordelais. Pour tenter tout de même de mettre fin à l’indignation collective suscitée par les images diffusées, le patron de la discothèque a nié hier la présence de l’artiste à l’intérieur de l’établissement à la date concernée. Mais selon les informations du Parisien dévoilées ce mardi matin, l’homme a bel et bien fait la fête dans l’établissement cette nuit-là, portant donc à croire que le gérant du club bordelais a menti.

Émoi sur la toile. Les images tournées qui agitent les internautes depuis quelques jours auraient été prises dimanche 25 juin à 4h15 du matin, publiées sept minutes plus tard, puis relayées le même jour dans la soirée par le compte ShayaraTV sur Instagram, spécialisé dans la diffusion d’information people. Dans cette vidéo, on y voit Pierre Palmade en train de s’amuser à l’Ultra Klubs de Bordeaux, « une boite de nuit fréquentée par la communauté gay dans laquelle de nombreuses drogues circulent », écrit de manière lapidaire le chroniqueur Kamil Abderrahman, dont le tweet est cité par ShayaraTV. Contacté par Checknews de Libération, le propriétaire de ce compte explique avoir obtenu ces éléments d’« une abonnée qui est venue me voir et m’a envoyé les snaps [publications publiées sur le réseau social Snapchat, ndlr] de sa copine avec son approbation ».



La boite de nuit dément…

En voyant le mis en cause dans l’accident meurtrier en train de faire la fête en discothèque, un profond malaise s’est aussitôt répandu sur la toile, comme une trainée de poudre.

Lundi, suite à la diffusion de ces images, plusieurs médias ont donc pris contact auprès du gérant du club bordelais. Ce dernier a fermement démenti la présence de Pierre Palmade dans sa boite de nuit : « C’est une ancienne vidéo. Il n’était pas là samedi ». « Cependant, il n’a pas souhaité préciser la date exacte de la vidéo, malgré nos multiples relances », fait état Libération.

« C’est totalement faux ! Il n’était pas chez nous ce week-end. Il est déjà venu mais la vidéo date de l’avant-Covid. Depuis, on a fait des travaux, on peut s’en rendre compte en comparant avec les images qui ont été filmées », s’est aussi justifié auprès du site d’informations locales Actu.fr Julien Colonna, le directeur d’exploitation du club.

… mais sa version est infirmée

Pourtant, ce mardi matin, Le Parisien le confirme : « Selon nos informations, l’humoriste était bien présent dans la boîte de nuit cette nuit-là. » Le quotidien rapporte qu’un client du club leur a confié une vidéo, non publiée sur les réseaux sociaux, dans laquelle Pierre Palmade est aperçu assis dans le carré VIP. En outre, le journal souligne qu’une publication postée lors de la soirée sur Snapchat par le patron du club, également exhumée et relayée par Shayara TV, affiche ce dernier aux côtés de Pierre Palmade. « Merci Pierre d’être passé, tu resteras toujours le temple du rire », y écrit-il.

 À ce stade, tout porte donc à croire que le gérant de la discothèque a menti.

En réaction aux déclarations du patron de la discothèque, le compte Shayara TV s’était aussi défendu en postant de nouvelles vidéos, selon lui filmées par d’autres personnes présentes à la soirée. Des captures d’écran des métadonnées viennent soutenir qu’elles ont été tournées à 4h16 et 5h07 dimanche. « Je vous ai posté en exclusivité l’angle de 3 personnes présentes le 25 juin dans la boîte de nuit (toutes les 3 m’ont présenté leurs preuves avec les heures qui concordent) », indique Shayara TV sur Instagram.

Enfin, auprès de BFMTV, une cliente du club affirme elle aussi avoir vu Pierre Palmade dans l’établissement samedi soir : « Il ne cherchait pas à se cacher, il ne cherchait pas à se montrer non plus », relate-t-elle, ajoutant que « le fait d’être là » aurait « dérangé pas mal de monde dans la boîte ». Selon un autre témoin interrogé par la chaine, le comédien se serait rendu dans la discothèque avec trois gardes du corps.

Une sortie critiquée mais autorisée

Perenco au Gabon : révélations sur les pollutions cachées du numéro 2 du pétrole en France


 

22 juin 2023

Photos et documents confidentiels à l’appui, Disclose et Investigate Europe révèlent l’existence de 17 pollutions au pétrole causées par le groupe Perenco au Gabon, entre 2019 et aujourd’hui.

 Plusieurs centaines de kilomètres carrés ont été souillés, dont des forêts primaires, des cours d’eau et des fonds marins.

« Je veux saluer les efforts qui ont été faits par le Gabon qui a su préserver sa forêt primaire. » Sa chemise blanche légèrement ouverte tranche avec le vert des arbres en arrière-plan. Ce 2 mars 2023, Emmanuel Macron se filme au milieu d’une forêt, à proximité de Libreville, la capitale du Gabon, en Afrique centrale. Le président français s’apprête à ouvrir le One Forest Summit, premier sommet mondial pour la protection des forêts tropicales, en compagnie de son homologue gabonais, Ali Bongo. « On a ici un trésor », s’enchante-t-il.

Au même moment, à moins de 200 kilomètres de là, sur les rivages du lac Anengué, du pétrole brut souille une forêt tropicale, s’infiltrant dans la mangrove, infestant l’eau et les sols de cette région humide où vivent pêcheurs et cultivateurs de bananiers. Cette pollution, dont l’existence n’avait encore jamais été rendue publique, est le fait du premier producteur d’or noir au Gabon : Perenco. Le groupe pétrolier franco-britannique, spécialisé dans le rachat de gisements en fin de vie, est accusé de multiples pollutions à travers le monde.

Au Gabon, pays dirigé d’une main de fer par la famille Bongo depuis 1967, Perenco Oil and Gas Gabon, la filiale locale du groupe, possède quelque 270 gisements d’hydrocarbures. Chaque jour, elle extrait 100 000 barils, soit 40 % de la production nationale.

La pollution causée par le numéro 2 français du pétrole, derrière TotalEnergies, est due, selon nos informations, à la vétusté des installations de Rembo-Kotto, l’un de ses sites d’extraction : une vanne aurait lâché le 16 février 2023. « Plusieurs dizaines de milliers de litres de pétrole se sont écoulés jusqu’à la rivière et le marigot où les habitants puisent leur eau. La végétation est devenue noire, tous les poissons ont disparu », témoigne un employé de la société qui a requis l’anonymat par peur des représailles. Il a filmé les dégâts fin février, avant de les transmettre à Disclose et Investigate Europe (IE).


 
Ce n’est pas la première fois que le site de Rembo-Kotto est à l’origine d’une importante pollution. Le 21 juin 2020, 20 barils d’hydrocarbures se sont déversés dans la rivière Missala, à proximité du lac Anengué, selon un rapport d’inspection de la direction générale de l’environnement et de la protection de la nature gabonais(DGEPN) obtenu par Disclose et IE. En cause, cette fois : un pipeline percé.


Dix-sept cas de pollutions

Ces deux épisodes de pollution survenus au cœur de la mangrove gabonaise sont loin d’être des événements isolés. D’après l’enquête de Disclose et IE, fondée sur des témoignages inédits, des documents confidentiels et les archives du défenseur de l’environnement Bernard-Christian Rekoula, le groupe Perenco est responsable d’au moins dix-sept pollutions dans le pays entre mars 2019 et mai 2023. À chaque fois, des mangroves, des zones forestières ou encore les fonds marins situés au large des côtes gabonaises ont été touchés.

 

Neuf des dix-sept cas que nous avons recensés ont été étudiés par la DGEPN, un service rattaché au ministère de l’environnement du Gabon. D’après ses conclusions, qui figurent dans un rapport daté de mai 2021 que nous nous sommes procurés, au moins 290 barils auraient ainsi été déversés dans la nature entre 2020 et le printemps 2021. 

Billet d'humeur. La fin de toutes limites.


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28 Juin 2023

lachute 

 

Je pars sur un tweet de Di Vizio.

"La France de 2023 : des patients soignés sur le parking des hôpitaux , des manifs chargées par des policiers bientôt formés en deux heures et trente minutes s’ils prennent l’option matraque , un people qui a ruiné la vie d’une famille qui fait la fête en boîte de nuit au son de : on ne juge pas s’il vous plaît , des pauvres qui sont de plus en plus pauvres et des riches de plus en plus riches, des scènes de guerre à la suite d’une possible bavure policière : une de plus face à un mineur au volant d’une voiture que 95% de la population ne pourra jamais se payer, des médicaments en rupture et le tout au milieu de ministres mis en examen et d’ex ministres qui refusent de se présenter devant leurs juges ! Il fait bon vivre en France : nul doute ! Ah et j’oubliais les casseroles : très dangereuses les casseroles !!!"

On voit d'abord que l'option matraque, c'est pour la revendication sociale. Interdite pour la délinquance ou pour le sociétale.


Pourtant, l'option matraque, dans "la plus grande démocratie du monde", c'est à dire l'Inde, est couramment pratiquée pour la délinquance, et personne, pas même les frappés ne s'en plaint.

Comme on est resté civilisé en Inde, on y applique, bien que rarement la peine de mort. C'est regrettable (cette application rare). Pour la dernière exécution groupée (4), 6 personnes avaient violé une femme dans un bus, en fin de compte, un des comparses l'avait pénétré avec une barre de fer courbe, certainement un pied de biche, par le sexe et l'anus, arrachant 95 % de l'intestin grêle. Puis, son ami et elle, dénudés, avaient été jetés sur la route, nus, et ils avaient tenté, sans réussir, de les écraser. Elle est morte 15 jours plus tard.

Un des coupables s'est pendu en prison, les 4 autres ont été exécutés, un mineur, condamné à 3 ans de prison.

Il faut dire aussi que la police indienne n'a aucun état d'âme à abattre quand elle intervient. Pour les attentats de Bombay, un seul comparse a comparu en justice.

L'Inde est pourtant un état de droit pointilleux, hérité des anglo-saxon.

Quand au poivrot-drogué-homo-meurtrier, on peut s'étonner qu'il puisse encore aller financièrement en boite de nuit, après ses actes. Il aurait été logique qu'on lui prenne tout et qu'il se retrouve sur la paille, à défaut de se trouver sur la paille du cachot.

Pour ce qui est du jeune Nahel, il est très facile de rejeter la faute sur le policier. Pour les coupables, je citerais :

71 milliards de Dollars, ce n'est plus de la gabegie, mais un véritable hold-up



Nanterre, triste spectacle du monde d’avant - JT du mercredi 28 juin 2023



Publiée le 28/06/2023

A la Une ce soir, la tension dans certaines banlieues après la mort d’un jeune homme alors qu’il essayait de fuir un contrôle de police. 

Un fait divers qui illustre la situation explosive de notre pays.

Nous évoquerons ensuite le rapport de la Banque de France sur la pauvreté. Alors que les autorités se satisfont d’une forme de stabilité, la réalité est inquiétante.

Et puis nous partirons ensuite à Bruxelles où s’est récemment décidé l’autorisation de consommer des insectes…

Sébastien j'ai beaucoup de mal à me "concentrer " mais le catalogue des joyeusetés , Bravo


 
La suite de ce que je trouve passionnant tant c'est exemplaire de lucidité merci Sébastien
 

 

Ma vie n'a qu'un fil(s)

Ukraine : démantèlement d’un réseau de vente d’enfants en bas âge pour prélèvement d’organes


Carla Montet: Nous avons parlé dans notre article "Le mythe des enfants ukrainiens kidnappés pour en faire des enfants pro-russes" des enfants ukrainiens victimes de réseaux pédophiles.

Ici, pour le trafic d'organes, ce sont des enfants très jeunes qui en sont victimes et ils laissent encore moins de traces que les enfants disparus dans les réseaux pédophiles. Les reins, le foie, la moelle épinière sont prélevés de ces tout petits, puis ces organes sont vendus. Il s'agit d'un business très lucratif, pour lequel toute une chaîne d'opérations est nécessaire.

Pendant ce temps, un mandant d'arrêt international a été émis contre Poutine l'accusant d'être responsable de déportation d'enfants alors que tant de médias répètent en boucle que "Poutine est un criminel de guerre".

Que fait le CICR, que font les ONG droit-de-l'hommistes qui sont si actives sur le front des migrants qui envahissent l'Occident ?
 
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Un homme vendant des enfants en bas âge pour le prélèvement d'organes a été arrêté en Transcarpatie

25 juin 2023

L'homme capturé cherchait des parents qui étaient prêts à vendre leur enfant de 1 à 2 ans pour le prélèvement d'organes, les autorités l'ont détenu au poste frontière ukraino-slovaque à Kisselmenc, a déclaré dimanche le journaliste hongrois Vitalij Glagola sur sa chaîne Telegram. .

⚡️⚡️⚡️На Закарпатті затримали чоловіка, що продавав на органи у Європу дітей віком 1-2 роки

Як мені стало відомо із поінформованих джерел, що чоловік підшуковував батьків, які готові продати свою дитину на органи. Затримання відбулось на КПП «Малі Селменці» на україно-словацькому кордоні.

Відомо, що до затримання чоловік вже встиг реалізувати щонайменше три такі «продажі дітей».

Затримали чоловіка під час спроби вивести дитину закордон. Відомо, що до правоохоронців звернулась мама дитини у якої мерзотник намагався «купити дитину».

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Egy 43 éves férfi irányította a gyerekeket szervkivételre árusító bűnszervezetet

27 juin 2023

Selon les informations obtenues par le journaliste auprès d'une source fiable, l'homme capturé a déjà vendu au moins trois enfants à des trafiquants d'organes. Le trafiquant a été arrêté alors qu'il voulait emmener un enfant à l'étranger.

Le journaliste sait que les autorités ont été prévenues par une mère à qui l'homme voulait acheter son enfant.

(vb/https://t.me/VGlagola) Головна / Événements / Affaires courantes / Témoignages

source: https://podiji.karpat.in.ua/?p=121152&lang=hu

L'homme a été arrêté à Kisselmenc, près de la frontière ukraino-slovaque. Il accompagnait une femme de nationalité ukrainienne qui s'apprêtait à vendre son fils d'un an.

Déclaration des biens immobiliers. Le fiasco du fisc. Les agents pleurent. Les contribuables aussi !

 par | 28 Juin 2023 |

Ce sont les contribuables qui doivent déclarer et subir cette nouvelle règle administrative imposée par l’administration fiscale, mais ce sont nos agents du fisc qui sont « en pleurs » à cause de cette déclaration des biens immobiliers une campagne qui vire au cauchemar pour Bercy !

« Le principal syndicat de Bercy tire le signal d’alarme face à la mise en place laborieuse de la déclaration de biens immobiliers, qui met les agents de la Dgfip à l’épreuve face à des usagers parfois « très agressifs ».

Comment éviter le « fiasco » ? Face au grand nombre de déclarations toujours pas validées par l’administration fiscale, Bercy a annoncé que les propriétaires ont finalement jusqu’au 31 juillet pour déclarer la situation de leurs biens immobiliers au fisc. L’administration a ainsi repoussé la date butoir, initialement du 30 juin, mais ce répit dans le calendrier est loin de régler une situation tendue, rapporte Les Echos.

Selon le quotidien d’information, le principal syndicat de Bercy, Solidaires Finances publiques, a adressé lundi 26 juin un courrier accablant au directeur général des Finances publiques, Jérôme Fournel, évoquant un un « risque psychosocial grave et avéré » , pour les agents du fisc, auquel il est « de (sa) responsabilité de remédier ».

« Nous avons des remontées d’agents et de nombreux chefs de service qui nous font part de situations extrêmement préoccupantes, notamment au niveau de la réception du public », est-il décrit dans la lettre, évoquant des usagers parfois « très agressifs » face aux relances ou menaces d’amendes. « Loin d’être la campagne idéale tant vantée par notre ministre, cette campagne ‘Gérer mes biens immobiliers’ est surtout représentative de toutes les erreurs et errances dont est capable l’administration » , fustige Solidaires Finances publiques.

Le syndicat pointe par ailleurs les couacs liés à la dématérialisation à tout prix, qui mène certains services à créer eux-mêmes des documents papier non-harmonisés, menant à des dysfonctionnements importants, ou encore l’absence d’accusé de réception qui laisse certains contribuables dans l’incertitude. Face à ces constats, le syndicat décrit des agents en pleurs, qui craquent devant les contribuables ne sachant plus comment faire pour répondre à leurs questions et interrogations »

À France Inter, rien de nouveau : l’extrême gauche succède à l’extrême gauche

 

 Gabrielle Cluzel 27 juin 2023

Pendant que l’on s’écharpe à l’Assemblée autour de la supposée « dérive à l’extrême droite » du média privé Journal du dimanche (JDD), nul n’évoque la « dérive à l’extrême gauche » du média public France Inter.

 Et à raison, à dire vrai, car en l’occurrence, le mot approprié n’est pas « dérive », qui suppose le glissement d’un point A vers un point B, mais « ancrage consolidé » : France Inter est déjà depuis belle lurette à l’extrême gauche et, rassurez-vous (ou pas), ne bougera pas d’un iota. Adèle Van Reeth, directrice de France Inter, a révélé lundi, au Parisien, les détails de la « succession » de l’humoriste belge Charline Vanhoenacker.

Souvenez-vous, c’était il y a quelques semaines. La nouvelle avait fait l’effet d’une bombe : l’émission quotidienne « C’est encore nous » de la désopilante Charline Vanhoenacker allait devenir hebdomadaire. Quel désespoir ! La cascade la plus célèbre de Charline Vanhoenacker date de septembre 2021, quand celle que Les Inrocks nomment la « femme la plus drôle de France » avait lancé l’opération ZOB : elle s’était filmée gribouillant un O puis un B après la première lettre du nom du candidat Reconquête sur une affiche électorale, achevant le tout avec une petite moustache évocatrice. Le souvenir d’une telle bravoure ne pouvait lui valoir qu'un soutien général dans l'adversité. D’autant que Charline Vanhoenacker avait pris, quand l'annonce de l'allongement de la périodicité de son émission était tombée, une posture de vierge martyre dans la fosse aux lions : cette décision ne venait pas d’elle, affirmait-elle, drapée dans son chagrin.

Très vite a soufflé un vent de complotisme : « Donc, Charline Vanhoenacker et ses chroniqueurs sont virés de France Inter (la semaine). Serait-ce un choix politique ? Si oui, guidé par qui ? », a demandé, accusateur, le député Aymeric Caron. La pétition « Sauvons "C'est encore nous" sur France Inter ! », lancée par le militant d’extrême gauche Victor Baissait, a rassemblé plus de 200.000 signatures, comme s'il s'agissait d'un chef d'œuvre multiséculaire en péril.



« Cette décision n’est pas politique ! », a dû se défendre Adèle Van Reeth. Ce qui est vrai et faux à la fois. Elle n’est pas politique au sens où le sous-entend Aymeric Caron : Charline Vanhoenacker n’a pas été sanctionnée pour ses options. Mais elle est politique car stratégique : selon la maxime bien connue du Guépard, il faut que tout change pour que rien ne change. Faire en sorte que la bonne parole d’extrême gauche, sous couvert d’humour, demeure à France Inter, mais portée par d’autres voix. On vient d’apprendre que Charline Vanhoenacker allait être remplacée par un trio féminin, et ces drôles de dames là ne sont pas Eugénie Bastié, Charlotte d’Ornellas ni Élisabeth Levy : Marie Misset est directrice de la rédaction de Konbini. Maïa Mazaurette est chroniqueuse sur TMC et l'humoriste Marine Baousson sévit déjà sur France Inter. « Elles donneront la parole à des gens engagés », peut-on lire. Engagés dans quoi et de quel côté ? Qui a besoin d’un dessin ?

mardi 27 juin 2023

Macron, Schiappa, Mélenchon : TOUS francs-maçons ?


 Infos et Culture

 Juste Milieu, le 27/06/23

La liste des 651 collabos anti-France qui ont signé contre Geoffroy Lejeune




 

27 juin 2023 Gérard Brazon

Pour ceux qui aimeraient connaître les collabos anti-France, ceux qui ont signé une pétition contre Geoffroy Lejeune comme directeur du JDD, voici les noms.


La liste intégrale des 651 signataires. 

Vous y trouverez des artistes chanteurs, acteurs, réalisateurs tous biberonnés aux subventions publiques. Il y a des actrices qui me déçoivent vraiment comme Catherine Frot que j’aimais bien… Nul n’est parfait.

Vous y trouverez le gratin de la bien-pensance, les journalistes travaillant à Radio-France, le sévice public, comme le dit Gilles-William Golnadel sur CNews (France-Inter, France 2, 3, etc.). Il y a aussi des avocats, des éditeurs, des associations “humanitaires”, et toute cette mouvance qui anime vos soirées télévision et qui en catimini, vous donne des leçons de générosité par-dessus le marché, avec votre argent.




Comme ils sortent du bois, profitez-en pour copier cette liste et évitez à l’avenir d’acheter leurs disques, de voir leurs films et réalisations. 

 

 

Non, c’est pas vrai…

Vous savez désormais ce qu’ils pensent de la liberté d’information et en général de la France des patriotes qui, comme le disait Aurélie Filippetti, l’une des signataires, pue le rance.

Gérard Brazon

Katarina Pavelek, jeune actrice du dernier Tarantino, vient de se faire euthanasier après avoir développé une maladie neurologique incurable suite au vax.


 Image



La macronie "exemplaire", repaire de repris de justice



Intervention MAGISTRALE d'un député Belge sur les mensonges des médias et politiques...



Poutine - Prigojine : l’épilogue russe ? JT du mardi 27 juin 2023


Publiée le 27/06/2023

Au programme de cette édition, retour sur les derniers événements en Russie. 

Après avoir annoncé un coup d’Etat et un renversement de Vladimir Poutine, les médias occidentaux accusent le coup… 

Tout porte à croire que l’objectif du patron de Wagner était bien plus modeste.

Et comme hier, nous partirons à Marseille pour prendre des nouvelles de la tournée estivale du président dans la Cité phocéenne. Au programme aujourd’hui : mépris et coup de com’ !

Nous reviendrons ensuite sur un phénomène inquiétant : l’augmentation de la mortalité infantile en France

« Cash+, le crypto-euro digital dévoilé, un billet de banque numérique qui ne sert à rien ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

par | 27 Juin 2023 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Je vais vous laisser prendre connaissance du dernier discours du gouverneur de la banque de France qui a dévoilé le nom de la future crypto-monnaie européenne, le « Cash+ ».

C’est beau le Cash +, c’est le cash, mais en version plus… « plusse mieux » je suppose comme disent mes enfants.

Mais de vous à moi, à quoi va servir une telle monnaie « digitale » de banque centrale, puisque notre euro est en réalité très largement dématérialisé. Entre nos paiements en CB, le « sans contact » et les virements que nous nous faisons, les espèces ne représentent plus qu’une proportion très négligeable de nos échanges.

Alors de vous à moi, pour nous, le peuple, les PME, ou même les entreprises plus grandes, ce nouveau machin « cash+ » n’a strictement aucun intérêt est c’est plutôt « cache+ » car oui, on nous cache des choses !

Ces choses que l’on nous cache sont très faciles à comprendre et sont exprimées à demi-mots par le gouverneur de la banque de France.

Ce que l’on nous cache et ce dont on ne débat pas, tourne évidemment autour de la vie privée et surtout du contrôle et de la surveillance.

Selon les propos même du gouverneur de la Banque de France « le « Cash+ » apportera des avantages significatifs par rapport aux billets : il permettra à chacun d’utiliser la monnaie de banque centrale dans le e-commerce, pour les paiements à distance entre pairs (peer-to-peer), ainsi que pour les paiements conditionnels. »

Officiellement, vous le voyez, il s’agit de e-billets de banques que vous pourrez donc utiliser pour vos paiements en ligne. Des paiements en ligne que nous faisons aujourd’hui sans problème avec nos moyens de paiement actuel.

Encore une fois, cet e-billet, cette crypto-monnaie de banque centrale n’apporte strictement rien. Elle ne nous apporte rien ou si peu, qu’il ne faut surtout pas que nos autorités s’embêtent à ce point pour nous la mettre en place.

Alors si cela ne nous sert pas à grand-chose, mais qu’ils y tiennent beaucoup, c’est que les avantages ne sont pas forcément pour la population, mais pour les autorités monétaires et bancaires (sans oublier les autorités politiques), car à terme la suppression du cash physique c’est évidemment la diminution des coûts. C’est aussi la mise en place d’un contrôle monétaire rendant l’évasion fiscale quasiment impossible. C’est aussi dans une vision extrême, le volet monétaire d’un contrôle social potentiel comme en Chine. Votre porte-monnaie numérique, comme votre pass sanitaire pourront être désactivés, rechargés, ou limités. On pourrait même vous le supprimer.

Bref, les dérives potentielles sont telles que c’est un sujet qui mérite, bien évidemment, un débat démocratique et philosophique national.

Voici le texte du discours source Banque de France ici.


La monnaie numérique d’un monde qui change

« Permettez-moi maintenant d’aborder mon second sujet : les évolutions technologiques en cours dans les domaines de la finance et des paiements, qui nous ont amenés, nous l’Eurosystème, à lancer une phase d’investigation sur une monnaie numérique de banque centrale (MNBC) de détail, sous l’égide de la Présidente Christine Lagarde et de mon collègue et ami Fabio Panetta. Si le Conseil des gouverneurs l’approuve, une phase de préparation débutera à la fin de l’année, avant un lancement potentiel et progressif à partir de 2027 ou 2028. J’ai conscience de fouler ici un terrain moins consensuel, à entendre les doutes des banques qui s’articulent autour de deux arguments : (i) la MNBC serait « une solution en quête d’un problème », la question du « pourquoi? », (ii) la MNBC ferait concurrence à la monnaie de banque commerciale.

La finalité : un billet de banque numérique

En ce qui concerne le « pourquoi ? », j’imagine qu’il y a deux siècles, de nombreuses voix remettaient en question la nécessité d’émettre un billet de banque papier – une innovation technique majeure à l’époque – en plus des bonnes vieilles pièces en or et en argent.

Nucléaire : ces fondations allemandes qui manipulent l’opinion française


 

Philippe Charlez 26 juin 2023

Une étude très récente de l’École de guerre économique alerte les autorités françaises sur le rôle occulte joué par les fondations politiques allemandes financées à hauteur de 90 % par le gouvernement fédéral.

 Sous couvert d’objectifs culturels, éducatifs, humanitaires ou encore écologiques, deux d’entre elles ont fait du nucléaire français leur cible privilégiée.

Pour comprendre, il faut revenir en arrière. L’Union européenne est née sur les cendres d’un continent dévasté par un conflit qui a fait plus de 50 millions de morts. Aussi, son dessein initial fut « de rendre la guerre en Europe matériellement impossible en créant un marché unique du charbon et de l’acier (la Communauté européenne du charbon et de l'acier), les deux principaux ingrédients requis pour fabriquer des chars et des canons », nous avait confié Valéry Giscard d’Estaing lors d'une rencontre personnelle. Des premiers pas réussis grâce à un projet structurant recherchant paix et stabilité.

Une solidarité de façade ?

Hélas, après 70 ans d’existence, l’Union européenne n’a jamais consolidé la « communauté de destin » rêvée par ses protagonistes. Elle est aujourd’hui révélatrice de la faillite d’un modèle sans leadership : une structure technocratique produisant une batterie de normes inutiles, un Parlement sans réel pouvoir agissant dans « l’occupationnel », un Conseil incapable de gérer collectivement les grands problèmes de société et ne représentant finalement qu’une « somme d’égoïsmes nationaux » (sources : J. Arthuis (2016) Discours personnel. Club Perspectives et Réalités – L’Île aux Moines, 27 août 2016).

Derrière une solidarité de façade, les nations européennes se livrent une impitoyable guerre souveraine résultant d’intérêts économiques et sociétaux divergents, de craintes sécuritaires et d’orientations géopolitiques parfois opposées. Les exemples sont multiples : achat par la Pologne d’armes américaines pour s’assurer de la protection des États-Unis face à l'ennemi russe, excédents commerciaux allemands plombant le cours de l’euro, rôle occulte des Pays-Bas en tant que comptoir d’importation puis de distribution des produits chinois sur le continent européen. L’énergie n’est pas en reste.

Pour des raisons aussi politiques qu’idéologiques, l’Allemagne a engagé depuis une quinzaine d’années une stratégie énergétique nationale très coûteuse (l’Energiewende) avec, comme principaux objectifs, la sortie du nucléaire et l’instauration d’un mix énergétique comptant 80 % d'énergies renouvelables et 20 % de gaz. En conséquence, le prix de l’électricité allemande est aujourd’hui deux fois supérieur à celui de la France. Grâce à son nucléaire historique, l’Hexagone bénéficie d’un avantage compétitif significatif. Cette situation étant inacceptable outre-Rhin, l’Allemagne utilise tous les moyens possibles pour nuire à la filière nucléaire française. Ainsi, sous couvert technique (déchets, risques nucléaires), elle s’est toujours fermement opposée à ce que l’Europe intègre le nucléaire dans la taxonomie verte. Elle refuse également de modifier le système électrique européen indexant le prix du MWh sur le prix du gaz. En dehors de ses positions officielles, le gouvernement allemand opère aussi en sourdine par personne interposée.

Notamment, donc, via ces fondations politiques.

Rapports au vitriol