Depuis 18 mois cette commune de Haute-Garonne, à l’ouest de Toulouse, se bat pour l’avenir des locaux d’une maison de retraite.
Sous l’impulsion du préfet, l’établissement “La joie de vivre” doit laisser place à un centre de préparation au retour (CPAR),
Il doit accueillir entre 80 et 120 migrants d’ici la fin de l’année. Un collectif de saint-lysiens espère pourtant court-circuiter le projet. Samedi 17 juin, ils étaient encore plusieurs centaines sous la halle du village, face à la mairie, à demander l’annulation de ce projet « démesuré » pour cette commune de 9 000 habitants :
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