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jeudi 30 novembre 2023

Maizières-lès-Metz (57). Maxime, 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau dans une rixe (MàJ : le suspect libéré après un an de prison, les parents dévastés)


 
 
lionel pour Fdesouche
29/11/2023

MàJ 29/11/2023

L’incompréhension. Un peu plus d’un an après la mort d’un homme de 27 ans, tué de plusieurs dizaines de coups de couteau à Maizières-lès-Metz (Moselle), le suspect a été mis en liberté sous contrôle judiciaire.

« Pour la famille, c’est une décision très difficile à accepter car cela entraîne deux conséquences : la remise en liberté », et le fait qu’ « en termes de procédure ça va décaler considérablement la tenue du procès », souligne Me Bernard. « Les parents ont tenu le choc pendant la procédure d’instruction et là ils sont dévastés ».

Le suspect, âgé de 17 ans au moment des faits, avait été interpellé dès le lendemain. Il a été mis en examen pour meurtre et placé en détention provisoire le 10 octobre 2022. Une source au sein de la gendarmerie avait à l’époque dénombré 26 blessures par arme blanche. Le Républicain Lorrain affirme de son côté que 43 coups de couteau ont été portés.

Le Parisien


09/10/2022

Un homme de 27 ans a été tué à l’arme blanche vendredi 7 octobre dans la soirée, à Maizières-lès-Metz en Moselle.

« De multiples coups de couteau ont été recensés au thorax et aux bras », précise de son côté Thomas Bernard, procureur adjoint de Metz, sans s’avancer sur leur nombre. 

Sud Ouest

« Le QR Code pour se déplacer. Nous y arrivons et c’est un immense danger ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 30 Nov 2023 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Vous connaissez la blague… « vous savez quelle est la différence entre une théorie du complot et la réalité ? »

La réponse ?

6 mois !

L’humour populaire en dit beaucoup sur le fonctionnement des sociétés humaines.

Les plus anciens comme moi se souviennent du légendaire humour russe sous le régime soviétique.

Cela fait longtemps que beaucoup craignent que progressivement et insidieusement on nous réduise toutes nos libertés, y compris celle de se déplacer.

Ce sera évidemment au nom de la sécurité.

Une sécurité que nos dirigeants font tout pour ne pas assurer et pour rendre défaillante.

Ils créent donc de toutes pièces le problème.

Une fois que le problème prend une ampleur invivable, alors on arrive avec une solution magique, et cette solution est toujours liberticide. Toujours.

Finalement vous avez aimé le QR code pour le passe sanitaire.

Vous allez l’adorer pour les JO.

Puis après, vous l’adopterez pour votre crédit social, parce que vous serez un bon citoyen docile qui attend sa pitance sous forme d’un RSA mensuel. Pardon excusez-moi, sous la forme d’un revenu universel. C’est tellement beau, tellement généreux la dépendance forcée. La soumission pour la gamelle.

[Témoignage] Elle placarde des affiches pour Thomas et finit en garde à vue



 

Clémence de Longraye 29 novembre 2023

 

Depuis le samedi 18 novembre, la France pleure Thomas.

 Partout, des rassemblements s’organisent pour rendre hommage au jeune rugbyman tué à Crépol (Drôme). 

Après Aix-en-Provence, Romans-sur-Isère ou encore Annecy, c’est à Lyon que plusieurs organisations envisageaient de se rassembler, ce lundi 27 novembre, pour saluer la mémoire du jeune homme. Malgré l’interdiction de la préfecture, plusieurs centaines de jeunes ont défilé sur la presqu’île lyonnaise aux cris de « Justice pour Thomas ». Rapidement, le rassemblement est dispersé. Au même moment, en périphérie et dans les rues du Vieux Lyon, Chloé, 26 ans, et son fiancé retrouvent six amis et débutent un collage sauvage en hommage à Thomas. Trois heures plus tard, interpellés en flagrant délit, ils finissent au poste, placés en garde à vue. Elle n’en ressortira que vingt heures plus tard.

Provocation à la haine raciale

« On a trouvé injuste que la manifestation en hommage à Thomas soit interdite par la préfecture », raconte Chloé à BV. La jeune femme, bien que révoltée par la mort du jeune homme, décide malgré tout de ne pas participer au rassemblement interdit. « Je ne voulais pas m’y rendre parce que je ne voulais pas finir en garde à vue. On n’avait pas envie de jouer avec le feu… », explique-t-elle. Alors, avec un petit groupe d’amis, elle s’organise pour imprimer des affiches à la mémoire de Thomas et acheter le matériel nécessaire pour les coller. « Comme la manifestation était interdite, on voulait marquer le coup avec une action pacifique », détaille Chloé. Vers 21 h 30, le groupe commence à coller leurs affiches aux slogans accrocheurs (« Thomas, 16 ans, tué par des barbares », « Thomas tué parce que blanc », « Thomas, Lola et demain toi ») et taguer des murs dans la métropole lyonnaise. Alors que leur action prend fin, ils sont interpellés en flagrant délit par les forces de l’ordre, dans le Ve arrondissement.

mercredi 29 novembre 2023

Interview exclusive : un Ukrainien témoigne des réalités de la guerre


 
Interview exclusive Ukraine
 
Ukrainien originaire du Donbass, ayant vécu en Russie, a longtemps vécu en Russie, V. a accepté de témoigner si son anonymat pouvait être garanti.
M.R. 
 
Auteur(s)
M.R. pour francesoir
Publié le 29 novembre 2023
 

Victor D. est ukrainien. Ingénieur de formation, il est né à Makiïvka dans la région du Donbass, désormais République populaire de Donetsk, et a fait ses études à l’université polytechnique d’Odessa. 

Le conflit en Ukraine, il le vit non pas depuis février 2022, mais depuis plus de neuf ans. Et neuf ans, c’est très long lorsque l’on craint de voir chaque jour ses proches, ses amis, mourir sous les bombes. Installé en Russie en 1994, Victor a accepté de témoigner pour nos lecteurs de la réalité de ce qu’il vit et de ce que vivent les russophones du Donbass depuis 2014. N'oublions pas, d'ailleurs, que la France s'était portée garante des accords de Minsk et a donc trahi son engagement... Pour des raisons évidentes de sécurité, nous ne pouvons vous donner le nom de l’homme interviewé, de même que celui de la journaliste ayant réalisé cet entretien.

 

Vous êtes né en Ukraine et vous vivez désormais en Russie. Pouvez-vous expliquer votre parcours à nos lecteurs ?

J’ai 73 ans. Je suis né à Makiïvka, dans ce qui était le Donbass ukrainien à l’époque. J’ai fait mes études d’ingénieur à l’université polytechnique d’Odessa, une ville créée par la tsarine Catherine II. J’ai commencé à travailler à Vladivostok en tant qu’ingénieur en électronique. L’usine fabriquait des composants pour les sous-marins nucléaires russes, les porte-avions et les navires de guerre. Navires qui étaient ensuite assemblés dans une usine près d’Odessa.

Vous êtes retourné régulièrement en Ukraine ?

Oui. C’est là que j’ai grandi et j’y avais encore beaucoup d’amis. C’est ma terre, l’endroit où mes ancêtres, et mes parents désormais, sont enterrés. En plus, dans la religion orthodoxe, nous avons une tradition : le neuvième jour après la Pâques, nous rendons hommage à nos morts en visitant le cimetière dans lequel ils sont inhumés. Nous leur parlons. C’est une façon de renouer avec nos racines, nos ancêtres, de les honorer.

Vous avez eu des problèmes cette année pour vous rendre au cimetière ?

Oui. En avril dernier, il y avait de violents combats dans cette partie du Donbass et nous ne pouvions pas venir honorer nos morts, c’était trop dangereux. J’ai été arrêté à la frontière de la République de Donetsk du fait des bombardements. Heureusement, cette partie du Donbass est devenue russe, aussi ai-je pu prendre le risque de m’y rendre depuis pour visiter la tombe familiale. Mes amis d’enfance, qui habitent toujours sur place, se sont occupés de la sépulture. Je leur dois des remerciements parce qu’après les bombardements, ils devaient restaurer les monuments. Ils m`envoyaient des photos des tombes qu’ils essayaient de rendre à leur état d’origine.

 

"Les gens sont morts sous les bombes fournies par l’OTAN"

 

Vous avez risqué votre vie sans hésiter pour revenir dans votre ville de naissance ?

C’était un risque, certes. Le cimetière était interdit du fait de la présence des bases russes juste à côté et, surtout, des bombardements incessants. Mais c’est un devoir de rendre hommage à nos ancêtres. C’est important. Si vous négligez de vous occuper des tombes de vos ancêtres, alors vos compatriotes ne vous respectent plus. Vous serez mal jugé...

Les bandéristes ont fait beaucoup de dégâts sur la ville ?

Donc cette gamine (Greta Thunberg) serait parente des Rothschild?


Image

Le 29/11/2023

SinedWarrior 

La maison du célèbre banquier Rothschild a confirmé que l’éco-activiste suédoise Greta Thunberg est l’arrière-petite-fille du célèbre banquier Lionel Walter Rothschild, fils du premier baron Rothschild.

 Les médias se sont intéressés à cette relation présumée après qu’une source de Handelsbanken, banque suédoise, a affirmé que la Fondation Rothschild avait effectué des virements sur les comptes de la famille Thunberg.

L ’arrière-grand-père de l’activiste, Joachim Thunberg, était le fils illégitime mais reconnu de Lionel Rothschild en 1928. Sa mère l’ayant élevé seule pendant les deux premières années, il a hérité du nom de famille de cette dernière. Joachim a ensuite été pris en charge par son père biologique et, à partir de l’âge de 12 ans, il s’est installé en France. 

A 26 ans, Joachim Rothschild-Thunberg devient l’un des banquiers les plus prospères de Suède.

J'ai toujours pensé que le petit boyard était un con, par contre je dois reconnaitre que l'attaché parlementaire qui a rédigé son discours est très fort

 


Von der Leyen : l’emprise européenne - JT du mercredi 29 novembre 2023



Publiée le 29/11/2023

A la une de cette édition, l’offensive de Bruxelles pour s’accaparer le pouvoir des Etats membres.

Une page olympique ensuite avec notamment le retour du QR code pour circuler lors des Jeux de Paris.

Et enfin, nous évoquerons la perdition de la francophonie avec Ilyes Zouari, le président du Centre d'étude et de réflexion sur le monde francophone.

Agression à main armée à Saint-Martin-Petit : «Ils auraient pu y passer, comme Thomas à Crépol»


L'agression a eu lieu à la salle des fêtes de Saint-Martin-Petit.

 

[Mise à jour le 21/11/2023]
 
« Nous aurions pu y passer, comme Thomas, à Crépol, » réalisent a posteriori les jeunes agressés à Saint-Martin-Petit et les parents. On n’est plus en sécurité nulle part.  
 
L’agression qui s’est déroulée à Crépol, dans la Drôme fait remonter les craintes des victimes de celle qui a eu lieu à la salle des fêtes de Saint-Martin-Petit. (©Le Républicain 47)
 
 L’agression violente dans une salle des fêtes à Crépol, dans la Drôme, samedi 18 novembre, a éveillé de douloureux souvenirs en Gironde et dans le Lot-et-Garonne. « Ça aurait pu être nos enfants », soupire cette maman, dont le fils a été agressé à Saint-Martin-Petit, le samedi 30 septembre, dans des circonstances comparables.

« Cette violence est insupportable ! Nous ne sommes plus en sécurité nulle part. Il faut qu’il y ait un mort pour que ça fasse la une des journaux, mais ça se passe maintenant tous les week-ends, partout. Regardez, nous, il n’y a que le Républicain qui en a parlé. »

Les victimes de l’agression à main armée, dans ce petit village paisible du Lot-et-Garonne, de jeunes rugbymans de Langon, elles, sont en colère, à cause de Thomas, la jeune victime iséroise, joueur de rugby, comme eux, venu pour faire la fête dans un lieu paisible, comme eux.

Voici quelques jours, les familles ont reçu les avis d’audience, suite à l’interpellation de huit suspects par les gendarmes du Lot-et-Garonne. Cinq ont été déférés à la justice et seront jugés, dont deux mineurs et trois adultes, placés sous contrôle judiciaire.

Violente agression à la salle des fêtes

Course poursuite en voiture, chasse à l’homme et agression à main armée, une vingtaine de jeunes de Gironde et du Lot-et-Garonne ont vécu une nuit d’épouvante entre samedi 30 septembre et dimanche 1er octobre, à Saint-Martin Petit.

Il s’agissait au début d’un anniversaire, les 18 ans de Hugo* petit gars du Stade Langonnais, qui avait invité ses copains dans la salle des fêtes de son village du Lot-et-Garonne. La soirée touchait à sa fin, après minuit, quand une première voiture s’est présentée sur le parking entre la mairie et le lieu de la réception.

Un type est sorti de la voiture, témoigne Tom*. Il s’est avancé derrière la salle, là où il y a un barbecue, je crois, et il est revenu, énervé. Il s’est embrouillé avec un de nos copains et il est parti en proférant des menaces : on va tous vous crever, on va revenir avec des flingues !

Après le départ des intrus, les amis se concertent, inquiets pour certains, les autres, un peu abasourdis et incrédules. « On s’est dit qu’ils ne reviendraient pas… »

Orange mécanique à Saint-Martin-Petit

Saint Martin petit (47 ) Lot et Garonne! Crepol bis ?



Raspail, J-M Le Pen… ils avaient sonné le tocsin ! Avec Didier Lecerf


 

Ecrivain, cadre et militant nationaliste depuis plus de 40 ans, Didier Lecerf a dirigé et conçu le dernier numéro en date de la revue “Synthèse nationale” : “Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin”.

Pour les auteurs du magazine, on se voile la face sur le douloureux problème de l’immigration depuis plus de 50 ans. 

Et l’embrasement de tout le pays qui a marqué ces dernières semaines n’est que l’aboutissement logique des politiques menées par l’ensemble des gouvernements qui se sont succédés.

Didier Lecerf, spécialiste de la droite nationale, démontre que dès le début des années 70, des voix téméraires se sont élevées en France pour dénoncer l’immigration incontrôlée. Ce furent les militants patriotes du mouvement Ordre Nouveau, puis l’immense écrivain Jean Raspail avec son roman prophétique “Le camp des saints” et le Front National de Jean-Marie Le Pen à travers de multiples campagnes électorales. Tous avaient prévenu. 

Ce n’est donc pas faute d’avoir sonné le tocsin !

 


Selon la maire de Romans, certains suspects sont « issus de parents déjà délinquants »


 

Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère. Photo Le DL /  Stéphane Marc

Le 28/11/2023

 La maire divers droite avoue « redouter d’autres drames » après le meurtre de Thomas lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme.

 

Interrogée ce mardi 28 novembre sur BFM-RMC par Apolline de Malherbe, la maire de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval n’a pas mâché ses mots.

 « Sur environ 4 500 habitants » que compte le quartier de la Monnaie, « il y a à peu près une centaine de jeunes qui mettent un bazar pas possible, avec un groupe extrêmement dur », analyse l'édile divers droite. Dénonçant surtout des comportements « pas entendables », elle considère que ces individus ont « décidé de faire de ce quartier une zone de non-droit, » alors que les habitants «aspirent à la tranquillité ». Et d'ajouter : «Il faut arrêter de pratiquer la culture de l'excuse.»

« On se retrouve avec deux fronts »

La maire divers droite avoue « redouter d’autres drames » après le meurtre de Thomas lors d’un bal de village à Crépol, dans la Drôme. « On se retrouve avec deux fronts », a déploré l'élue, interrogée sur BFM-RMC, ajoutant que certains mis en cause sont «issus de parents déjà délinquants». «C'est une culture qui se transmet», estime Marie-Hélène Thoraval. Concernant les noms des suspects qui ont circulé sur les réseaux sociaux, la maire, en poste depuis 2014, a affirmé que le fait de «ne pas communiquer les prénoms plus tôt était indécent».

 «Pourquoi lorsqu’il s’agit d’un autre drame on communique le nom et le prénom tout de suite ? Là, les prénoms ont circulé sur les réseaux avant d’être confirmés par les autorités. (...) Pourquoi on n’a pas cette notion de transparence dès le départ ? Ça ne fait que renforcer la stigmatisation», a-t-elle affirmé. Ce dimanche, lors d’un point presse avec le préfet de la Drôme, la maire avait appelé à faire face à un niveau de délinquance qui « appelle d'autres formes de réponses» à Romans et dans d'autres villes, en estimant que la délinquance trouvait «ses racines dans la radicalisation» et le «trafic de drogue».

[Tribune] Romans-sur-Isère : Libérez les prisonniers politiques !


 

 Jean-Yves Le Gallou 28 novembre 2023

 

Mathieu Bock-Côté vient de publier un essai important : Le totalitarisme sans le goulag (Presses de la Cité). 

 

Il y montre l’ensemble des moyens de coercition utilisés par le « régime diversitaire », le régime qui veut imposer la dictature des minorités, en Occident. Les esprits modérés – ou conformistes – se rassureront : on ne peut pas parler de dictature, en France, puisqu’on bénéficie de la liberté d’expression et que les opposants ne vont pas en prison. Voire ! La kyrielle d’interdictions du ministre de l’Intérieur Darmanin, le pire ministre de l’Intérieur depuis soixante ans au regard de l’explosion de la délinquance comme du respect des libertés, conduit à émettre des doutes : d’ailleurs, dans les classements internationaux sur les libertés, la France plonge 42e à l’indice des libertés humaines du think tank américain Cato Institute - ce qui la place dernier pays d’Europe de l’Ouest.

Prisonniers politiques

Mais depuis le 27 novembre, le régime a changé de nature en embastillant six jeunes qui avaient participé - ou tenté de participer - à une manifestation dans le quartier de la Monnaie de Romans-sur-Isère d’où sont partis la plupart des meurtriers présumés de Thomas. On peut approuver ou non leurs idées, condamner ou non leur démarche, il n’en reste pas moins vrai que ce sont des prisonniers politiques.

Et ce, dans un double sens. D’abord, il ne fait pas de doute que les délits qui leur sont reprochés ont été commis dans le cadre d’une action politique. Gérald Darmanin le reconnaît d’ailleurs explicitement en les affublant de l’étiquette fourre-tout d’« ultra-droite » qui permet de tout interdire ou poursuivre : un colloque intellectuel, un hommage à des morts, une commémoration officielle (Jeanne d’Arc) ou des manifestations.



Ensuite, au regard de la définition donnée du prisonnier politique par le Conseil de l’Europe. En tout cas, s’agissant du troisième critère : « Pour des raisons politiques, la durée de la détention ou ses conditions sont manifestement disproportionnées par rapport à l’infraction dont la personne a été reconnue coupable ou qu’elle est présumée avoir commise. » Or, c’est ici incontestable.

mardi 28 novembre 2023

Un « cessez-le-feu temporaire » permet aussi de constater tout ce que nous avons perdu

 

Pour les habitants de Gaza, la trêve de quatre jours leur a seulement permis de comprendre pleinement ce qu’ils ont vécu : « Ce n’est qu’aujourd’hui que nous avons réalisé qu’ils étaient partis. Ce n’est qu’aujourd’hui que nous sentons la présence de la mort ici ».

Les rues sont soudain inondées. Les gens peuvent désormais inspecter les bâtiments détruits à Khan Younis, à Nuseirat, à Deir al-Balah et dans d’autres villes du sud, s’éloigner de leurs abris pour apporter des vivres à leurs familles. Surtout, ils peuvent désormais prendre des nouvelles des membres de leur famille encore en vie, avec lesquels le contact avait été rompu tout au long des bombardements.

Ils peuvent désormais se chercher, pleurer ensemble sur ce qu’ils ont perdu et sur ce qu’ils risquent de perdre encore.

Le « cessez-le-feu temporaire », si c’est ainsi qu’il faut l’appeler, ne signifie pas la fin de la guerre. Il signifie simplement que nous disposons de plus de temps pour pleurer et faire notre deuil.

Même si les combats qui ont précédé la trêve ont été parmi les plus violents depuis le début de la guerre, les habitants gardaient l’espoir qu’ils se termineraient par un cessez-le-feu qui leur permettrait de rentrer chez eux en toute sécurité dans la ville de Gaza et au nord de la vallée de Gaza.

Hier, tôt dans la matinée, les avions de guerre israéliens ont largué plusieurs tracts à l’intention des personnes restées dans le nord de Gaza, les avertissant de ne pas se déplacer à l’extérieur.

L’armée israélienne a également appelé au hasard des numéros de téléphone portable de résidents enregistrés de la ville de Gaza, les avertissant de ne pas retourner au nord de la vallée de Gaza. Les tracts et les appels téléphoniques ont envoyé le même message : la guerre n’est pas finie, et rentrer chez soi, c’est retourner à la mort.

Mais les familles qui ont été déchirées par le génocide et qui ont été déplacées pendant plus d’un mois attendent désespérément de savoir ce qu’il est advenu de leurs proches qui sont restés. Nombre d’entre elles souhaitent également retourner à l’endroit où se trouvait leur maison, peut-être pour récupérer ce qui peut l’être dans les décombres, notamment des provisions, des objets importants et des documents officiels.

cohen, jusqu'a la nausée



Crépol : l’injustice pour Thomas ? - JT du mardi 28 novembre 2023



 Pour commencer, nous reviendrons sur la répression des manifestants de Crépol.

Six jeunes ont été condamnés à de la prison ferme dans ce qui s’apparente de plus en plus à une inversion accusatoire.

Nous ferons ensuite le point sur la situation au Proche-Orient. Près de 70 otages israéliens ont été libérés au cours d’une trêve désormais prolongée pour 48 heures.

Vaccinés / non-vaccinés : on sait qui meurt le plus !



mise à jour le 28/11/23

 Juste Milieu

 Révélations fracassantes de Pierre Chaillot sur la situation de la vaccination en Grande-Bretagne : l'auteur de "Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels" expose des faits surprenants qui auront, on l'espère, des répercussions majeures en France.

 

Ils ont continué à injecter un produit qu'ils savaient potentiellement mortel



 

 17 millions de décès imputables au vaccin

 

Thomas assassiné…la tension monte un peu partout..les autorités tentent d’empêcher les manifestations de soutien



Dans la nuit du samedi au dimanche 20 novembre 2023, Thomas Perotto, un adolescent de 16 ans vivant dans la Drôme, est lâchement assassiné lors d’un bal de village par des jeunes descendus d’une cité voisine. 

Le cri “On vient planter du blanc” aurait été lancé par les assaillants, selon plusieurs témoins. Reportage signé Vincent Lapierre



 Par ailleurs, les autorités ont tenté de cacher les noms des participants à cette attaque sanglante, dont celui du meurtrier présumé de Thomas. Les voici ci-dessous. Le peuple a le droit de savoir que ce ne sont ni Kevin, ni Mathéo, qui se sont comportés ainsi à Crépol. Et que la carte d’identité française ne signifie plus grand chose aujourd’hui.


 

A noter que des rassemblements en hommage à Thomas ont eu lieu tout le week-end. Samedi soir, un groupe de 80 personnes s’est même « invité » dans le quartier de la Monnaie de Romans sur Isère, pour dénoncer les exactions de la racaille. La Police nationale française a reçu ordre de protéger le quartier, et d’interpeller de manière violente les individus. Un des jeunes manifestants a même été un instant kidnappé par un groupe de racailles, mis à nu, sa voiture brûlée. Il a été transporté par la suite à l’hôpital.

Terreur républicaine. Entre 6 et 12 mois de prison ferme avec mandat de dépôts pour des jeunes qui avaient manifesté pour Thomas dans le quartier de la Monnaie


 

 

Alors qu’il y a quelques jours, un individu s’est vu condamner à 35h de travaux d’intérêts généraux pour avoir trainé un policier nantais sur le bitume suite à un refus d’obtempérer, ce lundi 27 novembre 2023, six premiers jeunes patriotes étaient jugés ce lundi après-midi, devant le tribunal correctionnel de Valence en comparution immédiate et dormiront en prison dès ce soir. 

Ils sont des prisonniers politiques dans un pays qui se permet de critiquer la Russie.

Ils ont été interpellés samedi soir alors qu’ils manifestaient dans le quartier de la Monnaie, à Romans sur Isère, aux cris de “Justice pour Thomas”, “l’Islam hors d’Europe”, “la rue, la France nous appartient”. Ils exprimaient la colère ressentie par une large partie de la population après le meurtre de Thomas à Crépol, une semaine auparavant, par des racailles de ce même quartier.

Certains étaient poursuivis pour violences sur les forces de l’ordre pour avoir tiré des mortiers d’artifice dans leur direction. D’autres sont jugés pour leur participation à cette marche, précisément à “un groupement formé en vue de la préparation de violences contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens”.

La procureure a requis 12 mois de prison avec maintien en détention pour cinq d’entre eux, six mois pour le dernier. Le tribunal les a finalement condamnés à des peines de six à dix mois de prison ferme avec mandat de dépôt. Ils restent tous en prison.

C’est un jugement éminemment politique, visant à terroriser et à dissuader toute forme de contestation de la défaillance de l’Etat Républicain, fort avec les faibles mais faible avec les forts. Il suffit de prendre l’actualité de ces derniers mois pour se rendre compte que pour des crimes et délits bien plus graves, des individus ne sont pas condamnés à de telles peines, n’ont pas de mandat de dépôt, et bénéficient parfois même d’aménagement de peine.


 

Quelques faits jugés récemment, pour pouvoir comparer les peines

Romans-sur-Isère (26) : hier, en toute impunité, un groupe d’une trentaine de délinquants issus de la cité de la Monnaie a “envahi” le centre-ville, insultant et menaçant les riverains


L’arnaque des prix de l’électricité dénoncée sur ARTE

 

 

 par | 28 Nov 2023 |

 

« Selon le baromètre du Médiateur national de l’énergie, 79 % des consommateurs disent avoir restreint leur chauffage en 2023 pour réduire leurs factures. 

Après des longs mois de négociations, l’État et EDF sont parvenus à un accord sur le prix de l’électricité, qui passe de 42 à 70 euros le mégawattheure. Quelles seront les répercussions pour les consommateurs ? »

Voilà pour la présentation rapide de l’émission.

Après, il y a l’intervention d’Anne Debregeas ingénieur de recherche chez EDF.

 

Que dit-elle ?

Ce que nous sommes très nombreux à penser et cela fait du bien de le voir sur ARTE.

A savoir que les opérateurs alternatifs ne sont que des émetteurs de factures.

Ils ne font rien.

Ne produisent rien.

N’acheminent rien.

Ne stockent rien.

Ne prennent même pas le risque des « invendus » comme peut le faire n’importe quel commerçant achetant à un grossiste et qui porte le stock, le risque de perte, de vol et de gâche ou de péremption.

Bref, les opérateurs alternatifs ne sont que des accapareurs d’argent.

Des prédateurs financiers.

Ils n’existent que parce que nous les avons autoriser à rapiner.

A voler.

Qui est l’homme qui arrache les affiches de Thomas ?


 

 

Marie Delarue 27 novembre 2023

 

Le portrait du jeune Thomas leur est insupportable. Trop jeune, trop blanc, trop innocent ? 

De son vrai nom Paul Guardado, il se fait appeler Toufik de Planoise. Grand rapporteur des luttes sociales dans sa ville de Besançon, il a emprunté son patronyme au quartier de Planoise et à ses fortifications.

Un « militant et prolétaire bisontin »

Avant toute chose, soyons francs : si Paul Guardado, alias Toufik pour les besoins du militantisme “« antifa », ne s’était illustré en arrachant méthodiquement les affiches du jeune Thomas apposées dans sa ville, on n’en parlerait pas. Comme on ne parlerait pas d’un Boyard si LFI ne lui avait offert une écharpe ; d’ailleurs, ces deux-là se ressemblent : même rondeur et même (absence de) cervelle ; ajoutons que pour parfaire son personnage, ledit Toufik s’est laissé pousser une maigre barbe d’islamiste rondouillard.

On cherche vainement une page Toufik de Paloise sur Wikipédia ; on trouve, en revanche, de nombreuses pages lancées par le même Toufik en qualité d’auteur-collaborateur, des pages sur des figures du RN en général. Très objectives, on n’en doute pas.

Le portrait de celui qui se réclame de la confrérie des journalistes est à lire dans dijoncter.info, un site participatif qui a pour mission d’informer « des luttes sur Besançon et alentours ». Kawa TV est donc allé, en juillet dernier, à la rencontre « du camarade Toufik », présenté comme « militant et prolétaire bisontin ».

« Toufik est bénévole chez Radio Bip/Media 25 et manie la plume sur leur site depuis plusieurs années », nous dit-on. « "Seule (sic) pigiste de Planoise", comme il aime le rappeler, Toufik a toujours eu une activité médiatique alternative en complément de ses luttes syndicales et antifascistes. Le camarade nous fait la liste des orgas auxquelles il prend part : son CV et son expérience sont impressionnants. »

Condamné par la Justice

Impressionnant, en effet, car Toufik de Planoise vient d’être condamné, en juillet dernier, par le tribunal de Besançon. Comme un BHL qui risque sa vie sur les théâtres de guerre, Toufik est « spécialisé dans la couverture des manifestations et des luttes sociales ». C’est en couvrant une manif contre la réforme des retraites qu’il s’est introduit sur les voies ferrées, à la gare de Viotte (Besançon), empêchant la circulation des trains. Condamné à un euro symbolique, le reporter de guerre sociale est devenu, si l’on en croit le communiqué du SNJ-CGT, le symbole des « atteintes à la liberté de la presse ».


Ce n’était pas le premier passage de Paul-Toufik devant la Justice. C’est Damien Rieu qui révèle, sur son compte X, cette affaire assez cocasse. On est en 2021 et L’Est républicain relate la lutte sociale – sa spécialité – qui oppose alors le « prolétaire bisontin » non pas à son patron mais à… ses collègues !

lundi 27 novembre 2023

Israël/Gaza : vers la fin de Netanyahou ? - JT du lundi 27 novembre 2023



 Publiée le 27/11/2023

Commençons ce soir avec la situation en Israël. 

Après la libération d’une cinquantaine d’otages, la trêve de quatre jours pourrait être prolongée. Une bonne nouvelle qui résonne plutôt comme une épreuve du feu pour Benyamin Netanyahou.

Une page nationale ensuite avec Emmanuel Macron qui commence à s’inquiéter de la situation économique du pays alors que la dette a dépassé les 120 % du PIB !

Et puis nous reviendrons sur le bilan affligeant d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris alors que l’échéance des Jeux olympiques se rapproche.

Gaza : plus de 30 000 bébés boivent de l’eau contaminée, selon le département d’État américain

 

Un rapport interne du département d’État américain révèle que des dizaines de milliers de femmes enceintes et de bébés de quelques mois sont contraints de boire de l’eau non potable à Gaza, mettant ainsi leur santé en danger alors que les dirigeants israéliens bloquent l’accès à l’eau et à l’électricité dans la région.

Selon Haaretz, qui a consulté le rapport, les fonctionnaires du département d’État ont constaté que 52 000 femmes enceintes et plus de 30 000 bébés de moins de six mois boivent de l’eau contaminée ou saumâtre, c’est-à-dire contenant du sel. Le rapport s’appuie sur des informations provenant d’organisations affiliées aux Nations unies, telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Boire de l’eau contaminée ou saumâtre est dangereux dans tous les contextes, mais surtout pour les femmes enceintes, leurs fœtus et les jeunes bébés, qui courent un risque accru d’infection, de maladies et de problèmes de santé à long terme. Ces risques peuvent être mortels.

Cette situation est d’autant plus dangereuse que l’eau sale est probablement la seule source d’eau pour de nombreux habitants de Gaza à l’heure actuelle, Israël ayant interrompu l’approvisionnement en eau, en électricité, en carburant et en aide humanitaire dans la région il y a plusieurs semaines et ne donnant aucun signe de vouloir mettre fin à son blocus.

Le rapport recommande à l’administration Biden d’exhorter Israël à rétablir l’accès à l’eau à sa capacité d’origine plus deux autres canalisations, en plus de celle qui a déjà fonctionné à la demande de cette administration, et de laisser suffisamment de carburant dans la zone pour que l’eau puisse circuler dans la région. Selon Haaretz, ces recommandations n’ont pas encore été acceptées ni rejetées par l’administration vendredi.

Selon un rapport de l’UNICEF datant du 17 octobre, la production d’eau à Gaza n’atteignait alors que 5 % de son niveau normal. Les experts affirment que de nombreux habitants de Gaza n’ont actuellement accès qu’à de l’eau de mer mélangée à des eaux usées.

L’eau de Gaza est souvent contaminée par des nitrates provenant du ruissellement agricole. La contamination par les nitrates est bien connue pour être à l’origine d’une maladie appelée syndrome du bébé bleu, ou méthémoglobinémie infantile, lorsqu’elle est mélangée à du lait maternisé, ce qui peut entraîner le coma et la mort.

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Les lolitas cachent la forêt


campagnoltvl

 

Si l'on arrache la prise le Métaverse est dans le noir mais le Royaume de Dieu s'illumine
 

Vidéo Troublante : Israël est à court de temps. À moins que CELA arrive maintenant!


Sophie Décrypte

“Mécanique de Crépol” : Une soirée tranquille à La Chapelle-Thouarault (35) tourne mal



La Chapelle-Thouarault est une commune tranquille de 2 200 habitants de l’ouest du pays de Rennes.

 Malheureusement, depuis quelques temps, La “Chapelle” est touchée par le phénomène des moeurs de cité alors même que la commune n’en compte aucune.

Ce samedi, la commune a connu une illustration de cet ensauvagement autour de la salle socio-culturelle : un club sportif y était rassemblé pour son repas annuel. L’évènement a rassemblé 224 convives. Or, alors que les organisateurs installaient les tables en après-midi, une bande de jeunes de cité est venue rôder autour des lieux. Masques chirurgicaux sur le nez, capuches sur la tête. L’un des bénévoles est allé les voir pour s’enquérir des raisons de leur présence. Pas de réponse.

Plus tard dans l’après-midi, alors que les premiers convives arrivaient, les organisateurs ont entendu un bruit d’enfer au dehors : les jeunes de cité étaient revenus et s’en prenaient à une “cabane à dons“, située sur le parking, où les habitants laissent des objets dont ils n’ont plus besoin mais qui sont encore en état. Le jeu était de casser de la vaisselle puis de jeter les objets sur les voitures des bénévoles du repas du club sportif. Acte gratuit et incompréhensible.

[EDITO] Descente de l’ultra-droite à Romans : la faute au RN, bien sûr !


 

Georges Michel 26 novembre 2023

Fallait s’y attendre : c’est la faute au RN. Et plus largement à l’extrême droite dans laquelle on fourguera bien entendu Reconquête.

 Descente, samedi, de militants d’ultra-droite dans le quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère d’où seraient originaires certains suspects impliqués dans la razzia meurtrière de Crépol : et le Rassemblement national serait responsable !


 

Le RN responsable des troubles à l'ordre public

C'est ce qu'a déclaré, ce dimanche, le député macroniste Sacha Houlié, invité sur le plateau de France Info. Mais le président de la prestigieuse commission des lois est précis : il s’agit d’une « responsabilité politique », pas pénale, bien évidemment ! Un peu facile et, pour tout dire, assez « minable ». Minable, pour reprendre les propres mots de Houlié qui déclare, toujours sur France Info, qu’après la mort de Thomas, « nous avons le devoir de s’indigner mais pas le droit d’en faire une affaire politique à son seul profit », estimant que « c’est minable ». Comme si, justement, le politique n’avait pas le droit et même le devoir de prendre position sur une affaire qui relève plus du fait de société, pour ne pas dire de civilisation, que du simple fait divers. Du reste, que fait Houlié, en commentant cette descente de 80 individus dans ce quartier de Romans, si ce n’est faire de la politique pour tourner à son profit et à celui de son camp cet incident ? Sacha Houlié va plus loin, puisqu'il estime que « faire rentrer dans son capital politique le meurtre d’un jeune… ça participe au désordre qui est dans notre société ». Donc, le politique ne doit rien dire, si ce n’est pour exprimer sa compassion, son émotion. Pourtant, on est bien au cœur de l’action politique. Et, en l'occurrence, une action politique qui échoue depuis quarante ans.


 

Qui est responsable de la situation de notre pays ?

L’incroyable histoire du fils de Lagarde qui aurait perdu tous ses sous dans les crypto malgré les conseils de moman…

 

 par | 27 Nov 2023 |

 

« Quand le fils de Christine Lagarde perd « presque tout l’argent qu’il avait investi » dans les cryptomonnaies ».

C’est le titre de cet article du Figaro qui fleure bon la propagande de mamamouchi.

Cela me fait penser à Edouard Balladur lors de la campagne de 1995 qui était bien mal en point contre Jacques Chirac et qui cherchait à faire « peuple ». Il avait simulé une panne d’hélicoptère et posé au milieu d’un champs, il aurait fait de l’autostop… bon le coup était évidemment bidonné et la carabistouille a fini par être éventée.

Le figaro revient donc sur cette anecdote.

« On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille »… Mais mieux vaut écouter les conseils financiers de sa mère, si celle-ci est l’une des figures centrales de l’économie européenne. Invitée lors d’une rencontre avec des étudiants à Francfort, en Allemagne, la patronne de la Banque centrale européenne (BCE) s’est exprimée sur le sujet des cryptomonnaies. Christine Lagarde n’a pas caché ses doutes quant à l’utilité et la sécurité de ces actifs, allant jusqu’à s’appuyer, avec humour, sur l’exemple malheureux de… son propre fils.

Alors qu’un jeune homme l’interrogeait, en anglais, sur son « opinion quant aux cryptomonnaies », l’ancienne ministre française a laissé échapper un soupir moqueur, suscitant des rires de la salle. « Les cryptos sont des actifs hautement spéculatifs », a déclaré la présidente de la BCE, citant les difficultés rencontrées récemment par FTX ou Binance. Les investisseurs doivent donc être prêts à « tout perdre », alors que ces moyens de paiement peuvent aussi être utilisés par des organismes peu recommandables, pour réaliser des transactions à visées criminelles. « J’ai une très mauvaise opinion des cryptos », a-t-elle résumé, se disant inquiète des « biais » ou de la « haine » exprimée par une partie de la communauté des investisseurs en cryptomonnaies.

Relancée par la modératrice de la discussion, Christine Lagarde est ensuite revenue sur l’exemple de son propre fils, qui possédait lui-même des cryptos. Indiquant l’avoir mis en garde sur les risques associés à ce type d’actifs, la patronne de la BCE a précisé que son rejeton l’avait « ignorée royalement, ce qui est son droit ».