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samedi 2 décembre 2023

Attentat au cri d’« Allah Akbar » près du quai de Grenelle à Paris : les victimes sont des touristes, 1 mort et plusieurs blessés ; l’auteur se nomme Armand Rajabpour-Miyandoab, fiché S, de nationalité française d’origine iranienne ayant un passif terroriste (MàJ)


 

Les trois victimes sont des touristes, selon nos informations. 

L’homme qui a été poignardé à mort est né en 1999. L’une des victimes blessées est un touriste anglais né en 1957, une seconde victime est de nationalité allemande. (…)

La victime de l’attaque, un touriste ayant la double nationalité allemande et philippine, a été retrouvée en arrêt cardiorespiratoire sur le pont de Bir-Hakeim, entre le XVe et le XVIe arrondissement de Paris, peu avant 22 heures, indique une source policière au Parisien. Il est mort d’une plaie au dos et à l’épaule causée par un couteau. (…)

Au niveau de l’avenue du président de l’avenue Kennedy, une seconde victime, un touriste anglais, a été blessée au marteau. Il a été trouvé avec une plaie au niveau de la tête et a été pris en charge par les pompiers. Selon une source policière, cet homme marchait avec sa femme et son enfant lorsque l’attaquant est arrivé derrière lui en lui portant un coup. (…)

Le Parisien

(…) Lors de son interpellation, le suspect a dit aux policiers en avoir marre de voir des musulmans mourir. (…)

BFMTV

Tout est dit


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Quandleslanguessedélient
Quand on a été à ses débuts militant à l’Unef, syndicat des TARS de gauche, rappelons le,
quand on a simulé la folie pour être réformé du service militaire (la marque des grands collabos),
 quand on a oscillé depuis 43 ans entre médiocrité et médiocrité n’ayant réussi qu’à faire chuter les audiences, 
quand on a été l’éternel looser faute de talent et d’intégrité, quand on est réputé pour être le censeur des ondes officielles d’Etat, 
quand on est accusé maintes fois de manquer d’impartialité et de pilonner la déontologie journalistique, quand on est considéré par l’observatoire @acrimed_info comme un symbole, par ses méthodes, de l'impunité de certains « merdiacrates »,
 quand on confond sciemment les bals tragiques avec les expéditions punitives, 
quand on veut normaliser les agissements de racailles issues de l’immigration #crepol ,
 quand on omet de dire que le drame de #thomas est raciste… on incarne effectivement la DIDACTIQUE de la haine et du mensonge !
 
 Une honte pour ce pseudo journaliste, employé par le Sévice Public, payé grassement par nos impôts, de surcroît décoré de la légion d’honneur (qui ne l’est décemment plus et ce depuis longtemps), d’être toujours en poste! 
 
La mécanique de la collaboration! 

La fabrique de mensonges BFmerde TV est à vendre


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Pour liquider ses actifs médias, Patrick Drahi voulait au début taper 2 milliards d’euros à Bernard Arnault, qui lui a répondu en lui envoyant son beau-fils avec une valise de seulement 600 millions pour reprendre @BFMTV et @RMCInfo
 
. Il a refusé. Ensuite, il y a eu Rodolphe Saadé envoyé par Emmanuel Macron, avec une enveloppe de 800 millions. Il a refusé. 
 
 Pour finir, Daniel Kretinsky est venu avec une carte de Monopoly en plus, disant à Patrick qu’il avait le pouvoir russe, si besoin, de le faire sortir de prison en 2027 pour avoir détourné plus de 60 milliards d’euros. Il a refusé. Aujourd’hui, les banques et les États le harcèlent pour qu’il rembourse les dizaines de milliards qu’il doit à la terre entière. 
 
@BFMTV et @RMCInfo peuvent donc partir à moins de 500 millions. Il n’a plus le choix. Tout doit disparaître pour rembourser, sinon il doit changer de nom et passer chez le chirurgien esthétique pour changer de visage. Et comme il a refusé, il doit payer. Il est l’homme le plus surendetté d’Occident. Ce qu’a gagné Arnault 1er, lui l’a emprunté. C’est la fin des années fastes. 
Il a déjà dit adieu à @BFMTV
 
. C’est une marque morte. Les français en parle comme l’anti-thèse de l’information. Quand ils citent
@BFMTV c’est pour se défouler sur la propagande d’Etat. Il y avait la Pravda dans l’inconscient collectif et maintenant il y a @BFMTV
 
. C’est un fait. D’où l’action de riches citoyens français qui ont monté en secret une opération pour mettre la main sur ce canal de diffusion et le transformer en télévision citoyenne. Et c’est là où vous intervenez. Si 1 million de Français payent demain un abonnement de 9€ par mois, ils remportent la chaîne, peuvent changer son nom, et pour ce prix, ils peuvent même virer immédiatement @FogielMarcO et @apollineWakeUp
 
Un bienfait qui n’a pas de prix.

Bulletin N° 162. Russie vs LGBT, accélération conservatrice, braquage à l'américain. 02.12.2023.


 2 décembre 2023

Leonard Peltier : « Nous sommes victorieux »

 

peinture murale représentant Leonard Peltier

Âgé de 79 ans, Leonard Peltier a passé ces 46 dernières années en prison. Il y croupit toujours. En 1976, ce militant amérindien a été condamné pour le meurtre de deux agents du FBI après un simulacre de procès. Chaque année, une manifestation est organisée pour le Jour de Deuil national qui vise à informer le grand public sur la culture et les luttes historiques des communautés amérindiennes. Voici le message que Leonard Peltier a rédigé depuis sa cellule pour l’occasion. (I’A)
 

Sachez que mon esprit est avec vous en ce Jour de Deuil, honorant un passé taché de sang et de larmes, mais porteur d’un présent plein d’espoir et d’un avenir victorieux.

Depuis l’arrivée de ces navires en 1492, chaque jour est un Jour de Deuil. Et chaque jour nous a aussi apporté la lutte que nous menons pour rien de moins que notre liberté inconditionnelle.

Alcatraz est un monument à notre lutte ; Plymouth Rock, un témoignage de notre résilience.

Depuis leur arrivée, les oppresseurs ont essayé de nous pousser dans le précipice. Pourtant, nous sommes restés.

Nous répondons en étant ce que nous sommes et ce que nous avons toujours été : les Premiers Peuples, gardiens de la Terre Mère. Elle nous donne naissance, elle nous donne la vie, sa force coule dans nos veines.

Sa force est notre force. À la fin de notre voyage, nous retournons dans son ventre.

Le Créateur a tracé le chemin devant nous. Nous suivons ce chemin et nous ne reculons pas.

La cupidité des colonisateurs causera leur perte. La société coloniale n’a pas de véritable force. Leur argent dit : “In God We Trust” (En Dieu, nous avons confiance). C’est tout à fait juste. L’argent est le dieu de l’oppresseur. Ils dépouillent la Terre Mère par leurs politiques cupides et corrompues.

N’oublions jamais que note force vient de ce que nous donnons en retour ; elle vient de la protection que nous offrons à nous-mêmes, les uns les autres, à nos femmes, nos enfants, note Terre Mère.

J’ai passé la plus grande partie de ma vie en cage. Mais ils ne peuvent pas mettre en cage l’âme d’un Sundancer.

Mon grand-père m’a appris il y a longtemps ce que je devais être et faire pour mon peuple. Cela ne peut être et ne sera jamais mis en cage.

Mineurs étrangers : le département de l’Ain jette l’éponge !


 

 

 Marc Baudriller 1 décembre 2023

 

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se déploie en communication, mais la Macronie lutte tant contre l’immigration que nos structures d’accueil explosent. 

Ainsi, ce mercredi 29 novembre, le département de l’Ain (Bourg-en-Bresse) a tranché dans le vif. Il suspend « temporairement » pour au moins trois mois la prise en charge des fameux « mineurs non accompagnés », dits MNA, qui arrivent directement sur son territoire. Le département a publié en ce sens un communiqué dont nous avons confirmé la validité auprès du service de communication. « Confronté depuis des mois à une augmentation massive d’arrivées de mineurs non accompagnés, le département de l’Ain n’est actuellement plus en capacité d’en accueillir », tranche officiellement le département. Ce n’est pas faute de bonne volonté. En 2023, le département a créé 150 places d’hébergement. Mais voilà, « le dispositif explose », explique le département qui « ne dispose plus de solutions, ni temporaires, ni pérennes ».

Une accélération flagrante

La décision est passée inaperçue ou presque. Et pourtant, dans le contexte d’extrême tension sur l’immigration actuellement, elle a de quoi surprendre. Le département présidé par le LR Jean Deguerry met les points sur les i. Il constate qu’« avec souvent plusieurs arrivées directes par jour, la pression quotidienne n’est plus tenable ». Il se bat, dit-il, pour maintenir « une approche humaine » dans la prise en charge de ces jeunes, mais ces structures d’accueil peinent à recruter des encadrants éducatifs formés. Les 25 places dénichées sur un nouveau site sont déjà combles avant l’ouverture, elle-même retardée faute de personnel suffisant....

Depuis 2013, lorsque l’État a généreusement confié aux départements la responsabilité des mineurs non accompagnées (qui sont, en réalité, majoritairement majeurs et souvent très accompagnés, notamment pas les passeurs et par l’État), les migrants arrivent en nombre croissant. « Le mouvement migratoire, constaté notamment en Italie, provoque un afflux en France de mineurs isolés », confirme le département de l’Ain.

Montargis : quand la France bien élevée relève la tête


 

 

Gabrielle Cluzel 1 décembre 2023

 

Un extrait de l’émission Envoyé spécial du jeudi 30 novembre a rencontré un vif succès sur les réseaux sociaux. 

Le sujet ? Les émeutes de juin dernier, avec une étude de cas : la petite ville de Montargis, dans le Loiret, 15.000 habitants. Avec son commissariat, sa mairie et sa rue commerçante saccagés et incendiés, elle est « devenue l’un des symboles de ces violences urbaines sans précédent », des violences dont on nous explique qu’elles « ont profondément marqué la ville ».

Parmi les personnes interrogées, un chef d’entreprise, qui habite une maison en centre-ville. Des émeutiers, la nuit du 29 au 30 juin, sont entrés chez lui. Dans le reportage, il explique être descendu de l’étage où il était couché, prenant la précaution de se saisir au passage d’une épée médiévale (très lourde mais peu tranchante) datant des cours d’escrime médiévale de sa jeunesse. Muni de cette arme d’un autre âge, il a réussi à faire fuir les intrus. Il a passé le reste de la nuit à monter la garde chez lui, avec ses deux fils de 15 et 13 ans et un neveu, chacun muni d’une épée… médiévale.


 

Quand on lui fait remarquer qu’il aurait pu tuer ou blesser l’un de ses cambrioleurs, il rétorque que dans la rubrique faits divers, il « préfère être le mec qui bute un salopard pour se défendre que le mec qu’on enterre avec une petite marche blanche parce que le pauvre, il s’est fait agresser par des racailles ».

vendredi 1 décembre 2023

Qui est Jean-Marc Borello, pilier de la macronie profonde ?



 
  30 nov. 2023
 
 Interview de Xavier Poussard, directeur de Faits et Document, sur le parcours de Jean-Marc Borello, fondateur du groupe SOS et "révélateur" de Macron

Russie/Occident : un monde coupé en deux ? - JT du vendredi 1er décembre 2023



 Publiée le 01/12/2023

A la une de cette édition, alors que l’armée russe dit avancer dans toutes les directions, la politique intérieure du Kremlin est au conservatisme, laissant entrevoir un affrontement de sociétés avec l’Occident.

Nous reviendrons ensuite sur le mouvement “On marche sur la tête” d’agriculteurs français.

Et enfin, une page continentale avec nos correspondants en Europe centrale qui évoquerons les groupuscules et mouvances antifascistes dans les pays de l’UE.

En marche vers la guerre civile


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Bruno et Patricia Perez : « Comment ne pas penser sans cesse aux parents et aux frères de Thomas ? »


 Bruno et Patricia Perez, parents d'Adrien.

Bruno et Patricia Perez, parents d'Adrien. © DR
Propos recueillis par Charlotte d'Ornellas
Parents d'Adrien, poignardé mortellement à la sortie d'une boîte de nuit en 2018 à Meylan, près de Grenoble (Isère), Bruno et Patricia Perez ont voulu prendre la parole après la mort de Thomas à Crépol.  


Le JDD. Vous avez perdu votre fils Adrien, poignardé à la sortie d’une boîte de nuit à Meylan en juillet 2018. Vous ressentiez le besoin de prendre la parole après la mort de Thomas

Bruno et Patricia Perez. Parce que la mort de Thomas nous a inévitablement ramenés à la mort de notre fils. Ils étaient à une soirée, ils jouaient au rugby, ils étaient jeunes, ils n’étaient pas armés, ils n’avaient rien demandés et ils nous ont été arrachés. Avec des couteaux, avec des gens qui « plantent » gratuitement, à répétition. Rien que ce mot est insupportable…

Nous voulons d’abord présenter nos condoléances aux parents de ce petit Thomas, leur dire que nous les soutenons du fond de nos cœurs meurtris. Nous savons… C’est tout simplement insupportable en réalité.

Il faut que les gens qui se permettent toutes sortes de commentaires plus ignobles les uns que les autres, qui cherchent des excuses et relativisent ce qui arrive comprennent que nos vies ont basculé. Nos enfants ne nous diront plus « papa » ou « maman » et nous n’avons plus que du marbre à embrasser. Qu’ils gardent ça en tête avant de parler. Comment ne pas penser sans cesse aux parents et aux frères de Thomas ? Impossible. Alors nous avons eu besoin de parler, non pas à leur place mais à la nôtre.  

Certains ont été accusés de « récupération » après ce drame, on évoque la décence vis-à-vis des familles… Comprenez-vous cette accusation ?

Les débats sont proprement insupportables. Nous ne sommes pas politisés, nous ne voulons pas rentrer dans ces débats politiques mais nous trouvons ces accusations insupportables. Tous les parents réagissent sans doute différemment mais nous, nous ne pouvons que remercier tous les gens qui dénoncent ces actes et qui en parlent. Nous ne voulons plus nous taire alors que nos enfants tombent pour rien.

Nous sommes les parents d’Adrien, mort poignardé lui aussi, et nous vous le disons : nous nous réjouissons que certains politiques ou journalistes osent parler et dénoncer ce qu’il se passe. Bien sûr qu’il faut en parler, pour obliger enfin nos gouvernants à agir. On n’en parlera jamais assez.

Parce que sinon, on « condamne fermement » et on passe à autre chose. On a déjà vu le Président se déplacer, le ministre de l’Intérieur aussi, pour des choses bien moins graves. Mais là c’est le porte-parole, 10 jours plus tard, pour ne rien dire ?
Ce n’est même pas ce gouvernement plus que les précédents que nous fustigeons, tous ont été lâches et ont laissé cette violence s’installer dans la société. Le vrai mot qui nous vient à l’esprit est le dégoût en réalité. Vous n’imaginez pas comme les mots utilisés, même, font mal.  

C’est-à-dire ?

Il y a un débat sur le mot « ensauvagement », sérieusement ? Mais quel autre mot pour décrire ces gamins tués pour rien, sur le sol de France ? Il faut être sacrément déconnecté de la réalité pour se permettre de tels débats sans fin… Vous n’imaginez pas combien ces propos font mal.

On parle de faits divers également… En 2018, mon mari avait été sur un plateau de télévision et monsieur Castaner, alors ministre de l’Intérieur, avait également utilisé ce mot. Fait divers, on l’évoque rapidement et on en parle plus… Mais faudrait-il qu’ils soient eux-mêmes touchés dans leur chair pour qu’ils comprennent ? Qu’ils réagissent ?
Cette violence détruit des vies, en plus de détruire les nôtres. Des enfants meurent et ce sont des familles qui pleurent, des amis qui ne s’en remettent jamais. Ce n’est pas un fait divers, c’est une déflagration dans la vie de trop de familles françaises. Ce n’est pas exactement anecdotique. Il y en a eu avant Adrien, il y en aura après Thomas. Peut-être est-il temps de se réveiller. Et de regarder la réalité en face.  

Qu’avez-vous pensé des mots « rixe » ou « remarques désobligeantes » qui avaient également été utilisées après la mort de votre Adrien ?

Là encore, personne n’imagine comme ça fait mal au cœur. Nous pouvons vous faire une litanie de prénoms de gosses qui sont morts sans n’avoir jamais rien demandé, dans les mêmes circonstances ou à peu près. Le nôtre est allé défendre un ami qui se faisait agresser pour une remarque. Qu’a fait Thomas pour tomber sous les coups de couteaux ? Il était ami avec quelqu’un qui a fait une blague ? Les gens sont-ils seulement sérieux lorsqu’ils utilisent ces mots.

Nos enfants sont tués par des individus qui n’acceptent rien, ni un regard, ni une parole, et qui sont prêts à tuer. D’ailleurs, ils sortent avec des couteaux. Qui sort avec un couteau à une soirée ? Eux, seulement eux.

Il faudrait que tous ces commentateurs cessent enfin de leur trouver des excuses ou des circonstances atténuantes. Ils n’en ont pas, aucune. Il faut simplement leur infliger des peines sérieuses, et respectées jusqu’au bout. Cela ne nous rendra pas nos enfants, mais nous aurons au moins l’impression d’être considérés et soutenus.

Le criminel de guerre Henry Kissinger s’éteint à 100 ans

 


La figure influente d'Henry Kissinger, né Heinz Alfred Kissinger le 27 mai 1923 à Fürth en Allemagne, a marqué le monde de la diplomatie et de la politique internationale. 

Diplomate, conseiller américain, politologue et éminent consultant en géopolitique, Kissinger a laissé une empreinte indélébile sur la scène mondiale. 

Membre permanent du groupe occulte Bilderberg, sa mort à l'âge de 100 ans clôt un chapitre marquant de l'histoire moderne, laissant derrière lui un héritage complexe et plus que controversé.

La disparition d’Henry Kissinger, personnalité emblématique de la politique étrangère américaine, suscite des réactions contrastées. Symbole de l’ingérence des États-Unis dans les affaires mondiales, il est décédé à l’âge de 100 ans. Connu pour ses méthodes controversées ayant entraîné la perte de nombreuses vies civiles entre les années 1960 et 1990, sa mort laisse un héritage controversé dans le monde de la diplomatie internationale.


 

Les États-Unis exigent de l’Ukraine qu’elle restitue les chars Abrams


 

 

1 décembre 2023
/Réseau International

 

par Reporter

Washington a exigé que Kiev rende les chars américains Abrams précédemment livrés à l’Ukraine. 

C’est ce que rapportent les médias américains. Il est souligné qu’il s’agit de 31 véhicules de combat transférés à la disposition des forces armées ukrainiennes.

Selon les médias américains, le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, a demandé avec insistance le retour des chars Abrams lors de sa visite à Kiev. En échange, le chef du Pentagone aurait promis de transférer 124 chars Leopard allemands aux forces armées ukrainiennes. Dans le même temps, les publications ne précisent pas où exactement Washington a l’intention de mettre la main sur un tel luxe. D’autre part, la presse américaine écrit que l’aide de 100 millions de dollars que Austin a promise à l’Ukraine était un paiement anticipé pour répondre à une demande de restitution de chars américains.

Il est à noter que la volonté des États-Unis de ramener leurs chars dans leur patrie s’explique aisément. Washington ne veut tout simplement pas que le monde entier voie comment l’équipement américain tant vanté est en train de brûler. Apparemment, les États-Unis en avaient assez que des véhicules de combat d’infanterie M2 Bradley brûlent.

Dans l’éventualité où un sort similaire s’abattrait sur les chars Abrams, le complexe militaro-industriel américain serait confronté aux pertes d’image les plus lourdes, qui menacent de pertes financières bien réelles. Quoi qu’il en soit, les États-Unis ne veulent pas prendre de risques.

Quant à l’équipement allemand promis en retour, il ne s’en soucie plus. Le monde entier a vu comment les chars Leopard de diverses modifications brûlaient. Mais votre chemise est toujours plus proche de votre corps.

source : Reporter

Racailles, un feuilleton sans fin

 

« Une usine d’assassinats de masse » : au cœur du bombardement calculé d’Israël sur Gaza Des frappes aériennes permissives sur des cibles non militaires et l’utilisation d’un système d’intelligence artificielle ont permis à l’armée israélienne de mener sa guerre la plus meurtrière contre Gaza, révèle une enquête de +972 et Local Call.


 

 972mag.com

Par Yuval Abraham 30 novembre 2023 

 

Tsahal," l'armée la plus morale du monde" d'après l'ultra sioniste meyer habib, utilise l'Intelligence Artificielle pour optimiser le génocide perpétré dans la bande de Gaza


En partenariat avec L'autorisation élargie de l'armée israélienne pour bombarder des cibles non militaires, l'assouplissement des contraintes concernant les pertes civiles attendues et l'utilisation d'un système d'intelligence artificielle pour générer plus de cibles potentielles que jamais auparavant semblent avoir contribué au caractère destructeur des premières étapes. de la guerre actuelle menée par Israël dans la bande de Gaza, révèle une enquête menée par +972 Magazine et Local Call.

Ces facteurs, tels que décrits par les membres actuels et anciens des services de renseignement israéliens, ont probablement joué un rôle dans la production de ce qui a été l’une des campagnes militaires les plus meurtrières contre les Palestiniens depuis la Nakba de 1948. 

 L'enquête menée par +972 et Local Call est basée sur des conversations avec sept membres actuels et anciens de la communauté du renseignement israélien – y compris des membres du renseignement militaire et de l'armée de l'air impliqués dans les opérations israéliennes dans la bande assiégée – en plus des témoignages, des données et des informations palestiniennes. des documents de la bande de Gaza et des déclarations officielles du porte-parole de Tsahal et d’autres institutions de l’État israélien.  

Comparée aux précédentes attaques israéliennes contre Gaza, la guerre actuelle – qu’Israël a baptisée « Opération Épées de Fer » et qui a débuté à la suite de l’attaque menée par le Hamas contre le sud d’Israël le 7 octobre – a vu l’armée étendre considérablement ses bombardements sur Gaza. des cibles qui ne sont pas clairement de nature militaire. Il s’agit notamment de résidences privées ainsi que de bâtiments publics, d’infrastructures et d’immeubles de grande hauteur, que l’armée définit, selon des sources, comme des « cibles du pouvoir » (« matarot otzem »).

 Le bombardement de cibles énergétiques, selon des sources du renseignement qui ont eu une expérience directe de son application à Gaza dans le passé, vise principalement à nuire à la société civile palestinienne : à « créer un choc » qui, entre autres choses, aura des répercussions puissantes et « amener les civils à faire pression sur le Hamas », comme l’a dit une source.  

Plusieurs sources, qui ont parlé au +972 et à Local Call sous couvert d'anonymat, ont confirmé que l'armée israélienne dispose de fichiers sur la grande majorité des cibles potentielles à Gaza – y compris les maisons – qui stipulent le nombre de civils susceptibles d'être capturés. tué lors d'une attaque contre une cible particulière. Ce nombre est calculé et connu à l’avance des unités de renseignement de l’armée, qui savent également peu avant de lancer une attaque combien de civils sont sûrs d’être tués.

 Palestinians react to the devastation caused by an Israeli airstrike in Rafah, southern Gaza Strip, November 11, 2023. (Abed Rahim Khatib/Flash90)

  Les Palestiniens réagissent aux ravages causés par une frappe aérienne israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 11 novembre 2023. (Abed Rahim Khatib/Flash90)

 Dans un cas évoqué par les sources, le commandement militaire israélien a sciemment approuvé le meurtre de centaines de civils palestiniens dans le but d’assassiner un seul haut commandant militaire du Hamas. 

« Les chiffres sont passés de dizaines de morts civiles [autorisées] comme dommages collatéraux dans le cadre d’une attaque contre un haut responsable lors d’opérations précédentes, à des centaines de morts civiles comme dommages collatéraux », a déclaré une source. "Rien n'arrive par hasard", a déclaré une autre source. 

« Lorsqu'une fillette de 3 ans est tuée dans une maison à Gaza, c'est parce que quelqu'un dans l'armée a décidé que ce n'était pas grave qu'elle soit tuée – que c'était un prix qui valait la peine d'être payé pour frapper [un autre ] cible. Nous ne sommes pas le Hamas. Ce ne sont pas des fusées aléatoires. Tout est intentionnel. Nous savons exactement combien de dommages collatéraux il y a dans chaque maison. » Selon l'enquête, une autre raison expliquant le grand nombre de cibles et les dommages considérables causés à la vie civile à Gaza est l'utilisation généralisée d'un système appelé « Habsora » (« L'Évangile »), qui repose en grande partie sur l'intelligence artificielle et peut « générer » des cibles presque automatiquement à un rythme qui dépasse de loin ce qui était auparavant possible. 

Ce système d’IA, tel que décrit par un ancien officier du renseignement, facilite essentiellement une « usine d’assassinats de masse ». 

« La prochaine fois, on calmera ces voyous» : de Crépol à la cité de la Monnaie, deux France que tout oppose



LeTocsin pour Fdesouche

30/11/2023 

 

Près de deux semaines après le meurtre de Thomas, dans la «Drôme des collines», la colère ne retombe pas contre la cité de la Monnaie de Romans-sur-Isère, dont sont originaires plusieurs des suspects.

 

Des champs nus, des forêts, un bourg, des champs encore. Le paysage défile pendant que Benjamin, 45 ans, disserte au volant de sa voiture, le long d’une petite route entre Romans-sur-Isère et le village d’Hauterives. « Les agresseurs de Thomas, ils ne s’intègrent pas, ce sont des délinquants. Ils crient au racisme dès qu’il y a une embrouille ! » Deux semaines après le meurtre de Thomas, la colère reste vive dans cette « Drôme des collines » que Benjamin arpente depuis vingt-cinq ans. […]

Tandis que l’enquête des gendarmes progresse, un face-à-face s’est installé entre ces deux France. L’une rurale, de la classe moyenne, tournée vers la nature et le rugby. L’autre citadine, vivant dans la cité de la Monnaie, plus défavorisée.

« Les chasseurs disent qu’ils vont aller régler la situation à la Monnaie. Si ça continue, ils pourraient faire une descente avec leurs carabines », assure Jacques, 60 ans. « Moi, je ne crois plus à notre gouvernement pour remettre l’ordre », poursuit ce commerçant de Romans. Dans un restaurant de Hauterives situé en face de celui des Perrotto, Louis, 54 ans, gronde : « La prochaine fois, on ira sur le point de deal, et on calmera ces voyous. Avec quelques coups de poing s’il le faut. »

Depuis le meurtre de Thomas, les opinions politiques de certains vacillent sous le poids du sentiment d’injustice. Les témoignages de neuf invités de la soirée auprès des enquêteurs évoquant une bande de jeunes venus « tuer des Blancs » ont échauffé les esprits.

« Les prétendues exactions de l’ultra-droite sont des contre-feux »


 

Raphaelle Claisse 30 novembre 2023

 

Suite à l’assassinat de Thomas à Crépol, la circonstance aggravante que constitue le racisme de cette attaque n’a pas été retenue. 

Malgré les neuf témoins ayant entendu « des propos hostiles aux Blancs », le parquet de Valence a décidé de ne pas retenir ce motif.

Par ailleurs, le 27 novembre, six des manifestants de Romans-sur-Isère ont été condamnés à des peines de six à dix mois de prison ferme pour avoir participé, le 25 novembre au soir, à cette manifestation liée à la mort de Thomas. Jugés en comparution immédiate au tribunal de Valence, ces jeunes hommes de 18 à 25 ans sont condamnés pour « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences » ou « dégradations ». Cinq d’entre eux sont aussi condamnés pour « violence » sur policier. Ils ont reçu interdiction de séjourner dans la Drôme et de détenir une arme pendant cinq ans.

Réagissant à ces troubles, maître Frédéric Pichon, désigné par l’association Résistance républicaine, s’est constitué partie civile auprès du parquet de Valence sur le fondement de l'article 132-76 du Code pénal « en visant la circonstance aggravante de racisme anti-Blanc ». L'association AGRIF a effectué la même démarche. Maître Pichon, qui engage une bataille judiciaire, répond aux questions de BV.

 


Raphaëlle Claisse. Pourquoi vous constituez-vous partie civile dans l’affaire de Crépol ?

Frédéric Pichon. Je n’ai pas été désigné par la famille de Thomas mais par une association, Résistance républicaine. Je suis avocat depuis 25 ans et je suis scandalisé par le traitement médiatique d’une partie de l’intelligentsia qui cherche à minimiser ces événements qualifiés de « rixe » ou de « faits divers » et à nier le caractère raciste de cette agression. Ce caractère raciste a été retenu dans un premier temps par le procureur de la République pour, finalement, être abandonné. Ce sont des raisons politiques qui ont amené le procureur à faire ce virage à 180°, mais une dizaine de témoins a confirmé cela. Nous ne sommes guère surpris.

R. C. Pour quelle raison les noms des suspects ont-ils été cachés et pourquoi le caractère raciste de l’agression n’a-t-il pas été retenu ?

Que s’est-il passé lors du lynchage du jeune manifestant à Romans-sur-Isère ?


 
 

 

Julien Tellier 30 novembre 2023

 

La présence de jeunes militants identitaires dans le quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, fait couler de l'encre. 

Leur idée de battre le pavé n’était peut-être pas celle du siècle : ils voulaient dénoncer le meurtre de Thomas, à l’endroit même d'où la majorité des suspects sont originaires. 

Samedi dernier, à 18 heures, plusieurs groupes de militants se rassemblent aux abords de ce quartier où la délinquance est reine. Ratonnade, accuse l'extrême gauche. BV a pu consulter le témoignage video d'un manifestant anonyme, présent à Romans lors de la fameuse soirée. Il se défend de toute volonté de violence : « Le but de la manifestation n’était pas de faire une descente dans la cité », assure-t-il, avant d’expliciter les motivations : « On a grandi avec l’insécurité et on en a marre. On s’est dit qu’on allait montrer aux Français qu’on peut être présent dans ces quartiers sans que cela ne dégénère. » Mauvaise pioche. L’opération a vite tourné court et à 18 h 20, les policiers présents en nombre ont rapidement repoussé les manifestants.

« Ils ont explosé le pare-brise et l’ont sorti de la voiture »

Il raconte : « Les policiers nous ont poursuivis alors même que nous venions d’avorter l’action. Nous avons pris une impasse menant à des chemins de fer. » Ce manifestant ajoute : « Le jeune lynché faisait partie de ceux qui ont pu s’échapper. »

jeudi 30 novembre 2023

Notez bien: article 122-6 du code pénal

 


 

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legifrance.gouv.fr

Article 122-6


Version en vigueur depuis le 01 mars 1994

Est présumé avoir agi en état de légitime défense celui qui accomplit l'acte :

1° Pour repousser, de nuit, l'entrée par effraction, violence ou ruse dans un lieu habité ;

2° Pour se défendre contre les auteurs de vols ou de pillages exécutés avec violence.

Interview exclusive : un Ukrainien témoigne des réalités de la guerre (suite et fin)


 
Interview Victor D. Partie 2
 
Victor D. : "Zelensky va certainement partir. C’est la seule solution pour que nous retrouvions la paix."
M.R.
 
Auteur(s)
M.R. pour francesoir
Publié le 30 novembre 2023
 

Relations de la population du Donbass avec l'armée russe, fin du conflit, avenir de l'Ukraine et de Zelensky : seconde et dernière partie de notre entretien avec Victor D.

 

On a accusé Vladimir Poutine d’avoir enlevé des enfants ukrainiens en Russie. Est-ce que qu’il y a un fond de vérité dans cette affirmation ?

Absolument pas. Les petits enfants sont partis avec leurs parents. C’est la génération des trentenaires qui ont des enfants en bas âge. Les plus grands, les adolescents, sont partis seuls hors du Donbass pour poursuivre leurs études en internat, en sécurité dans différentes régions de Russie. Jamais la Russie n’a enlevé d’enfants ! C’est un grand mensonge. De la provocation de la part de l’Occident. La seule chose que nous, nous pourrions reprocher à Vladimir Poutine, c’est d’être intervenu bien trop tard.

A votre avis, ce conflit va-t-il encore durer longtemps ?

Tout le monde espère que ça va se terminer en 2024. Il ne faut pas oublier que cela fera dix ans que nous vivons sous les bombes des bandéristes. Depuis février 2022, le conflit a évolué. Il y a de plus en plus de militaires russes au Donbass. Ils ont instauré le couvre-feu et une discipline sévère. On ne peut pas se promener ni se réunir facilement. Une de mes amies devait fêter les 60 ans de la création de l’école mais elle n’a pas pu, ça a été interdit. En fait, c’est pour éviter que les bandéristes ne voient les rassemblements des civils grâce à leurs satellites et ne les bombardent. L’armée russe a dû prendre des précautions pour éviter des tueries de masse parmi les civils. 

Avec une amie d’enfance, nous sommes allés à Makiïvka, ma ville de naissance, et nous avons rendu visite à une autre amie qui avait été blessée et qui, de ce fait, restait dans son pavillon, pouvant compter sur l’aide de ses petits-enfants. Elle avait fait une bonne récolte de cornichons, de légumes et de fruits dont elle faisait des conserves. Elle nous a raconté qu’un jour un char s’est garé dans son potager. Elle a eu peur que ce soit des Ukrainiens mais quand ils ont commencé à tirer des missiles vers les bandéristes, elle a compris que c’étaient des Russes. Elle était tellement contente qu’elle leur a apporté de grandes boîtes de bocaux de cornichons. Le char est reparti mais les bandéristes ont continué à tirer sur son jardin et ont détruit entièrement son verger. Pour rien, puisque le char était parti.

"Jamais les gens du Donbass n’ont considéré les Russes comme des envahisseurs"

Apparemment, à vous entendre, l’armée russe entretient de bonnes relations avec les habitants. Contrairement à ce qui est dit dans la presse en Occident, vous ne considérez pas les Russes comme des envahisseurs ?

De très bonnes relations. Mes amis qui habitent encore sur place font du pain, des gâteaux, des confitures, qu’ils apportent aux militaires Russes.

Israël - Gaza : Washington met Netanyahu au pas - JT du jeudi 30 novembre 2023



 Publiée le 30/11/2023

Nous commençons ce soir avec le Proche-Orient. 

Alors que la trêve a été à nouveau prolongée dans la bande de Gaza, la situation en Cisjordanie est de plus en plus incandescente. Le spécialiste de la gestion de crise Hervé Carresse nous livrera son analyse.

En France, l’autoritarisme à deux vitesses a de beaux jours devant lui. La manifestation prévue à pour rendre hommage au jeune Thomas Paris a été interdite… Une décision qui fait écho à la répression judiciaire peu courante contre certains jeunes patriotes.

Et pour terminer, nous dresserons un état des lieux du trafic de drogue en France alors qu’une commission sénatoriale se penche sur ce fléau.

Attentat de Nice : l'ancien ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve visé par une plainte pour "homicide involontaire.


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@MDIALIBREVRIFI1 · 29 nov.



 Plainte déposée par Juan Branco devant la Cour de Justice défendant les intérêts d'un policier en faction ce jour-là, en raison des "failles" dans le dispositif de sécurité.

 C'est bien pire que cela. Il faut réécouter Sandra Bertin, la responsable du centre opérationnel de la police municipale et de la vidéosurveillance nicoises, qui, dès le lendemain des faits, accusait le ministère de l'Intérieur d'avoir voulu ni plus ni moins maquiller la scène du crime. 

 Elle affirmait avoir été "harcelée pendant une heure" pour attester "de positions spécifiques de la police nationale" sans aucune réalité sur les écrans. Mais aussi "effacer les bandes de six caméras" ayant filmé l’attaque, en rendant un rapport sous forme de document word "modifiable". Donc falsifiable. Pris au dépourvu, Bernard Cazeneuve, contre-attaqua en portant plainte contre elle pour diffamation. Mais elle fut relaxée par le tribunal correctionnel. 

Elle avait déposé plainte entre temps pour abus d'autorité, mais le procureur, Jean-Michel Prêtre, classa sans suite. Il s’était notamment basé sur le rapport de l’Inspection générale de la police réalisé sur la demande du ministre de l’Intérieur qui avait conclu que le dispositif de sécurité était "normalement dimensionné". 

 Sandra Bertin déposa plainte alors de nouveau, avec constitution de partie civile auprès du doyen des juges d’instruction, et au surplus, pour "escroquerie aggravée". Elle était profondément choquée et meurtrie d'être traduite en justice pour avoir dit la vérité.

 Une femme que la plupart considèrait comme "une fonctionnaire très consciencieuse, extrêmement bien notée, et qui ne faisait que son travail". Mais les juges du fond de discréditèrent subtilement sa parole, en considérant qu'elle avait "pu en toute bonne foi", "fatigue physique et nerveuse" aidant, "interpréter de manière erronée la demande" d'un commissaire, puis d'un commandant, puis d'une commissaire de la Direction centrale de la sécurité publique" (!) identifiée comme Myriam Benrhala. 

La procureure, quant à elle, beaucoup moins subtile, estima avec la même "impartialité" qu'elle avait "fantasmé" les pressions du ministère de l'intérieur. Pourtant, la justice disposait de tous les témoignages des personnes qui étaient autour de la policière municipale au moment des faits, et qui ont rapporté la même conversation, la même pression. 

 La sous-direction anti-terroriste (SDAT) de la police judiciaire, avec l'accord du Parquet, a même exigé du responsable du centre de supervision urbain de Nice, de "procéder à l'effacement complet des enregistrements de l'ensemble des caméras". Le tribunal remonta également la chaîne de commandement jusqu’à Patrick Strzoda, qui dirigeait à l’époque le cabinet de Bernard Cazeneuve. Le même qui dirige aujourd'hui le cabinet du président Emmanuel Macron. 

 Mais la policière ne cessa de clamer haut et fort : "Je n’ai fait que dire la vérité et, quelle que soit la décision, je maintiendrai ce que j’ai dit". Une vérité qui en cache une autre bien plus tragique : l’entrée du périmètre piéton de la promenade des Anglais n’était pas protégée par la police nationale le soir du 14 juillet, contrairement à ce qu'à affirmé le Ministère de l'intérieur, la Préfecture des Alpes-Maritimes, mais également le Premier ministre Manuel Valls. 

 À croire le communiqué officiel, le début de la zone piétonne de la promenade des Anglais aurait été barré par des voitures de la police nationale qui bloquaient le passage. Ce qui est entièrement faux.

 Le terroriste a donc pu rentrer facilement dans la rue piétonne avec son poids lourd en montant simplement le trottoir et commettre son carnage. Sans parler des multiples repérages avant les faits n'ayant éveillé aucun soupçon, avec un camion de 19 tonnes ayant pu traverser à plusieurs reprises une zone réservée uniquement à 1,3 tonne...

Pierre Martinet, Ex DGSE : "Une partie du monde musulman souhaite la Charia en Occident !"



 
 
  Sortie le 29 nov. 2023  
 
Ancien du service action de la DGSE, Pierre Martinet revient sur son parcours exceptionnel au sein des renseignements français, ainsi que sa prise d'otage en 2011 en Libye. 
 
À travers son expérience au cœur des réseaux islamistes, il nous livre également son constat sur notre pays, et sur le destin qui l'attend si rien ne change
 
 
  Sommaire : 0:00 -
 03:30 : Introduction 
 03:30 - 07:50 : Agent en Libye 
 07:50 - 11:30 : Guet apens à Benghazi  
11:30 - 15:00 : Formation à la DGSE 
 15:00 - 17:00 : Le rôle du Qatar  
17:00 - 21:20 : Les ressources psychologiques  
21:20 - 34:30 : La vie d'otage  
34:30 - 40:51 : Les otages israéliens à Gaza  
40:51 - 42:08 : Éliminer les dirigeants du Hamas  
42:08 - 46:40 : Importation du conflit en France  
46:40 - 51:10 : La stratégie des islamistes  
51:10 - 55:00 : Les solutions 
 55:00 - 59:30 : Vers un réveil des peuples européens  
59:30 - 01:04:00 : Franchir un cap dans la violence