Leur Machia'h est sur le bord d'une route pour le moment. Je me demande s'il fait du stop, s'il est en panne ou s'il fait la pute. https://t.co/gvhGETvO96
— EXOCET17™ 🇫🇷 (@excocet17) June 13, 2025
Ma France
Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
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samedi 14 juin 2025
La secte des choisis
En images : destructions et stupeur à Tel-Aviv après les tirs de missiles iraniens
Publié le :
L'Iran a répliqué en visant les principales villes israéliennes à l’aide de ses missiles balistiques, après avoir été la cible de frappes israéliennes d'une ampleur inédite. Les échanges de tirs se sont poursuivis, samedi 14 juin, faisant au moins trois morts en Israël et des dizaines de blessés, selon les secouristes. Côté iranien, le bilan humain est plus élevé et ne cesse de s’alourdir.
Les sirènes d'alerte ont retenti à travers l'Etat hébreu, vendredi soir. Quelques minutes plus tard, le dôme de fer, le dispositif antiaérien d’Israël, entrait en action, interceptant les projectiles iraniens.
Suivez notre direct🔴 Guerre Israël-Iran en direct : échanges de frappes en cours, Israël menace de "brûler" Téhéran
Saturé par l’envoi de drones iraniens et le nombre très important de missiles tirés depuis la République islamique, le dispositif de défense a été incapable d’intercepter tous les engins explosifs. Certains se sont abattus sur Tel-Aviv.
Les pompiers israéliens ont indiqué que leurs équipes intervenaient sur plusieurs incidents "majeurs", vendredi soir, après une attaque de missiles iraniens, notamment pour secourir des personnes piégées dans un gratte-ciel.

Des missiles iraniens sont interceptés par le Dôme de fer au-dessus de Tel Aviv, en Israël, le 13 juin 2025. © Reuters - Jamal Awad

Un missile iranien échappe au Dôme de fer et s'apprête à frapper Tel-Aviv, en Israël, le 14 juin 2025. © AP - Leo Correa

Un missile iranien s'abat sur Tel-Aviv et explose, le 13 juin 2025 © AP - Tomer Neuberg

Des secouristes évacuent une femme blessée à Ramat Gan, en Israël, le 13 juin 2025. © Reuters - Itai Ron

Une équipe de secours israélienne inspecte les ruines d'une maison détruite par un missile iranien à Rishon Leizon, en Israël, le 14 juin 2025. © AP - Ohad Zwigenberg

Une femme blessée reçoit des soins après que sa maison a été touchée par un missile iranien, à Tel-Aviv, en Israël, le 14 juin 2025. © AFP - John Wessels

Des juifs ultra-orthodoxes observent les dommages causés par des missiles iraniens à Tel-Aviv, le 14 juin 2025. © AFP - John Wessels
Le merdeux est prévenu, mais comme ce n'est pas lui qui va se trouver sous les bombes, il n'en a rien à foutre!
🔴SUIVI - « Le régime sioniste a commis une faute impardonnable » qui le « réduira à néant », déclare le Guide suprême iranien. L’armée israélienne dit avoir frappé les installations nucléaires d’Ispahan. Une nouvelle salve de missiles est en route vers l’État hébreu.
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) June 13, 2025
A moins qu'un missile n'est la bonne idée de se perdre du côté de l’Élysée.
Il y a des grandes claques dans la gueule et des coups de pied au cul qui se perdent
🔴 MAIS QUI A FRAPPÉ LE CRANE AVEC DES BARRES DE FER ? pic.twitter.com/AGqdWQWnWL
— Le Jarl (@le_jarl) June 14, 2025
Je vous parle d'un temps que les gauchiasses de moins de 50 ans ne peuvent pas connaître!
Joker: Shoah, holocauste, les mots magiques qui vous donnent le droit de massacrer civils, vieux femmes et enfants en toute impunité!
Israël/Iran: simple démonstrations de force réciproques ou début d’une déflagration mondiale
Israël/Iran: simple démonstrations de force réciproques ou début d’une déflagration mondiale ? https://t.co/dJpTLF3lhy
— Ma France (@pep_france) June 14, 2025
Iran: "promesse tenue 3"
Iran : « Promesse tenue 3 », l’Iran riposte à l’attaque israélienne. « Des image... https://t.co/AXcitv5Zk7 via @getsocial_io
— Ma France (@pep_france) June 14, 2025
Les émeutes continuent : des Irlandais du Nord manifestent contre l’immigration
Un viol serait à l'origine des troubles déclenchés le 9 juin. Pour Nigel Farage, il s'agit d'un « avertissement ».
Des heurts ont éclaté, lundi 9 juin, à Ballymena, en Irlande du Nord, à l'issue d'un rassemblement en soutien à une jeune fille qui aurait subi une tentative de viol. Les deux jeunes de 14 ans inculpés seraient d’origine roumaine, d’après la BBC, qui a rapporté la présence d’un interprète roumain lors de leur comparution au tribunal. Depuis, l'Irlande s'embrase.
De lundi à jeudi, des jets de cocktails Molotov et de projectiles divers ont été dirigés contre les forces de l'ordre, qui ont riposté avec des canons à eau. Sur la même période, 63 agents de police irlandais ont été blessés. Des manifestants masqués ont pris d'assaut des propriétés en ciblant celles des populations immigrées et ont brûlé des voitures. Ces actes de violence se sont même étendus à d'autres localités, mercredi et jeudi. À Larne, une ville située à environ trente kilomètres à l’est de Ballymena, un centre qui avait hébergé la veille des personnes en urgence à cause des troubles, a été également incendié, mercredi. Désordres et violences ont secoué la ville de Portadown pendant de nombreuses heures, jeudi soir. La police constate aussi des incendies à Coleraine, à Newtownabbey. Plusieurs graffitis anti-immigration font l'objet d'une enquête.
Les réponses policières
Le pouvoir, lui, regarde ailleurs. Le Service de police d'Irlande du Nord communique de manière très factuelle sur le viol à l'origine des émeutes, déclarant : « Nous avons jusqu'à présent accusé deux adolescents de tentative de viol et nos enquêtes se poursuivent. » Mais sur les émeutes déclenchées par ce viol, le ton change. Le chef adjoint de la police Ryan Henderson admoneste : « J'exhorte vivement toute personne impliquée dans les émeutes et le désordre d'hier à réfléchir longuement à ses actions et à son impact. » Les auteurs présumés du viol ne sont pas invités à réfléchir à leurs actes... Le même cherche à en finir avec ces émeutes : « Je répète, une fois de plus, notre appel au calme dans toute l'Irlande du Nord dans les jours à venir. » Mais au gouvernement, personne ne semble prendre la mesure de l'exaspération populaire vis-à-vis de l’immigration. Les schémas restent les mêmes.
vendredi 13 juin 2025
Mort de l'analyste stratégique non aligné Éric Denécé
Mort de l'analyste stratégique non aligné Éric Denécé https://t.co/vKb5V4QWyk
— Ma France (@pep_france) June 13, 2025
Éric Dénécé, Le géopolitologue que rudy reichstad traînait constamment dans la boue
Le 13/06/2025
François Asselineau
@f_asselineau
À cause de ce type de position, courageuse et qui va à l'encontre des narratifs officiels avec lesquels l'oligarchie et les médias labourent le cerveau des Français, Éric Denécé avait fait l'objet d'une campagne systématique de dénigrement et de calomnies. Sa page Wikipédia était ainsi devenue, au fil des années, une véritable entreprise de démolition se parant des attraits de l'objectivité et de la neutralité : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89ric_Den%C3%A9c%C3%A9
On y trouve notamment d'abondantes citations de Conspiracy Watch, de Rudy Reichstadt, qui s'était fait une spécialité - depuis des années - de traîner dans la boue le travail, la personne et l'honneur d'Éric Denécé.
C'est, en somme, une véritable "cible dans le dos" que tous les chiens de garde euro-atlantistes avaient fini par lui accrocher, lâchement et sournoisement.
Paix à son âme.
Suicide ou assassinat ?https://t.co/z1EAk6XUBO
— abcd (@abcd237578) June 13, 2025
Israël/Iran : à l’aube d’une 3ème Guerre mondiale ? - JT du vendredi 13 juin 2025
Publiée le 13/06/2025
A la une de cette édition, les attaques de Tel-Aviv sur Téhéran.
Israël a ouvert les hostilités contre son premier rival au Proche-Orient
Une page européenne et judiciaire ensuite avec les des 27 Etats membres de l’UE qui discutent de l’adhésion de l’UE à la Convention européenne des droits de l’homme. L’Italie et le Danemark sont réticents.
Et enfin, l’agriculture dans le débat parlementaire. Le monde paysan se divise sur la question d’un pesticide interdit en France, sauf pour les produits importés.
La guerre entre Israël et l'Iran a commencé !
Trier les déchets ? Agents valoristes ! Foutaises insupportables

par Charles Sannat | 13 Juin 2025 |
Cet article de France 3 (source ici) revient sur les agressions verbales et parfois physiques dont sont victimes nos « agents valoristes » dont le titre pompeux me fait encore rire.
Je suppose qu’ils se verront décerner une médaille du type Ordre national du bac vert, le summum étant Grand Croix de l’ordre du Bac jaune ! Tout ceci est ridicule.
Tous les jours, un nouvel impôt
Tous les jours, une nouvelle taxe
Tous les jours, une nouvelle contribution
Tous les jours, une nouvelle norme
Tous les jours, une nouvelle interdiction
Tous les jours, une nouvelle obligation
Je ne justifie aucune violence ni aucune agression, vous savez que je défends l’idée que l’on doit pouvoir se défendre non pas à la pointe de l’épée comme Zorro, mais à la pointe de nos stylos, de nos plumes, avec le droit et les recours en justice. C’est à ce prix qu’une société est pacifiée et je suis profondément opposé à toute violence. L’une des vocations essentielles de ce site est aussi de passer des messages à ceux qui nous dirigent et sur la gestion des poubelles ils sont aussi hors sol que pour les DPE ou les ZFE.
Alors évidemment, des gens qui gèrent un peu moins bien leurs émotions que la moyenne s’énervent du monde d’Ubu que l’on nous impose.
Gérer les déchets ne peut pas et ne doit pas devenir une préoccupation n’en déplaisent à nos amoureux des fresques du climat qui pensent qu’ils vont tous mourir dans d’horribles souffrances climatiques.
Vous ne pouvez pas demander aux gens de passer des heures à se conformer à un empilement de règles et de normes de plus en plus étouffantes.
D’un point de vue général tout cela finit par rendre les gens aussi improductifs que totalement fous.
Nous créons les conditions de la haine et de la violence par une pression permanente exercée sur les gens.
Nos dirigeants ne s’en rendent pas compte.
Ils ont créé un système incroyablement violent et déshumanisant à l’égard de populations qui sont plutôt gentilles en les traitant plus mal que les vrais méchants.
Ils ne s’en rendent pas compte, mais ils dansent sur un volcan et il est à quelques minutes du réveil et ce réveil sera d’une violence terrifiante.
« Bon à rien », « J’en ai rien à foutre », « Vous passerez le balai ». Des agents de déchèterie excédés par les incivilités au quotidien
« Les agents valoristes vous aident à jeter vos déchets dans la bonne benne en déchèterie. Ils conseillent et surveillent. Et ça ne plaît pas toujours. Un mois après qu’une agente a été renversée par un automobiliste dans un site près de Lisieux, des agents racontent leur quotidien fait d’incivilités.
« Il suffit qu’on ait le dos tourné et ils sont comme des enfants. Tout à coup, certains jettent leurs déchets dans la mauvaise benne alors qu’on vient de les informer » s’agace Martine. Elle travaille aux côtés de Michel dans l’une des huit déchèteries de l’agglomération de Lisieux.
Des incivilités devenues quotidiennes
Si dans la très grande majorité des cas, les relations avec les habitants sont bonnes, les incivilités et agressions verbales sont devenues leur lot quotidien.
« Ils n’ont pas d’âme » : la charge de la mère d’Elias contre les barbares

Face à Apolline de Malherbe, la mère du jeune Elias a taillé en pièces les théoriciens du « vivre-ensemble ».
Un courage et une dignité qui impressionnent. Moins de cinq mois après la mort du jeune Elias, 14 ans, tué à coup de machette en plein Paris pour un simple vol de téléphone portable, sa mère a pris la parole ce mardi matin sur BFMTV. Celle qui avait publié quelques jours plus tôt une lettre ouverte intitulée « Qui s’est moqué d’Elias ? » est revenue avec le même franc-parler sur le profil des meurtriers de son fils. « Les mots ont un sens. Ce sont des barbares, a-t-elle déclaré dans le plus grand calme, donnant raison à Bruno Retailleau. C'est la définition du dictionnaire : ils sont décivilisés. Ils n'ont pas de morale, ils n'ont pas d'âme. »
Les deux adolescents suspectés d'avoir tué Elias "n'ont pas présenté d'excuses, ils ne comprennent pas ce qu'ils ont fait", explique la mère du jeune homme pic.twitter.com/etCS5DBHAl
— BFMTV (@BFMTV) June 10, 2025
Face à une Apolline de Malherbe quelque peu décontenancée par une telle liberté de ton, la mère endeuillée n’a rien caché du profil psychologique des deux suspects mineurs, adeptes du look jogging-baskets, que la presse a audacieusement rebaptisés « Joe » et « Lucien ». Elle a raconté notamment leur absence totale d’empathie et de remords après les faits. « Ils n'ont pas présenté d'excuses, a ainsi relaté Stéphanie. Ils ne comprennent pas ce qu'ils ont fait. Au contraire. Ils disent qu'ils ne savent pas. Ils poignardent un enfant, ils n'ont pas d'explication. »
La violence clanique
Sur X, certains ont voulu voir dans cette attitude une « question de QI ». La possibilité d’une déficience cognitive n’est en effet pas à exclure, mais d’autres mécanismes semblent être en jeu. Très présent dans les médias ces derniers jours, le pédopsychiatre Maurice Berger a largement étudié cette jeunesse ultra-violente, décivilisée et dénuée de toute empathie envers ses victimes. Il a pointé le laxisme judiciaire qui incite à la récidive, mais aussi l’organisation clanique et le bain culturel dans lesquels évoluent ces jeunes gens depuis leur plus tendre enfance. La question ethno-civilisationnelle est bien entendu centrale. Lors de ses prises de parole, Maurice Berger souligne régulièrement l’écrasante surreprésentation des enfants de l’immigration parmi les mineurs violents. En juin 2024 encore, il prenait l’exemple d’un jeune Kosovar qui ne témoignait pas la moindre trace d’empathie envers les deux personnes qu’il avait manqué de trucider.
jeudi 12 juin 2025
Von der Leyen éclipsée par Donald Trump - JT du jeudi 12 juin 2025
Publiée le 12/06/2025
A la une de cette édition, Ursula von der Leyen, toujours énervée mais surtout marginalisée, tente de faire diversion alors qu’elle doit négocier les tarifs douaniers avec Donald Trump.
Nous évoquerons ensuite la lame de fond migratoire qui continue de se déverser en Europe et notamment en France.
Et enfin en Israël, le premier ministre Netanyahou fait face à une crise politique interne. A l’impunité internationale s’ajoute un soutien de ses alliés ultra-orthodoxes…
Le gouvernement relance le nucléaire… mais sans argent !

par Charles Sannat | 12 Juin 2025 |
Le gouvernement vient de signer le document qui fixe ses engagements avec les professionnels de l’atome jusqu’en 2028 nous apprend Franc info (source ici).
En effet, c’est du sérieux, c’est même du « lourd » comme diraient mes enfants… « Le gouvernement a signé mardi 10 juin ce qu’on appelle le contrat de filière nucléaire pour la période 2025-2028. Il permet d’appliquer concrètement l’ambition affichée par Emmanuel Macron lors de son discours prononcé à Belfort en février 2022. Discours dans lequel le président de la République avait annoncé un programme de construction de six nouveaux réacteurs nucléaires, avec option pour huit autres à terme. Ce fameux programme EPR2 visait initialement une entrée en service des nouvelles installations en 2035, au moins pour un premier réacteur, mais l’échéance a été reportée à 2038. »
Merveilleux donc pour l’avenir énergétique du pays… mais, comme toujours il y a un MAIS !
« Dans les projections faites en 2020, le coût du programme avait été estimé à près de 52 milliards d’euros. Mais en cinq ans, le chiffrage a été réévalué. Aujourd’hui, la Cour des comptes – qui se base sur un chiffrage d’EDF – parle d’environ 80 milliards d’euros. Vu le contexte budgétaire de la France, l’équation paraît compliquée, d’autant que le contrat de filière signé par l’État n’aborde pas directement le financement du programme. On sait simplement que la puissance publique s’engage à prêter de l’argent. Un prêt à taux préférentiel couvrant au moins 50% du devis initial.
EDF est en train de peaufiner ses chiffrages et doit rendre sa copie, normalement, d’ici la fin de l’année 2025.
Quentin, Justin… ces prénoms de mineurs que les médias s’autorisent à révéler

En revanche, gare à vous si vous osez rendre publique l'identité d'un suspect mineur au prénom exotique !
Elle s’appelait Mélanie. Mardi 10 juin, cette jeune femme est morte à Nogent, en Haute-Marne, victime d’une attaque au couteau survenue au sein du collège où elle occupait le poste d’assistante d'éducation. Elle était maman d'un petit garçon de quatre ans.
Rapidement, son CV complet a été déroulé dans la presse : trentenaire dévouée, investie en tant que conseillère municipale, ancienne coiffeuse, puis, depuis septembre 2024, chargée d'encadrer les élèves en dehors des temps de classe au collège Françoise Dolto.
Sur l’assaillant en revanche, très peu d’informations ont filtré dans un premier temps. On a seulement su son âge, son absence de casier judiciaire et son profil « tout à fait normal ». Le suspect étant mineur, il est vrai que les médias sont tenus à une certaine retenue. Mais dès l’ouverture de son JT de 13 heures, l’audiovisuel public a brisé l’omerta et s’est permis de divulguer le prénom du jeune homme : Quentin.
Il est à peine 13h01 et France TV n’hésite pas donner le nom du collégien meurtrier… Quentin G. pic.twitter.com/GkueSf8L59
— Destination Télé (@DestinationTele) June 10, 2025
L’information a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, suscitant parfois des commentaires ironiques. « Mauvaise nouvelle pour Marine Le Pen, Jordan Bardella et Eric Zemmour : le gamin de 14 ans qui a poignardé à mort une surveillante de collège à Nogent se prénomme Quentin. Va falloir chercher une autre explication que le "grand remplacement" », a ainsi ironisé Jérôme Godefroy, ancien présentateur du journal de RTL de la mi-journée. « L’extrême droite n’en parlera pas parce que le jeune qui a tué Mélanie s’appelle Quentin », a ajouté l’influenceur algérien Kamil Abderrahman. Mauvaise pioche : la droite dans son ensemble a passé tout le reste de la journée à commenter le meurtre de la malheureuse Mélanie.
Les prénoms autorisés
La révélation par un média de service public du prénom d’un suspect mineur a de quoi étonner. « Vous remarquerez que lorsque le tueur au couteau s'appelle Quentin, on a le droit de publier son prénom, même s'il est mineur », a ainsi observé un internaute attentif. Ce n’est effectivement pas la première fois que l’interdiction de dévoiler l’identité d’un suspect mineur - édictée par l’ordonnance de 1945 - est allègrement piétinée. En avril dernier, certains s’étaient assis sur leurs beaux principes déontologiques et avaient publié le prénom d’un jeune de 16 ans, suspecté d’être l’auteur d’une attaque mortelle dans un lycée à Nantes.
Moi qui croyais que les prénoms devaient rester cachés lorsqu'on avait affaire à des mineurs. Visiblement, cette règle n'est plus de rigueur lorsque l'individu se prénomme Justin... https://t.co/pqm4dSoRZE
— Jean Kast (@jeankastoff) April 24, 2025
En décembre 2023 déjà, les médias n’avaient eu aucun mal à dévoiler le prénom, mais aussi le dossier médical, d’un jeune de 15 ans, accusé du meurtre de ses parents. Il faut croire que Justin, Quentin et Valentin font partie de ces rares prénoms qu’il est permis de communiquer au public...
Les prénoms interdits
mercredi 11 juin 2025
Merci pour tous les soldats d'hier, d'aujourd'hui et de demain
Le vieux soldat
Indochine. Stanislas Butryn, héros de Diên Biên Phu, s’éteint dans l’indifférence d’un pays amnésique [ Macron avait récemment rendu hommage à son bourreau Hô Chi Minh]
Il fut l’un des derniers survivants de l’enfer de Diên Biên Phu, un soldat de Bigeard, un homme de devoir, de courage, de silence. Stanislas Butryn est mort le 9 juin 2025, à l’âge de 89 ans.
Dans un pays dirigé par un pouvoir plus prompt à honorer les ennemis d’hier que les combattants de la France, sa disparition n’a guère suscité d’émotion officielle — si ce n’est un hommage de circonstance, hypocritement relayé par la Ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens combattants, ministre d’un gouvernement qui s’agenouille devant l’Algérie, il faut le rappeler.
Deux sauts sur Diên Biên Phu, et une marche de 800 km dans la jungle
À 18 ans, en 1952, Stanislas Butryn s’engage dans les troupes aéroportées et rejoint le mythique 6e BPC de Marcel Bigeard. Il saute une première fois sur Diên Biên Phu le 20 novembre 1953. Il y retournera dans l’enfer du feu le 15 mars 1954, alors que le camp retranché est déjà encerclé. Il participe aux combats acharnés, jusqu’à la chute finale.
Fait prisonnier, il entame avec des milliers d’autres captifs une marche à travers la jungle vietnamienne. Huit cents kilomètres de souffrance, d’épuisement, de fièvres, de morts anonymes et de camarades abandonnés aux fossés. Il survivra aux camps du Viêt-Minh. Ce que beaucoup n’ont pas fait.
Un fait d’armes, longtemps ignoré, illustre la noblesse silencieuse de cet homme. Boulevard Voltaire, dans un superbe article d’Arnaud Florac, le rappelle. Dans la nuit du 3 au 4 mai 1954, il reconnaît dans le no man’s land un camarade laissé pour mort par les Viets, dépouillé de sa plaque d’identité. Il obtient l’autorisation de le ramener, et le porte sur son dos, sous les balles, traversant une rivière, avant de le déposer vivant au poste de secours… puis de repartir au combat. Il ne racontera jamais cette histoire. Elle ne sera révélée qu’en 2014.
Stanislas Butryn était titulaire de la Médaille militaire (à 21 ans), de la Légion d’honneur et de l’Ordre national du Mérite. Cinq fois cité, deux fois à l’ordre de l’armée.
Le ministère salue. Le président Macron, lui, saluait Ho Chi Minh.
Les autorités ont, timidement, rendu hommage à sa mémoire. Mais quelle valeur donner à ces hommages, lorsque le président de la République lui-même, en visite au Vietnam en 2023, allait se recueillir à Hanoï devant le mausolée de Ho Chi Minh, le bourreau communiste des soldats français comme des centaines de milliers de Vietnamiens ?
Quelle dignité y a-t-il à honorer d’un côté les combattants français morts pour leur pays, et de l’autre, saluer l’idéologue responsable des tortures, des famines organisées, des massacres de prisonniers et des purges dans son propre camp ?
Une France qui oublie ses héros, mais se souvient de ses ennemis
Le contraste est cruel. D’un côté, un héros, un vieil homme qui meurt dans l’ombre, loin des projecteurs, symbole d’une génération de guerriers effacés, mais debout. De l’autre, une République qui préfère faire mémoire de ses défaites et de ses bourreaux plutôt que de ses héros. Aujourd’hui, il ne reste plus grand-chose de l’Indochine dans la conscience collective française : quelques films, une poignée de livres, quelques anciens qui s’éteignent dans l’oubli. Le devoir de mémoire a été remplacé par le devoir d’amnésie.
Stanislas Butryn appartenait à cette lignée d’hommes qui n’attendaient pas les médailles mais combattaient pour une certaine idée de la France. Une France forte, digne, qui ne baissait pas les yeux, qui ne confondait pas ses ennemis et ses enfants.
Diên Biên Phu : le courage jusqu’au bout, l’honneur dans la défaite
13 mars – 7 mai 1954 : au fond d’une vallée perdue du Nord-Tonkin, l’armée française vit l’un des épisodes les plus tragiques, mais aussi les plus héroïques de son histoire contemporaine. Pendant 56 jours, les soldats du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient (CEFEO) résistèrent à l’assaut massif des forces du Viêt-Minh dans ce qui restera comme la plus grande bataille de la guerre d’Indochine, et son épilogue sanglant. Mais si Diên Biên Phu fut une défaite militaire, elle reste, pour ceux qui l’ont vécue ou étudiée, une victoire de l’esprit de sacrifice et de fidélité au devoir.
En 1953, le commandement français, dirigé par le général Henri Navarre, entend redonner l’initiative à l’armée française. L’idée est simple : établir une base aéro-terrestre dans la vallée de Diên Biên Phu, au nord-ouest du Vietnam, près de la frontière laotienne. Objectif : attirer le gros des forces du Viêt-Minh dans une bataille rangée, dans un endroit isolé mais supposé contrôlable par les airs. La cuvette est jugée idéale pour y fixer les divisions ennemies, les bombarder depuis les hauteurs, et les anéantir.
Mais les stratèges français sous-estiment gravement les capacités logistiques et opérationnelles du Viêt-Minh, dirigé par le général Giap, ancien instituteur formé à la guerre populaire.
Dès novembre 1953, les premiers parachutistes français sautent sur
Diên Biên Phu. Des milliers de tonnes de matériel sont acheminées par
avion. La garnison monte à près de 15 000 hommes :
légionnaires, marsouins, tirailleurs africains et nord-africains, Thaïs
fidèles à la France, parachutistes coloniaux du 6e BPC de Bigeard.
Des soldats jeunes, aguerris, souvent idéalistes. Beaucoup se battent là pour la France, d’autres pour une cause perdue, certains par fidélité à leurs frères d’armes.
Mais le Viêt-Minh encercle progressivement la cuvette, transporte à la main des canons de 105 mm et des pièces d’artillerie jusque sur les hauteurs. Une performance logistique titanesque. Lorsque le feu s’ouvre le 13 mars 1954, Diên Biên Phu devient un piège mortel.
56 jours d’enfer, 56 jours de résistance héroïque
Le camp est divisé en plusieurs points d’appui, baptisés de noms féminins : Béatrice, Gabrielle, Anne-Marie, Dominique, Éliane, Claudine… Tous vont tomber, au prix de combats acharnés, souvent au corps-à-corps. Les parachutistes sautent parfois sur des zones déjà prises par l’ennemi. Les blessés sont soignés dans des conditions effroyables. L’artillerie ennemie écrase la piste d’aviation, coupant le camp du ravitaillement. Seuls les parachutages de nuit permettent de maintenir un semblant de logistique.
Malgré cela, la résistance tient. Des
contre-attaques sont menées. Des faits d’armes se succèdent : des hommes
se battent jusqu’à la dernière cartouche, refusent de se rendre, s’enterrent dans les tranchées, souvent sans espoir de retour. Ce n’est pas une retraite, c’est une tenue du front jusqu’au bout, dans des conditions extrêmes.
Le 7 mai 1954, le camp est submergé. La bataille est perdue. Plus de 10 000 Français sont faits prisonniers.
Commence alors la longue marche vers les camps de prisonniers du Nord-Vietnam. Près de 800 km à pied dans la jungle, sous la pluie, affamés, blessés, sans soins. Sur 10 000 prisonniers, à peine 3 300 survivront. Les autres mourront d’épuisement, de dysenterie, ou seront exécutés. La France, elle, pleure ses morts dans le silence. Les politiques, bientôt accaparés par les Accords de Genève, préfèrent oublier.
Le Viêt-Minh mène une guerre de libération nationale, idéologiquement communiste, mais puissamment soutenue par l’URSS et la Chine de Mao. La France, usée par la Seconde Guerre mondiale, affaiblie par la décolonisation, y mène une guerre à la fois militaire et politique. Diên Biên Phu illustre les limites de l’armée française dans une guerre asymétrique : manque de moyens aériens durables, mauvaise évaluation de l’ennemi, erreurs stratégiques. Mais ce n’est pas sur le terrain que le courage a manqué — bien au contraire.
La défaite de Diên Biên Phu précipite la signature des Accords de Genève en juillet 1954. Le Vietnam est coupé en deux : au nord, le régime communiste de Hô Chi Minh ; au sud, une République anticommuniste soutenue par les États-Unis.
La France quitte l’Indochine, laissant place à une nouvelle guerre, celle du Vietnam.
Aujourd’hui, le nom de Diên Biên Phu est parfois moqué, ou oublié. On parle de « bataille coloniale », de « défaite inutile ». C’est faire insulte à ceux qui y ont laissé leur jeunesse, leur santé, leur vie. Les Bigeard, les Butryn, les haut-parleurs du camp qui hurlent en vain « Tenez bon », les anonymes, tous ceux dont la tombe se perd dans les forêts du Tonkin : ils ne se sont pas battus pour la gloire, mais pour leurs camarades, pour leur honneur, pour leur pays. Diên Biên Phu fut une défaite militaire. Mais c’est une victoire morale éternelle. Celle d’une poignée d’hommes refusant de céder, dans une guerre déjà perdue. Une France debout au fond d’un trou d’obus, qui n’a jamais baissé les yeux.
YV.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2025 dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Emeutes : Donald Trump face à l’Etat profond - JT du mercredi 11 juin 2025
Publiée le 11/06/2025
Pour commencer cette édition, nous partirons aux Etats-Unis avec une question : manifestation spontanée ou orchestration politique ?
Les
émeutes qui frappent Los Angeles pourraient bien cacher une opération de
déstabilisation contre Donald Trump.
En Ukraine, Volodymyr Zelensky doit faire face à une nouvelle difficulté de taille : le retour des soldats morts au front.
Et puis nous reviendrons en France pour évoquer l’attaque mortelle dans un collège en Haute-Marne. L’ensauvagement s’étend face aux autorités désemparées.
« Professeur Trouposol les caisses sont vides… Aucune commande passée par l’armée depuis le début de l’année. ». L’édito de Charles SANNAT

par Charles Sannat | 11 Juin 2025 |
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Notre Professeur Trouposol a de grandes ambitions.
Il veut mettre la Russie à genoux.
Il veut protéger à lui tout seul l’Ukraine.
Il veut même déployer des troupes au sol, d’où son petit surnom aimable de Professeur Trouposol en référence au professeur Tournesol de Tintin nettement plus sympathique que notre triste Sire du palais et Mozart de la finance d’un pays qu’il ruine consciencieusement depuis 7 ans.
Mais Macron ne se trompe pas. Jamais. C’est la réalité qui a tort. Toujours.
Pourtant même Challenges le dit.
« Il n’y a plus un kopeck en caisse » : pourquoi les commandes du ministère des Armées sont à l’arrêt titre le magazine Challenges (source ici) qui n’est pas franchement un journal complotiste et encore moins pro-russe!
« Etranglé par Bercy, le ministère des Armées ne passe quasiment plus de commandes aux industriels depuis le début de l’année. Entre gels de crédits et opérations non remboursées, la situation apparaît de plus en plus périlleuse. »
« Dans la défense comme ailleurs, il y a les grands discours et il y a la réalité. Quelques semaines à peine après les promesses de hausse massives du budget militaire, Emmanuel Macron évoquant 3,5 % de PIB contre 2 % actuellement, et Sébastien Lecornu un budget de 90-100 milliards au lieu des 50 milliards actuels, les industriels français de la défense se réveillent avec une sacrée gueule de bois. Depuis le début de l’année, aucune ou presque des commandes majeures prévues en 2025 n’a été officiellement signée par la Direction générale de l’armement (DGA).
Le budget 2025 prévoit pourtant des commandes importantes : lancement de la réalisation du porte-avions de nouvelle génération (PA-NG) ; commandes de missiles Mistral, Aster, Scalp, Mica, Akeron MP, Meteor ; commande d’une frégate de défense et d’intervention (FDI). Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu avaient aussi évoqué une commande de Rafale pour l’armée de l’air et la marine, le chiffre de 30 avions étant évoqué ».
D’ailleurs cela n’est pas sans rappeler les gendarmes incapables de payer les loyers des casernes !
A propos de lutter contre les Russes, il n’y a plus un kopeck en caisse pour gagner la guerre, car une guerre cela coûte cher.
Bomber le torse c’est une chose.
Avoir les moyens d’aller à la castagne c’est autre chose.
Pour faire la guerre il faut une nation, une unité, un patriotisme partagé, il faut une adhésion, avoir une envie partagée de protéger quelque chose de plus grand que soi, il faut donc une immense motivation, et enfin il faut des moyens.
Nous n’avons objectivement rien de cela et je le dis depuis des mois.
Il nous reste nos dettes.
Il nous reste nos impuissances.
Il nous reste la chienlit qui sévit en masse dans ce pays où Macron, notre petit père des peuples, veut aller faire la guerre à l’ogre russe alors qu’il n’est pas capable de faire la guerre aux vrais délinquants d’ici. Il sait tout juste réprimer la jacquerie des Gilets Jaunes, qui n’étaient rien d’autres que de braves gars pas franchement méchants et surtout très légalistes.
Il nous reste les caisses vides.
Au bout du chemin, c’est la faillite tranquille.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Joué-lès-Tours : 80 jeunes affrontent les forces de l'ordre au cours d'une nuit d'émeutes

Le quartier de La Rabière a connu une nuit particulièrement agitée entre lundi et mardi. Près de 80 jeunes se sont opposés aux forces de l’ordre dans des affrontements violents qui ont duré plusieurs heures.
Un tramway attaqué
Les premiers incidents surviennent peu après 23 h 30. Un tramway est pris pour cible par des jets de pierres, suivi rapidement par des feux de poubelles et la mise en place de barricades dans les rues du quartier. Selon les autorités, ces actes visaient probablement à attirer l’attention des secours et des forces de sécurité.
Parallèlement, le centre d’appel d’urgence est saturé d’appels signalant des incendies de véhicules – dont certains s’avéreront fictifs. Une tactique qui semble avoir eu pour but de disperser les effectifs et créer un climat de confusion.
[EDITO] Mélanie, tuée à coups de couteau : ce pays où les tueurs sont des enfants

Chaque semaine le confirme : il y a de plus en plus de mineurs meurtriers en France.
Le drame se réinvite à l'école. Mélanie, 31 ans, ancienne coiffeuse devenue surveillante d'éducation, décédée ce 10 juin sous les coups de couteau d’un jeune de 14 ans devant le collège Françoise-Dolto à Nogent (Haute-Marne), allonge la liste des victimes de nos enfants meurtriers. Pendant qu’Emmanuel Macron attaque « ceux qui préfèrent, pendant ce temps-là, brainwasher sur l’invasion du pays et les derniers faits divers », des enfants tuent, en France.
Comme dans les pays en guerre.
Un adolescent de 16 ans est suspecté d’avoir tué, la semaine dernière, un jeune de 17 ans à Dax (Landes). Il a été mis en examen, dimanche 8 juin, pour assassinat et placé en détention provisoire, selon le parquet de Mont-de-Marsan. Plusieurs coups de couteau au thorax ont ainsi soldé définitivement une affaire de vol de… casquette. Le mis en examen « est défavorablement connu des services de police et de la justice, notamment pour des faits de port d’arme », selon la procureur. Le jeune Elias est décédé le 25 janvier dernier après une attaque à la machette : deux mineurs de 16 et 17 ans ont été mis en examen et écroués. Les deux suspects ont un parcours de délinquance chargé…
Les enfants meurtriers de plus en plus nombreux en France
On se souvient de ce chauffeur de VTC exécuté froidement d’une balle dans la nuque, le 4 octobre 2024, par un mineur de 14 ans. De Matisse, 15 ans, poignardé à mort au pied d'une barre d'immeuble à Châteauroux par un mineur afghan du même âge, le 27 avril 2024. Dans nos banlieues, on recrute apparemment sans frein des jeunes tueurs à gages, de 12 ou 13 ans : pour quelque 10.000 à 20.000 euros, un mineur exécute froidement une personne qu’il ne connaît pas. La liste est longue.
Si l’on cherchait un signe d’ensauvagement, le nombre croissant de mineurs meurtriers parlerait de lui-même. En mars dernier, Le Monde reconnaissait, après quelques détours, contraint et forcé, que « si, entre 2000 et 2019, le nombre de mineurs condamnés pour homicide ne dépassait jamais le nombre de trente par an (sauf en 2002 et 2007), il évolue depuis plutôt entre trente et quarante, pour atteindre le chiffre record de quarante-deux en 2022 ». Par ailleurs, « le nombre d’adolescents poursuivis pour assassinat, meurtre, coups mortels ou violence aggravée a ainsi quasiment doublé depuis 2017, passant de 1.207 à 2.095 en 2023 ». De quoi « brainswasher sur les derniers faits divers », non ? Le 21 novembre 2024, déjà, le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, constatait, sur CNews, que « de plus en plus de jeunes sont des tueurs ». Un fait divers, cela, aussi ?