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vendredi 24 janvier 2025

Grenoble. Trouver un accord pour vivre avec les dealers… La déclaration hallucinante du maire Eric Piolle.


 

 par | 24 Jan 2025 |

 

Un “modus vivendi” vous savez ce que cela veut dire ?

Cela veut dire “vivre avec”, “trouver un accord”. Du compromis à la compromission il n’y a qu’un pas allègrement franchi par de trop nombreux dirigeants de ce pays.

Le progressisme qui cache la régression

Lâcheté, permissivité, mollesse, médiocrité assumée et érigée au rand de “valeur de la république”, ce “progressisme” qui ne vise qu’à cacher une immense régression collective.

La gauche française est devenue ce qu’il y a de pire, car d’abord drapée dans de beaux sentiments, elle a progressivement dérivée dans une démagogie qui loin de servir les plus fragiles et les plus modestes en réalité les détruits et les maintient dans la pauvreté, dans la violence, dans des quartiers épouvantables, ou encore dans une inculture crasse qui les bloquera à jamais.

Il faut le dire avec courage.

C’est la gauche qui a mis en panne l’ascenseur social.

Elle l’a cassé.

Détruit.

On ne négocie pas avec les dealers !

On ne négocie pas avec les dealers ou les délinquants, sinon, c’est la fin de l’état de droit. C’est l’anarchie. C’est l’effondrement de l’Etat (sous vos yeux) et c’est l’ascension d’un narco-Etat.

Dans 5 ans, nous ne vaudrons guère plus que la Colombie de Pablo Escobar.

Stop au mythe des immigrés dévoués et des Français fainéants !

Capture d'écran X  
 
Capture d'écran X

L’anti-trumpisme est à la mode. Après avoir été moqué sur son look, attaqué sur sa vie privée et culpabilisé sur ses soutiens, le président américain réélu est maintenant critiqué sur son programme. 

 Il fallait s’y attendre, c’est de bonne guerre. Sa politique migratoire, notamment, lui vaut de sévères sermons, aux États-Unis comme en France.

Mercredi 22 janvier, l'économiste Stéphanie Villers était ainsi de passage sur le plateau de BFM TV pour y dénoncer les effets pervers de la sévérité promise par Donald Trump dans le domaine. « Cette main-d'œuvre immigrée permet des coûts salariaux faibles, a-t-elle ainsi expliqué. Revenir sur cette main-d'œuvre qui est moins chère, ça va générer de l'inflation. » Ben voyons !

 

 

On connaît par cœur ce discours de gauche qui nous explique, la main sur le cœur, que l’économie d’un pays développé tient grâce à sa main-d’œuvre immigrée, bon marché et corvéable à merci. Incapables de voir plus loin que leur nez, ces théoriciens refusent de voir que les petites mains que nous importons en France depuis des décennies ne nous permettent plus de créer de la richesse. Il s’agit d’un prolétariat sous-qualifié qui tire les salaires vers le bas et qu’il faut sans cesse renouveler, pesant ainsi négativement sur le budget de l’État, sans contribuer pour autant à faire baisser le chômage. Notre pays ne s’y retrouve pas.

L’immigrationnisme devenu fou

En dépit du réel, on continue de nous répéter que l’immigration est une « chance pour la France ». On se sert de cas individuels - un médecin émérite, un employé dévoué… - pour nous faire l’article de flux migratoires qui seraient uniformément bénéfiques, majoritairement constitués de petits génies et de grands diplômés. C’est loin d’être vrai. Comme en atteste l’INSEE, l’essentiel des populations que nous accueillons présente un taux de chômage supérieur à la population autochtone : Maroc (15 %), Tunisie (15 %), Turquie (14 %), Algérie (14 %), Afrique noire (13 %)…

 

 

jeudi 23 janvier 2025

Vivement le 30 Janvier

 

 

Davos: Larry Fink, le PDG de BlackRock en panique

Big Brother devient aveugle

 

Le Sénat supprime les avantages accordés aux anciens présidents de la République et Premiers ministres



Publié le

Par Guillaume Jacquot 

 

Les sénateurs ont adopté un amendement au budget 2025, contre l’avis du gouvernement, afin de mettre fin aux avantages des anciens présidents de la République et anciens Premiers ministres : voiture personnelle avec chauffeur, collaborateurs ou encore secrétariat.

Lorsqu’il était encore en poste à Matignon, Michel Barnier s’était montré favorable à « demander un effort aux anciens ministres et anciens Premiers ministres », pour un État « plus sobre ».

 Désormais lui-même dans cette situation, l’ancien chef du gouvernement, comme tous ceux qui l’ont précédé, pourrait se voir appliquer cette rigueur.

Le Sénat a adopté ce 22 janvier un amendement dans ce sens au projet de loi de finances pour 2025. Déposé par la centriste Nathalie Goulet, l’amendement a supprimé l’enveloppe destinée aux dépenses afférentes aux anciens présidents de la République et aux anciens Premiers ministres, soit 2,8 millions d’euros par an. C’est la réduction maximale qui a été retenue, car deux autres amendements proposaient de diminuer partiellement cette ligne budgétaire. L’amendement doit encore être retenu dans la suite de la navette parlementaire pour entrer en vigueur.


« J’ai vérifié, personne n’est aux Restos du cœur »

« Dans l’ensemble, ils ne sont pas des grands nécessiteux de la République, ils ont tous un certain nombre de retraites et ont tous des postes de consultant. J’ai vérifié, personne n’est aux Restos du cœur », a justifié la sénatrice de l’Orne. « Quand on demande aux Français de faire des efforts, ils ne comprendraient pas que l’État ne commence pas par lui-même et par éviter les dépenses superflues », a également argumenté le sénateur Michel Canevet (Union centriste).

Pour rappel, la France compte 16 anciens Premiers ministres, et ces derniers peuvent bénéficier d’une voiture avec l’attribution d’un chauffeur et d’un secrétariat s’ils n’en disposent pas dans le cadre d’un mandat parlementaire, d’un mandat d’élu local ou d’une autre fonction publique.

« Entre 2022 et 2023, les crédits consacrés aux anciens Premiers ministres ont augmenté de 11 %. Et il n’y avait que 13 anciens Premiers ministres à l’époque », a rappelé le centriste Hervé Maurey, sur la base d’un rapport de l’Assemblée nationale. Depuis la remise de ce travail, trois anciens Premiers ministres ont rejoint les effectifs, une « inflation » causée par l’instabilité politique qui a débuté en 2024.

Javier Milei sort la sulfateuse contre le «wokisme»

 

 


Donald Trump sort déjà la sulfateuse - JT du jeudi 23 janvier 2025

 


Publiée le 23/01/2025

A la une de cette édition, Donald Trump côté sociétal.

 On parle beaucoup des conséquences internationales et économiques de l’élection du président républicain. Aujourd’hui, nous nous intéresserons au volet société de ce début de nouveau mandat.

Europe ensuite avec la Slovaquie et la Hongrie face à Bruxelles, une fois de plus dans le dossier russe.

Et enfin, une page politique et institutions en France avec le Conseil constitutionnel qui va être renouvelé au tiers.

« La théorie du cheval mort pour comprendre ce qui arrive à nos élites ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 23 Jan 2025 |

 

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

La théorie du cheval mort est une petite histoire qui semble venir d’un conte des Indiens d’Amérique semble-t-il du Dakota, ne m’en demandez pas plus je n’ai pas de grosses connaissances en Indiens d’Amérique.

Bref, la légende dit assez justement d’ailleurs, que quand le cheval que tu montes est mort, il vaut mieux en descendre… Logique.

Cette histoire permet en réalité d’évoquer ceux qui ne veulent pas reconnaître que le cheval est mort… ce que l’on appelle le déni.

Et ce déni s’applique aux organisations, aux entreprises, aux gens, aux familles, et bien évidemment aux nations qui refusent de reconnaître des problèmes évidents et vont utiliser une débauche de moyens, de temps, d’argent, pour tenter de résoudre un problème qui est en réalité insoluble puisque le cheval est mort.

Mais personne ne veut reconnaître que le cheval est mort.

Comme il n’avance plus, nous allons commencer par changer le cavalier, c’est forcement la faute du cavalier. Ainsi nous en sommes à notre 4ème cavalier pas encore de l’Apocalypse mais de Matignon. Après Barnier, c’est Bayrou. Personne ne veut voir que le cheval est mort. Bayrou veut donc nourrir mieux le cheval. S’il n’avance plus c’est qu’il est mal nourri. Il faut donc augmenter les impôts pour pouvoir nourrir le cheval Etat français. Ce cheval là ne mange pas de paille… il nous met sur la paille.

[EDITO] À Davos, on parle encore du sexe des anges quand Trump a pris la ville

Davos

 

Tandis que le monde assiste au retour triomphal de Donald Trump à la Maison-Blanche et que le nouveau président des États-Unis annonce avec les trompettes de la renommée son ambition Make America Great again, la petite coterie mondialisante poursuit ses conciliabules dans la chic station de Davos, en Suisse. 

Comme d’habitude, de nombreux chefs d’État et décideurs de tous poils, de gentils internationalistes cooptés et consensuels continuent à tricoter le monde de demain, apparemment sans le moindre état d’âme et sans la plus menue remise en cause. 

Dans les salles surchauffées, on croise la truculente Ursula, l'habituel Volodymyr, le père fondateur Klaus Schwab, évidemment, le chancelier allemand Olaf Scholtz, l'ancien Premier ministre travailliste anglais Tony Blair ou le délicieux Assaad Hassan al-Shibani, ministre des Affaires étrangères syrien tout juste investi par le nouveau régime assez à cheval sur la discipline de l'islam. On tourne à Davos, depuis ce 20 janvier et jusqu’au 24, autour d’un slogan fumeux dont ces cerveaux hors-sol ont le secret : « Collaboration for the Intelligent Age », soit « collaborer pour l’ère intelligente » ou l'ère de l'intelligence. En toute modestie. On enfile là-bas, entre hôtel de luxe et salles surchauffées, les idées qui ruinent consciencieusement les nations européennes depuis des décennies, poussent les agriculteurs français au suicide, acculent les PME à la faillite, expédient les usines en Asie, taxent et surtaxent la moindre activité et on rêve, accessoirement, comme vient de l'avouer Olaf Scholz, de priver le peuple pauvre, sale et borné de ce bien dont il fait si mauvais usage : la liberté d’expression. Un rapide balayage des thématiques des conférences donne une idée des espaces éthérés où naviguent les participants. Ils ont le choix entre : imaginer les industries de l’âge de l’intelligence, réimaginer la croissance, investir dans les gens, sauvegarder la planète, bien sûr et… rebâtir la confiance ! Il y a donc comme un léger nuage de doutes, pas davantage.

Des allures de lapin dans les phares

mercredi 22 janvier 2025

Toute honte bue

 

Trump est au pouvoir depuis un jour et il nous a déjà sauvé du réchauffement climatique

 

 

Manœuvre ignoble: La macronerie arrache son fils de 3 ans à son père l'avocat François Dangléant pour l'empêcher d'assumer la défense de Natacha Rey dans l'affaire l'opposant à Jean-Michel Trogneux et Brigitte Macron


 

 

Travailler 7h gratuitement par an ou l’art de prendre les Français pour des cons

 

 

 

22/01/2025

Alors que les Français voient leur pouvoir d’achat s’éroder sous le poids des charges, des taxes et des impôts, le gouvernement revient à la charge avec une mesure révoltante  : faire travailler les Français sept heures de plus par an sans rémunération. 

Une proposition qui ressemble fort à une nouvelle atteinte à la dignité des travailleurs au profit d’administrations et de collectivités publiques défaillantes.

Une mesure qui revient sur la table

Déjà évoquée en novembre 2024 par le Sénat dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), cette idée avait été rejetée par l’Assemblée nationale. Pourtant, le gouvernement persiste et signe, avec le soutien affiché de Catherine Vautrin, ministre du Travail et de la Santé, qui déclare que cette mesure pourrait générer deux milliards d’euros en 2025 pour financer le déficit de la branche autonomie de la Sécurité sociale et les besoins croissants des Ehpad.

Concrètement, ces sept heures de travail gratuit pourraient être fractionnées : dix minutes de plus par semaine ou deux minutes par jour. Une autre option consisterait à supprimer un jour férié. Dans tous les cas, la responsabilité de l’application reviendrait aux entreprises ou aux branches professionnelles, selon un principe de « souplesse » vanté par le gouvernement.

Cette « contribution de solidarité par le travail » fait écho à la journée de solidarité créée en 2004.

Donald Trump entre guerre économique et paix en Ukraine ? - JT du mercredi 22 janvier 2025



Publiée le 22/01/2025

Au programme ce soir, Donald Trump saute à pieds joints dans la guerre économique. 

Le nouveau président des Etats-Unis a annoncé la couleur : l’Europe doit s’attendre à voir ses droits de douanes exploser. Dans le même temps, il agite la menace de nouvelles sanctions contre Moscou pour avancer vers la Paix en Ukraine.

Nous ferons ensuite un bilan bien morne de l’année 2024, celui des défaillances d’entreprises. Elles ont atteint de véritables records, laissant au chômage de plus en plus de salariés.

Le JT de ce soir, c’est aussi une page politique avec la tentative de François Bayrou de scinder le texte sur la fin de vie en deux. D’un côté, les soins palliatifs, de l’autre, l’euthanasie. Une manœuvre qui pourrait profiter aux pro-vie.

Et puis pour terminer nous retrouverons Nicolas Dupont-Aignan lors de ses vœux à la presse.

Pendant que la populace se fait massacrer dans la boucherie des tranchées du front de l'Est, la famille de la petite pute de Kiev passe ses vacances d'hiver au Formule 1 de St Moritz


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 En réalité, la chambre d’Elena Zelenskaya coûte 75 000 € par jour – et non 32 000 €, comme l’a déclaré Mosiychuk.
 
 Et elle a essayé très fort de se détendre à St. Moritz en secret.
 
 C’est pourquoi elle a pris un vol privé et s’est installée dans une maison d’hôtes sous un faux nom – comme Maria Zelenskaya. Pour que personne ne devine. 
 Selon Mash, la première dame a passé ses vacances d'hiver à l'hôtel de luxe Badrutt's Palace, numéro un sur la liste de souhaits de tous les riches Ukrainiens. 
Elle y a été livrée depuis la rampe de l'avion dans un cortège VIP - avec la participation de deux Mercedes-Benz Classe V pour le reste et d'une rare Rolls Royce Phantom VI pour elle.
 Il s'agit de la chaise que l'hôtel offre en guise de compliment aux clients de leur meilleure chambre - la spacieuse Suite St. Moritz d'une superficie de 120 mètres carrés. 
Où se trouvent un salon, une chambre et une vue panoramique sur les Alpes engadinoises et le lac de Saint-Moritz. Plus une piscine, un minibar, un système tout compris.
 
 
 
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Christine Ockrent, toujours aussi méchante et méprisante, parle de la « portée » pour qualifier le nombre d’enfants d’Elon Musk !

 

 
par 22 janvier 2025 
 
Christine Ockrent, Musk et les portées des familles nombreuses.

Celle que les médias Mainstream appellent la « Reine Christine » incarne le mépris et la rouerie des gens appartiennent à la « classe dirigeante » qui ont fait leur « succès » sur une série de mensonges et de trahisons.

Rappelons qui est cette égérie de la Bien-pensance.

La femme de Bernard Kouchner a émergé des bas-fonds de l’insignifiance journalistique en obtenant un entretien, en 1979, avec Amir Abbas Hoveyda, Ministre de la Cour et ancien Premier ministre du shah d’Iran, dans sa prison d’Erevan.

Elle avait convaincu le malheureux condamné de se confier à elle en lui affirmant – mensongèrement – que cela lui permettrait de ne pas être exécuté. Le ton comminatoire et implacable des questions avait viré au réquisitoire et quelques jours après le pauvre Hoveyda fut abattu d’une balle dans la tête sur ordre de l’ayatollah Khalkhali.

Toute sa carrière fut placée sous le signe de cette ignominie originelle.

La dernière déjection de la « reine Christine » a eu lieu lors dans Quelle Epoque, le talk-show de Léa Salamé sur France 2, au cours duquel Elon Musk a été traité de « Gros connard » sans que l’Arcom n’y trouve rien à y redire.

Voici comment nos confrères de Boulevard Voltaire relate la prestation de celle qui, en 2016, a publié Clinton / Trump : l’Amérique en colère où explique notamment pourquoi Hillary Clinton va gagner (sic) :

« Christine Ockrent (représentante, s’il en est, de ce camp du Bien et du Vrai qui ne dépasse que rarement le périphérique intérieur) était, ce week-end, l’invitée de Léa Salamé. Elle s’est prêtée au jeu de l’émission, en posant des questions imaginaires à des personnalités dont on lui montrait la photo. Défier des photos, très gauche-caviar, ça aussi : aussi courageux que de quitter X quand tout le monde s’en fout…Bref, à Elon Musk, Christine Ockrent voudrait poser la question suivante : « Vous avez douze enfants. La prochaine portée, c’est combien ? »

Alors comme ça, les familles (très) nombreuses sont des familles d’animaux, qui se comptent en « portées ». On ne sait pas si Mme Ockrent aurait eu le courage ébouriffant de poser cette question à d’autres cellules familiales sous d’autres latitudes, ou même, en France, à la famille d’Adama Traoré (17 enfants nés de quatre femmes, dont plusieurs délinquants multirécidivistes), mais on imagine que non, car ce genre d’invectives ordurières ne concerne que les familles de Blancs de droite. »

Le mépris et la méchanceté de cette femme, qui n’a eu qu’un seul enfant, est ignoble !

« Délire transgenre » : Donald Trump sonne la fin de la récré

Capture d'écran : page officielle FB Donald J. Trump  Capture d'écran : page officielle FB Donald J. Trump

 

 

Donald is back ! A peine investi ce lundi 20 janvier, lors d’une cérémonie au sein de la rotonde du Capitole, le 47e président des États-Unis a promis « un déluge de décrets » qu’il signerait dans la soirée, devant les membres du Congrès. 

Parmi ces engagements figure celui de « mettre fin au délire transgenre ». « Désormais, aux États-Unis, il n'y a que deux genres : homme et femme », a lâché Donald Trump lors de son investiture.

 

 

Ce décret exécutif a pour but de « défendre les femmes face à l’extrémisme idéologique du genre et à restaurer la vérité biologique au sein de l’État fédéral », a affirmé à la presse un responsable républicain, précisant que l’identité sexuelle des individus serait désormais définie exclusivement par les gamètes, mâles ou femelles. Plus globalement, il s’agit de mettre fin aux politiques gouvernementales qui tentent « d'intégrer la race et le sexe dans tous les aspects de la vie publique et privée ».

Un engagement de longue date

Les traitements médicaux destinés aux mineurs dits « transgenres » ou l’accès de certains hommes « devenus » femmes aux compétitions sportives féminines sont des sujets brûlants dans des États-Unis où certaines élites ont tenté d’imposer par le haut une idéologie détachée du principe de réalité. Pendant la campagne électorale, le candidat républicain s’était également fermement opposé à l’accès des hommes aux toilettes pour femmes, à l’admission de personnes trans dans l’armée, ainsi qu’à toute propagande LGBT au sein des établissements scolaires. Le « wokisme doit s’arrêter », avait lancé le milliardaire en décembre dernier, très soucieux, notamment, de « mettre fin aux mutilations sexuelles des enfants » 

 

 

mardi 21 janvier 2025

Marc Botenga dévoile la vérité sur la présidente de l'Union Européenne.

 

L'ébouriffé a connu sa minute de gloire

 

 

 

Quelqu'un peut il lui conseiller un coiffeur ou un toiletteur pour chien ?

Qui a voté pour cet énergumène?

Profite bien pépé, tu vas finir en cabane avec un beau pyjama orange

 

 

Les gauchiasses du CNRS pris la main dans le pot de confiture excusés par la représentante de leur ministre de tutelle retenue à Davos pour cause de remise à niveau


 

Quand tu crois qu'ils ont touchés le fond!

 

 

 


 

Je n'aurais jamais pensé reposter un tweet de cet abruti

Trump 2.0 : l’heure de la bascule mondiale ? - JT du mardi 21 janvier 2025



 Publiée le 21/01/2025

Au programme, l’arrivée en fanfare de Donald Trump. 

Le nouveau président des Etats-Unis a mis à profit ses premiers instants à la tête du pays pour lancer son programme. 

Sortie des accords de Paris, sortie de l’Organisation mondiale de la Santé et fin des politiques immigrationnistes, le nouveau monde est de retour. 

Nous ferons ensuite le point sur la situation en Argentine et sur les conséquences de la politique inclassable de Javier Milei.

Et puis en France, les gauches se déchirent. D’un côté, les Insoumis et les socialistes ont déterré la hache de guerre. De l’autre, écologistes et communistes restent éloignés de la bataille. 

Ils poussent toujours le curseur un peu plus loin, il suffira d'une étincelle


 

 

En Quatre Ans aura-t-il le Temps ?


 

Pourra t-il donner un renouveau aux USA en un temps si court ?

 Il dispose d’une grande majorité au Sénat, la Chambre des représentants ne lui est pas hostile et les 3 juges déjà nommés à la Cour suprême lui seront d’un grand secours. Mais est-ce suffisant ?

Trump est tenace, mais ses adversaires du clan adverse et de l’Etat profond sont particulièrement teigneux et ne reculent pas devant les coups tordus, la tricherie et le mensonge; aidés en cela par la magistrature gauchiste et ces médias qui ont tout fait pour qu’il perde les élections précédentes. En définitive, la situation sociale en ce moment  aux USA n’a rien à envier à celle que nous vivons ici même.

Trump aura fort à faire, avant de s’attaquer au « progressisme » woke et au LGBT. D’abord, réformer le système électoral et mettre fin à l’anarchie qui sévit à chaque élection. Avec des électeurs qui ne justifient pas de leur identité et des dépouillements  de bulletins sans trop de précautions, abandonnés à des bandes de tricheurs. Ce qui a permis une fraude électorale monumentale. Il en a déjà fait l’expérience, ce qui a permis au clan Clinton-Obama de placer le (très diminué mentalement) Biden à la Maison Blanche. Il veut aussi, non seulement juguler l’immigration, mais mettre en place la remigration des clandestins. Pour cela aussi la France pourrait prendre exemple !

Les parasites quittent X, aussitôt l'air paraît plus pur




Le Comité Trump annonce ne pas avoir invité : Éric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal et Louis Aliot


 
 
Philippe Karsenty : Ils se servent de Washington pour jouer un rôle qu’ils n’ont pas.

 

 le 21/01/25


Philippe Karsenty dénonce la supercherie des soi-disant invités de Trump !

Zemmour, Maréchal, Aliot et Sarah Knafo se faufilent à Washington et cherchent à se donner de l'importance avec des selfies. Mais la vérité est toute autre.

Dans une interview, Philippe Karsenty, porte-parole du Comité TrumpFrance, a fait des révélations explosives concernant certains hommes politiques français qui se targuent d’avoir été invités par Donald Trump. Selon Karsenty, ces prétendues invitations sont loin de la réalité. Ce ne sont pas des figures politiques influentes, mais plutôt des opportunistes qui tentent de se donner de l’importance en se faufilant parmi les milliers de participants.

Des imposteurs qui cherchent à se faire remarquer

Philippe Karsenty a été formel : « Aucun politique français n’a été effectivement invité par Donald Trump ». Selon lui, des personnalités telles qu’Éric Zemmour, Sarah Knafo, Marion Maréchal, et Louis Aliot, bien qu’ils se pavanent en public comme s’ils faisaient partie des invités de Trump, n’ont en réalité jamais été approchés par le président américain. « Ce sont des gens qui vont à Washington, prennent des photos et cherchent à se mettre en scène », a-t-il ajouté.

Le porte-parole du Comité TrumpFrance insiste sur le fait que ces individus, qui se pavanent sur les réseaux sociaux avec des selfies et des photos prises lors de leur passage à Washington, ne font que tenter de s’inventer un rôle influent, cherchant à manipuler l’opinion publique.

Une réalité plus pragmatique

Karsenty rappelle que Donald Trump, bien qu’il soit une figure majeure sur la scène mondiale, est avant tout pragmatique dans ses relations internationales. En ce qui concerne la France, il reste encore deux ans et trois mois à travailler avec Emmanuel Macron, et il n’a pas l’intention de perturber cette relation en recevant des représentants de partis politiques français marginaux.

« Etats-Unis, vers l’hyperpuissance de Trump ! ». L’édito de Charles SANNAT

 

 

 par | 21 Jan 2025 |

Mes chères impertinentes, chers impertinents,

Ce lundi marque l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis. 

Cette entrée à la Maison Blanche survient à un moment où les États-Unis n’ont jamais été aussi puissants, avec près de la moitié des flux de capitaux mondiaux en 2023.

Pourquoi une telle puissance ?

Simple.

L’Europe est engluée dans la guerre, une crise énergétique sans précédent, une technocrature étouffante, une régulation délirante, des salaires miteux et un niveau de vie qui plonge.

Les USA récupèrent ce que nous perdons.

Les usines qui ferment en Allemagne faute d’énergie abondante et peu coûteuse partent aux Etats-Unis ou au Mexique.

Je vous passe nos politiques environnementales qui sont suicidaires.

Prendre soin de la planète et de l’environnement ne nécessite pas notre suicide européen dans une forme d’harakiri économique et de sacrifice sur l’autel de la terre mère Gaïa. Nous pouvons faire les deux. Sauver l’économie ET la planète.

Enfin, même si vous n’aimez pas Trump, il veut la liberté de la parole et de la presse et des opinions.

Ce qui hérisse le camp du bien, ce n’est pas qu’ils puissent être censurés, c’est de ne plus pouvoir faire taire ceux qui ne pensent pas comme eux sans même avoir à se fatiguer à convaincre et à opposer d’autres idées dans une bataille d’idées appelée pluralisme.

Le “Trump effect” sera massif et désastreux.

Si nous faisons l’inverse de la politique de liberté, de création de richesse et d’attractivité menée par les Etats-Unis alors nous nous effondrerons, et c’est exactement ce qu’a dit Bayrou.

Je vous laisse regarder l’émission écorama consacré à ce sujet.



 

De son côté notre Bayrou national appelle au “ressaisissement” des Européens qui risquent de finir “dominés, écrasés, marginalisés” face à “la politique incroyablement dominatrice” des US.

Il a raison.

Mais la politique dominatrice américaine ne date pas d’hier.

C’est une constante.

Cette constante vous pouvez la dénoncer quand c’est le méchant Trump.

Mais quand c’est les guerres des Bush silence. Quand c’est le gentil Obama qui fait des guerres lui aussi partout. Silence.

Car il y a les gentils dominateurs qui vous dominent et vous étranglent et il y a le méchant dominateur qui vous domine et vous étrangle. Vous ne voyez pas la différence ? Normal il n’y en a pas.

Si.

Une.

Bush, Obama deux fois deux mandats de 4 ans, 165 ans de guerres continuelles.

Trump.

4 ans… aucune guerre. Une vraie pourriture fasciste ce type. Pensez donc, aucune guerre.  Un “pacifaciste” ! Un pacifiste de droite. Immonde. Les guerriers de gauche menés par notre professeur Trouposol qui enverrait bien la jeunesse européenne se faire trouer la peau dans les tranchées ukrainiennes, lui est l’incarnation du camp du bien.

AMERICA IS BACK.