par 29 Juin 2021 |
|Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Il arrive un moment où faire rentrer des ronds dans des carrés cela devient compliqué et l’inconvénient avec la réalité c’est qu’elle ne s’encombre ni des idéologies ni des mensonges proférés.
La réalité est.
Que cela vous plaise ou non elle est.
L’eau ça mouille.
Le feu brûle.
Et vous n’y pourrez rien.
The Guardian, qui est l’un des principaux journaux anglais tout de même, vient donc de titrer un long article en « Une » avec ce texte impressionnant et qui devrait faire réfléchir tout le monde sans que personne n’insulte personne. (Pour la source cliquez ICI)
« Pourquoi la plupart des personnes qui meurent maintenant avec Covid en Angleterre ont été vaccinées »« Ne considérez pas cela comme un mauvais signe, c’est exactement ce que l’on attend d’un vaccin efficace mais imparfait
Le titre du MailOnline le 13 juin disait : « Une étude montre que 29 % des 42 personnes décédées après avoir attrapé la nouvelle souche ont eu les deux vaccins. »
Lors du briefing technique de Public Health England le 25 juin, ce chiffre était passé à 43 % (50 sur 117), la majorité (60 %) ayant reçu au moins une dose.
Il peut sembler inquiétant que la majorité des personnes décédées en Angleterre avec la variante désormais dominante Delta (B.1.617.2) aient été vaccinées. Cela signifie-t-il que les vaccins sont inefficaces ? Loin de là, c’est ce que l’on attendrait d’un vaccin efficace mais imparfait, un profil de risque qui varie énormément selon l’âge et la manière dont les vaccins ont été déployés ».
Vous pouvez dire ce que vous voulez, j’attends la démonstration de l’efficacité vaccinale !
Depuis que nous avons vu cet article ce matin au petit déjeuner avec ma tendre épouse nous tentons tous les raisonnements possibles pour comprendre comment un « vaccin » qui marcherait pourrait nous permettre d’obtenir un nombre de morts plus élevés chez les « vaccinés » que chez les non-vaccinés.
La seule hypothèse qui nous semble crédible serait de dire que si nous avions disons 90 % de vaccinés, et seulement 10 % de non-vaccinés, il pourrait y avoir ce genre de résultat à savoir que le « vaccin » n’étant pas efficace à 100 % il y aura toujours des morts chez les « vaccinés » et que comme ils sont les plus nombreux et très largement majoritaires, alors ils seraient surreprésentés chez les décédés et le taux de mortalité serait donc supérieur en réalité chez les « non-vaccinés » même si ces derniers sont moins nombreux à mourir.
Le problème c’est que même en avance sur nous l’Angleterre n’est pas du tout à 90 % de taux de couverture vaccinale, loin s’en faut.
Alors comment expliquer cela ?
Le Guardian ne l’explique en réalité pas vraiment.
La réalité c’est que personne n’en sait rien, et qu’il se pourrait qu’il faille admettre que le « vaccin » n’est pas forcément très efficace.
S’il protège des formes graves comme on nous le bêle à la télé, apparemment il ne protège pas de la mort qui reste tout de même la forme la plus grave que l’on puisse faire d’un covid.
Au bout d’un moment quand il y a plus de vaccinés qui meurent que de non vaccinés vous êtes en mesure de vous poser au moins la question de l’efficacité du « vaccin » à défaut même d’ouvrir le débat sur une éventuelle dangerosité de la mixture.
Je crois que c’est notre Président qui avait eu la meilleure formule à propos de stop-covid.
« Je ne dirais pas que c’est un échec, je dirais que ça n’a pas marché »…
Je laisse la parole au président… en images !
Et sinon, mesdames et messieurs les décideurs, le plan B c’est quoi si la vaccination échoue?
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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