Les dessous nauséabonds de la République
Le monde de la politique et des affaires est un univers
que beaucoup ne parviennent pas à imaginer. Ces gens en costume cravate,
bien policés, manièrés comme des personnes éduquées, dont on ne
soupçonne ni l'avidité ni la voracité et reliés entre eux, sont en
grande majorité, des individus sans scrupules, sans morale aucune et
pour qui tous les coups sont permis quand il s'agit d'accéder au pouvoir
ou de s'enrichir, ce qui va souvent ensemble...
Dans cet
article, Christine Deviers-Joncour, celle que la juge Eva Joly suppliait
de balancer Roland Dumas - dont les seuls torts étaient de ne pas être
pro-sioniste et trop pro-palestinien - et qui l'avait dans un élan de
colère, surnommée "la putain de la République" parce qu'elle se refusait
à accuser un innocent, nous révèle les excès de cette classe politique
corrompue et aux ordres de la finance internationale et des lobbys de
toutes sortes. Les "dessous" nauséabonds de la République.
Nous
croyons vivre dans une démocratie alors que notre pays est dirigé et
pillé par une mafia en col blanc dont les privilèges de la fonction,
garantissent l'impunité.
Et cette impunité les autorise maintenant à
mettre en oeuvre le plan de dépopulation mondiale sous prétexte de nous
protéger. Nous sommes menacés d'extinction par un petit groupe
d'individus qui pense que ce monde lui appartient et qu'il y a trop de
bouches inutiles.
Et pourtant si nous étions un peu plus
attentifs à leurs déclarations publiques, nous nous rendrions compte que
ce projet criminel est leur plus grande obsession, et l'opération Covid
qu'ils vont faire durer comme un cauchemar, n'est que le début de la
conspiration. Et c'est pour éviter que nous en prenions conscience,
qu'on nous maintient en état d'abrutissement avec des Hanouna, des fake
news sans intérêt et des programmes de divertissements favorisant la
perversion...
Lisez ce cri du coeur et de la raison car tôt ou tard, nous devrons réagir et nous opposer à ce génocide annoncé. (E.M)
Par Christine Deviers-Joncour
"J’entendais
leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur
folie. La fête a assez duré ! Je les ai vus, à l’époque, se goberger,
s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que
le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse
factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient.
Je
les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple
en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer
dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau "monarque." Les cortèges de
voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de
ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués.
J’ai vu les épouses et
leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les
lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins
entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea.
Gratuit ici. Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et
meubles d’époque.
Je les ai vus et payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail …
J’ai
vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais
d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du
corps à vie et retraites cumulées replètes, retro-commissions sur des
marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets
sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis,
tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les
hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et
le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec
un sac de riz sur le dos.
J’ai vu des soutes en
provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de
voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à
grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, des guerres fomentées pour piller les richesses de ceux qui n’en verront jamais la couleur et verseront leur sang sans même savoir pourquoi.
Des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus,
et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins
encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et
cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus
de Pouvoir et Richesses.
Un monde aux mains de la Finance Internationale vorace, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant devant les écrans et en les dépravant en inversant les vraies valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun.
Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres.
C’est à croire que les deux grandes guerres, ne furent pour eux qu’un coup d’essai, Les millions de morts n’étaient qu’un premier test préparant l’extermination de toute l’humanité.! Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives...
Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent?
Comment peuvent-ils contraindre le peuple à se serrer la ceinture en période de crise quand eux-mêmes s’allouent des gratifications et salaires insolents sous les lambris confortables de la République ?
Alors que des milliards d’êtres humains souffrent de la faim, des épidémies, et qu’un enfant meurt toutes les minutes sur notre planète, il suffit que la Bourse s’enrhume pour qu’il soit possible de trouver en quelques heures les milliards de dollars et d’euros, jusqu’ici impossibles à débloquer pour soulager la souffrance de ceux qui meurent de faim !
Quand l’homme cesse d’être déterminé par son propre esprit qui est l’esprit de la vie, il se transforme en robot. Cet insupportable mépris pousse à la violence ceux qui n’ont pas ou plus d’espoir.
Dans notre pays des "Droits de l’Homme" il est devenu ordinaire de bafouer le principe d’égalité. La richesse, le luxe et l’apparence étalés sans vergogne sont devenus signes de réussite tandis que les plus faibles vivent leurs souffrances sans trop faire de bruit.
Pour payer cette dette, ce monstre de papier, illégitime et abracadabrantesque, numérique et ubuesque, il nous faudra tout vendre. Jusqu’à nos dents on or et notre peau pour faire des abat-jour dans le bureau d’un maître du monde avec vue sur le Rockefeller Center.
C’est pour quand la découpe façon abattoir? Le couteau du boucher, c’est la dette, un bout pour Bibi, un bout pour la Finance, un bout pour la mafia, un bout pour les bling-bling accros aux putes de luxe et pour les pédophiles. Un bout pour les ventrus de l’industrie militaire, les labos pharmaceutiques et les Gafam, Pillage à grande échelle !
Et pourtant il suffirait d’un trait de plume, d’un clic sur le clavier pour l’effacer cette dette, sans que personne ne souffre. Mais cette société serait-elle encore humaine ?
Depuis très et trop longtemps on a laissé les loups entrer dans la bergerie. Ils accroissent le chômage, vendent le pays en pièces détachées et initient des dettes impossibles à rembourser. Ils nous mentent, nous volent, nous musellent et maintenant tentent de nous supprimer à travers une fausse pandémie et des vaccins meurtriers !
Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis qu’un fameux agent d’influence suggère que les peuples doivent se contenter de regarder passer les milliards sans broncher, comme on voit passer les cigognes sans s’interroger sur leurs nids bâtis avec nos plumes.
Nos dirigeants et les médias complices seraient-ils réduits qu’à n’être que d’infâmes valets du capitalisme mondialisé et le laboratoire de l’asservissement du monde par la dictature financière conçue par des milliardaires fous, des illuminés ?
La démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples.
La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette "plandémie Covid" en créant la PEUR ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance.
Leurs "plandémies" et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier…croyez-moi !
Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau.
Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Il est urgent que tous les citoyens se réveillent et reprennent en main leurs pays, leur souveraineté et éliminent cette vermine financière afin de réinjecter dans les caisses des états pour le bien collectif, les incroyables fortunes détournées par une poignée de mafiosi sans foi ni loi et dangereux.
Il faut bien prendre conscience que, quels que soient votre bord politique ou votre conception de la vie, si vous ne faites pas partie de leur élite, vous serez broyés. Aussi, il faut s’unir en laissant de côté nos différences que les dirigeants actuels n’ont cessé d’amplifier afin de nous diviser pour mieux régner.
Il y a urgence car nous marchons vers l’abime ! Et si le monde devient chaotique, cela signifie aussi que ce qui a manqué, c'est la spiritualité individuelle. Il n'y a pas de compromis avec les éléments extérieurs du monde en action et la conscience se révèle encore inactive face à ce monde chaotique.
Au contraire, la conscience peut se reconnecter en tout temps et en toute situation avec la spiritualité comme une ascension.
Restons positifs car le chant général des poitrines opprimées commence à se faire entendre. Il est mondial ce chant ! Il est encore cacophonie, il va devenir symphonie. De tous ces pays qu’Ils enchaînent il y a ces voix partout qui se lèvent...
Là, il me revient en mémoire cette phrase de Brecht : "Lorsqu’un homme assiste sans broncher à une injustice, les étoiles déraillent"... Alors, vite, protégeons les étoiles et tournons la page sur ces temps décomposés.
Levons-nous !
Christine Deviers-Joncour
http://christinedeviersjoncour.com
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