L’Angleterre, malgré une vaccination pionnière et bien plus massive qu’en France, est désormais obligée de repousser d’un mois ses mesures de déconfinement, pour éviter une nouvelle submersion épidémique. Cette mauvaise nouvelle pour les Britanniques soulève l’importante question de l’utilité vaccinale, toujours considérée comme indiscutable en France, mais en réalité un peu douteuse.
L’Angleterre passe le cap des 10.000 cas quotidiensSelon les autorités britanniques, le cap des 10.000 cas quotidiens a été passé jeudi. En une semaine, les contaminations ont bondi de 33,7%. Une étude publiée ce jeudi par l’Imperial College London et Ipsos MORI a révélé que les cas sont en « augmentation exponentielle » dans toute l’Angleterre, principalement dans les groupes d’âge non vaccinés. Les données suggèrent que les cas doublent tous les 11 jours.
Pour l’instant, cette explosion épidémique n’a pas eu d’effet sur la mortalité. Elle serait due au variant indien.
Une certaine confusion règne sur l’impact ou non de la vaccination. Mais une certitude se dégage : vacciner 80% de sa population n’évite pas le retour de l’épidémie, ce qui n’est guère encourageant pour l’automne, en France.
Johnson repousse le déconfinementFace à cette situation épidémique surprenante, les Anglais devront patienter pour être déconfinés définitivement. Boris Johnson vient de repousser de quatre semaines la levée des restrictions sanitaires.
Là encore, la douche est glacée. La vaccination de masse était présentée il y a peu (et encore aujourd’hui largement dans la presse française subventionnée) comme l’alpha et l’oméga de la lutte contre l’épidémie. Visiblement, les effets de la vaccination sont un peu plus incertains qu’on a bien voulu le dire, notamment face aux « variants » (en l’espèce le variant indien).
L’Inde s’en sort mieux avec l’ivermectineSi la vaccination semble ne pas empêcher la contamination massive au variant indien en Angleterre, l’ivermectine donne apparemment des résultats spectaculaires… en Inde, ce qui interroge une nouvelle fois sur la stratégie du tout vaccin, et sur la lutte obstinée des autorités sanitaires contre les traitements.
Comme on le voit, la situation est bien meilleure qu’en Grande-Bretagne. Cela ne signifie pas forcément que l’ivermectine soit un produit miracle, mais… on voit bien qu’un débat ouvert sur le sujet serait sain et nécessaire.
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