Le 07/07/2015
Le premier problème, ici, n'est pas l'homophobie mais l'insécurité.
L’agression de Mélanie Hénique, jeune nageuse française (championne de France en 2010 et 2011 sur le 50 m papillon et médaillée de bronze aux Mondiaux 2011) tabassée par quatre racailles à Amiens, a enflammé les médias et la classe politique.
La violence de cette agression (nez cassé) l’a contrainte à déclarer forfait pour l’Open de France ce week-end, et pourrait avoir de lourdes conséquences sur sa préparation aux championnats du monde qui auront lieu début août.
Une « agression homophobe », titre toute la presse.
Et c’est ce qui a fait réagir la classe politique, comme Cécile Duflot, qui, mélangeant tout allègrement, en a par ailleurs profité pour appeler à plus d’« égalité des droits ».
Rien n’explique, cependant, dans les articles en quoi le caractère homophobe de l’agression est bien qualifié.
L’empressement avec lequel le milieu LGBT s’empare habituellement de ces agressions invite à la prudence.
Il faut, en effet, se rappeler comment celle de Wilfred et Olivier (en avril 2013) avait été utilisée pour accuser la Manif pour tous avant que l’on ne découvre, plusieurs mois après, que les agresseurs étaient… Abdelmalik M. et Redouane K, deux jeunes de banlieue…
Mais le problème de fond n’est pas là.
Un groupe de jeunes qui demandent des cigarettes avant de tabasser des jeunes femmes, cela fait furieusement penser à du déjà-vu.
Du déjà-vu des centaines de fois…
Combien y a-t-il en France d’agressions qui commencent par un « Eh, mademoiselle ! » ou par un « Tu aurais une cigarette ? » ?
Combien y a-t-il de jeunes femmes qui se font traiter de « sale gouine » et se font parfois frapper lorsqu’elles refusent les avances un peu trop pressantes de certains « jeunes » ?
Car ce que la gauche et les militants LGBT refusent de voir en face, c’est que le problème de fond n’est pas le caractère homophobe de certaines agressions.
Le problème, bien plus profond, est que bien souvent ces agressions sont le fait de groupes de jeunes qui, homosexualité ou non, agressent les passants pour un oui ou pour un non et distribuent les injures homophobes (« enculé », « pédé », « gouine ») aussi naturellement que les coups.
Car le premier problème, ici, n’est pas l’homophobie mais l’insécurité.
Et ceux-là, préférant se voiler la face sur l’origine principale des agresseurs homophobes, ne voient pas le réel présent avant tout derrière l’inacceptable agression de Mélanie Hénique : une jeune Française tabassée par quatre racailles.
La violence de cette agression (nez cassé) l’a contrainte à déclarer forfait pour l’Open de France ce week-end, et pourrait avoir de lourdes conséquences sur sa préparation aux championnats du monde qui auront lieu début août.
Une « agression homophobe », titre toute la presse.
Et c’est ce qui a fait réagir la classe politique, comme Cécile Duflot, qui, mélangeant tout allègrement, en a par ailleurs profité pour appeler à plus d’« égalité des droits ».
Rien n’explique, cependant, dans les articles en quoi le caractère homophobe de l’agression est bien qualifié.
L’empressement avec lequel le milieu LGBT s’empare habituellement de ces agressions invite à la prudence.
Il faut, en effet, se rappeler comment celle de Wilfred et Olivier (en avril 2013) avait été utilisée pour accuser la Manif pour tous avant que l’on ne découvre, plusieurs mois après, que les agresseurs étaient… Abdelmalik M. et Redouane K, deux jeunes de banlieue…
Mais le problème de fond n’est pas là.
Un groupe de jeunes qui demandent des cigarettes avant de tabasser des jeunes femmes, cela fait furieusement penser à du déjà-vu.
Du déjà-vu des centaines de fois…
Combien y a-t-il en France d’agressions qui commencent par un « Eh, mademoiselle ! » ou par un « Tu aurais une cigarette ? » ?
Combien y a-t-il de jeunes femmes qui se font traiter de « sale gouine » et se font parfois frapper lorsqu’elles refusent les avances un peu trop pressantes de certains « jeunes » ?
Car ce que la gauche et les militants LGBT refusent de voir en face, c’est que le problème de fond n’est pas le caractère homophobe de certaines agressions.
Le problème, bien plus profond, est que bien souvent ces agressions sont le fait de groupes de jeunes qui, homosexualité ou non, agressent les passants pour un oui ou pour un non et distribuent les injures homophobes (« enculé », « pédé », « gouine ») aussi naturellement que les coups.
Car le premier problème, ici, n’est pas l’homophobie mais l’insécurité.
Et ceux-là, préférant se voiler la face sur l’origine principale des agresseurs homophobes, ne voient pas le réel présent avant tout derrière l’inacceptable agression de Mélanie Hénique : une jeune Française tabassée par quatre racailles.
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