Les banlieues? Une bombe à retardement.
Les faussaires ont beau assurer, François Hollande en tête, qu’il n’y a pas de "quartiers perdus de la république", que la jeunesse y est en voie de dé-islamisation et que l’immigration y demeure une chance pour la France, toutes les réalités démontrent le contraire.
Dix ans après les émeutes de Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), la situation s’est partout aggravée, en dépit des milliards d’euros déversés sur les quartiers "sensibles".
Depuis 1977, date du premier "plan banlieue", près de 100 milliards d’euros ont été consacrés à la politique de la Ville.
Or cette manière d’acheter au prix fort la paix sociale des cités musulmanes - fuies par les anciennes populations autochtones - n’a visiblement fait qu’aggraver les ressentiments culturels et religieux d’une population ignorée par la république.
Il n’est pas dit, non plus, que le contribuable accepte encore longtemps de financer solidairement une politique dont il devient la cible.
L’état d’insurrection permanente des banlieues est la démonstration par la preuve de l’échec du multiculturalisme qui y est testé en douce depuis quarante ans.
On cherchera en vain dans ces quartiers d’immigration le "grand enrichissement" que croit y voir Fleur Pellerin, ministre de la culture, soucieuse de démentir la substitution de population – le Grand Remplacement en somme – qui s’y est bel et bien produit.
La république risque de faire payer cher à ces citoyens la haine anti-française et anti-occidentale qui se perçoit désormais dans les plis de ces contre-sociétés rebelles et salafisées.
Ce n’est évidemment pas en imposant le vivre-ensemble dans l’attribution des logements, comme l’a annoncé ce lundi Manuel Valls lors d’une visite aux Mureaux (Yvelines), que se résorbera la fracture identitaire, porteuse de possibles guerres civiles.
Le chercheur britannique Andrew Hussey ne les exclues pas quand il écrit (1), parlant des banlieues françaises : "La colère est omniprésente et nombre de jeunes gens sont désireux de devenir des soldats de Dieu".
Le député (PS) de l’Essonne, Malek Boutih, suggère sensiblement le même constat quand, dans un rapport récent, il décrit "l’attractivité du djihadisme" sur la jeunesse et quand il redoute "un phénomène de masse".
L’urgence est donc de stopper cette immigration qui ne s’intègre plus, et de tout mettre en œuvre pour faire accéder ces populations nouvelles aux valeurs de la France.
Ce n’est évidemment pas en imposant le vivre-ensemble dans l’attribution des logements, comme l’a annoncé ce lundi Manuel Valls lors d’une visite aux Mureaux (Yvelines), que se résorbera la fracture identitaire, porteuse de possibles guerres civiles.
Le chercheur britannique Andrew Hussey ne les exclues pas quand il écrit (1), parlant des banlieues françaises : "La colère est omniprésente et nombre de jeunes gens sont désireux de devenir des soldats de Dieu".
Le député (PS) de l’Essonne, Malek Boutih, suggère sensiblement le même constat quand, dans un rapport récent, il décrit "l’attractivité du djihadisme" sur la jeunesse et quand il redoute "un phénomène de masse".
L’urgence est donc de stopper cette immigration qui ne s’intègre plus, et de tout mettre en œuvre pour faire accéder ces populations nouvelles aux valeurs de la France.
(1) Insurrections en France, Editions L’Artilleur
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