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dimanche 4 octobre 2015

La Malika Sorel allemande alerte sur l’invasion migratoire

                                                    
Le 04/10/2015
 
Malika Sorel a disparu de tous les radars médiatiques d’une presse aux ordres. Heureusement qu’en Allemagne, qui n’est pas un modèle de liberté d’expression, certains et certaines ont encore droit à la parole et ne s’en privent pas.
   
Necla Kelek, célèbre sociologue et écrivain allemande, d’origine turque, musulmane, grande amie de mon regretté ami Ralph Giordano, écrivain, rescapé de l’Holocauste, devenu la conscience de l’Allemagne après le « coming out » de Günther Grass sur son passé SS, prend la parole en Allemagne.
Necla Kelek est une sorte de Malika Sorel, que l’on n’aurait pas bâillonnée.

Pour Focus, concurrent du Spiegel, Necla exige : « La société allemande doit montrer les limites aux réfugiés, car avec eux arrivent des conflits ethniques, religieux et culturels. »

Les derniers faits concernant des conflits entre musulmans et chrétiens dans les lieux de premier accueil provoquent beaucoup d’inquiétudes aux associations et autres bénévoles.
Petit à petit, les Allemands se rendent compte : ce sont deux tiers de jeunes gens sous la trentaine, qui ont pris des risques pour se rendre en Europe.
Ils sont peut-être, ou non, les éclaireurs pour leurs femmes et enfants qui attendent de les rejoindre.

 Ils ont tous grandi dans des pays islamiques, dans lesquels règne la guerre depuis des années.
En Afghanistan depuis plus de trente ans, en Irak depuis plus de dix ans et en Syrie depuis plus de cinq ans.
 Leur imprégnation culturelle est faite de violence et de la soumission des femmes aux hommes au sein de leur communauté religieuse clanique… ce qui fait une énorme différence avec notre sens de la liberté.
Certains ont fui cette calamité.
 Mais tous arrivent avec cette imprégnation qui se différencie fondamentalement de notre société.

Ce ne sera pas assez de leur apprendre la langue et de leur expliquer comment l’on va faire ses courses au supermarché.
 Ils doivent apprendre la liberté et, surtout, à respecter celle des autres.
Ils doivent abandonner leurs usages, changer, s’ils veulent s’intégrer à notre société.
Ce qui doit signifier aussi, pour la société d’accueil, qu’elle sache ce qu’elle veut précisément. Qu’elle n’érige pas seulement des frontières extérieures, mais aussi des frontières concernant le vivre ensemble.
Pas de violence, pas de discrimination d’autres religions, pas d’apartheid des femmes.
Des règles et des valeurs qui nous paraissent naturelles, mais qui sont nouvelles pour un grand nombre d’entre eux.
Nous devons surveiller que les mosquées, sous couvert de « solidarité », ne viennent pas confirmer l’islam conservateur.
 Celui qui divise croyants et incroyants.
Celui qui nie le potentiel de la violence en islam n’a rien à faire dans nos projets d’intégration.

Ce sont les associations islamiques, qui se font financer par la Turquie, le Koweït, le Qatar ou l’Arabie saoudite, qui causent des problèmes.

 Ce n’est pas avec eux qu’on arrivera à collaborer.
 Car, comme jusqu’à présent, ils intégreront dans leur communauté les immigrants et non dans le pays.
 On ne résout pas les problèmes avec ceux qui les créent.

Vous imaginez qu’un tel langage puisse encore être tenu en ce moment en France ?
Malika Sorel a disparu de tous les radars médiatiques d’une presse aux ordres.
Heureusement qu’en Allemagne, qui n’est pas un modèle de liberté d’expression, certains et certaines ont encore droit à la parole et ne s’en privent pas.

 La preuve par Necla Kelek.

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