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vendredi 31 octobre 2014

Sauver la France ? Vaste programme…

  
© FN


Le 31 octobre 2014
 
  

Sauver la France ? Vaste programme…Voici déjà deux propositions.

1. Quitter l’OTAN

La France ne peut, en aucun cas, être crédible sur le plan international si elle reste soumise à l’OTAN.
Étant sous la férule nord-américaine, il est bien entendu que les décisions sont prises à Washington, et que celles-ci vont seulement dans le sens qui sied aux Américains.
 Si les politiques français croient vraiment que la France peut en tirer un quelconque bénéfice, alors ils feraient mieux de changer de métier.
 Ou alors, ayant très tôt compris qu’ils sont incompétents et inutiles, ils s’agitent pour donner le change, espérant que leurs mouvements nous cachent leur gamelle qui, elle, reste bien pleine tandis qu’on demande aux Français de sucer les pis des vaches maigres.
Qui peut croire en effet, sur le plan militaire, que la France est crédible alors qu’elle ne possède qu’un seul porte-avions pour une zone maritime de 11 millions de kilomètres carrés – la deuxième surface mondiale – et seulement six sous-marins nucléaires d’attaque…
 Ce serait comique si cela n’engageait pas l’honneur du pays.
Oui, l’honneur, ce qu’il reste quand on n’a plus rien.

2. Sortir de l’Union européenne


Ce n’est plus une alternative mais une nécessité.
 Si un pays n’a pas la possibilité de battre monnaie, de protéger ses frontières et d’édicter ses lois, reste-t-il un pays ?
 Non, il devient pour ses maîtres une simple variable d’ajustement, comme le montrent les politiques budgétaires de tous les pays concernés depuis des décennies.
On enlève ici, on coupe là, sans que jamais la situation ne s’améliore.
Étrange ? Non.
Un pays qui ne produit presque plus de richesses peut toujours prétendre faire des économies, cela restera un vœu pieux, car on économise sur de la richesse, pas sur de la dette, n’importe qui sait cela, sauf à l’évidence nos politiciens et nos éminents économistes grassement payés.
Maintenant, il est vrai, on peut regarder ailleurs, attendre que cela passe.
 Ou se dire, comme à l’accoutumée : « Mais qu’y puis-je ? »
Oui, on peut faire cela, mais après on ne se plaint pas, on n’en a pas le droit.

Quand un artisan français, ayant commencé à travailler à l’âge de 14 ans, touche une retraite de 500 euros alors qu’une personne étrangère de 65 ans fraîchement accueillie sur le territoire et n’ayant jamais cotisé touche 700 euros…
Quand la photographie d’un papa dont la fille a été violée et étranglée se retrouve sur le « mur des cons » dans l’enceinte même du Syndicat de la magistrature…
 Quand des racailles sont libérés par ces mêmes magistrats…
 Quand un ancien président de la République, qui s’est assis – pardon pour la vulgarité – sur un référendum populaire (le traité de Lisbonne), a le culot de venir se représenter…
Quand un godemiché géant est considéré comme une œuvre d’art…
Quand les Turcs ont le droit d’entrer en France sans visa, alors que la Turquie soutient l’État islamique…
Quand… etc.

Alors, c’est vrai, on peut attendre que la lumière s’éteigne.

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