Depuis plusieurs années, des maires français de droite comme de gauche financent en toute illégalité et en toute impunité des mosquées.
La loi de 1905, séparant les Eglises de l’Etat est pourtant claire et formelle:
« La République ne reconnaît, ne salarie, ni ne finance aucun culte ».
Afin de détourner les termes de la loi, ces maires ont mis au point et adopté un système illégal à vitrine pseudo-légale.
Explications:
Une « grande mosquée » (comme celle de Paris ou de Reims) comporte:
-une ou 2 salles de prière (hommes-femmes séparés)
-des annexes: une bibliothèque, des salles de réunion, d’activités, d’expositions, d’apprentissage, un restaurant, un hammam, un salon de thé, des cours d’arabe…
Les maires dirigent et réalisent de A à Z d’imposantes et luxueuses constructions, dans UN MÊME BÂTIMENT, « entièrement imbriqué et entièrement séparé » de:
-une ou 2 salles de prières (le « cultuel ») (20% des surfaces)
et d’un lieu baptisé « cultuRel » (80% des surfaces) comprenant: une bibliothèque, des salles de réunion, d’activités, d’expositions, d’apprentissage, un restaurant, un hammam, un salon de thé, des cours d’arabe…
Passez muscade, le scandale sera silencieux…
Bien entendu, le « culturel » est financé ouvertement par les contribuables (entre 20 et 30 MILLIONS d’euros la mosquée), et le « cultuel » est acheté (environ 2 millions d’euros) par une association musulmane, non seulement à un prix dérisoire, mais aussi confortée par un bail emphytéotique administratif, qui offre la gratuité (1 euro par an durant 99ans…)
comme forme de participation aux charges que devrait régler un copropriétaire (et qui reviennent de fait à la mairie…).
comme forme de participation aux charges que devrait régler un copropriétaire (et qui reviennent de fait à la mairie…).
Il s’agit d’un tour de passe passe sémantique et une embrouille délibérée qui permet aux maires de financer illégalement un culte.
A Bordeaux, le maire Alain JUPPÉ s’était fortement engagé depuis une dizaine d’années à financer selon ce modèle la construction grandiose de sa mosquée, sur un terrain de 7 000 m2, avec 12 000 m2 de surface pour 3 500 à 4 000 personnes, grâce à la modique somme de quelques 24 millions d’euros, versés sans qu’ils le sachent par les contribuables français.
Des actions citoyennes de riverains ont pu faire passer le message depuis plusieurs mois et l’UDCC (Union de Défense des Citoyens et Contribuables) s’apprêtait à déposer un recours devant le tribunal administratif.
Deux semaines après cette déclaration, on apprend assez brusquement que le projet de cette pharaonique mosquée est ABANDONNÉ dans ses données actuelles…
Les raisons avancées à ce renoncement porteraient sur les « difficultés d’accès et les problèmes de parking ».
Curieux: pour qui connaît la disposition des lieux, cela semble une galéjade , d’autant qu’il semble assez surprenant que l’on s’en aperçoive après 10 ans de travaux sur ce projet…
Un nouveau projet, encore bien nébuleux, laisserait entendre qu’un autre terrain serait acheté par les « fidèles » et que les financements seraient demandés au Maroc ou au Qatar, vers 2020 ?
N’y voyons certes pas de relation avec la future candidature du maire de Bordeaux à la législature suprême en 2017… « Paris vaut bien une mosquée »…
Rappelons qu’en outre, AUCUNE mosquée n’a jamais fait l’objet d’un AUDIT indépendant afin d’évaluer l’éventuelle dangerosité (ou pas) des enseignements pratiqués en ces lieux, où certains extrémistes ont pu parfois bénéficier d’une inspiration.
Et lorsqu’on sait que Mr. OUBROU Tarek, présenté par les médias et le maire de Bordeaux comme imam modéré toujours souriant, est un affilié des Frères Musulmans et adepte de la charia (loi divine au-dessus des lois humaines de notre pays), on peut s’interroger sur pareille omission.
Mr OUBROU affirmait encore il y a peu:
« Le Califat est une obligation », « La politique est un élément de l’islam » et « la politique des musulmans n’est pas celle des autres (…) celles des autres est construite sur le mensonge »…
Guy SAUVAGE
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