La police de la pensée se perche désormais au sommet de nos institutions républicaines.
Décidément, les socialistes aiment à rejouer Molière sur le théâtre de la vie politique. Tartuffe est sans conteste leur pièce préférée mais ils n’hésitent pas à varier le répertoire.
C’est ainsi qu’ils viennent de nous offrir les Précieuses ridicules sur cette grande et belle scène qu’est le Palais Bourbon. Je rappelle les faits.
Le député de Vaucluse Julien Aubert a été sanctionné pour avoir appelé madame Mazetier, présidente de séance à l’Assemblée le 6 octobre dernier, « Madame le président » et non « Madame la présidente » comme le prévoit le règlement de l’Assemblée et ce, en contradiction avec les règles de l’Académie française !
Je vous invite à visionner la scène.
Elle révèle avec éclat que la police de la pensée se perche désormais au sommet de nos institutions républicaines.
Ce « délinquant » et pourquoi pas, n’ayons pas peur des mots au point où nous en sommes, ce « criminel » devrait se voir retirer 1.300 euros sur ses indemnités parlementaires, rien que cela…
Au même moment, celui qui est fâché, non pas avec les mots mais avec les chiffres (ce qui est normal et moins grave pour un socialiste), je veux parler du député Thévenoud, continue de percevoir ses indemnités alors qu’il reste sagement à la maison…
Pour couronner le tout, madame Mazetier, se trouvant sans doute spirituelle, a appelé en retour monsieur Aubert « Monsieur la députée », en toute impunité et pleine infraction au règlement de l’Assemblée, aux règles de l’Académie française et à tous les usages finalement.
Retirera-t-on 1.300 euros à cette Dame Patronnesse de la novlangue dans un esprit de parfaite parité, parité si chère aux « sociatélistes » ?
J’en doute fort.
Bien évidemment, comme le ridicule ne tue plus, madame Mazotier a reçu les précieux gazouillis de soutien des Dames Dufflot et de Haas, grandes défenderesses de la cause féministe devant l’Eternelle.
J’imagine que Dame Taubira doit songer à une loi pour éradiquer définitivement ce machisme primaire qui n’a pas lieu d’être dans le pays des droits de l’Homme, pardon des droits humains, devrait-on dire.
Jusqu’à maintenant, je croyais, de façon un peu bête et méchante, j’en conviens, que la bêtise et la méchanceté étaient ainsi réparties sur l’échiquier politique : la bêtise à la droite, la méchanceté à la gauche.
Eh bien, non.
La gauche désormais monopolise tout.
Elle s’offre même en sus le ridicule.
Il y a quelques mois, on s’en souvient, le doux et délicieux Sieur Cazeneuve avait traité les députés de droite de cacatoès.
Vous savez, le cacatoès, cet oiseau de la même famille que les perruches…
C’est ainsi qu’ils viennent de nous offrir les Précieuses ridicules sur cette grande et belle scène qu’est le Palais Bourbon. Je rappelle les faits.
Le député de Vaucluse Julien Aubert a été sanctionné pour avoir appelé madame Mazetier, présidente de séance à l’Assemblée le 6 octobre dernier, « Madame le président » et non « Madame la présidente » comme le prévoit le règlement de l’Assemblée et ce, en contradiction avec les règles de l’Académie française !
Je vous invite à visionner la scène.
Elle révèle avec éclat que la police de la pensée se perche désormais au sommet de nos institutions républicaines.
Ce « délinquant » et pourquoi pas, n’ayons pas peur des mots au point où nous en sommes, ce « criminel » devrait se voir retirer 1.300 euros sur ses indemnités parlementaires, rien que cela…
Au même moment, celui qui est fâché, non pas avec les mots mais avec les chiffres (ce qui est normal et moins grave pour un socialiste), je veux parler du député Thévenoud, continue de percevoir ses indemnités alors qu’il reste sagement à la maison…
Pour couronner le tout, madame Mazetier, se trouvant sans doute spirituelle, a appelé en retour monsieur Aubert « Monsieur la députée », en toute impunité et pleine infraction au règlement de l’Assemblée, aux règles de l’Académie française et à tous les usages finalement.
Retirera-t-on 1.300 euros à cette Dame Patronnesse de la novlangue dans un esprit de parfaite parité, parité si chère aux « sociatélistes » ?
J’en doute fort.
Bien évidemment, comme le ridicule ne tue plus, madame Mazotier a reçu les précieux gazouillis de soutien des Dames Dufflot et de Haas, grandes défenderesses de la cause féministe devant l’Eternelle.
J’imagine que Dame Taubira doit songer à une loi pour éradiquer définitivement ce machisme primaire qui n’a pas lieu d’être dans le pays des droits de l’Homme, pardon des droits humains, devrait-on dire.
Jusqu’à maintenant, je croyais, de façon un peu bête et méchante, j’en conviens, que la bêtise et la méchanceté étaient ainsi réparties sur l’échiquier politique : la bêtise à la droite, la méchanceté à la gauche.
Eh bien, non.
La gauche désormais monopolise tout.
Elle s’offre même en sus le ridicule.
Il y a quelques mois, on s’en souvient, le doux et délicieux Sieur Cazeneuve avait traité les députés de droite de cacatoès.
Vous savez, le cacatoès, cet oiseau de la même famille que les perruches…
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