Selon L’Est républicain, dans la nuit du 20 au 21 mars, à 1 h 30, les pompiers sont intervenus dans le quartier des Planchettes, à Verdun (Meuse), pour un incendie des locaux de la mission locale ainsi que pour trois voitures en feu.
Mais à leur arrivée, « une dizaine d’individus les attendaient pierres à la main ».
Des individus « encagoulés particulièrement menaçants »
Il leur est impossible d’intervenir en présence d’indvidus « encagoulés particulièrement menaçants », qui s’en sont déjà pris à la police arrivée peu avant.
Tous se replient en attendant l’arrivée de renforts venus de Bar-le-Duc et de Metz. Pour le lieutenant Gaussot, qui dirige les opérations des pompiers, « pas question de mettre le personnel en danger : l’objectif, c’est zéro blessé ».
À 3 h 30, une quinzaine de policiers aidés par les gendarmes du PSIG sécurisent les lieux afin que la quinzaine de pompiers puisse s’attaquer au sinistre.
Représailles à la suite d’opérations anti-drogue
Pour Samuel Hazard, le maire de Verdun, il s’agit de « représailles » car, depuis quelques jours, « des opérations sont organisées avec les forces de l’ordre pour vider des caves squattées » par les dealers. « Nous voulons rétablir l’état de droit ! »
Dans un communiqué, le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin évoque les jets de cocktail Molotov sur les forces de l’ordre et « condamne très fermement » ces « violences inacceptables » qui sont « la conséquence de la politique menée ces derniers mois pour harceler les trafiquants de drogue et démanteler chaque point de deal identifié ».
Il y en a un peut marre du silence complice des fonctionnaire de l'etat sur la situation du pays.
RépondreSupprimerFoutez vous en greve bordel de merde, et appeler un chat un chat bande de lâche