Alors qu’en France la majorité et ses opposants misent quasiment TOUS sur la vaccination pour retrouver nos libertés, il s’avère qu’en regardant de plus prés ce qu’il se passe en Amérique du Sud et notamment au Brésil, l’immunité vaccinale ne sera pas atteinte avec les vaccins actuels.
En effet, l’analyse de la mortalité au Brésil révèle une augmentation du taux de mortalité par cas, dans tous les groupes d’âge, mais surtout chez les jeunes avec l’émergence du variant P1 chez des personnes porteurs d’anticorps.
Par ailleurs, des recherches menées au Brésil indiquent que la variante P1 a un taux de mortalité 2,7 fois plus élevé dans la population âgée de 20 à 39 ans.
Sur son compte Twitter, l’infectologue Julio Medina a publié les premiers résultats d’une étude menée à Manaus, au Brésil, où la souche P1 a circulé de manière très intensive.
“Lors de la deuxième vague à Manaus (Brésil), la préoccupante variante P1 a circulé intensément. La mortalité parmi les personnes hospitalisées dans la population entre 20 et 39 ans était 2,7 fois plus élevée que la première ”, indique le tweet dans lequel Julio Medina fait référence à la nouvelle souche de Coronavirus qui affecte la région, publiant le lien de cette recherche et un graphique montrant le plus grand impact des infections dans la deuxième vague.
#COVID19
— Dr. PhD. JULIO MEDINA (@Dr_Julio_Medina) March 28, 2021
Estudio (preimpresión), segunda ola en Manaos (Brasil), donde la #Variante de preocupación #P1 circuló intensamente.
La letalidad entre los hospitalizados en la población entre 20 y 39 años fue 2,7 veces mayor que la primera.https://t.co/bVj2yLMfi3 pic.twitter.com/mnciayD2He
Fin janvier 2021, dans un article paru dans The Lancet, des scientifiques alertaient déjà sur le fait qu à Manaus, au Brésil, une étude sur des donneurs de sang indiquait que 76% ( à 95% 67–98 ans) de la population, avait été infectée par le SRAS-CoV-2 en octobre 2020.
Dans ce contexte, l’augmentation brutale du nombre d’hospitalisations pour le COVID-19 à Manaus en janvier 2021 (3431 du 1er au 19 janvier 2021, contre 552 du 1er au 19 décembre 2020) était jugée inattendue et préoccupante ( voir figure).
Après une grande épidémie qui avait culminé fin avril 2020, les hospitalisations liées au COVID-19 à Manaus étaient restées stables et assez faibles durant 7 mois (de mai à novembre), malgré l’assouplissement des mesures de contrôle du COVID-19 au cours de cette période (figure).
Une étude sur les soignant au Royaume-Uni démontrait que la réinfection par le SRAS-CoV-2 était rare jusqu’à 6 mois après la primo-infection. “Cependant, la plupart des infections par le SRAS-CoV-2 à Manaus sont survenues 7 à 8 mois avant la résurgence en janvier 2021”, s’étonnaient les scientifiques à l’origine de l’étude sur la variante P1 au Brésil qui suggéraient que la diminution de l’immunité à elle seule était peu susceptible d’expliquer pleinement cette récente résurgence.
Ils supposés alors que les variants (B.1.1.7, B.1.351 et P.1) du SARS-CoV-2 pouvaient échapper à l’immunité générée en réponse à une infection antérieure.
Des inquiétudes sur la résistance aux vaccins qui sont actuellement diffusésDés le mois de janvier 2021, les scientifiques ont alarmé les autorités sur d’éventuels risques de résistances aux thérapies vaccinales actuelle en cours de distribution massive :
“Les nouvelles lignées SARS-CoV-2 peuvent entraîner une résurgence des cas dans les lieux où elles circulent si elles ont une transmissibilité accrue par rapport aux lignées circulantes préexistantes et si elles sont associées à une fuite antigénique. Pour cette raison, les caractéristiques génétiques, immunologiques, cliniques et épidémiologiques de ces variants du SRAS-CoV-2 doivent être rapidement étudiées. Inversement, si la résurgence à Manaus est due à la diminution de l’immunité protectrice, des scénarios de résurgence similaires devraient être attendus dans d’autres localités. Une surveillance sérologique et génomique soutenue à Manaus et ailleurs est une priorité, avec une surveillance simultanée des réinfections du SRAS-CoV-2 et la mise en œuvre d’interventions non pharmaceutiques.”
Déterminer de l’efficacité des vaccins COVID-19 existants contre les variants de P. 1 et d’autres lignées avec des variantes potentielles d’évasion immunitaire sont également cruciales. Le génotypage des virus de patients COVID-19 qui n’étaient pas protégés par la vaccination dans les essais cliniques nous aiderait à comprendre s’il existe des fréquences spécifiques à la lignée sous-jacentes à la réinfection. Les protocoles et les résultats de ces études devraient être coordonnés et rapidement partagés partout où de telles variantes émergent et se propagent.
Ces jours-ci, le fait que le P1 semble également (en plus du variant Sud-Africain B1351) échapper aux efforts de vaccination se confirme : “Il pourrait être en mesure d’échapper à nos vaccins actuels comme le Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson», a déclaré le Dr Wachs à Las Vegas”
Comme on peut le constater sur la figure du @Dr_D_Robertson, les variants P1 (Brésilien) et B.1351 (Sud Africains) entament une hausse exponentielle ces derniers jours au Royaume Uni, malgré une population vaccinés à plus de 45% avec les vaccins actuels.
Des mises à jour de nouveaux vaccins sont en cours
Créés en environ six mois, les laboratoires Pfizer et Moderna ont déjà annoncés qu’ils travaillent sur des moyens de rendre l’efficacité de leurs vaccins actuels, contre les nouvelles souches égale ou similaire à celle présentée contre le SARS-CoV-2.
Les vaccins Pfizer et Moderna sont à ARN messager , c’est-à-dire qu’ils utilisent un morceau du code génétique de la protéine de pointe, c’est cette couronne qui recouvre le virus. Cela entraîne le système immunitaire à entrer en contact avec le virus réel et rend toute infection plus légère ou sans symptôme.
Selon eux, si un variant présente des mutations dans la protéine Spike, le processus à faire est relativement simple : “il suffirait de changer ce morceau de code génétique et d’effectuer des tests pour savoir quelle combinaison est la meilleure pour lutter contre cela.”
De leur côté, à la question suivante : “Quelle est l’efficacité des vaccins contre les nouvelles souches plus contagieuses?” dans ce document les autorités américaines répondent officiellement ceci :
“Les scientifiques s’efforcent d’en savoir plus sur ces variantes afin de mieux comprendre à quel point elles pourraient être facilement transmises et l’efficacité des vaccins actuellement autorisés contre eux. Les premières données montrent que les deux premiers vaccins peuvent ne pas être aussi efficaces, mais ils offrent tout de même une très bonne protection contre les formes de COVID 19 sévères. Et cela fait que les vaccins valent vraiment la peine d’être achetés. Le vaccin Janssen / Johnson & Johnson a été étudié dans un essai clinique en Afrique du Sud, où un COVID-19variante circule. Dans cet essai, le vaccin Johnson & Johnson s’est avéré efficace à 64% pour prévenir les infections modérées à sévères”
On retiendra donc que vu que les vaccins sont “achetés” (donc commandés depuis des mois), il faut surtout maintenant les utiliser…
Se pose alors la légitime question suivante : Pourquoi vouloir injecter massivement les populations avec des vaccins qui seront très bientôt obsolètes, face à des variants plus virulents que la souche initiale? Hormis de prendre le risque de provoquer une échappée immunitaire qui serait catastrophique pour l’humanité.
Pour comprendre cette inquiétante hypothèse, nous vous recommandons de visionner la vidéo ci-dessous :
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