Une fois de plus, la police nationale se distingue.
Ces hommes n’écoutant que leur courage et leur devoir, et face à des risques très importants, ont menotté une commerçante de 51 ans, à Dieppe, puis l’ont placée en garde-à-vue, pendant 5 heures (source Paris Normandie).
Son crime ? Le lèse-couillonavirus bien sûr.
Elle avait osé ouvrir son magasin dimanche 21 mars, non pour y accueillir des clients (rappel : c’est interdit), mais pour prendre des photos de sa marchandise afin de promouvoir des ventes en ligne (le fameux télétravail vous vous souvenez ?).
Elle a pleuré au gnouf. N’a pas dormi. N’a pas compris.
“J’ai été traitée comme une criminelle”.
Bien fait pour elle ! Ce genre de comportement anti-couillonaviral n’est pas tolérable.
Salope !
Une petite vieille, probablement saoûle dès le matin ou souffrant d’un alzheimer carabiné, déclare :
“C’est une honte. C’est traumatisant. J’ai connu la guerre et la Milice. En vous disant la Milice, je vous ai tout dit”.
"Vous voyez mon âge. J'ai connu la guerre et la milice. En vous disant 'la milice', je vous ai tout dit."
— Jean Louis (@JL7508) March 23, 2021
Revoir ce reportage du 13h de TF1 sur la colère des habitants de Dieppe après le menottage et la mise en garde à vue d'une commerçante.
Tout ça va très mal finir... pic.twitter.com/uFji0bWxiE
Une fois de plus, l’Etat fort a mis fin à une scandaleuse pratique terroriste.
L’Etat fort a sauvé nos vies.
Bravo ! Et merci !
Et vive le Reich couillonaviral de mille ans.
Heil !
By Docteur
March 25, 2021
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