On peut regarder sa montre et compter combien il s’écoule de secondes avant que Gérard Collomb ne prononce le mot « déséquilibré ».
Mais combien y-a-t-il donc de déséquilibrés parmi les musulmans selon lui ?
Ça ne serait pas du racisme ?
Le ministre de l’Intérieur de Macron a choisi une fois de plus le déni et la minimisation, l’excuse de la folie, pour Kamel Salhi, musulman, qui a tué sa mère et sa soeur à coups de couteau et blessé une passante, aux cris d’Allah Akbar jeudi matin à Trappes.
L’attentat a été revendiqué par Daech.
Il intervient au lendemain de l’appel du chef de l’Etat islamique Abou Bakr Al Baghdadi appelant ses troupes à frapper à l’arme blanche.
Condamné et connu des services de police pour apologie du terrorisme depuis 2016, fiché FSPRT pour radicalisation, Kamel Salhi avait été chauffeur de bus à la RATP embauché dans le cadre de la stratégie assumée de l’entreprise publique d’embaucher des « jeunes de cité » afin que les bus ne soient plus caillassés par leurs coreligionnaires musulmans… (Tout comme Samy Amimour l’un des assassins de masse du Bataclan !).
Kamel Salhi avait été viré par la RATP en 2016 pour avoir arrêté son bus d’une ligne de Puteaux et proféré en hurlant ces propos à des usagers : « Par Allah, vous allez tous mourir ».
Mais toujours rien à voir avec ce que vous pensez…
Ghislaine Dumesnil, ancienne machiniste RATP a excellemment dénoncé et raconté tout cela dans son livre : Mahomet au volant La chariah au volant ( Editions Riposte Laïque) .
« Pour deux assassins qui sont passés à l’acte et ont été abattus, combien de chauffeurs de bus musulmans, agents dormants, sont-ils prêts à passer à l’action quand ils l’estimeront nécessaire ? ».
Comme le rappelle le conseiller départemental LR Nicolas Dainville qui accuse le ministre de l’Intérieur d’être dans le déni et la minimalisation, « 67 habitants de Trappes ont rejoint Daech ce qui en fait la ville la plus djihadiste d’Europe » que les services de renseignement surnomment le « Trappistan » ou « le Molenbeek français ».
«Des quartiers entiers de villes du département, dont Trappes, vivent comme des théocraties autonomes, selon un commissaire de police», relate Thibault de Montbrial, avocat et président du Centre de réflexion sur la sécurité intérieure.
Avec une prolifération des commerces halal, du port du voile, la multiplication des écoles coraniques autour des cinq mosquées que compte désormais la ville.
Et avec une infiltration particulièrement inquiétante des profils radicalisés dans les associations de solidarité et d’aide aux familles en difficulté notamment au chômage qui atteint 20 % à Trappes.
present.fr
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