« Fasciste ! » Tel semble être le nouveau point final du web. Le fascisme deux point zéro. La terrible sentence rendue à tout instant et sur tout sujet par l’armée nombreuse des idiots utiles de la gauche sur le web. Nouveau point Godwin !
Il serait bon peut-être de laisser reposer le mot quelques instants au moins, pour mieux le laisser reprendre sa juste place. Et son vrai sens.
Car le fascisme c’est avant tout la tentation d’un État fort, absolu et totalitaire. Et les moyens qu’il emploie pour y parvenir sont habituellement l’embrigadement par la propagande, la désinformation par les médias et l’analphabétisation économique et historique des masses. Et l’exacerbation de tous les corporatismes.
Il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître ici beaucoup des ingrédients du bouillon de culture de la gauche et de sa toute grande fantasmagorie rouge : « Tout par l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État ! »
Mais alors quoi : si le fascisme est un compost des petits fantasmes gauchistes, pourquoi nous voient-ils des fascistes partout ? Se peut-il qu’ils se fabriquent tout seul un ennemi invisible à combattre, sorte de monstre droit sorti de leur imaginaire collectif et qu’ils dressent comme un totem ? Un ennemi commun pour mieux se rassembler ?
Comme en leurs temps les corbeaux de l’église rapatriaient les brebis égarées en leur présentant sans cesse le danger d’un Diable partout rodant ? Mussolini, grand-père fondateur posait pourtant bien ainsi la nature précise du fascisme :
« Le fascisme est absolument opposé aux doctrines du libéralisme, à la fois dans la sphère politique et dans la sphère économique.
L’État fasciste veut gouverner dans le domaine économique pas moins que dans les autres ; cela fait que son action, ressentie à travers le pays de long en large par le moyen de ses institutions corporatives, sociales et éducatives, et de toutes les forces de la nation, politiques, économiques et spirituelles, organisées dans leurs associations respectives, circule au sein de l’État. » — Benito Mussolini
Alors cette petite gauche d’en ce moment, qui se veut antifasciste mais qui se targue, qui propagande, fermée et obtuse, dont le seul argument est un « facho ! » en forme de point final ! ne serait-elle pas encore plus que de la nature même du fascisme qu’elle dénonce mais son exact reflet dans le miroir ?
Plus grave, elle a peut-être aussi un problème avec sa propre histoire : car les bons sentiments gluants des antiracistes sélectifs ont toujours alimenté les pires extrémités ; z’ont été de tous les petits rouages de toutes les collaborations.
De celles-ci que la France efface peu à peu de son histoire sous les petits coups de gommes zélés d’une Éducation Nationale bien trotskiste.
Et les résistants d’hier seraient les fascistes d’aujourd’hui à bien les écouter.
Il est pourtant urgent de ne pas oublier qu’en leur temps nos bons socialistes français dénonçaient le fascisme du général de Gaulle.
Avant que d’être traités ensuite eux-mêmes de fascistes par les autres communistes ! Le centre de gravité n’est pas où on le croit.
Et c’est bien sous prétexte de « protéger » leurs peuples du fascisme que les Mao et autres Castro ont pu faire ce que l’on connaît.
Comme c’est aussi en se proclamant de l’antifascisme que les gentils communistes ont bâti le mur de Berlin, enfermant pour longtemps des populations entières dans un obscurantisme joyeux. Bien à l’abri du fascisme.
Et aujourd’hui c’est cette gauche-là qui recommence à nous dénoncer du fascisme tous azimuts !
Cette même gauche qui n’œuvre qu’à imposer un État toujours plus fort, partout et pour tous ? Cette gauche dirigiste et collectiviste, égalitariste acharnée, ennemie appliquée de toutes les responsabilité personnelles ?
Les vieux réflexes reviennent toujours. Et je crains que l’antifascisme exhibé à tous les vents par les gauches actuelles ne serve finalement qu’à mieux nous dissimuler leurs inclinaisons liberticides retrouvées.
L’antifascisme c’est un peu leur cheval de Troie à ces imposteurs.
Car le fascisme c’est avant tout la tentation d’un État fort, absolu et totalitaire. Et les moyens qu’il emploie pour y parvenir sont habituellement l’embrigadement par la propagande, la désinformation par les médias et l’analphabétisation économique et historique des masses. Et l’exacerbation de tous les corporatismes.
Il faudrait être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître ici beaucoup des ingrédients du bouillon de culture de la gauche et de sa toute grande fantasmagorie rouge : « Tout par l’État, rien hors de l’État, rien contre l’État ! »
Mais alors quoi : si le fascisme est un compost des petits fantasmes gauchistes, pourquoi nous voient-ils des fascistes partout ? Se peut-il qu’ils se fabriquent tout seul un ennemi invisible à combattre, sorte de monstre droit sorti de leur imaginaire collectif et qu’ils dressent comme un totem ? Un ennemi commun pour mieux se rassembler ?
Comme en leurs temps les corbeaux de l’église rapatriaient les brebis égarées en leur présentant sans cesse le danger d’un Diable partout rodant ? Mussolini, grand-père fondateur posait pourtant bien ainsi la nature précise du fascisme :
« Le fascisme est absolument opposé aux doctrines du libéralisme, à la fois dans la sphère politique et dans la sphère économique.
L’État fasciste veut gouverner dans le domaine économique pas moins que dans les autres ; cela fait que son action, ressentie à travers le pays de long en large par le moyen de ses institutions corporatives, sociales et éducatives, et de toutes les forces de la nation, politiques, économiques et spirituelles, organisées dans leurs associations respectives, circule au sein de l’État. » — Benito Mussolini
Alors cette petite gauche d’en ce moment, qui se veut antifasciste mais qui se targue, qui propagande, fermée et obtuse, dont le seul argument est un « facho ! » en forme de point final ! ne serait-elle pas encore plus que de la nature même du fascisme qu’elle dénonce mais son exact reflet dans le miroir ?
Plus grave, elle a peut-être aussi un problème avec sa propre histoire : car les bons sentiments gluants des antiracistes sélectifs ont toujours alimenté les pires extrémités ; z’ont été de tous les petits rouages de toutes les collaborations.
De celles-ci que la France efface peu à peu de son histoire sous les petits coups de gommes zélés d’une Éducation Nationale bien trotskiste.
Et les résistants d’hier seraient les fascistes d’aujourd’hui à bien les écouter.
Il est pourtant urgent de ne pas oublier qu’en leur temps nos bons socialistes français dénonçaient le fascisme du général de Gaulle.
Avant que d’être traités ensuite eux-mêmes de fascistes par les autres communistes ! Le centre de gravité n’est pas où on le croit.
Et c’est bien sous prétexte de « protéger » leurs peuples du fascisme que les Mao et autres Castro ont pu faire ce que l’on connaît.
Comme c’est aussi en se proclamant de l’antifascisme que les gentils communistes ont bâti le mur de Berlin, enfermant pour longtemps des populations entières dans un obscurantisme joyeux. Bien à l’abri du fascisme.
Et aujourd’hui c’est cette gauche-là qui recommence à nous dénoncer du fascisme tous azimuts !
Cette même gauche qui n’œuvre qu’à imposer un État toujours plus fort, partout et pour tous ? Cette gauche dirigiste et collectiviste, égalitariste acharnée, ennemie appliquée de toutes les responsabilité personnelles ?
Les vieux réflexes reviennent toujours. Et je crains que l’antifascisme exhibé à tous les vents par les gauches actuelles ne serve finalement qu’à mieux nous dissimuler leurs inclinaisons liberticides retrouvées.
L’antifascisme c’est un peu leur cheval de Troie à ces imposteurs.
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