Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
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Réflexions sur l'actualité et la politique Française. Avec quelques exceptions sur le reste du monde. Immigration, invasion, colonisation, islamisation, révolution.Covid
Les Français sont désormais habitués à l’alarmisme ambiant, dont le cynisme politique est de moins en moins crédible. Nous avons déjà souligné quelle stratégie de prise de pouvoir la terreur médicale recelait. Une fois de plus, l’actualité est agitée par des discours anxiogènes dont on peine à percevoir les fondements objectifs.
Alarmisme, mais baisse des hospitalisationsPremier point, le nombre de personnes hospitalisées est reparti à la baisse hier, après un très léger mouvement à la hausse qui a duré deux jours. en dehors de ce mouvement qui a pu inquiéter, le nombre de personnes hospitalisées est en baisse constante depuis 15 jours, ce qui dément les angoisses exprimées partout.
Les réanimations retrouvent leur équilibreDu côté du nombre de personnes en réanimation, la situation est également à nouveau stabilisée.
On le voit là aussi, la question des personnes en réanimation ne justifie pas les expressions catastrophistes lues régulièrement dans la presse. Certes, la situation n’est pas idyllique, et le nombre de personnes en services de réanimation a cru de façon continue durant la deuxième quinzaine de janvier. Mais là encore, le phénomène est très loin des proportions apocalyptiques annoncées, et la situation est globalement stable depuis le 6 février.
Avec moins de 3.500 personnes en réanimation pour fait de COVID, l’épidémie reste sous contrôle.
Chercher des chiffres qui font peurOn aura bien compris que ces chiffres qui méritent de l’attention mais qui ne justifient pas les sueurs froides que veulent nous donner les médecin, sont assez peu « vendeurs » pour justifier l’hypocondrie ambiante. On préfère donc changer d’indicateur pour mieux justifier le discours de la peur. C’est pourquoi le porte-parole du gouvernement préfère évoquer le taux d’incidence plutôt que le nombre de formes graves…
Il n’en reste pas moins qu’Emmanuel Macron se contente sagement désormais d’instaurer des restrictions locales plutôt que de grandes mesures nationales.
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