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mercredi 17 février 2021

Italie : le retour de la pègre mondialiste


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  Publié il y a 3 jours

Eric Montana

 Deux pseudos "journalistes" influents et un politicien véreux choisis par le groupe Bilderberg en 2019...

L'Italie vient de subir un coup d'Etat parlementaire et aucun média n'en parle. 

Giuseppe Conte, le Premier Ministre le plus appécié et le plus populaire que ce pays ait eu à la tête de l'exécutif, a été trahi pour la deuxième fois par un autre Matteo, l'ancien Premier Ministre pro-sioniste Matteo Renzi, ouvrant la porte au retour de la pègre mondialiste au pouvoir.

Pour comprendre comment cela s'est passé il faut d'abord préciser un détail important. La Constitution italienne, véritable escroquerie "démocratique" a été rédigée sous contrôle américain après la fin de la 2ème guerre mondiale. Cette Constitution donne au Président de la République le rôle d'un déposeur de chrysanthèmes aux cérémonies de la Shoah et autres fêtes nationales. Il doit être obligatoirement atlantiste et européiste mais à part désigner le Premier Ministre, il a moins de pouvoir qu'un chef de parti.

L'Italie est l'otage du Système que De Gaulle méprisait le plus : la République des partis. Et pour cause. La corruption, la trahison, la tromperie sont dans l'ADN des partis politiques. Et il n'est pas étonnant que l'Italie soit en Occident le pays le plus instable avec 77 gouvernements en 75 ans, et une classe politique qui compte le plus d'élus incriminés et poursuivis pour corruption, collusion avec la Mafia et détournements de fonds. Et ça, ce n'est que le haut de l'iceberg...

Matteo Renzi a été un Premier Ministre médiocre et éphémère. Et on se demande comment un politicien qui a échoué dans tout ce qu'il a entrepris, peut encore parader sur les plateaux de télévision comme si sa parole avait encore une quelconque importance. Une espèce de Cohn-Bendit qui a table ouverte dans tous les organes de propagande et qu'on maintient en survie artificielle car il peut toujours servir...



Son nom restera pourtant dans l'Histoire comme le symbole du cynisme politique. Venant d'un parti dit de "gauche", il a fait voter le "Jobs Act", l'équivalent de notre Loi El Khomri. La loi la plus antisociale que l'on puisse imaginer. Il a contribué à réduire les droits des salariés facilitant leurs licenciements, à détruire la Santé publique en fermant des hôpitaux au profit du secteur privé, contribué à démolir l'Education Nationale déjà mal en point, et a favorisé au delà de l'indécence les "pouvoirs forts" que sont les banques, la finance apatride, les réseaux occultes et tous les prédateurs économiques que compte la péninsule.

Force d'appoint dans le gouvernement Conte qui a eu la naïveté de lui faire confiance, son micro parti résultat d'une scission avec le Parti Démocrate, n'avait qu'une influence politique relative mais une capacité de nuisance effective.

Renzi a pourtant tout raté. Mis en examen dans d'obscures affaires financières il a perdu le referendum sur la modification de la Constitution, son père banquier a été condamné pour banqueroute frauduleuse, conspué et détesté par les Italiens, il est choisi malgré ce CV peu reluisant, par le groupe Bilderberg en 2019, avec deux faux "journalistes" Lilli Gruber et Stefano Feltri, deux propagandistes favorables aux mondialistes.

C'est ainsi que Matteo Renzi sur ordre du groupe Bilderberg est entré en conflit avec le Premier Ministre Conte pour des motifs futiles maquillés en "divergences politiques". Quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage. Se retirant de la majorité gouvernementale et en faisant démissionner ses ministres, Matteo Renzi a fait tomber le gouvernement, provocant une nième crise dans un pays qui n'avait pas besoin de ça.

En pleine crise économique, sanitaire et sociale, et alors que l'Italie avait besoin d'unité et de stabilité, Matteo Renzi obéissant aux directives de ses donneurs d'ordre, a poignardé le pays et le peuple italien dans le dos, pavant la route au retour du bankster de Goldman Sachs Mario Draghi membre lui aussi du groupe Bilderberg, déjà prémédité et annoncé à grands cris dans les médias, comme le "retour de l'enfant prodigue".

Une mise en scène ridicule car écrite à l'avance par ceux qui ne supportaient plus que l'Italie soit gouvernée par un homme honnête et par un Mouvement citoyen qui ont fait de ce pays, la seule vraie démocratie en Europe.

La pègre mondialiste est donc de retour aux affaires et le peuple italien va revivre dans sa chair les affres d'un Etat mafieux et corrompu qui sous prétexte de remettre le pays en ordre, va appauvrir encore plus les citoyens au profit des affairistes et des prédateurs. Avec en prime, un recul des libertés et une répression accrue car ces messieurs ne voudront pas être dérangés pendant qu'ils pillent l'Etat.

La comédie du coronavirus va continuer de plus belle, les médias se feront un plaisir d'alimenter la peur et la psychose, les scientifiques corrompus par les labos continueront à dramatiser la situation avec des faux chiffres, des faux tests, des faux décès attribués au virus, la vaccination va devenir obligatoire et les affaires reprendront de plus belle comme cela se passe dans les Républiques bananières.

Matteo Renzi sera largement remercié pour avoir accompli sa mission. Un rôle honorifique lui sera attribué, l'impunité lui sera garantie, de nouveaux avantages et privilèges accompagneront sa fonction, les médias continueront à désinformer et à manipuler les Italiens qui n'y verront que du feu, et le Grand Reset de Klaus Schwab sera mis en oeuvre en Italie sans la moindre opposition.

Mario Draghi vient de présenter le nouveau gouvernement où l'on assiste au retour de tous ceux qui ont contribué à détruire le pays. Une espèce d'auberge espagnole regroupant des représentant de tous les partis et où le Mouvement 5 Etoiles pourtant majoritaire à l'Assemblée avec le plus grand nombre d'élus, se voit cadenassé et divisé avec des portefeuilles sans aucune influence. Un gouvernement d'union nationale où l'on veut faire cohabiter l'eau et le feu et qui conduira le pays à encore plus d'instabilité, de déceptions et de drames sociaux.

Le Minestrone italien se révélera très vite indigeste, les espoirs des uns se transformeront en désespoir des autres, à l'accumulation des richesses par une minorité s'opposera l'appauvrissement de la majorité, l'injustice sociale et économique redeviendra le pain quotidien des Italiens mais les banquiers prospèreront et les lobbys aussi.

Voilà comment des politiciens véreux réussissent à détruire un pays... Et pour s'en convaincre il n'y a qu'à observer la bourse de Milan, véritable thermomètre de cette démocratie truquée. Plus la bourse monte et plus les Italiens se font dépouiller. Mais ça, on ne leur dit pas...


Mario Draghi ex dirigeant de Goldman Sachs, ex président de la BCE et membre du groupe Bilderberg

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Bilderberg reprend le contrôle du pays

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