"la volonté claire de mener des attaques en Catalogne"
En Espagne, coup de filet contre une cellule de recrutement de combattants du groupe Etat islamique. La police catalane a arrêté onze personnes soupçonnées d’appartenir à ce réseau jihadiste.
Dix hommes et une femme de 17 à 45 ans, parmi eux cinq Espagnols et un Paraguayen convertis à l’islam, ainsi que cinq Marocains, a précisé Ramon Espadaler, conseiller de l’exécutif catalan en charge des affaires intérieures : “Nous avons travaillé 13 mois avec la justice.
Nous avions des informations importantes qui démontraient clairement la volonté de mener des attaques en Catalogne.”
La mission du réseau : recruter des jeunes pour les radicaliser, en envoyer une partie en Syrie ou Irak, et préparer des attentats.
Les policiers ont trouvé des documents et des photographies de cibles potentielles.
Le 1er avril, une Marocaine vivant en Catalogne, qui entendait selon les autorités envoyer ses jumeaux de 16 ans combattre en Syrie, a été placée en détention provisoire, un an après la mort d’un autre fils dans ce pays.
Selon les autorités, une centaine d’Espagnols aurait rejoint les rangs de groupes jihadistes en Irak ou en Syrie, moins que les Français, Britanniques ou Allemands qui sont partis dans ces pays.
source via fdesouche
Dix hommes et une femme de 17 à 45 ans, parmi eux cinq Espagnols et un Paraguayen convertis à l’islam, ainsi que cinq Marocains, a précisé Ramon Espadaler, conseiller de l’exécutif catalan en charge des affaires intérieures : “Nous avons travaillé 13 mois avec la justice.
Nous avions des informations importantes qui démontraient clairement la volonté de mener des attaques en Catalogne.”
La mission du réseau : recruter des jeunes pour les radicaliser, en envoyer une partie en Syrie ou Irak, et préparer des attentats.
Les policiers ont trouvé des documents et des photographies de cibles potentielles.
Le 1er avril, une Marocaine vivant en Catalogne, qui entendait selon les autorités envoyer ses jumeaux de 16 ans combattre en Syrie, a été placée en détention provisoire, un an après la mort d’un autre fils dans ce pays.
Selon les autorités, une centaine d’Espagnols aurait rejoint les rangs de groupes jihadistes en Irak ou en Syrie, moins que les Français, Britanniques ou Allemands qui sont partis dans ces pays.
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