Le 26 04 2015
Sans racines, il n’y a plus de vie, plus de progression, plus d’avenir. Sans affirmation d’un « nous », il n’y même plus de « je ».
Les tragiques événements qui endeuillent la France par le meurtre d’une jeune femme innocente qui semblait rayonner la joie de vivre, la menace récurrente contre nos églises et tout ce qui est cher à notre patrie commune, doivent nous rappeler, si cela était nécessaire, que nous ne sommes plus en paix depuis bien longtemps déjà.
Et cela notamment parce que les Français ont perdu l’habitude de s’aimer.
Ceux que l’on désigne abusivement comme nos élites travaillent en concertation, avec l’école et les médias, à cet esprit de repentance, à ce désamour, ce dégoût de nous-mêmes, pour faire une société soumise, anomique et culpabilisée.
Les prophètes de malheur, parmi lesquels Jacques Attali – pour ne citer que lui, qui a eu de l’influence sur tous les gouvernements qui se succèdent depuis 81 -, affirment détester les « racines » et prêchent la notion de « citoyen du monde » en regardant négligemment leur Rolex.
On est ici dans la négation du réel et dans la spéculation idéologique pure.
Sans racines, il n’y a plus de vie, plus de progression, plus d’avenir.
Sans affirmation d’un « nous », il n’y même plus de « je ».
Depuis les accords de Schengen, par exemple, une des étapes constitutives de « l’Union européenne » qui fit disparaître tous contrôles aux frontières, comment pourrions-nous efficacement lutter contre l’expansion de l’islamisme le plus belliqueux ?
Nos dirigeants savent depuis longtemps qu’ils ont abandonné le sort de la France à des étrangers, voire même à des apatrides, qui s’estiment au-dessus des nations.
Pourtant, les Français n’abandonnent pas si facilement les valeurs sur lesquelles la France est bâtie.
On l’a vu durant l’épisode exemplaire de la Manif pour tous ; On l’a vu encore à chaque scrutin ; la France n’est pas morte, elle peut, elle doit se réveiller.
Il faut anticiper, en revanche, la chute inéluctable du système vermoulu qui nous tient lieu de régime politique aujourd’hui.
C’est ce à quoi nous invite « Le Réveil français » : un groupe de réflexion opérationnel au profit de toutes les organisations patriotiques.
Partant de l’observation que de nouveaux clivages dessinent le paysage politique, les notions de gauche et de droite deviennent progressivement obsolètes, laissant la place à l’opposition entre patriotisme et mondialisme.
Il vise à la fois à faire émerger de nouvelles élites et à fournir de la matière sur des sujets concrets qui touchent directement l’avenir de notre pays : que devront faire immédiatement ceux qui auront demain la redoutable tâche de reconstruire ?
La notion de patrie sert de base de départ et donne la cohérence intellectuelle à nos réflexions.
La France est un pays qui s’est construit en plus de mille ans. N’est-ce pas une force et un signe de stabilité ?
Il ne s’agit pas de se replier, mais de s’appuyer sur cette réalité concrète : une terre de solidarité bien identifiée capable de surmonter toutes les crises si les Français n’oublient pas ce qu’elle est.
Il en sera question le 13 juin 2015 à Paris autour de thèmes essentiels que sont : la politique étrangère, la défense, l’éducation, l’économie, l’écologie et l’anthropologie (éthique et morale).
Écartons les fossoyeurs et imposons les vrais talents du pays de France.
Et cela notamment parce que les Français ont perdu l’habitude de s’aimer.
Ceux que l’on désigne abusivement comme nos élites travaillent en concertation, avec l’école et les médias, à cet esprit de repentance, à ce désamour, ce dégoût de nous-mêmes, pour faire une société soumise, anomique et culpabilisée.
Les prophètes de malheur, parmi lesquels Jacques Attali – pour ne citer que lui, qui a eu de l’influence sur tous les gouvernements qui se succèdent depuis 81 -, affirment détester les « racines » et prêchent la notion de « citoyen du monde » en regardant négligemment leur Rolex.
On est ici dans la négation du réel et dans la spéculation idéologique pure.
Sans racines, il n’y a plus de vie, plus de progression, plus d’avenir.
Sans affirmation d’un « nous », il n’y même plus de « je ».
Depuis les accords de Schengen, par exemple, une des étapes constitutives de « l’Union européenne » qui fit disparaître tous contrôles aux frontières, comment pourrions-nous efficacement lutter contre l’expansion de l’islamisme le plus belliqueux ?
Nos dirigeants savent depuis longtemps qu’ils ont abandonné le sort de la France à des étrangers, voire même à des apatrides, qui s’estiment au-dessus des nations.
Pourtant, les Français n’abandonnent pas si facilement les valeurs sur lesquelles la France est bâtie.
On l’a vu durant l’épisode exemplaire de la Manif pour tous ; On l’a vu encore à chaque scrutin ; la France n’est pas morte, elle peut, elle doit se réveiller.
Il faut anticiper, en revanche, la chute inéluctable du système vermoulu qui nous tient lieu de régime politique aujourd’hui.
C’est ce à quoi nous invite « Le Réveil français » : un groupe de réflexion opérationnel au profit de toutes les organisations patriotiques.
Partant de l’observation que de nouveaux clivages dessinent le paysage politique, les notions de gauche et de droite deviennent progressivement obsolètes, laissant la place à l’opposition entre patriotisme et mondialisme.
Il vise à la fois à faire émerger de nouvelles élites et à fournir de la matière sur des sujets concrets qui touchent directement l’avenir de notre pays : que devront faire immédiatement ceux qui auront demain la redoutable tâche de reconstruire ?
La notion de patrie sert de base de départ et donne la cohérence intellectuelle à nos réflexions.
La France est un pays qui s’est construit en plus de mille ans. N’est-ce pas une force et un signe de stabilité ?
Il ne s’agit pas de se replier, mais de s’appuyer sur cette réalité concrète : une terre de solidarité bien identifiée capable de surmonter toutes les crises si les Français n’oublient pas ce qu’elle est.
Il en sera question le 13 juin 2015 à Paris autour de thèmes essentiels que sont : la politique étrangère, la défense, l’éducation, l’économie, l’écologie et l’anthropologie (éthique et morale).
Écartons les fossoyeurs et imposons les vrais talents du pays de France.
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