Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite.
La montée du FN confirmée par les élections municipales est la conséquence d’une crise économique et d’une crise identitaire.
Si beaucoup préfèrent y voir la seule conséquence de la crise économique, l’immigration massive, l’insécurité et la perte de contrôle de nos frontières sont des facteurs importants des scores du FN.
Cette réalité est illustrée par l’électorat du nord de la France, électorat de « gauche » à fibre sociale, qui choisit de voter pour le FN plutôt que pour le Front de gauche.
Un raccourci idéologique voudrait que l’électeur FN vive souvent dans des lieux où l’immigration est très faible et vote par peur de ce qu’il ne connaît pas.
Ces élections prouvent à nouveau le contraire avec les régions du Sud à fort taux d’immigration votant massivement FN.
Et si, dans certaines régions périurbaines où l’immigration est faible, le FN fait toujours de bons scores, c’est en réalité parce que ces habitants ont fui les villes et les banlieues autant par contraintes économiques et foncières que par choix culturel (pour fuir une immigration massive dans les derniers quartiers populaires).
Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite.
Croisant ses concitoyens d’origine étrangère dans le métro, il pense vivre avec eux mais le soir, il rejoint ses semblables dans son quartier.
Chacun vit à côté des autres avec sa propre culture.
La mixité n’existe quasiment pas dans les tribunes d’un concert de rock, de rap ou d’un match de rugby.
Le vivre ensemble, l’inclusion sociale, le faire France n’existent pas sauf dans la bouche d’une élite coupée du peuple, une élite protégée des conséquences négatives de la mondialisation qui se permet en outre de distribuer elle-même des brevets de civisme.
Dans ces villes boboïsées, on se vante de respecter son voisin et sa différence de mode de vie.
Mais cette tolérance revendiquée n’est en réalité qu’indifférence individualiste.
À une fracture sociale s’est ajoutée une fracture identitaire.
Au sein d’une même classe sociale, les gens se séparent en raison de leurs origines.
Si la France ne retrouve pas le contrôle de ses frontières, des frontières moins visibles mais réelles se multiplieront : celles qui empêchent déjà d’entrer dans des cités dites « zones de non-droit », celles qu’élèvent les classes aisées en se regroupant dans des quartiers éloignés de tout problème d’insécurité ou d’immigration.
À ce petit jeu, les classes populaires sont toujours perdantes.
Il est urgent de stopper l’immigration massive et de privilégier la culture française avant que le semblant de vivre ensemble qui reste ne se transforme en une société multiculturelle du « vivre à côté ».
Si beaucoup préfèrent y voir la seule conséquence de la crise économique, l’immigration massive, l’insécurité et la perte de contrôle de nos frontières sont des facteurs importants des scores du FN.
Cette réalité est illustrée par l’électorat du nord de la France, électorat de « gauche » à fibre sociale, qui choisit de voter pour le FN plutôt que pour le Front de gauche.
Un raccourci idéologique voudrait que l’électeur FN vive souvent dans des lieux où l’immigration est très faible et vote par peur de ce qu’il ne connaît pas.
Ces élections prouvent à nouveau le contraire avec les régions du Sud à fort taux d’immigration votant massivement FN.
Et si, dans certaines régions périurbaines où l’immigration est faible, le FN fait toujours de bons scores, c’est en réalité parce que ces habitants ont fui les villes et les banlieues autant par contraintes économiques et foncières que par choix culturel (pour fuir une immigration massive dans les derniers quartiers populaires).
Le bobo des villes s’enorgueillit de ne pas voter pour le FN et de vivre dans une ville cosmopolite.
Croisant ses concitoyens d’origine étrangère dans le métro, il pense vivre avec eux mais le soir, il rejoint ses semblables dans son quartier.
Chacun vit à côté des autres avec sa propre culture.
La mixité n’existe quasiment pas dans les tribunes d’un concert de rock, de rap ou d’un match de rugby.
Le vivre ensemble, l’inclusion sociale, le faire France n’existent pas sauf dans la bouche d’une élite coupée du peuple, une élite protégée des conséquences négatives de la mondialisation qui se permet en outre de distribuer elle-même des brevets de civisme.
Dans ces villes boboïsées, on se vante de respecter son voisin et sa différence de mode de vie.
Mais cette tolérance revendiquée n’est en réalité qu’indifférence individualiste.
À une fracture sociale s’est ajoutée une fracture identitaire.
Au sein d’une même classe sociale, les gens se séparent en raison de leurs origines.
Si la France ne retrouve pas le contrôle de ses frontières, des frontières moins visibles mais réelles se multiplieront : celles qui empêchent déjà d’entrer dans des cités dites « zones de non-droit », celles qu’élèvent les classes aisées en se regroupant dans des quartiers éloignés de tout problème d’insécurité ou d’immigration.
À ce petit jeu, les classes populaires sont toujours perdantes.
Il est urgent de stopper l’immigration massive et de privilégier la culture française avant que le semblant de vivre ensemble qui reste ne se transforme en une société multiculturelle du « vivre à côté ».
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