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mardi 16 décembre 2025

Orban dénonce : Le géant UE s'écroule, l'implosion de la corruption


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À Strasbourg, un séisme politique est en cours, un événement retentissant impulsé par 𝗩𝗶𝗰𝘁𝗼𝗿 𝗢𝗿𝗯𝗮́𝗻.
 
On parle d'un véritable "𝐭𝐫𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐮𝐫𝐨𝐩𝐞́𝐞𝐧".
Ursula von der Leyen et Friedrich Merz quittent la salle, et c'est là qu'Orbán entre en scène, armé de faits et de chiffres assassins. "Votre empire de mensonges s'écroule aujourd'hui !" lance-t-il.
Le silence est suivi du chaos. Même les services de sécurité doivent intervenir.
De sang-froid, Orbán déroule son attaque, documents à l'appui. Il lit mot pour mot : dossiers, virements bancaires, correspondances internes officielles. Il affirme que plus de 5 milliards d'euros de fonds de l'UE ont été détournés, dépensés ou réaffectés. Des sommes initialement destinées aux infrastructures, à l'éducation et à la science auraient disparu au profit d'une structure politique liée à Ursula von der Leyen.
Pendant qu'Orbán parle, on peut littéralement voir les visages des Commissaires Européens se décomposer. Von der Leyen s'efface légèrement, comme si elle n'était pas concernée. Merz, lui, reste muet !
Sans s'arrêter, Orbán poursuit son implacable exposé, dévoilant des documents qui relient l'argent de l'UE à des sociétés de conseil allemandes. Ces mêmes sociétés entretiennent des liens étroits et anciens avec Hanovre, la région natale de von der Leyen. Cinq millions d'euros pour des projets uniquement sur papier, des projets qui n'existent pas.
"Mensonge !", "Enquête !", entend-on fuser dans la salle, ce à quoi Orbán rétorque :
"Je présente des preuves, pas de la propagande !"
Puis, Orbán aborde le scandale Pfizer, obstinément étouffé. Plus de 200 messages échangés entre von der Leyen et Albert Bourla. Des messages effacés sans protocole, sans archivage. Il s'agit d'un contrat de 35 milliards d'euros signé via messagerie instantanée. Lorsque le tribunal a exigé l'accès à cette correspondance en mai, les données se sont volatilisées !
Orbán exhibe de prétendues captures d'écran, qu'il affirme avoir été conservées par un hacker hongrois. Dans celles-ci, Bourla offrirait à von der Leyen un soutien politique et financier en échange du choix de son vaccin. (Les conséquences réelles ne se manifestent-elles pas encore, avec leur caractère latent et ces nombreuses pathologies que les médecins peinent à expliquer ?)
Orbán enfonce le clou : "Ce n'est pas un cas isolé ! C'est un système !"
Cet événement est retransmis et vu dans toute l'Europe.
À Budapest et Bratislava, on se réjouit. En Allemagne, en France et en Italie, la tension monte dans la rue. Une colère sourde, profonde et froide ! Selon les dernières données, plus de 60 % des Allemands déclarent NE PLUS faire confiance à Bruxelles ! Un tel indicateur n'avait jamais été atteint, pas même durant la crise de l'euro ou celle des migrants !
Les fonctionnaires de Bruxelles tentent de minimiser et de cacher la vérité, mais un tel scandale est difficile à dissimuler. Surtout avec les morts sur la conscience et le fait que les autopsies post-COVID n'ont pas été pratiquées, alors que l'Occident le réclame !
Un nouveau mouvement est en train de se former, mentionné par Orbán : "Patriotes pour l'Europe". Des parlementaires contre les technocrates bruxellois. Déjà plus de 100 députés de divers pays européens s'unissent pour former un bloc uni, dans le but d'éjecter les dirigeants actuels de Bruxelles.
C'est précisément ce qui terrifie la Commission Européenne !
Orbán n'est pas seulement en train de créer une "alliance politique", il revendique un rôle de leadership dans un nouvel ordre européen. L'impact de sa démarche est tel qu'il a même attiré l'attention de Washington.
Quelques heures plus tard, la réponse est arrivée, "de l'autre côté de l'océan". L'UE craint davantage Trump, car si elle ne parvient pas à le discréditer, l'Union disparaît. Trump a ouvertement loué Orbán, le qualifiant de l'un des leaders européens les plus forts, ayant la force et le courage de dire la vérité, (bien sûr, juste après V. Poutine, mais la Russie n'appartient pas à cette société que la corruption est en train de gangrener, même si la Russie n'en est pas exempte non plus.)
Trump suggère même une rencontre à Budapest, sans la participation de l'UE.
La politique mondiale ne tourne plus autour de la Commission Européenne depuis longtemps, elle la contourne. Orbán se positionne comme un médiateur entre les superpuissances, tandis que von der Leyen est devenue le symbole d'un vieux système en faillite.
Un autre fait vient ébranler la Commission : le "Green Deal". Avant même d'avoir atteint le succès, il est au bord de l'effondrement. Des milliards d'euros se sont envolés, et les prix de l'énergie ont explosé, détruisant l'industrie partout en Europe. Ce que von der Leyen présentait comme le "Projet du siècle" est en train de devenir le fiasco politique le plus coûteux. Des documents de commissions internes européennes l'avaient pourtant avertie de l'effet inverse, prévoyant un soutien catastrophique au Green Deal dans des rapports qui lui étaient directement adressés.
C'est le tour des coupables habituels... Ils commencent par s'excuser, affirmant qu'ils subissent cette pression "d'en haut" depuis des années ! Le plus beau, c'est que le mur du silence, qui protégeait l'UE depuis des décennies, est en train de s'effondrer. Les vérités sur le lobbying en faveur des amis de Hanovre, le berceau de von der Leyen, commencent à émerger.
Les sujets étaient connus, mais personne n'osait les commenter. Ils sont désormais au cœur d'un scandale européen. C'est là que le Parquet Européen, qui s'est fait désirer, entre en scène. Une enquête contre l'un, une autre contre l'autre ; certains prennent la fuite et se cachent. Mais les prochaines enquêtes ciblant directement von der Leyen vont déchaîner la tempête.
De nombreux crimes restés secrets n'attendent qu'une opportunité propice.
Indépendamment de l'éventuelle rencontre Trump-Poutine, Orbán, lui, s'est rendu à Washington et à Moscou. Il a obtenu ce que son pays souhaitait et passe maintenant à l'échelle "européenne".
Bruxelles tente de rétablir son hégémonie, mais tous ces scandales de corruption, la guerre en Ukraine et l'appauvrissement des Européens rendent la chose impossible.
Les citoyens européens voient clairement la différence. Exemple : tandis que certaines usines délocalisent leur production hors d'Allemagne, l'industrie automobile prospère dans 4 à 5 villes hongroises. La Hongrie pourrait devenir l'un des principaux pays producteurs de batteries électriques. Orbán ne fait pas que dire la vérité, il agit pour le peuple hongrois. C'est ce qui lui vaut un tel respect.
Pendant des années, la Commission Européenne a été considérée comme un modèle technocratique intouchable, au-dessus des conflits des États membres. L'image a été radicalement changée par ce "dossier Orbán".
La question la plus explosive est : "𝑼𝒏𝒆 𝑪𝒐𝒎𝒎𝒊𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒔𝒐𝒖𝒑𝒄̧𝒐𝒏𝒏𝒆́𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒓𝒓𝒖𝒑𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒅𝒆 𝒔𝒖𝒑𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆́𝒆𝒔, 𝒅𝒆 𝒅𝒊𝒔𝒑𝒂𝒓𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒂𝒓𝒅𝒔 𝒆𝒕 𝒅𝒆 𝒑𝒓𝒆𝒔𝒔𝒊𝒐𝒏 𝒑𝒐𝒍𝒊𝒕𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒑𝒆𝒖𝒕-𝒆𝒍𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒕𝒊𝒏𝒖𝒆𝒓 𝒂̀ 𝒈𝒐𝒖𝒗𝒆𝒓𝒏𝒆𝒓 ?"
De nombreux experts répondent déjà : "Non, la réalité politique a changé." Ce qu'Ursula von der Leyen a bâti au fil des ans est en train de devenir un symbole : le symbole de l'aliénation entre les bureaucrates et les citoyens, le symbole des décisions occultes favorisant une élite, le symbole d'un pouvoir centralisé totalement déconnecté de ses électeurs.
Orbán propose une alternative claire et palpable. Un tremblement de terre politique va balayer l'Europe. Des gouvernements vont tomber, des accords de l'UE seront annulés et les rapports de force au sein de l'Union changeront radicalement.

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