On apprend qu’une cabale s’est formée sous la Coupole pour interdire l’accès à l’Académie française à Alain Finkielkraut.
À quelques jours du scrutin destiné à pourvoir au remplacement de Félicien Marceau, on apprend par Le Figaro qu’une cabale s’est formée sous la Coupole pour interdire l’accès à l’Académie française à Alain Finkielkraut, candidat au fauteuil laissé vacant par l’auteur de L’Œuf. Élire celui de L’Identité malheureuse, ce serait, s’il faut en croire le propos d’un immortel anonyme cité par le quotidien du boulevard Haussmann, « faire entrer le Front national » quai Conti.
De fait, les positions prises par Alain Finkielkraut sur divers sujets brûlants tels que l’immigration, l’intégration, le déclin français, l’antisémitisme de banlieue ou le conformisme de salon lui ont valu de vigilantes inimitiés.
Boulevard Voltaire a pu se procurer la fiche de police (de la pensée) d’un philosophe, essayiste et agitateur culturel dont le niveau d’intelligence, de culture, de courage, de talent et d’influence, qui relèverait celui de l’Institut, a fait l’ennemi public n°1 des cloportes qui abondent dans un certain microcosme.
Voici des extraits significatifs de ce document :
Nom : FINKIELKRAUT Alain, alias « FINKIE »
Ascendants : né le 30 juin 1949 de parents juifs polonais. Père déporté à Auschwitz.
Nationalité : française.
Études : École normale de Saint-Cloud. Agrégation de lettres modernes.
Signes particuliers : intellectuel mais patriote. Raisonneur. Ne craint pas d’exposer, de développer et de défendre des idées qui sont l’objet de la réprobation de ses pairs et lui ont déjà valu de nombreuses condamnations.
Entourage : A. F. multiplie les fréquentations douteuses. Il a été vu à plusieurs reprises en compagnie de la femme Hannah Arendt, du sieur Montaigne, d’un certain Charles Péguy, bien connu dans les milieux socialiste, anarchiste, nationaliste et littéraire. A persisté dans son amitié pour Renaud Camus, en dépit des nombreux avertissements qui lui ont été adressés.
Précautions à prendre : « Finkie » sort toujours armé d’arguments, de références et de « preuves » qu’il oppose systématiquement à ses contradicteurs. La seule méthode qui a fait la démonstration de son efficacité contre ce malfaiteur dangereux consiste à le couvrir d’injures, d’invectives et de calomnies jusqu’à ce qu’il perde son sang-froid et quitte la place.
Recommandations (secret/confidentiel) : en cas de rencontre, ne pas hésiter à tirer le premier. Cet homme est dangereux.
De fait, les positions prises par Alain Finkielkraut sur divers sujets brûlants tels que l’immigration, l’intégration, le déclin français, l’antisémitisme de banlieue ou le conformisme de salon lui ont valu de vigilantes inimitiés.
Boulevard Voltaire a pu se procurer la fiche de police (de la pensée) d’un philosophe, essayiste et agitateur culturel dont le niveau d’intelligence, de culture, de courage, de talent et d’influence, qui relèverait celui de l’Institut, a fait l’ennemi public n°1 des cloportes qui abondent dans un certain microcosme.
Voici des extraits significatifs de ce document :
Nom : FINKIELKRAUT Alain, alias « FINKIE »
Ascendants : né le 30 juin 1949 de parents juifs polonais. Père déporté à Auschwitz.
Nationalité : française.
Études : École normale de Saint-Cloud. Agrégation de lettres modernes.
Signes particuliers : intellectuel mais patriote. Raisonneur. Ne craint pas d’exposer, de développer et de défendre des idées qui sont l’objet de la réprobation de ses pairs et lui ont déjà valu de nombreuses condamnations.
Entourage : A. F. multiplie les fréquentations douteuses. Il a été vu à plusieurs reprises en compagnie de la femme Hannah Arendt, du sieur Montaigne, d’un certain Charles Péguy, bien connu dans les milieux socialiste, anarchiste, nationaliste et littéraire. A persisté dans son amitié pour Renaud Camus, en dépit des nombreux avertissements qui lui ont été adressés.
Précautions à prendre : « Finkie » sort toujours armé d’arguments, de références et de « preuves » qu’il oppose systématiquement à ses contradicteurs. La seule méthode qui a fait la démonstration de son efficacité contre ce malfaiteur dangereux consiste à le couvrir d’injures, d’invectives et de calomnies jusqu’à ce qu’il perde son sang-froid et quitte la place.
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