Le 18/06/2016
Anne-Sophie Désir
Aujourd’hui encore, nos politiques ne veulent pas mettre de mots sur ce qui a dévasté ta vie.
Tu es à l’âge où l’on ne réalise pas.
C’est mieux comme ça.
L’âge où les images s’estompent de la mémoire mais laissent des gouffres émotionnels et des carences affectives sans fin.
Tes parents ont été assassinés chez eux et ce n’est pas un fait divers.
C’est le résultat de notre soumission.
Pardon.
L’addition est pour toi.
L’incurie de 40 ans de politique migratoire, 40 ans d’inconscience collective, de soumission de la France en repentance d’État.
Et aujourd’hui encore, nos politiques ne veulent pas mettre de mots sur ce qui a dévasté ta vie.
Tes parents ont été assassinés, parce qu’ils représentaient l’État français, par un islamiste radical qui n’a respecté ni l’uniforme de ton père, ni le sanctuaire de ta maison, ni la femme qu’était ta mère.
Dégueulant sa haine sur ce qui fonde notre nation.
Larossi Abballa est né en France, il a grandi dans des banlieues subventionnées à coups de millions, il est le transfuge d’une intégration rêvée par nos dirigeants pour répondre à une immigration de masse voulue.
Et comme ces Français du sol n’ont plus de sang français, notre ministre de l’Éducation nationale, à la double nationalité franco-marocaine, a décidé d’intégrer l’apprentissage de l’arabe, langue du Coran, dès l’âge de 6 ans.
Séance d’hypnose collective.
Nous sommes en état d’urgence, mais dans le discours officiel prononcé dans nos commissariats le 15 juin, jamais les mots « islam radical » n’ont été prononcés.
C’est l’arlésienne des cérémonies d’hommage qui s’enchaînent depuis des mois.
Flouter la réalité comme remède contre l’amalgame.
Petites bougies, « Let It Be », chrysanthèmes mais pas d’écho aux « allah Akbar » qui tuent à l’arme blanche les mécréants, rappelant à d’autres plus conscients les méthodes employées lors des « événements » (!) d’Algérie.
Nos politiques ne nomment pas le coupable, ils le protègent donc par omission.
Et s’en font les complices.
Pardon.
Tu apprendras plus tard que le bourreau de tes parents était connu de la justice et fiché S depuis 2011.
Condamné pour participation à une filière d’acheminent de djihadistes, il a profité de son (court) séjour en prison pour y faire l’apologie du djihadisme.
Les services de probation ont pointé « un discours lisse vis-à-vis des faits et une pratique assidue de la religion. »
Sa voisine de palier, interrogée par un média complaisant, le qualifie de « normal » : « Normal : il disait bonjour à mes fils et à mon mari, pas à moi, mais normal. »
Voilà, cher petit Mathieu, ce qu’est aujourd’hui une France normale.
L’assassin de ton père et de ta mère était pressé de nettoyer du kouffar.
On dirait du black M.
C’est mieux comme ça.
L’âge où les images s’estompent de la mémoire mais laissent des gouffres émotionnels et des carences affectives sans fin.
Tes parents ont été assassinés chez eux et ce n’est pas un fait divers.
C’est le résultat de notre soumission.
Pardon.
L’addition est pour toi.
L’incurie de 40 ans de politique migratoire, 40 ans d’inconscience collective, de soumission de la France en repentance d’État.
Et aujourd’hui encore, nos politiques ne veulent pas mettre de mots sur ce qui a dévasté ta vie.
Tes parents ont été assassinés, parce qu’ils représentaient l’État français, par un islamiste radical qui n’a respecté ni l’uniforme de ton père, ni le sanctuaire de ta maison, ni la femme qu’était ta mère.
Dégueulant sa haine sur ce qui fonde notre nation.
Larossi Abballa est né en France, il a grandi dans des banlieues subventionnées à coups de millions, il est le transfuge d’une intégration rêvée par nos dirigeants pour répondre à une immigration de masse voulue.
Et comme ces Français du sol n’ont plus de sang français, notre ministre de l’Éducation nationale, à la double nationalité franco-marocaine, a décidé d’intégrer l’apprentissage de l’arabe, langue du Coran, dès l’âge de 6 ans.
Séance d’hypnose collective.
Nous sommes en état d’urgence, mais dans le discours officiel prononcé dans nos commissariats le 15 juin, jamais les mots « islam radical » n’ont été prononcés.
C’est l’arlésienne des cérémonies d’hommage qui s’enchaînent depuis des mois.
Flouter la réalité comme remède contre l’amalgame.
Petites bougies, « Let It Be », chrysanthèmes mais pas d’écho aux « allah Akbar » qui tuent à l’arme blanche les mécréants, rappelant à d’autres plus conscients les méthodes employées lors des « événements » (!) d’Algérie.
Nos politiques ne nomment pas le coupable, ils le protègent donc par omission.
Et s’en font les complices.
Pardon.
Tu apprendras plus tard que le bourreau de tes parents était connu de la justice et fiché S depuis 2011.
Condamné pour participation à une filière d’acheminent de djihadistes, il a profité de son (court) séjour en prison pour y faire l’apologie du djihadisme.
Les services de probation ont pointé « un discours lisse vis-à-vis des faits et une pratique assidue de la religion. »
Sa voisine de palier, interrogée par un média complaisant, le qualifie de « normal » : « Normal : il disait bonjour à mes fils et à mon mari, pas à moi, mais normal. »
Voilà, cher petit Mathieu, ce qu’est aujourd’hui une France normale.
L’assassin de ton père et de ta mère était pressé de nettoyer du kouffar.
On dirait du black M.
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