Les bons apôtres du « pas d’amalgame » peuvent mesurer aujourd’hui le prix de leur refus de voir les choses en face.
 

Il a fallu trop longtemps pour que les yeux s’ouvrent sur l’horrible réalité que les politiciens ont voulu cacher au peuple français.
Les bons apôtres du « pas d’amalgame » peuvent mesurer aujourd’hui le prix de leur refus de voir les choses en face.
C’est désormais trop clair : les fous d’Allah savent s’inspirer du Coran.
Que l’on cesse donc de considérer que les franco-djihadistes sont des Français !
 Ce sont les produits du droit du sol, régime d’un autre temps, qui fabrique depuis des années des jeunes, nés par hasard sur notre sol et dont un grand nombre cultivent la haine de la France.
Ceux-là ont maintenant vingt ans et sont fiers d’être des soldats d’Allah, à défaut d’être des citoyens français.
Le cas de ce pseudo-Français, assassin de deux policiers, capable d’une barbarie animale exceptionnelle, est suffisamment chargé par de multiples contrôles et condamnations pour que sa situation criminelle appelle une législation d’exception.
 Comme ses monstrueux congénères, il présente toutes les marques du provocateur arrogant, imprégné de haine contre la France.

La réaction politique doit être à la mesure de l’outrage commis envers la France et l’humanité.
Il n’est donc plus possible de continuer à faire l’autruche, à faire profil bas et attendre le drame suivant.
Le gouvernement ne peut plus se payer le ridicule de défendre l’indéfendable.
Quelques mesures de sauvetage s’imposent sans délai pour enrayer la déflagration de la France menacée à l’intérieur d’elle-même.
L’état d’urgence et l’article 16 de la Constitution autorisent les dispositions nécessaires.
Les terroristes comme les casseurs, qui ne respectent même pas les hôpitaux, ne craignent ni les menaces ni les hommages commémoratifs. La foudre républicaine doit s’abattre sur la horde bestiale.
En plus de la démission des ministres responsables, les décisions suivantes correspondent à l’appel de la nation en danger :
– Constitution d’un gouvernement provisoire de salut public.
– Dissolution de l’Assemblée nationale pour rétablir une honnête représentation de la nation et permettre les réformes.
– Organisation d’un référendum pour proposer au peuple français les priorités d’une politique conforme à l’intérêt de la patrie.
– Mise en place d’un moratoire de trois ans, avec un contrôle strict aux frontières pour empêcher l’introduction de migrants. Ce délai doit permettre de faire un état des lieux de la population immigrée sur le territoire.
– Suppression du droit du sol afin de ne retenir, pour l’accès à la nationalité française, que la naissance d’enfants issus de parents français, ainsi que la démarche volontaire de naturalisation. Il est urgent d’arrêter le courant continu de pénétration de nationaux contestables et dont le nombre détruit progressivement l’équilibre de la population.
– Appréhender tous les suspects ayant retenu l’attention de la police, notamment signalés par une fiche S, et les assigner à résidence dans des camps d’internement (comme cela avait été fait pour le FLN puis pour l’OAS).
– Application stricte et sans exception de la loi sur la laïcité par l’interdiction immédiate des tenues et attitudes provocatrices dans l’espace public, en publiant les sanctions infligées.
– Mettre l’armée en réserve d’intervention.
– Rappeler aux médias qu’ils sont tenus de respecter la discipline d’information en temps de guerre.

Dans tous les domaines de l’ordre public, force doit rester à la loi.

C’est à ce prix que les gouvernants seront jugés : sur leur courage et leur amour de la patrie.