29 sept 2020
Est-ce que la population n'est pas en train de se suicider collectivement avec un poison lent ?
L'usage du masque pouvait se justifier pendant une courte période d'épidémie entre mars et mai 2020 et une pénurie a été malheureusement à la fois voulue et organisée durant cette période.
Aujourd'hui, à l'opposé, le masque est devenu un instrument politique de contrainte. Ce revirement n'est pas seulement incompréhensible, il est porteur de conséquences sanitaires néfastes. Des réactions biochimiques se produisent dans les poumons avec le frein du masque, lors de l'inspiration et de l'expiration. Dans une atmosphère plus humide et davantage chargée en carbone, des composés tels que le formaldéhyde et autres COV apparaissent.
Les seuils critiques sont dépassés en une dizaine de secondes. Masquer la population aujourd'hui, en septembre 2020, est non seulement anxiogène, mais est aussi porteur de risques sanitaires à long terme. Cette ambiance malsaine a, de surcroît, des répercussions désastreuses sur l'activité économique qui repose d'abord sur la confiance.
Et elle génère une surenchère sans limite dans des mesures sanitaires de plus en plus ridicules et dictatoriales.
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