Chers Parents,
Je ne peux pas laisser passer cette rentrée scolaire, avec le ministre de l’Éducation nationale que nous attendions tous, sans vous alerter à propos d’une information très préoccupante reçue le 7 juin 2017.
Deux inquiétudes de la rentrée
Nous avons une grande estime pour le nouveau ministre de l’Education nationale Jean-Michel Blanquer.
Mais nous sommes très inquiets de l’intrusion du ministère de la santé dans nos établissements scolaires, en plus du grave sujet des 11 vaccins obligatoires que ma collègue le Pr Agnès Buzyn, ministre de la santé, veut imposer de gré ou de force à tous nos enfants.
L’actualité dont il s’agit concerne le nouveau programme d’éducation à la sexualité des enfants et des adolescents que l’on veut imposer dans les établissements scolaires, au mépris de l’éducation familiale et de l’intimité de chaque enfant.
Les Ministères de la Santé et celui de l’Éducation nationale sont en cause, car ce que vous allez voir et entendre est prévu dès ce mois d’octobre 2017, pour tous les enfants et adolescents de la maternelle au lycée.
Tous les parents doivent regarder la vidéo qui suit – hors la présence des enfants car leur développement affectif en dépend.
Celle-ci ne dure pas plus de 10 minutes, mais elle fait froid dans le dos.
Le Pr Maurice Berger, pédopsychiatre, vous informe.
C’est une personnalité incontestée dans sa spécialité.
Avec un groupe de professionnels de l’enfance, il devient lanceur d’alerte pour l’Europe entière.
Va-t-on permettre de parler de masturbation infantile précoce à des enfants de maternelle, de décrire des positions de pénétration vaginale à des collégiens âgés de 12 ans, de leur expliquer encore à l’âge de 12 ans comment se pratique la sodomie et pourquoi les acteurs de films pornographiques éjaculent hors du vagin de leur partenaire ?
Sans parler de certains textes prétendument littéraires, et étudiés en classe, qui décrivent en long en large et en travers des scènes de fellation…
Quel est le sens véritable de tout cela ?
Et surtout, quel en est le but ?
Ce programme constitue une intrusion violente dans le développement affectif de l’enfant et du jeune et n’a rien à faire à l’Ecole.
Il est pourtant obligatoire dans tous les établissements de l’Éducation nationale, qu’ils soient publics ou privés.
Il ne faut pas s’étonner si dans le monde un enfant sur quatre a subi des violences physiques, une fille sur cinq et un garçon sur treize des violences sexuelles, un enfant sur trois des violences psychologiques (Enquête Hillis citée par l’OMS 2016).
Cela ne peut que s’accroître, augmenter les cas de pédophilies et d’incestes, déjà de plus en pus fréquents, fortement induits par les images pornographiques qui circulent partout et dont les jeunes sont saturés.
Nous devons, ensemble, nous saisir de ce sujet.
Il est une raison supplémentaire pour demander à la ministre de la SANTÉ de revenir sur les 2 décisions de maintenir dans les écoles :
1. les 11 vaccins obligatoires, ce qui ne veut pas dire que nous sommes contre les vaccins.
Le médecin seul doit juger de leur opportunité et donc avoir la responsabilité de leur prescription ou non prescription.
Les fabricants quant à eux doivent impérativement retirer l’Aluminium, adjuvant dangereux présent dans 60% des vaccins, aux risques de poursuites en cas de complications.
Les stocks dans les pharmacies de vaccins contenant l’adjuvant Aluminium doivent être détruits.
2. l’éducation à la sexualité des enfants et des adolescents, telle qu’elle est sur le point d’être imposée dans les établissements scolaires.
Ce qui ne veut pas dire que nous sommes contre une éducation affective, relationnelle et sexuelle, si celle-ci est cohérente et adaptée à l’âge des enfants et des jeunes, et surtout si elle RESPECTE leur intimité et leur affectivité.(…)
J’ai constaté un grand nombre de blessures dues à une sexualité prématurée, largement stimulée par des lobbies très structurés, souvent soutenus et financés par l’Etat.
Que ce soient des grossesses précoces, des dépressions graves, des ruptures dramatiques jusqu’au suicide, au mépris de l’affectivité des jeunes en construction.
Ainsi la libération indispensable des tabous a été suivie d’une inflation sauvage d’informations et d’images chargées de tous les fantasmes d’adultes qui sont devenus incitatifs pour les jeunes.
En parallèle, aucune information n’était donnée aux enfants quant à l’importance et la fragilité de leur affectivité en évolution.
En effet affectivité et sexualité sont étroitement liés, nous l‘oublions trop.
J’obtins pour le mouvement familial que j’ai présidé pendant 12 ans, le label de l’Éducation nationale, qui fut retiré par une ministre débutante (Najat Vallaud-Belkacem).
La raison en fut que je n’allais pas dans le sens de ce contre quoi s’élève justement mon collègue pédopsychiatre le Pr Berger.
N’hésitez pas à le re-écouter.
À propos de la Santé, de l’Amour et de la Sexualité (S.A.S.)
Cette expérience auprès des jeunes et des parents m’a amené à publier plusieurs ouvrages, selon les tranches d’âge, afin de faciliter le dialogue parents-enfants sur ces sujets aussi intimes que délicats.(…)
Dans notre monde passionnant, ouvert à 360°, les sujets de santé et de sexualité sont d’une extrême importance pour nos enfants et nos petits enfants.
Nous ne devons pas nous les voir imposer dans le cadre d’une idéologie à la fois scientiste et incohérente qui touche au développement affectif et sexuel des enfants, et à leur intimité propre.
Ensemble nous devons RESISTER.
Bien à vous tous et à vos enfants et petits-enfants.
Pr Henri Joyeux
C'est dégoutant, de faire cela à nos enfants.
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