Le 10/04/2015
Les revendications communautaires se font de plus en plus pressantes.
Dalil Boubakeur, président du Conseil français du culte musulman et recteur de la Grande Mosquée de Paris, a déclaré lors du Rassemblement annuel des musulmans de France qu’il fallait doubler le nombre de mosquées présentes sur le territoire français dans les deux ans à venir.
Estimant le nombre de musulmans, en France, à sept millions (contrairement aux statistiques officielles qui avancent des chiffres compris entre 4 et 5 millions), Dalil Boubakeur estime que notre pays doit combler un retard de 1.500 ans d’histoire en défaveur de l’islam.
« Il faut que le nombre de mosquées reflète le nombre de musulmans. Nous avons le droit de construire des mosquées, le droit que les maires ne s’y opposent pas », a déclaré avec insolence Amar Lasfar, le président de l’Union des organisations islamiques de France.
Pas plus monsieur Lasfar que monsieur Boubakeur n’ont émis de commentaires sur le financement des mosquées par des États étrangers aux buts inavouables tels le Qatar ou l’Arabie saoudite.
Ils n’ont pas non plus jugé bon de préciser quels types de prêches seront tenus dans ces futurs édifices religieux. Certaines mosquées servent de centres de recrutement pour les filières djihadistes. En outre, et faute de moyens suffisants, elles ne sont pas contrôlées par les services de renseignement.
Dans ces conditions, et pour des raisons évidentes de sécurité militaire, nous ne pouvons plus construire de mosquées, et certainement pas doubler leur nombre en deux ans !
Cette demande, pour déraisonnable qu’elle soit, trouve un écho auprès du ministre de l’Intérieur. Bernard Cazeneuve et ses collègues sont toujours prompts à agir lorsqu’il s’agit de flatter le communautarisme ou les puissances étrangères du Golfe.
Interrogé par la chaîne i>Télé, le ministre a déclaré qu’il fallait « autant de mosquées qu’il est nécessaire pour que le culte soit pratiqué de façon apaisée ». Est-ce à dire qu’il faut lancer un grand projet de saupoudrage de « mosquées-cathédrales » sur l’intégralité du territoire afin de satisfaire messieurs Boubakeur et Lasfar ?
Et avec quels moyens ces grands travaux seront-ils rendus possibles, si ce n’est avec celui des pays musulmans producteurs de pétrole et de gaz ou bien l’argent public ?
Les revendications communautaires se font de plus en plus pressantes ; messieurs Juppé, Sarkozy et Cazeneuve sont prêts à y céder par pur opportunisme politicien et sans une once de bon sens patriotique.
Nous ne pouvons accéder aux demandes d’une association comme l’UOIF dont les liens avec les Frères musulmans sont avérés.
Si l’on en croit les sondages, 45 % des Français sont opposés à la construction de toute nouvelle mosquée (contre 37 % favorables),
c’est une habitude depuis quelques années de n’écouter le peuple que lorsqu’il va dans le sens du pouvoir.
L’État français ne peut financer des projets de mosquée en raison de son caractère laïque.
Par ailleurs, nous devons refuser que ces futurs édifices soient payés par des États étrangers aux valeurs opposées aux nôtres. Bernard Cazeneuve semble décidé à trahir les intérêts nationaux pour un plat de lentilles.
Estimant le nombre de musulmans, en France, à sept millions (contrairement aux statistiques officielles qui avancent des chiffres compris entre 4 et 5 millions), Dalil Boubakeur estime que notre pays doit combler un retard de 1.500 ans d’histoire en défaveur de l’islam.
« Il faut que le nombre de mosquées reflète le nombre de musulmans. Nous avons le droit de construire des mosquées, le droit que les maires ne s’y opposent pas », a déclaré avec insolence Amar Lasfar, le président de l’Union des organisations islamiques de France.
Pas plus monsieur Lasfar que monsieur Boubakeur n’ont émis de commentaires sur le financement des mosquées par des États étrangers aux buts inavouables tels le Qatar ou l’Arabie saoudite.
Ils n’ont pas non plus jugé bon de préciser quels types de prêches seront tenus dans ces futurs édifices religieux. Certaines mosquées servent de centres de recrutement pour les filières djihadistes. En outre, et faute de moyens suffisants, elles ne sont pas contrôlées par les services de renseignement.
Dans ces conditions, et pour des raisons évidentes de sécurité militaire, nous ne pouvons plus construire de mosquées, et certainement pas doubler leur nombre en deux ans !
Cette demande, pour déraisonnable qu’elle soit, trouve un écho auprès du ministre de l’Intérieur. Bernard Cazeneuve et ses collègues sont toujours prompts à agir lorsqu’il s’agit de flatter le communautarisme ou les puissances étrangères du Golfe.
Interrogé par la chaîne i>Télé, le ministre a déclaré qu’il fallait « autant de mosquées qu’il est nécessaire pour que le culte soit pratiqué de façon apaisée ». Est-ce à dire qu’il faut lancer un grand projet de saupoudrage de « mosquées-cathédrales » sur l’intégralité du territoire afin de satisfaire messieurs Boubakeur et Lasfar ?
Et avec quels moyens ces grands travaux seront-ils rendus possibles, si ce n’est avec celui des pays musulmans producteurs de pétrole et de gaz ou bien l’argent public ?
Les revendications communautaires se font de plus en plus pressantes ; messieurs Juppé, Sarkozy et Cazeneuve sont prêts à y céder par pur opportunisme politicien et sans une once de bon sens patriotique.
Nous ne pouvons accéder aux demandes d’une association comme l’UOIF dont les liens avec les Frères musulmans sont avérés.
Si l’on en croit les sondages, 45 % des Français sont opposés à la construction de toute nouvelle mosquée (contre 37 % favorables),
c’est une habitude depuis quelques années de n’écouter le peuple que lorsqu’il va dans le sens du pouvoir.
L’État français ne peut financer des projets de mosquée en raison de son caractère laïque.
Par ailleurs, nous devons refuser que ces futurs édifices soient payés par des États étrangers aux valeurs opposées aux nôtres. Bernard Cazeneuve semble décidé à trahir les intérêts nationaux pour un plat de lentilles.
Lire aussi : Doubler le nombre de mosquées? Fatima n’en veut pas
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