Message d'alerte international de professionnels de santé aux gouvernements et aux citoyens du monde
STOP : à la terreur, à la folie, à la manipulation, à la dictature, aux mensonges et à la plus grande arnaque sanitaire du XXIe siècle.
Nous invitons tous les médecins et professionnels de santé à rejoindre ce mouvement et à tous les citoyens à lire en détail et en totalité ce message d’alerte qui résume clairement tous les points de cette crise du Covid, grippe banale, même si comme toutes les grippes, elle a entraîné de nombreux décès chez les personnes âgées ou en fin de vie par maladie.
Ce collectif de professionnels de santé a lancé ce “Message d’alerte international” adressé aux gouvernements et citoyens du monde entier.
Parmi les signataires, des médecins et plusieurs professeurs de nombreux pays.
Ce texte dément la propagande permanente des représentants de commerce des entreprises du médicaments et mérite la diffusion le plus large possible.
https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/08/FR-international-alert-message.pdf
Chaque point mériterait d’être détaillé ici.
Insistons aujourd’hui sur le rôle extrêmement crucial et grave de l’OMS.
« Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :
1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc.) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves.
Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.
Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière.
Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.
Lire le PDF référence ci-dessus in extenso
2°) On nous dit : « le SARS-CoV-2 est très contagieux » et nous répondons : C’EST FAUX. (…)
3°) On nous dit « c’est un virus nouveau » et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités étaient aussi des virus nouveaux.
Pourtant, on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.
De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on ne s’en est pas rendu compte.
4°) « Mais, ce virus est beaucoup plus mortel » et nous répondons : C’EST FAUX. (…)
Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er novembre et le 31 mars, il y a eu au niveau mondial – lorsque ces mesures ont été prises – : 860 000 cas et 40 000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270 000.
De plus, le taux de létalité annoncée par l’OMS (3,4 %) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts.
5°) – « Mais, la COVID-19 est une maladie grave » et nous répondons : C’EST FAUX.
Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85 % de formes bénignes, 99 % des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe et 90 % des personnes décédées sont des personnes âgées (…) – « Mais, il y a des personnes asymptomatiques » et nous répondons : dans la grippe aussi, 77 % des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus.
Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale bien que la grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650 000.
– la suite ici et les signataires ici :
https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/08/FR-international-alert-message.pdf
Soulignons ce jour le passage sur la réforme de l'OMS indispensable
« 15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.
Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde.
Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80 % par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.
L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels – surtout pharmaceutiques – et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine.
Le Président d’un pays a dit : « Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine ».
L’institution de Genève, qui avait sous-estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes) a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts.
Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique.
Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies.
Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.
À l’époque de la grippe H1N1 : le docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où “inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés” et que, pour une souche de grippe, elle était “beaucoup moins nocive” que toutes les épidémies de grippe précédentes .
Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1 500 victimes de narcolepsie dont 80 % des enfants, comme on va le voir.
Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une “fausse pandémie”, l’a qualifiée de “l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle” et a demandé l’ouverture d’une enquête.
En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde.
Selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : « gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…
De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique ».
L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan.
Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il a été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : « c’est une réunion privée »…
La folie a gagné le monde
Comment avons-nous accepté ce délire qui croît de jour en jour alors que l’épidémie est terminée, qu’il n’y a plus de morts, que le remplissage des lits de réanimation qui doivent bien vivre (toucher la T2A tarification à l’activité) se fait par des malades moins graves, gardés plus longtemps et surtout atteints d’autres pathologies (AVC, infarctus, cancer etc.) mais hospitalisés en unité Covid.
Ça rapporte plus au généraliste (la consultation 25 €, + 30 € si on déclare Covid) et à l’hôpital où les sommes allouées aux séjours Covid sont au moins trois fois supérieures aux hospitalisations traditionnelles.
Facile de convaincre…
« La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été “isolés” !
Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ?
Surtout ceux qui se disent démocratiques.
Tout ça pour un virus qui entraîne 85 % de formes bénignes et pour lequel 99 % des gens infectés guérissent. »
Rejoignez le collectif international
—————————————-
Les médecins suisses et belges aussi se mobilisent :
http://tous.ch/manifeste/
https://printemps2020.com/
https://www.lalibre.be/debats/opinions/lettre-ouverte-a-nos-responsables-politiques-il-est-urgent-de-revoir-totalement-la-gestion-de-la-crise-covid-19-5f467dfe7b50a677fb2b0d77?fbclid=IwAR3fT9pnbz3MkOQljWp5xnPvhbhAdIrWwGoHI807-eKpkvRiOnu_OEMx7TU
Les professionnels de santé qui le souhaitent sont invités à rejoindre le collectif “United Health Professionnals” à l’adresse
join.unitedhealthprofessionals@gmail.com
Dossier transmis par Nicole Delépine
ripostelaique
Nous invitons tous les médecins et professionnels de santé à rejoindre ce mouvement et à tous les citoyens à lire en détail et en totalité ce message d’alerte qui résume clairement tous les points de cette crise du Covid, grippe banale, même si comme toutes les grippes, elle a entraîné de nombreux décès chez les personnes âgées ou en fin de vie par maladie.
Ce collectif de professionnels de santé a lancé ce “Message d’alerte international” adressé aux gouvernements et citoyens du monde entier.
Parmi les signataires, des médecins et plusieurs professeurs de nombreux pays.
Ce texte dément la propagande permanente des représentants de commerce des entreprises du médicaments et mérite la diffusion le plus large possible.
https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/08/FR-international-alert-message.pdf
Chaque point mériterait d’être détaillé ici.
Insistons aujourd’hui sur le rôle extrêmement crucial et grave de l’OMS.
« Nous, professionnels de santé, à travers plusieurs pays au monde :
1. Nous disons : STOP à toutes les mesures folles et disproportionnées qui ont été prises depuis le début pour lutter contre le SARS-CoV-2 (confinement, blocage de l’économie et de l’éducation, distanciation sociale, port de masques pour tous, etc.) car elles sont totalement injustifiées, elles ne sont basées sur aucune preuve scientifique et elles violent les principes de base de la médecine basée sur les preuves.
Par contre, nous soutenons bien sûr les mesures raisonnables comme les recommandations de lavage des mains, d’éternuer ou de tousser dans son coude, utiliser un mouchoir à usage unique, etc.
Ce n’est pas la première fois que l’humanité fait face à un nouveau virus : elle a connu le H2N2 en 1957, le H3N2 en 1968, le SARS-CoV en 2003, le H5N1 en 2004, le H1N1 en 2009, le MERS-CoV en 2012 et fait face tous les ans au virus de la grippe saisonnière.
Pourtant, aucune des mesures prises pour le SARS-CoV-2 n’a été prise pour ces virus-là.
Lire le PDF référence ci-dessus in extenso
2°) On nous dit : « le SARS-CoV-2 est très contagieux » et nous répondons : C’EST FAUX. (…)
3°) On nous dit « c’est un virus nouveau » et nous répondons : H1N1 et les autres virus qu’on a cités étaient aussi des virus nouveaux.
Pourtant, on n’a pas confiné les pays, on n’a pas bloqué l’économie mondiale, on n’a pas paralysé le système éducatif, on n’a pas fait de distanciation sociale et on n’a pas dit aux gens sains de porter des masques.
De plus, certains experts disent qu’il est possible que ce virus circulait déjà avant mais qu’on ne s’en est pas rendu compte.
4°) « Mais, ce virus est beaucoup plus mortel » et nous répondons : C’EST FAUX. (…)
Car rien que comparé à la grippe et si on prend en compte la période entre le 1er novembre et le 31 mars, il y a eu au niveau mondial – lorsque ces mesures ont été prises – : 860 000 cas et 40 000 morts alors que la grippe dans la même période de 5 mois infecte, en moyenne, 420 millions de personnes et en tue 270 000.
De plus, le taux de létalité annoncée par l’OMS (3,4 %) était largement surestimé et était rejeté dès le début par d’éminents experts.
5°) – « Mais, la COVID-19 est une maladie grave » et nous répondons : C’EST FAUX.
Le SARS-CoV-2 est un virus bénin pour la population générale car il donne 85 % de formes bénignes, 99 % des sujets infectés guérissent, il ne constitue pas un danger pour les femmes enceintes ainsi que les enfants (contrairement à la grippe), il se propage moins rapidement que la grippe et 90 % des personnes décédées sont des personnes âgées (…) – « Mais, il y a des personnes asymptomatiques » et nous répondons : dans la grippe aussi, 77 % des sujets infectés sont asymptomatiques et ils peuvent aussi transmettre le virus.
Pourtant : on ne dit pas, chaque année, aux sujets sains de porter des masques et on ne fait pas de distanciation sociale bien que la grippe infecte 1 milliard de personnes et en tue 650 000.
– la suite ici et les signataires ici :
https://covidinfos.net/wp-content/uploads/2020/08/FR-international-alert-message.pdf
Soulignons ce jour le passage sur la réforme de l'OMS indispensable
« 15. Nous disons qu’il faut une réforme totale de l’OMS.
Les succès de l’OMS sont incontestables : des millions de vies ont été sauvées grâce aux programmes de vaccination contre la variole et la consommation de tabac a été réduite dans le monde.
Mais, le problème majeur de l’OMS est qu’elle est depuis plusieurs années financée à 80 % par des entreprises (notamment des laboratoires pharmaceutiques) et des donateurs privés (dont une fondation très connue) et les faits s’accumulent : fausse alerte sur l’H1N1 sous l’influence des lobbies pharmaceutiques, complaisance troublante envers le glyphosate que l’OMS avait déclaré sans danger en dépit des victimes de l’herbicide, aveuglement face aux conséquences de la pollution liée aux compagnies pétrolières en Afrique, minoration des bilans humains des catastrophes nucléaires de Tchernobyl à Fukushima et des désastres de l’utilisation de munitions à uranium appauvri en Irak ou dans les Balkans, non-reconnaissance de l’Artemisia pour protéger les intérêts des entreprises pharmaceutiques malgré qu’elle a prouvé son efficacité dans le traitement du paludisme.
L’indépendance de l’organisation est compromise tout à la fois par l’influence des lobbies industriels – surtout pharmaceutiques – et par les intérêts de ses États membres, en particulier : la Chine.
Le Président d’un pays a dit : « Je pense que l’Organisation Mondiale de la Santé devrait avoir honte parce qu’ils sont devenus les porte-paroles de la Chine ».
L’institution de Genève, qui avait sous-estimé la menace Ebola (plus de onze mille morts) est de surcroît accusée de négligence vis-à-vis des maladies tropicales, au profit de marchés plus juteux. Une enquête réalisée en 2016 (l’OMS dans les griffes des lobbyistes) a livré une édifiante radiographie de l’OMS en dressant le portrait d’une structure fragilisée, soumise à de multiples conflits d’intérêts.
Cette investigation a montré combien, à l’OMS, les intérêts privés dominent les enjeux de santé publique.
Il n’est pas acceptable que l’argent qui la finance vienne principalement d’une seule personne et qu’elle soit infiltrée par des lobbies.
Récemment, l’OMS s’est décrédibilisée encore plus en tombant dans le piège du Lancet Gate alors qu’un simple étudiant aurait découvert la fraude.
À l’époque de la grippe H1N1 : le docteur Wolfgang Wodarg, président de la commission santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, a critiqué l’influence de l’industrie pharmaceutique sur les scientifiques et les fonctionnaires de l’OMS, déclarant qu’elle a conduit à la situation où “inutilement des millions de personnes en bonne santé étaient exposées au risque de vaccins mal testés” et que, pour une souche de grippe, elle était “beaucoup moins nocive” que toutes les épidémies de grippe précédentes .
Il a eu totalement raison puisque, plus tard, le vaccin a fait 1 500 victimes de narcolepsie dont 80 % des enfants, comme on va le voir.
Il a aussi reproché à l’OMS d’avoir alimenté la crainte d’une “fausse pandémie”, l’a qualifiée de “l’un des plus grands scandales médicaux de ce siècle” et a demandé l’ouverture d’une enquête.
En effet, les critères pour déclarer une pandémie (comme la sévérité) ont été modifiés par l’OMS sous l’influence des lobbies pharmaceutiques afin qu’ils puissent vendre les vaccins aux pays du monde.
Selon un rapport de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe sur la gestion de la grippe H1N1, y compris par l’OMS : « gaspillage de fonds publics importants et existence de peurs injustifiées relatives aux risques de santé…
De graves lacunes ont été identifiées en ce qui concerne la transparence des processus de décision liés à la pandémie, ce qui soulève des préoccupations sur l’éventuelle influence que l’industrie pharmaceutique aurait pu exercer aux égards des principales décisions relatives à la pandémie. L’Assemblée craint que ce manque de transparence et de responsabilité ne fasse chuter la confiance des citoyens dans les avis des grands organismes de santé publique ».
L’histoire se répète aujourd’hui avec exactement les mêmes acteurs et la même compagne de peur. L’ancien secrétaire général du département de santé publique de l’OMS a révélé dans une autre enquête (TrustWHO) qu’à l’époque de H1N1, personne n’avait peur à l’OMS et qu’il ne connaît personne à l’OMS qui s’est fait vacciner, y compris l’ancienne directrice générale : la Chinoise Margaret Chan.
Bien qu’il soit un haut responsable à l’OMS, il a été exclu ainsi que la plupart de ses collègues d’une réunion entre la directrice générale et les entreprises pharmaceutiques fabricatrices de vaccin avec comme motif : « c’est une réunion privée »…
La folie a gagné le monde
Comment avons-nous accepté ce délire qui croît de jour en jour alors que l’épidémie est terminée, qu’il n’y a plus de morts, que le remplissage des lits de réanimation qui doivent bien vivre (toucher la T2A tarification à l’activité) se fait par des malades moins graves, gardés plus longtemps et surtout atteints d’autres pathologies (AVC, infarctus, cancer etc.) mais hospitalisés en unité Covid.
Ça rapporte plus au généraliste (la consultation 25 €, + 30 € si on déclare Covid) et à l’hôpital où les sommes allouées aux séjours Covid sont au moins trois fois supérieures aux hospitalisations traditionnelles.
Facile de convaincre…
« La folie a atteint le point où dans certains pays : des plages ont été désinfectées avec de l’eau de javel, des pompiers moustachus et barbus interdits de travail, des plexiglas ont été installés partout (même dans les classes des écoles) comme si c’était la peste noire, un train a été arrêté parce qu’une personne ne portait pas le masque, des familles privées de voir leurs morts (comme si le virus allait sauter du corps et les mordre), des septuagénaires verbalisées pour être sorties jeter les poubelles et même des pièces de monnaie et des billets de banque provenant de l’étranger ont été “isolés” !
Comment les pays ont-ils pu accepter de tomber dans ce niveau de folie, de stupidité et de dictature ?
Surtout ceux qui se disent démocratiques.
Tout ça pour un virus qui entraîne 85 % de formes bénignes et pour lequel 99 % des gens infectés guérissent. »
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https://www.lalibre.be/debats/opinions/lettre-ouverte-a-nos-responsables-politiques-il-est-urgent-de-revoir-totalement-la-gestion-de-la-crise-covid-19-5f467dfe7b50a677fb2b0d77?fbclid=IwAR3fT9pnbz3MkOQljWp5xnPvhbhAdIrWwGoHI807-eKpkvRiOnu_OEMx7TU
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