victimes algériennes du FLN à Melouza en 1957
Publié le Publié le 30 septembre 2018
Auteur par admin4
Dans la Somme, un professeur de lycée gauchiste a, « dans le cadre de ce qu’on appelle un parcours de lecture », choisi Le Porteur de cartable, un roman d’un certain Akli Tadjer.
Dans ce livre honteux, l’auteur raconte « l’histoire à Paris de deux enfants, Omar, petite main pour les indépendantistes algérien [sic] et Raphaël, rapatrié d’Algérie ».
Porteur de cartable est une allusion à porteur de valises, comme on appelait ainsi les Français – souvent communistes – qui trahissaient leur patrie pour soutenir l’organisation sanguinaire et terroriste FLN…
Pis, l’enseignante a organisé une rencontre avec l’auteur : ses élèves doivent « échanger avec lui sur son livre le 16 novembre prochain dans une librairie de Chaulnes ».
« Mais les réactions des adolescents sont pour le moins inattendues : des propos que l’on peut aisément qualifiés de racistes, un comportement de la part de certains qui ne l’est pas moins et une ignorance de l’histoire de France la plus élémentaire. » dit sur un ton très engagé France 3. L’enseignante pleurniche auprès de l’auteur, en dénigrant ses élèves et leurs parents :
La vérité est que, sans connaître l’histoire de la guerre d’Algérie (et il vaudrait mieux qu’on ne leur en parle pas dans ce lycée, car on ne leur en dira qu’une version communiste mensongère), ces jeunes lycéens français expriment un ras-le-bol et rejettent naturellement, instinctivement, parfois maladroitement peut-être, le bourrage de crâne cosmopolite qu’on veut leur imposer à tout bout de champ.
C’est une première et c’est très intéressant.
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