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samedi 29 septembre 2018

Les Macron : une vie entre regrets et pognon (de dingue)

 
 
  
 
Rédigé par notre équipe le 28 septembre 2018.
 
 
Emmanuel Macron est un homme très occupé. Après sa prestation ratée de stand-up à l’ONU (dont plus personne ne parle… déjà), le président s’est rendu aux Antilles où il essaie toujours de faire croire que deux milliards d’euros d’investissements seront injectés.
 
Personne n’est dupe, mais il faut donner l’illusion et même exprimer quelques légers regrets histoire de démontrer une écoute du peuple.
Mais des pseudo regrets à l’ivresse de la toute-puissance il n’y a qu’un pas…
 
Dans une interview accordée à Bloomberg, Emmanuel Macron a déclaré ne pas « être influencé » par les sondages.
Pour preuve, si le président de la République l’était, il aurait « donné de l’argent aux gens ».
Un moyen sûr pour « être en haut des sondages ».
Macron estime donc que sa baisse dans les sondages vient du fait qu’il ne redistribue pas le « pognon de dingue » aspiré par l’Etat.
On pourrait lui faire remarquer qu’en plus de ne pas le redistribuer (sauf aux ultra-riches), l’argent prélevé ne cesse d’augmenter malgré les effets d’annonce du Gouvernement.
 
Jouir et assurer ses arrières
 
Et au fond qu’importe !
Macron mène sa barque sans se préoccuper des sondages et encore moins des Français.
La dernière étude BVA confirme le plongeon du président.
Il ne recueille que 32 % d’opinions favorables.
Un score toutefois élevé au regard de la politique et des insultes constantes subies par les Français.
La dernière en date remonte au discours onusien du chef de l’Etat qui a une nouvelle fois critiqué la France devant le monde entier.
A la tribune, Macron a lancé un « Je viens d’un pays qui se tient debout, d’un pays qui a fait beaucoup de mauvaises choses mais qui a su tenir une forme d’universel ».
Que la France (comme tous les autres pays) n’ait pas une histoire irréprochable, d’accord.
Mais le rôle d’un chef de l’Etat qui se respecte et respecte son pays n’est pas de le rabaisser dès qu’un micro lui est tendu.
Macron n’aime pas la France, n’aime pas les Français et cela se ressent avec force.
Il n’y a pas si longtemps il nous qualifiait de « Gaulois réfractaires au changement ».
Des propos scandaleux qui aura finalement accouché d’un petit mea culpa prononcé dans un couloir… « Oui, c’est une erreur, et je l’assume ».
Le genre de tirade qui ne porte à aucune conséquence comme celle où il défiait la République et les Français en les narguant « qu’ils viennent le chercher ! » (Monsieur parle de lui à la troisième personne).
Macron sait qu’il est intouchable et fait tout pour le rester.
 
Ainsi, on apprend que le président s’immisce dans le choix du prochain procureur de Paris.
Une fonction très stratégique jusque-là occupée par François Molins dont le visage s’est marqué dans l’esprit des Français à chaque fois qu’un attentat a frappé.
Mais le procureur de Paris n’est pas qu’en charge de recoller les morceaux d’un terrorisme qui prospère grâce à l’inaction des politiques.
Le procureur de Paris est aussi en charge de prendre des réquisitions dans des affaires extrêmement sensibles pour la Macronie.
On y retrouve notamment les affaires Bayrou, Pénicaud, Nyssen et Benalla.
Que du beau monde qui doit rester blanc comme neige pour le plus grand bien du président et de son image.
Macron veut donc un homme à lui et met la pression en coulisses pour que ce poste revienne à son poulain.
Une magnifique illustration du mépris macronien pour la séparation des pouvoirs.
Macron veut la toute-puissance et l’assurance qu’il ne sera jamais rattrapé pour ses frasques.
Il peut ainsi continuer à jouir de tout et de dépenser le pognon qu’il ne donne pas aux Français dans des travaux aussi inutiles que dispendieux.
Prochain délire : la rénovation de la salle des fêtes de l’Elysée.
Le budget est « seulement » de 500 000 euros (au bas mot), soit dix fois plus qu’une petite piscine au fort de Brégançon…
 
Les Macron doivent vivre dans le luxe et les Français vont encore devoir cracher au bassinet pour contenter le monarque et son épouse au comportement douteux.
 
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