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dimanche 30 septembre 2018

BATACLAN : LE QUOTIDIEN « LE MONDE » PLONGE DANS LA FANGE (Marc Le Stahler)










La France bobo et soumise, qui n’en finit pas de disparaître, a son quotidien préféré : Le Monde.
Jadis référence obligée en milieu universitaire (il y a bien longtemps), ce journal est devenu au fil des ans, pire qu’un torchon de seconde zone et ne sait plus où donner de la plume pour mener son combat contre le peuple qu’il méprise allègrement.
Loin de toute morale, de l’éthique et du journalisme, il n’informe plus. 
Il s’érige en « arbitre du Bien et du Mal », s’autorisant à séparer pour les ignorants le bon grain de l’ivraie.

Ayant mal digéré l’annulation du scandaleux projet concert de Médine au Bataclan, il s’est trouvé, pour cracher son venin, une cible de choix en la personne du brave Patrick Jardin, malheureux père d’une jeune martyre du 13 novembre 2015, et qui a donné de sa personne, ès-qualités si j’ose dire, pour peser avec le mouvement patriote, dans le sens de l’annulation de ce scandaleux projet de concert en ce lieu, à peine 3 ans après le carnage perpétré au nom de l’islam.


M. Patrick Jardin et feue sa fille, Nathalie Jardin, massacrée par la racaille islamiste
Sa prise de position courageuse, loin des simagrées habituelles du parti des ballons blancs et des marches de la même couleur (« Vous n’aurez pas ma haine ») lui a valu le mépris et la vindicte de ceux qui se vautrent dans la soumission à l’islam, dont Le Monde semble être devenu le chef de file.

Comble de l’indécence : traiter de « salaud » ce père dans la souffrance !

Ayant franchi les bornes, les créatures du Monde n’ont plus de limite et devraient pourtant faire preuve de modestie en la matière, étant devenus eux-mêmes experts en saloperies.
Les réactions ont été nombreuses sur le Web. 
Je n’en citerai que deux, parfaitement représentatives de ce qu’en pense le peuple, celui qui réfléchit, qui a des sentiments et une âme, celui qui ne se laisse pas influencer par les médias et qui s’en méfie, celui qui souffre dans sa chair et aussi dans sa tête. 
En un mot le « vrai peuple », celui qui nous fait taxer de « populistes » quand nous osons nous ranger à ses côtés.
Or, ce n’est pas un vilain mot, « le Peuple » ! 
Je le préfère, en ce qui me concerne, à ceux qui se désignent comme « les élites » !
Oui, aujourd’hui, j’ose me proclamer « populiste » !
Je suis « populiste », en ce sens que j’aime la France, son Histoire, son Peuple, et que je veux contribuer de toutes mes forces à le défendre contre ceux qui le haïssent et veulent le faire disparaître.
Cher Patrick Jardin, soyez remercié, félicité et heureux, malgré le terrible drame que vous avez vécu.
Soyez honoré d’avoir contribué à faire respecter ce lieu de souffrance qui est déjà un lieu de mémoire, et qui deviendra peut-être un jour un sanctuaire de ces années de plomb à la française.

Marc Le Stahler Populiste et fier de l’être !29/09/2018

L’article ci-dessous a été publié sur le blog « Bataclan, un lieu à part », sous le titre « LE MONDE ou LA FABRIQUE D’UN SALAUD ».
« Je ne connais pas Monsieur Jardin, pas plus que je ne connaissais sa fille, mais ce soir-là, cette nuit-là, j’étais sa fille, j’étais en terrasse, j’étais au Bataclan, j’étais au Stade de France, j’étais réfugiée sous une table, accrochée à une fenêtre, j’étais au sol, j’étais sous une couverture dorée, j’étais morte.
« Et qui aurait pu dicter à mon père l’intensité de sa peine, les nuances de sa tristesse, l’échelle de son désespoir, les degrés de sa colère, et tous ces sentiments bien trop lourds à porter pour un père ? Qui se serait autorisé à considérer ce qui est acceptable et ne l’est pas dans la détresse ?
« En principe, aucun être humain doté d’un peu d’empathie ne se risquerait à hiérarchiser le chagrin des familles.
« En principe, aucun être humain doté d’un peu d’empathie ne se permettrait de juger la façon dont les familles tentent d’exorciser le drame absolu qui les a frappés un soir de novembre.
« En principe… sauf au Monde 1.
« Au Monde on ose tout, c’est à ça qu’on reconnait les grands journalistes d’investigation et d’analyses. Cruels avec les gens à terre, aveuglés par leurs orientations politiques, serviles avec les puissants.
« Ils peuvent vous dresser le portrait flamboyant d’une petite frappe tueuse de flics, en faire un personnage radieux et vous faire pleurer sur son parcours d’enfant des cités. Mais gare à l’homme brisé, celui qui a tout perdu et est perdu. Il passera sous la plume impitoyable de ces justiciers idéologues qui ne lui pardonneront rien.
« Pour mieux dresser le portrait de cet homme brisé, il faut lui opposer le portrait lumineux, radieux et bienveillant d’une autre victime, de la “bonne victime”, celle qui ne hait point, celle qui ne nomme pas le mal, celle qui est résiliente. Celle qu’on aime aimer.
« Et, pour que le lecteur comprenne, il faut enfoncer le clou : notre héros malgré lui, est “l’anti, l’inverse, le contraire”, rongé de “colère, de rancœur, d’une haine profonde”, celui qu’il va falloir détester.
« Opposer la figure de l’ex-journaliste parisien, certainement raffiné et lettré, au vendeur de voitures provincial “fort en gueule, bravache”. On l’imagine tellement avec ses cravates voyantes de lillois mal dégrossi qui passe ses vacances sur une “plage privée” de la Méditerranée. Tous les détails comptent, sont soigneusement choisis et ont leur importance. Parce que oui, les ficelles sont aussi grossières que cela pour dépeindre ce nouveau Dupont Lajoie 2.
« La vulgarité de la white trash des frères Cohen face à l’élégance érudite des new-yorkais de Woody Allen.
« Toute honte bue car il s’agit avant tout de porter une idéologie et tous les coups sont permis.
« Nous aurons droit ensuite à la longue description des fréquentations infréquentables de Monsieur Jardin, leurs activités soigneusement sourcées, détaillées et listées. Cette “droite de la droite” qui aurait voulu faire interdire Médine.
« Médine ? Sur lui on ne dira rien, pas de sources, pas de détail, pas de références, juste un rappeur animé par la volonté “d’apaiser par respect” tandis que du haut de la tribune l’ultra-droite éructe.
« Les fines plumes au vitriol oublieront soigneusement de mentionner les autres familles de victimes, celles qu’on ne peut pas soupçonner de fréquentations “d’un autre camp” 3, et les centaines de citoyens républicains qui en appelaient au respect de la mémoire des victimes devenue collective. Parce que oui, ce soir-là nous avions tous quelqu’un qui…
« Elles continueront à peindre le tableau noir de cet homme cumulant tous les défauts : complotiste, raciste, aux paroles violentes, imprévisible et hermétique aux bienfaits de la psychanalyse.
« Elles feront le décompte entre parenthèses, presque en catimini, comme un élément rajouté à la va-vite sur la liste des courses. Sur ces “cent trente morts et plus de six cents blessés” qui se soucie de ce que sont devenues les familles ? Les enfants ? Comment se rétablissent les blessés ? – Nous n’en saurons rien. Ils resteront entre parenthèses.
« Pour finir elles évoqueront, insinuantes, “une rentrée marquée par une poussée nationaliste dans plusieurs pays d’Europe”. Sans jamais présumer que leur dédain effroyable, leur posture dénuée de toute humanité puissent en être une cause.
« “Un père sur le chemin de la haine” ou “un journal sur le chemin de l’immonde” ? »

La seconde réaction est plus courte, mais tout aussi virulente. Elle émane du cinéaste Gérard Boyadjian, dans un message posté sur Facebook.

« Ce père qui a perdu sa fille dans les circonstances les plus inimaginables. Celui qui a vu la chair de sa chair partir avant l’heure. Celui qui ne dormira plus… Cet homme fatigué, digne et endeuillé à jamais… est tombé dans le “chemin de la haine” selon Le Monde.
« Entre Patrick Jardin et Médine, ce torchon immonde qu’on appelle Le Monde a choisi son camp. Merci de ne pas l’oublier lorsque la guerre sera déclarée !
« Vous n’aviez plus de crédibilité, vous aviez déjà perdu toute votre légitimité… mais voilà, cela n’aura donc pas suffit. Plus je regarde les documentaires sur l’époque de la collaboration durant la seconde guerre mondiale, plus je comprends, sans l’once d’un doute, que vous êtes les dignes successeurs de ce que l’Histoire de France a enfanté de plus infâme. »

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