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dimanche 8 octobre 2017

Les tueurs sont parmi nous

 

Couteau Coran

Couteau et Coran, la propagande de Daesh tragiquement transcrite dans la réalité française

6 octobre 2017
 
Marseille gare Saint-Charles
 
Construit en 1927 cet escalier symbolisait alors la grandeur de la puissance française dans le monde. Tout en haut, l’esplanade devant la gare vient de servir de décors à l’application littérale et sans état d’âme du verset 89 de la sourate 4, révélée à Médine, et dite An-​Nisa, c’est-à-dire Les Femmes

Face au drame terrible qui, une fois de plus, endeuille la Provence et particulièrement le charmant village d’Aiguilles dans les Bouches-​du-​Rhône, il me faut citer une phrase de Vladimir Poutine et tant mieux si je choque les tièdes, les mous et la confrérie des bisounours :
 
 « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de Dieu ; les envoyer auprès de Lui, c’est mon affaire ».


En ce dimanche premier octobre, dans la gare Saint-​Charles de Marseille, Ahmed H., immigré sans-​papier, drogué et délinquant récidiviste « djihadisé », a brusquement manifesté sa foi coranique en assassinant deux malheureuses jeunes étudiantes en médecine âgées de 20 et 21 ans.
S’attaquer à des femmes est un acte des plus odieux et prouve toute la bassesse de cet individu.
Je n’hésite pas un instant à écrire qu’il a amplement mérité la rafale d’un légionnaire para aux réflexes adéquats.
Ça évitera un procès à pareille crapule et surtout d’entendre ses avocats tenter de nous arracher une larme en nous parlant de son enfance brimée dans l’inévitable quartier difficile (à Bizerte !) où il a grandi.
Le prévenu, apprécié de tous ses proches (refrain bien connu), hormis quelques écarts de jeunesse ne relevant que de la « petite délinquance », était sans doute promis à un meilleur destin dans une France en marche vers la fusion des diversités culturelles.
On va entendre cette litanie avec le procès du frère de Mohamed Merah.
Et puis, comme l’Abdeslam emprisonné après la grande boucherie de Paris, sans doute se serait-​il trouvé des socio-​psychanalistes en service commandé par l’idéologie de la Bien-​Pensance pour nous assurer qu’il souffre, derrière les barreaux, de claustrophobie aggravée d’une neurasthénie aiguë.
 
La lèvre pincée, l’œil inquiet, soudain raide car mal à l’aise, quelqu’un officiant sur une chaîne que je me garderai de nommer, s’est, dimanche soir, empressé de dire qu’ « on n’a pas confirmation que le cri de guerre “Allahu Akbar” ait été prononcé ».
Sans doute atteint de « pasdamalgamite » récurrente, cette personne révélait son aversion des légitimes réactions indignées que l’acte effroyable du djihadiste ne pouvait que provoquer.

Pas de chance !
Quelques minutes plus tard, une jeune femme, encore traumatisée car s’étant trouvée à quelque mètres du tueur, affirmait que celui-​ci a hurlé « Allahu Akbar » tandis qu’il poignardait sauvagement sa seconde victime.
Eh oui !
Faites-​vous une (o)raison mesdames et messieurs les thuriféraires du « vivrensemble » : des égorgeurs sont parmi nous.
On le sait depuis bien avant le drame de Rouvray, où périt le père abbé Jacques Hamel, ou celui de Magnanville qui vit l’égorgement de la malheureuse femme policier (sans doute devant son fils de trois ans).
Et parfois ce furent des enfants en treillis qui, tenant le couteau, semblaient littéralement exulter d’obéir à un tel ordre.
Au fait, Ahmed Hanachi avait été contrôlé à la gare de Menton.
Combien de tueurs djihadistes sont attendus et reçus à bras ouverts par des personnes déboussolées et suicidaires qui œuvrent béatement pour la destruction de notre monde : d’abord l’invasion de la France puis sa destruction ; nous allons y revenir, car là est le nœud du problème.
Quelques heures auparavant, dans la ville canadienne d’Edmonton, un autre représentant d’exotiques richesses culturelles (somaliennes cette fois), migrant « réfugié », tentait d’écraser un policier puis le poignardait (sans, heureusement, parvenir à le tuer).
Après quoi il a foncé sur plusieurs personnes avec sa camionnette, une Chevrolet blanche…
Même couleur que pour le véhicule de l’écraseur de London Bridge (le 3 Juin 2017), ou celui de Barcelone, ou le camion de 19 tonnes du massacre de Nice.
Le blanc, couleur obligatoire pour le pèlerinage à la Mecque.
Daesh récupère le symbolisme de la pureté pour ses sinistres besognes.
Un blanc vite teinté de rouge par le sang impur des infidèles.
 
Jouets après Nice
 
Poussée précoce de djihadisme. Ce dessin d’un humour noir résume une situation que nient la grande majorité de nos politiques et encore moins celle des médias qui sont dans la même connivence

De hautes instances du ministère de l’Intérieur ne sont pas (encore mais ça peut venir) risquées à déclarer que le sieur Ahmed Hanachi – on a enfin son nom ! – est un déséquilibré qu’il aurait été nécessaire de placer en hôpital psychiatrique.
Un autre vacillant du cerveau s’est manifesté mardi matin, à l’aéroport de Roissy : arborant pilosité salafiste et djellaba, il était en possession de deux couteaux et menaçait les touristes.
Toujours est-​il qu’une collaboratrice de la mairie de la Courneuve, à Saint-​Denis, a qualifié l’égorgeur marseillais de, je cite : « martyr ».
Elle se nomme Sonia Nour.
La suppléante du très médiatique député « insoumis » François Ruffin vient, parait-​il, de l’approuver…
Encore un cas grave car aucune poursuite judiciaire n’est lancée à leur encontre.
Comme nous le disions dans un article précédent à propos d’une députée anglaise, vu son nom, Nour (« Lumière », en arabe… Ça devient caricatural !), « c’est l’appartenance ethnique qui parle » et qui confère cette solidarité identitaire inconditionnelle.
Mais les vendus et « collabos » du mondialisme ne reconnaîtront jamais que de telles réactions relèvent d’une appartenance ethno-​culturelle forte.
Lundi 2 octobre, on apprenait qu’un attentat (par l’usage de bombonnes de gaz) a été évité d’extrême justesse dans le XVIe arrondissement de Paris.
Six suspects en garde à vue et, comme l’a dit Rachida Dati à Jean-​Jacques Bourdin, « À l’époque d’internet, les loups solitaires, ça n’existe pas ».
Bientôt de belles consciences nous affirmeront, avec l’aplomb qu’on leur connaît, que seule compte la volonté du « vivrensemble ».
Ils iront jusqu’au bout de leur délire afin de tenter d’éradiquer la France et d’autres nations comme la Grande Bretagne ou l’Allemagne, déjà fortement affaiblies et soumises à la violence.
Et pourtant, selon un sondage de la Fondation pour l’Innovation Politique, réalisé auprès de 22 000 personnes de la communauté européenne, l’Islam est majoritairement (pour 58 %) perçu comme une menace.
L’Europe des peuples – et pas celle de Bruxelles, ruche à lobbys financiers mondialistes – prend conscience du péril et commence à réagir.
Quelques images pour illustrer cet éveil à la résistance.

Diaporama ci-​dessous, successivement :


Varsovie : plus de 100 000 Polonais, rassemblés sous les couleurs nationales disent non à l’inflation-invasion migratoire exigée par Bruxelles. Une ferveur patriotique issues des racines ethnoculturelles.



Prague : haranguée par l’un des leurs brandissant une épée de chevalier et portant un écu marqué d’un refus catégorique de l’Islam, une foule de Tchèques entre en révolte contre le dictat bruxellois d’accueillir un quota de migrants.



Dresde : citoyens allemands refusant le déferlement de migrants et l’explosion de la délinquance qui l’accompagne.
Le drapeau sur lequel les couleurs nationales allemandes sont disposées à la façon des étendards scandinaves fut créé par le comte Claus Von Stauffenberg, l’un des instigateurs du complot contre Hitler, le 20 juillet 1944.
Ceux qui traitent Pegida de mouvement nazi feraient bien de revoir leurs manuels d’Histoire (mais c’est beaucoup leur demander).
Claus Von Stauffenberg fut incarné à l’écran par Tom Cruise dans un film remarquable qui porte précisément le nom de l’opération prévue par les comploteurs : Valkyrie (réalisé en 2008 par Bryan Singer).



Milan : Des dizaines de milliers de Milanais disent « Stop à l’Invasion ».
Sur certains étendards de la Ligue du Nord, on reconnait un motif à six pétales dénommé « Soleil des Alpes ».
Fréquemment présent comme élément décoratif du mobilier paysan, il vient tout droit de la symbolique celtique.


Nice : hommage à l’héroïne Catherine Ségurane.
 
Comme le note, dans une interview au Figaro (du mardi 3 octobre) Damien Le Guay, philosophe et maître de conférences à H.E.C., lorsque les victimes sont choisies au hasard et que, je cite : « Tous les meurtriers agissent au nom de l’Islam, ne sommes-​nous pas en situation de guerre sur notre territoire » ?

Devant ce constat, il faut ardemment souhaiter qu’il reste encore quelques personnalités pour qui la notion de peuple attaché à sa culture et son histoire n’a pas déjà disparu et qui soient capables de coaliser un mouvement destiné, d’une part, à faire comprendre à quel point la situation est chaque jour plus dramatique et, d’autre part, à rassembler, encadrer et former toutes les personnes farouchement déterminées à refuser, coûte que coûte, une fatalité laissant libre cours aux assassins.

 Puisque les « pouvoirs publics », empêtrés dans des procédures bureaucratiques et obnubilés par un carriérisme enragé, semblent désormais privés de lucidité et de capacité, une armée de citoyens, poussés à bout par des événements de plus en plus insupportables, doit se lever et prendre – enfin ! – le relais salvateur.

 
Poing levé bleu

Symbole de révolte, le poing levé est l’arme naturelle d’un individu.
Par un graphisme vigoureux, le poing reproduit ici semble composé de blocs d’habitations (par les doigts repliés) et de racines – la mémoire d’un peuple — irrigant un refus exacerbé
Vous n’avez pas le privilège de la révolution !
P.G.-S.

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