Le 14/05/2015
Les habitants de Calais ne cessent de dénoncer l'insécurité qu'ils vivent au quotidien.
Nous connaissons tous la situation dramatique que vivent les Calaisiens et les chauffeurs routiers en partance pour la Grande-Bretagne, du fait de l’affluence massive de migrants clandestins qui, pour mémoire, sont des centaines par jour à vouloir s’engouffrer de force dans des camions de transport de marchandises afin de passer outre-Manche.
Ce que certains ignorent, c’est que chaque chauffeur doit s’acquitter d’une amende de 3.000 euros par clandestin embarqué une fois arrivé à destination, une amende identique étant également infligée à la société de transport.
De plus, les habitants de Calais ne cessent de dénoncer l’insécurité qu’ils vivent au quotidien du fait de cet afflux migratoire incontrôlable, directement lié à la disparition de nos frontières.
Face à cette situation intenable, et pour éviter que les routiers, excédés, n’en viennent à se faire justice eux-mêmes, les autorités demandent à nos policiers des compagnies républicaines de sécurité de faire le « sale boulot », c’est-à-dire de tenter vaille que vaille de refouler ces étrangers en situation irrégulière, bien déterminés à ne pas se laisser faire.
Dans les faits, affirmer que les policiers ne sont pas assez nombreux pour assurer cette mission est un euphémisme.
C’est dans ce contexte de tension extrême que l’association Calais Migrant Society (CMS) a cru bon de devoir filmer l’usage de la force par nos CRS, et d’alerter les médias tout en saisissant le Défenseur des droits sur les prétendues violences illégitimes commises par les forces de l’ordre.
Dans ce genre de cas, les policiers à qui on demande tant n’ont guère d’espoir de s’en sortir sans une sanction disciplinaire ou une sanction pénale.
Comment, dès lors, ne pas comprendre leur découragement ?
Pour mémoire, de nombreuses vidéos du même genre que celles qui sont présentées en ce moment comme une « preuve » de « bavures » à l’égard d’une population que l’on victimise, mettant en scène des routiers qui, n’en pouvant plus, en viennent aux mains avec les migrants clandestins s’introduisant de force dans leur camion, sont visibles sur Internet, démonstration s’il en faut de la nécessaire présence de nos forces de l’ordre.
Nous n’avons pas entendu l’association Calais Migrant Society s’en offusquer.
Mais s’agissant de stigmatiser les policiers qui ne font que leur travail, au motif que l’usage de la force par ces derniers serait de facto illégale, c’est une autre histoire…
Dans ce contexte, il est tentant de vouloir demander aux moralisateurs qui s’indignent de quelle manière il serait bon d’empêcher physiquement un individu de monter dans un camion (ce qu’ils préconisent), au risque de se voir répondre qu’il convient de les laisser faire !
Auquel cas, il se pourrait bien que certains CRS finissent par les prendre au mot…
Ce que certains ignorent, c’est que chaque chauffeur doit s’acquitter d’une amende de 3.000 euros par clandestin embarqué une fois arrivé à destination, une amende identique étant également infligée à la société de transport.
De plus, les habitants de Calais ne cessent de dénoncer l’insécurité qu’ils vivent au quotidien du fait de cet afflux migratoire incontrôlable, directement lié à la disparition de nos frontières.
Face à cette situation intenable, et pour éviter que les routiers, excédés, n’en viennent à se faire justice eux-mêmes, les autorités demandent à nos policiers des compagnies républicaines de sécurité de faire le « sale boulot », c’est-à-dire de tenter vaille que vaille de refouler ces étrangers en situation irrégulière, bien déterminés à ne pas se laisser faire.
Dans les faits, affirmer que les policiers ne sont pas assez nombreux pour assurer cette mission est un euphémisme.
C’est dans ce contexte de tension extrême que l’association Calais Migrant Society (CMS) a cru bon de devoir filmer l’usage de la force par nos CRS, et d’alerter les médias tout en saisissant le Défenseur des droits sur les prétendues violences illégitimes commises par les forces de l’ordre.
Dans ce genre de cas, les policiers à qui on demande tant n’ont guère d’espoir de s’en sortir sans une sanction disciplinaire ou une sanction pénale.
Comment, dès lors, ne pas comprendre leur découragement ?
Pour mémoire, de nombreuses vidéos du même genre que celles qui sont présentées en ce moment comme une « preuve » de « bavures » à l’égard d’une population que l’on victimise, mettant en scène des routiers qui, n’en pouvant plus, en viennent aux mains avec les migrants clandestins s’introduisant de force dans leur camion, sont visibles sur Internet, démonstration s’il en faut de la nécessaire présence de nos forces de l’ordre.
Nous n’avons pas entendu l’association Calais Migrant Society s’en offusquer.
Mais s’agissant de stigmatiser les policiers qui ne font que leur travail, au motif que l’usage de la force par ces derniers serait de facto illégale, c’est une autre histoire…
Dans ce contexte, il est tentant de vouloir demander aux moralisateurs qui s’indignent de quelle manière il serait bon d’empêcher physiquement un individu de monter dans un camion (ce qu’ils préconisent), au risque de se voir répondre qu’il convient de les laisser faire !
Auquel cas, il se pourrait bien que certains CRS finissent par les prendre au mot…
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