par 12 Oct 2023 |
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Les choses vont vite devenir « passionnantes » dans notre pays ou « inquiétantes », ou encore difficiles.
Le sénateur Karoutchi peut expliquer que le soutien à Israël devient obligatoire, mais l’application d’un tel principe érigé en loi morale risque d’être difficile dans la vraie vie, parce que nous avons quelques millions de compatriotes qui ne voudront pas soutenir Israël.
Il y a d’ailleurs une grande différence entre condamner le terrorisme (si tant est que le condamner soit d’une quelconque utilité), faire preuve effectivement d’empathie pour les victimes (ce qui ne les ramènera quand même jamais) et soutenir Israël.
Je me souviens que les Américains avaient expliqué doctement après le 11 septembre que « vous êtes avec nous ou contre nous ».
Autant dire que cela ne laisse pas beaucoup de place à la nuance et à la tempérance.
Rendre obligatoire le soutien à Israël c’est cesser toute réflexion, tout esprit critique et l’on voit bien que cela pose un problème important à la nupes et en particulier à LFI.
Les guerres radicalisent les opinions et les positions, et quand la violence se déchaine, les modérés ne sont jamais audibles. C’est ainsi qu’à chaque fois, le pire devient possible.
Tout ceci est d’une infinie tristesse.
Israël: le sénateur Roger Karoutchi demande à Élisabeth Borne de "punir sévèrement" les personnes qui "ne soutiennent pas Israël et qui font l'apologie du terrorisme" pic.twitter.com/kGFBdc5uEE
— BFMTV (@BFMTV) October 11, 2023
... des malades mentaux qui plus est étranger qui veulent nous faire la leçon mdr !!! deux mille cinq cent ans histoire réel contre 75 ans d'existence criminelle prôner par un
RépondreSupprimerpieds-noirs casablancais ??? La réalité des cinglés dépasse la fiction . Plus con , là aussi , tu meurs ! KC
Entièrement d'accord. Ces politiciens polichinelles n'ont plus aucune légitimité, ils représentent l'asservissement de la France, qui n'appartient plus aux Français. La France est devenue une colonie, y a t'il encore quelqu'un pour en douter ? Le discours du premier ministre du Burkina Faso m' a
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