27 décembre 2020
La France, véritable bastion de nombreuses associations anti-OGM, s’est distinguée à de nombreuses reprises pour son combat contre les géants de l’agro-alimentaire et les transformations génétiques des espèces végétales comestibles destinées à la consommation de masse.
Cette histoire, encore loin d’avoir abouti, a été largement médiatisée et force est de constater que si nous n’avons pas encore obtenu gain de cause, l’opinion publique s’est rangée du côté de ceux qui sont convaincus que jouer avec le génome de la carotte ou du poireau est pour le moins incertain et dangereux.
Or voilà que dans l’affaire du Covid-19, on nous parle, sous couvert d’un nouveau type de « vaccin », d’un produit qui n’est autre en définitif qu’une thérapie transgénique sortie du chapeau des apprentis sorciers que sont les grands labos pharmaceutiques, tout cela en quelques mois. Comment ne pas être méfiant ? En cela, les grands médias nous reprochent, une fois encore et à raison, d’être un peuple réfractaire au progrès de la science ; mais de quelle science parlent-ils ? Celle de Big Pharma que nous voyons jour après jour engranger des milliards de dividendes et, en accord avec les gouvernements collabos, refuser d’indemniser les victimes collatérales qui feront les frais de ses expérimentations. Rappelons-nous de ceux qui ont vu leur vie détruite lors de la dernière grande tyrannie vaccinale de H1N1, de la recrudescence des narcolepsies, des scléroses en plaques et autres maladies dites auto-immunes.
Selon Big Pharma la bonne vieille technique vaccinale pasteurisée, quoique déjà controversée pour tous les adjuvants dangereux qui y sont introduits, qui consiste à inoculer un virus affaibli dans notre organisme afin de faire réagir naturellement notre système immunitaire, serait obsolète. La nouvelle technologie des produits à base d’ARN « Moderna, Pfizer », que l’on nous vante comme les « vaccins » de l’avenir et la solution miracle de cette opportune crise du Covid, ne proposerait rien de moins que peut-être tripatouiller notre ADN in fine ? Comme si la biologie multi-millénaire du corps humain était si imparfaite et que l’homme, doté d’une irraisonnable prétention au savoir ultime, doive impérativement en modifier la nature même. Nous prendrait-on pour des carottes ou des poireaux ?
A quelques semaines du lancement d’une gigantesque campagne de « piquage » national, l’argumentaire du bienfait de cette innovante thérapie génique ne repose que sur les seuls communiqués de presse des labos. Ce dont nous sommes sûrs, c’est que des phases entières de contrôles et d’expérimentations (réponse immunitaire, fertilité… ) ont été tout simplement ignorées, que les effets indésirables et les dangers ont été occultés en majeure partie et particulièrement sur les personnes les plus fragiles (enfants, personnes âgées, femmes enceintes…). Alors, pourquoi les labos tardent-ils à donner les résultats de ces traitements magiques ? Parce qu’ils ne sont évidemment pas en mesure de les fournir, compte tenu de l’incontournable facteur temps. Rappelons qu’il est de notoriété médicale qu’un vaccin nécessite plus d’une dizaine d’années pour sa conception et son expérimentation ; or le virus qui nous intéresse vient à peine de fêter sa première année d’existence. A cela s’ajoute le fait que le « vaccin » ne serait efficace qu’à 90 % pour contrôler une épidémie qui tue une personne sur mille dont l’âge moyen est de 84 ans. L’incompréhension est totale, si bien que les éditorialistes mainstream (BFM, CNews, LCI…), qui d’habitude sont systématiquement disposés à encourager le discours de nos dirigeants et des spécialistes qui prennent leur parti, s’en émeuvent. La propagande aurait-elle atteint ses limites, quand ceux qui sont chargés de propager la peur y sont aussi confrontés ? Quelle ironie ! Cela ne les empêche pas de nous faire croire qu’un Français sur deux veut se faire vacciner, ce qui est totalement faux ! Chacun d’entre nous le sait, car il a déjà réalisé son propre sondage auprès de son entourage et, dans le doute, il se ralliera à l’opinion majoritaire qui est celle de la non-vaccination. Jusqu’ici tout va bien !
« Cela signifie clairement que si un symptôme vaccinal se développe après une vaccination à l’ARNm, ni moi ni aucun autre thérapeute ne pourrons vous aider, car les dommages causés par cette vaccination seront génétiquement irréversibles. »
Robert F. Kennedy
Mais il y a urgence pour nos aînés qui ont déjà tant souffert d’absence de soins par manque de lits d’hôpitaux, ceux qui ont été littéralement euthanasiés à coup de Rivotril pour les libérer d’une innommable souffrance, par le souci honteux de l’économie, ceux qui par la magie de l’administratif ont été dépossédés du droit le plus fondamental qui soit, celui de disposer de leur intégrité physique, ceux qu’on envisage servir les premiers de cobayes forcés à une expérience médicale à grande échelle, digne des horreurs perpétrées lors de la Seconde Guerre mondiale. Le Tribunal de Nuremberg est on ne peut plus clair sur ce qui se profile et l’ensemble des personnes qui s’apprêtent à passer à l’acte devraient se replonger dans les écrits de Milgram, afin de se délivrer des effets pervers des autorités de santé officieuses et officielles ; car c’est de manière personnelle qu’elles devront répondre de leurs actes.
PXP pour « Le Média en 4-4-2 »
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