Toulouse, place Arnaud-Bernard - Licence CC - Wikimedia
Le 01/03/2018
Richard Hanlet
À Toulouse aujourd’hui, introduire de la diversité signifie réinjecter un peu de gaulois dans le halal, un peu comme on remet des ours dans les Pyrénées.
À croire que « le Grand Remplacement » ne serait pas un fantasme…
Scandale : une municipalité française a décidé de s’attaquer aux commerces « communautaires » tels que kebabs et boucheries halal, dont la densité commence à lasser la population…
Cette insulte au « vivrensemble » ne peut être que le fait d’une mairie FN, voire de celle de ce Robert Ménard, contre lequel la bonne presse nous met quotidiennement en garde !
Eh bien, vous n’y êtes pas, cette bête immonde au ventre toujours fécond ne hante pas les rues de Béziers, et ces heures les plus sombres, c’est à Toulouse qu’elles s’égrènent tranquillement.
Parce qu’autour de la place Arnaud-Bernard, proche du Capitole, les kebabs et boucheries halal représentent aujourd’hui 70 % des commerces…
Et après le gentil Baudis et le « propre sur lui » Douste-Blazy, c’est maintenant l’affable Jean-Luc Moudenc (LR) qui préside aux destinées de la ville rose.
Contrôleur général économique et financier au ministère de l’Économie et des Finances, catholique pratiquant, commandeur de l’ordre du Mérite du Saint-Sépulcre de Jérusalem… pas vraiment le profil du skinhead !
Pourtant, son adjoint au commerce explique que la ville va préempter les locaux commerciaux, pour les proposer ensuite à la location à des commerçants plus susceptibles d’introduire de la diversité.
En moyenne, ce sera un « investissement » de 70.000 euros par boutique pour le contribuable toulousain.
À Toulouse, aujourd’hui, introduire de la diversité signifie réinjecter un peu de gaulois dans le halal, un peu comme on remet des ours dans les Pyrénées.
À croire que « le Grand Remplacement » ne serait pas un fantasme…
Pourtant, on ne trouve le mot « immigration » dans aucun article sur le sujet.
Certains twittos évoquent le blanchiment d’argent douteux pour expliquer cette efflorescence de commerces qui se maintiennent malgré une faible fréquentation.
Ma grand-mère avait toutefois une formule qui expliquerait plus simplement le phénomène : « Là où la chèvre a son pieu, faut qu’elle broute… »
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