Depuis le renforcement de l’obligation vaccinale, la loi prévoit 11 vaccins obligatoires pour les enfants nés à partir du 1 janvier 2018, mais pour ceux nés avant cette date la loi reste inchangée et prévoit toujours 3 vaccins obligatoires.
L’Union Nationale des Associations Citoyenne de Santé (UNACS) vient dans ce contexte de saisir le tribunal administratif de Paris.
« Alors que la réticence de la population grandit suite aux nombreux scandales sanitaires successifs concernant les produits pharmaceutiques (Depakine, Distilbène, H1N1, Lévothyrox, Médiator, Meningitec, …), après la publication des analyses de plusieurs vaccins qui ont décelé la présence de composés inexpliqués, et face au manque d’information, l’Union Nationale des Associations Citoyenne de Santé (UNACS) a adressé une requête auprès du Ministère des Solidarités et de la Santé.» explique l’UNACS sur son site Internet.
« La demande a pour objet d’obtenir des réponses pour que chaque citoyen puisse d’une part savoir ce qu’il reçoit, ou fait recevoir à ses enfants, en termes d’adjuvants quels qu’ils soient, et puisse d’autre part connaître les conséquences sur la santé de l’addition concomitante d’aluminium et autres adjuvants, répétée plusieurs fois, à quelques semaines d’intervalle.
Selon Madame la ministre, les réponses attendues se trouvent à disposition sur Internet, dans les notices explicatives des vaccins et sont expliquées dans les dispositions des articles R 5121-149 et R 5121-21 du Code de la Santé Publique.
C’est sur la base de cette analyse plus que superficielle que le Ministère des solidarités et de la Santé a conclut au rejet de la requête.»
C’est sur la base de cette analyse plus que superficielle que le Ministère des solidarités et de la Santé a conclut au rejet de la requête.»
Pour l’association, « il apparaît indispensable aujourd’hui que chaque citoyen puisse être en mesure de connaître la quantité maximale autorisée au-delà de laquelle la toxicité est officiellement reconnue. Car à l’heure actuelle, ni les dispositions réglementaires du Code de la Santé Publique, ni les notices accompagnant les vaccins, ni les demandes d’autorisations de mise sur le marché déposées par les laboratoires pharmaceutiques, n’informent le public des conséquences éventuelles sur la santé humaine des adjuvants et autres composés injectés. »
Le 22 décembre, l’État a été condamné par la cour administrative d’appel de Nantes à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale qui avait développé une maladie, la myofasciite à macrophages, après une vaccination contre l’hépatite B.
Elle doit être indemnisée via l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux) car son métier rendait la vaccination obligatoire.
Le 22 décembre, l’État a été condamné par la cour administrative d’appel de Nantes à verser plus de 190 000 euros à une secrétaire médicale qui avait développé une maladie, la myofasciite à macrophages, après une vaccination contre l’hépatite B.
Elle doit être indemnisée via l’Oniam (Office national d’indemnisation des accidents médicaux) car son métier rendait la vaccination obligatoire.
Le 23 janvier, la cour d’appel de Bordeaux a jugé le laboratoire pharmaceutique Sanofi « responsable » de la sclérose en plaques d’un homme vacciné contre l’hépatite B en 1996.
Enfin, le 7 mars, l’Armée a été condamnée en appel à Montpellier à verser une pension à un ancien militaire qui a contracté une sclérose en plaques après un vaccin contre la fièvre jaune.
Enfin, le 7 mars, l’Armée a été condamnée en appel à Montpellier à verser une pension à un ancien militaire qui a contracté une sclérose en plaques après un vaccin contre la fièvre jaune.
Le débat sur la vaccination obligatoire est loin d’être refermé.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
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