Le 10/05/2016
RACISME ANTI-BLANCS | Les mêmes militants «anti-racistes» qui s'allient aux islamistes poussent la haine du Québec et des Blancs à un niveau inédit.
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Le 31 mars 2016, la police perquisitionne un immeuble résidentiel à Montréal-Nord, où ils ont saisi entre autres du crack et du pot.
Jean-Pierre Bony, d’origine haïtienne, a tenté de s’enfuir par la fenêtre. Atteint par une o...u plusieurs balles de plastique, il a chuté sur une plaque de béton. Il est mort des séquelles.
Par la suite, des militants de deux groupes récemment formés se sont rassemblés: Montréal-Nord Républik et Montréal Noir.
Après s'être présentés devant les caméras des journalistes, leur premier énoncé fut de nier la légitimité de la nation québécoise: l'île de Montréal, affirment-ils, appartient aux Mohawks.
Ce type de discours est très courant chez les militants de la gauche régressive au Québec. Il est même relayé dans les départements de sociologies, par des enseignantes comme Leila Benhadjoudja, la conférencière la plus prisée par l'«Association des Musulmans et des Arabes pour la laïcité» (AMAL), co-fondée par Haroun Bouazzi.
Montréal Noir se réclame de Black Lives Matter, un mouvement né aux États-Unis, et dont une antenne fut fondée à Toronto par une musulmane, Yusra Khogali. Mme Khogali déteste tellement les Blancs qu'elle a publiquement supplié Allah ainsi: «stp Allah, donne-moi la force de ne pas injurier/tuer ces hommes et ces blancs qui sont ici aujourd'hui».
Après les attaques jihadistes de novembre 2015 à Paris, des militants de Black Lives Matter ont lancé le hashtag #FuckParis.
Ces militants détestent la France, le Québec, et les Blancs en général.
À Montréal, la fondation Paroles de femmes milite aussi avec Montréal Noir, et supporte Black Lives Matter. Selon sa présidente, Marlihan Lopez, le Québec est «une société structurellement raciste».
Ces militants-là affirment que la police au Canada est organisée de manière à tuer les Noirs; que le Canada est un pays raciste; et que les Noirs sont régulièrement ciblés par une violence blanche inlassable et arbitraire.
Or, la réalité diffère. En 1989, Julian Fantino, alors chef de la police d'un quartier de Toronto, a révélé que les Noirs commettent plus de 82% des vols et des assauts; et 55% des vols de sacoches; alors qu'ils ne composent que 6% de la population.
https://www.thestar.com/
Des militants noirs ont condamné la diffusion de cette information, et depuis, la plupart des départements de police au Canada ne divulguent plus les variables raciales concernant les crimes violents, tel qu'il appert d'une étude publiée dans le "Canadian journal of law and société" en 2013.
http://
Mais aux États-Unis, ces statistiques sont disponibles.
Selon le dernier rapport officiel de la Police de la ville de New York, les non-blancs ont commis en 2015 94,2% des meurtres, 90,6% des viols, et 96% des vols.
http://www.nyc.gov/html/
Et selon le FBI, les Noirs composaient en 2013 42% des tueurs de policiers dont la soi-disant «race» était connue.
https://www.fbi.gov/
Or, les Noirs ne comptent que pour 12,3% de la population américaine (avec 38 millions de personnes). (Tandis que les Blancs, à 197 millions, composent 63% de la population aux États-Unis).
http://usnews.nbcnews.com/
La réalité diverge ainsi complètement du discours que des groupes comme Montréal Noir, AMAL et Québec inclusif tentent de déplier.
Incidemment, le co-président d'AMAL, Haroun Bouazzi, et la présidente de Québec inclusif, Émilie Nicolas, ont co-rédigé un texte paru le 4 mai 2016 qui plaide «Pour une commission sur le racisme systémique». Ils l'ont écrit avec Will Prosper, de Montréal-Nord Républik.
http://plus.lapresse.ca/
Afin de mieux dépeindre le Québec et le Canada comme des bastions de la suprématie blanche, ces militants écrivent:
«En 2013, l’enquêteur correctionnel Howard Sapers révélait qu’au cours des 10 dernières années, la population carcérale autochtone avait augmenté de 46,4 % ; celle des Noirs, de 90 %, mais que celle des personnes blanches avait diminué, malgré un taux de criminalité similaire.»
Or, M. Sapers n'a jamais écrit dans le rapport en question que le taux de criminalité des Noirs était similaire à celui des Blancs. Ce qui est par ailleurs complètement faux, comme l'illustrent les données publiées avant la censure généralisée au Canada, et comme le suggère la réalité américaine.
M. Sapers a plutôt expliqué la surprésentation des Noirs en prison par la diversité croissante de la démographie canadienne: "A more complex and diverse offender population profile mirrors larger demographic trends and patterns in Canadian society. As Statistics Canada reports, one trend consists of a younger, pluralistic and multicultural population whose diversity has been shaped over time by newer immigrants and foreign-born Canadians".
http://www.oci-bec.gc.ca/
Et selon ce même rapport, 49% des Noirs qui sont en prison au Canada sont nés à l'étranger, provenant de pays dont les cultures et les traditions sont extrêmement différentes des nôtres.
Finalement, il faut savoir que pour ces militants, une personne noire ne peut pas être raciste envers une personne blanche.
C'est en effet qu'allègue Eddy Pérez, l'un des co-signataires du texte des inclusifs réclamant une commission contre le racisme, sur sa page Facebook cette semaine:
http://archive.is/KS3gW
Selon ce paradigme, si un Noir attaque un Blanc, ce n'est pas du racisme, c'est un effet de l'oppression du «système de la suprématie blanche». Mais si un Blanc attaque un Noir, c'est du racisme, un crime haineux.
Autres sources:
Jean-Pierre Bony:
http://www.lapresse.ca/
http://journalmetro.com/
http://journalmetro.com/
http://journalmetro.com/
Hashtag #FuckParis
http://www.breitbart.com/
Telus xRyder, «J'suis Dirt»:
https://www.youtube.com/
Pour plus d'informations:
http://
Jean-Pierre Bony, d’origine haïtienne, a tenté de s’enfuir par la fenêtre. Atteint par une o...u plusieurs balles de plastique, il a chuté sur une plaque de béton. Il est mort des séquelles.
Par la suite, des militants de deux groupes récemment formés se sont rassemblés: Montréal-Nord Républik et Montréal Noir.
Après s'être présentés devant les caméras des journalistes, leur premier énoncé fut de nier la légitimité de la nation québécoise: l'île de Montréal, affirment-ils, appartient aux Mohawks.
Ce type de discours est très courant chez les militants de la gauche régressive au Québec. Il est même relayé dans les départements de sociologies, par des enseignantes comme Leila Benhadjoudja, la conférencière la plus prisée par l'«Association des Musulmans et des Arabes pour la laïcité» (AMAL), co-fondée par Haroun Bouazzi.
Montréal Noir se réclame de Black Lives Matter, un mouvement né aux États-Unis, et dont une antenne fut fondée à Toronto par une musulmane, Yusra Khogali. Mme Khogali déteste tellement les Blancs qu'elle a publiquement supplié Allah ainsi: «stp Allah, donne-moi la force de ne pas injurier/tuer ces hommes et ces blancs qui sont ici aujourd'hui».
Après les attaques jihadistes de novembre 2015 à Paris, des militants de Black Lives Matter ont lancé le hashtag #FuckParis.
Ces militants détestent la France, le Québec, et les Blancs en général.
À Montréal, la fondation Paroles de femmes milite aussi avec Montréal Noir, et supporte Black Lives Matter. Selon sa présidente, Marlihan Lopez, le Québec est «une société structurellement raciste».
Ces militants-là affirment que la police au Canada est organisée de manière à tuer les Noirs; que le Canada est un pays raciste; et que les Noirs sont régulièrement ciblés par une violence blanche inlassable et arbitraire.
Or, la réalité diffère. En 1989, Julian Fantino, alors chef de la police d'un quartier de Toronto, a révélé que les Noirs commettent plus de 82% des vols et des assauts; et 55% des vols de sacoches; alors qu'ils ne composent que 6% de la population.
https://www.thestar.com/
Des militants noirs ont condamné la diffusion de cette information, et depuis, la plupart des départements de police au Canada ne divulguent plus les variables raciales concernant les crimes violents, tel qu'il appert d'une étude publiée dans le "Canadian journal of law and société" en 2013.
http://
Mais aux États-Unis, ces statistiques sont disponibles.
Selon le dernier rapport officiel de la Police de la ville de New York, les non-blancs ont commis en 2015 94,2% des meurtres, 90,6% des viols, et 96% des vols.
http://www.nyc.gov/html/
Et selon le FBI, les Noirs composaient en 2013 42% des tueurs de policiers dont la soi-disant «race» était connue.
https://www.fbi.gov/
Or, les Noirs ne comptent que pour 12,3% de la population américaine (avec 38 millions de personnes). (Tandis que les Blancs, à 197 millions, composent 63% de la population aux États-Unis).
http://usnews.nbcnews.com/
La réalité diverge ainsi complètement du discours que des groupes comme Montréal Noir, AMAL et Québec inclusif tentent de déplier.
Incidemment, le co-président d'AMAL, Haroun Bouazzi, et la présidente de Québec inclusif, Émilie Nicolas, ont co-rédigé un texte paru le 4 mai 2016 qui plaide «Pour une commission sur le racisme systémique». Ils l'ont écrit avec Will Prosper, de Montréal-Nord Républik.
http://plus.lapresse.ca/
Afin de mieux dépeindre le Québec et le Canada comme des bastions de la suprématie blanche, ces militants écrivent:
«En 2013, l’enquêteur correctionnel Howard Sapers révélait qu’au cours des 10 dernières années, la population carcérale autochtone avait augmenté de 46,4 % ; celle des Noirs, de 90 %, mais que celle des personnes blanches avait diminué, malgré un taux de criminalité similaire.»
Or, M. Sapers n'a jamais écrit dans le rapport en question que le taux de criminalité des Noirs était similaire à celui des Blancs. Ce qui est par ailleurs complètement faux, comme l'illustrent les données publiées avant la censure généralisée au Canada, et comme le suggère la réalité américaine.
M. Sapers a plutôt expliqué la surprésentation des Noirs en prison par la diversité croissante de la démographie canadienne: "A more complex and diverse offender population profile mirrors larger demographic trends and patterns in Canadian society. As Statistics Canada reports, one trend consists of a younger, pluralistic and multicultural population whose diversity has been shaped over time by newer immigrants and foreign-born Canadians".
http://www.oci-bec.gc.ca/
Et selon ce même rapport, 49% des Noirs qui sont en prison au Canada sont nés à l'étranger, provenant de pays dont les cultures et les traditions sont extrêmement différentes des nôtres.
Finalement, il faut savoir que pour ces militants, une personne noire ne peut pas être raciste envers une personne blanche.
C'est en effet qu'allègue Eddy Pérez, l'un des co-signataires du texte des inclusifs réclamant une commission contre le racisme, sur sa page Facebook cette semaine:
http://archive.is/KS3gW
Selon ce paradigme, si un Noir attaque un Blanc, ce n'est pas du racisme, c'est un effet de l'oppression du «système de la suprématie blanche». Mais si un Blanc attaque un Noir, c'est du racisme, un crime haineux.
Autres sources:
Jean-Pierre Bony:
http://www.lapresse.ca/
http://journalmetro.com/
http://journalmetro.com/
http://journalmetro.com/
Hashtag #FuckParis
http://www.breitbart.com/
Telus xRyder, «J'suis Dirt»:
https://www.youtube.com/
Pour plus d'informations:
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– avec Association des Musulmans et des Arabes pour la Laïcité au Québec, Montréal-Nord Républik, Québec inclusif et Montréal Noir.
Article vu sur L'échelle de Jacob
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