En 2011, revenant de ma Flandre natale, à destination de ma région d'adoption, la Champagne...
J'accède à Lille par l'autoroute en provenance de Dunkerque.
( Dunkerque, fief des socialistes D. et D. mérite l'écrit d'une encyclopédie.
Cela se fera prochainement : "L'art de couler un port maritime, à la sauce C.G.T" ou : "Coulage d'un port, par Rose-la-dunkerquoise"... )
( Dunkerque, fief des socialistes D. et D. mérite l'écrit d'une encyclopédie.
Cela se fera prochainement : "L'art de couler un port maritime, à la sauce C.G.T" ou : "Coulage d'un port, par Rose-la-dunkerquoise"... )
Je traverse Lille-Sud par la voie rapide, "le périphérique".
Sur la gauche : les barres-HLM des "étrangers".
Sur la droite : les volutes de fumées s'échappant des camps de "voyageurs". Camps cachés de la vue des automobilistes, par le talus bordant "le périphérique".
Lille-capitale des Flandres...
Capitale des Flandres ? (Gent et Brugge doivent rougir !)
Capitale des Flandres ? (Gent et Brugge doivent rougir !)
J'emprunte l'autoroute de Paris, et sors à Carvin, afin de rejoindre la RN.
Arrivé à Douai, via Sin-le-Noble :
Une grande pancarte indique : "Ici, construction d'un éco-quartier à vocation HLM, constitué de 4000 pavillons individuels" (quatre mille).
Je contourne Douai et rejoins la RN, au niveau d'Arleux, pour acheter de l'ail, chez la productrice que j'ai toujours connue.
La dame me reconnait.
Je lui dis : "quel changement, par ici".
Voulant en avoir le coeur net, je m'arrête, un peu avant Cambrai, à Aubigny-au-Bac, pour faire le plein de carburant.
Cette station-service dans laquelle j'étais, également, connu.
Cette station-service dans laquelle j'étais, également, connu.
Remarque identique, aux deux propriétaires : "quel changement, par ici".
Ils soupirent, puis les larmes coulent, discrètement.
Je demande ce qui se passe, dans ce coin du département du Nord.
Réponse :
Douai va doubler sa population, à court terme, par importation "d'étrangers".
Ces derniers mènent la vie dure, aux "souchiens" :
Interdiction de manger du porc et de boire de l'alcool (entre autres).
Le porc et l'alcool sont difficiles à trouver, dans le commerce local : ceux qui en vendent se font caillasser.
Si un "souchien" en trouve, et qu'un "étranger" l'aperçoit, les "frères" sont appelés et le "souchien" se fait insulter...voire, tabasser !
De plus, les "étrangers" fouillent les poubelles.
S'ils trouvent un emballage de jambon ou une bouteille d'alcool vide, la maison du "souchien" est vandalisée : jets de pierres dans les fenêtres, automobiles incendiées...j'en passe et de meilleures !
Voilà quelques motifs des pleurs des "souchiens" rencontrés entre Douai et Cambrai.
La police ? inexistante...le no man's land !
Voilà ce qui nous attend.
Dans le silence-complice des politiciens-de-tous-bords...
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P.S. Les 4000 maisons de Douai sont labellisées "éco-quartier".
Autant dire que ces maisons sont de qualité, bien isolées, chauffage au minimum.
L'APL (mon bas-de-laine) couvre le montant du loyer de ces petites villas destinées aux "étrangers" !
Au final, les "étrangers" sont mieux logés que les "souchiens", dans cette région déshéritée du Nord de la France.
Cela, aux "frais de la princesse".
C'est à dire, sur mon compte !
Cela, aux "frais de la princesse".
C'est à dire, sur mon compte !
Tourcoing : "ZUP de la Bourgogne".
La ZUP fut très rapidement envahie par les "étrangers".
La technique employée, afin d'en chasser les derniers "français", fut la suivante :
Les numéros des plaques d'immatriculation des véhicules appartenant aux "français", furent inscrits, en un lieu de passage.
Les "étrangers" se mirent à l'oeuvre : Brûler les automobiles.
Chaque incendie voyait le N° d'immatriculation, barré sur la liste.
Chaque incendie voyait le N° d'immatriculation, barré sur la liste.
Autant dire que les derniers "français" prirent la poudre d'escampette, vite-fait, bien-fait !
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Pour terminer en beauté...
L'affaire remonte à une bonne trentaine d'années.
Des amis âgés habitaient Tourcoing, rue du Dragon, précisément.
C'était un quartier peuplé de personnes vieillissantes, de familles-sans-histoire.
Les maisons étaient mitoyennes, comme on le constate souvent, dans le Nord.
De plus, ces maisons n'étaient pas luxueuses.
Elles ne valaient pas très cher.
Elles ne valaient pas très cher.
Mes amis coulaient des jours heureux, rue du Dragon.
Une petite maison fut mise en vente. Rapidement achetée par une famille "étrangère".
Ces "étrangers" qui peuplent Roubaix-Tourcoing, actuellement.
Ces "étrangers" qui peuplent Roubaix-Tourcoing, actuellement.
Ces personnes se montraient serviables, gentilles, prévenantes.
Puis, une seconde maison fut mise en vente.
Achetée par des "étrangers".
Achetée par des "étrangers".
Ainsi de suite.
Plus les "étrangers" se faisaient nombreux, plus leur gentillesse diminuait.
On conseilla à mes proches de quitter le quartier avant qu'il ne fut envahi.
Il n'en fut pas question. Attachés à cette maison pour des motifs personnels, ils ne souhaitaient pas quitter leur lieu-de-vie.
Arriva le jour, où la rue du Dragon fut peuplée d'étrangers, en majorité.
Tout bascula rapidement :
Malgré leur âge, mes amis furent l'objet d'intimidations
. On creva les pneus de la voiture, on dégradait la façade de la maison.
Barricadés, volets clos, ils subissaient les injures quotidiennes, les "barre-toi", "sale pute"...l'urine, les défécations au seuil de la porte d'entrée..
.Le jardinet situé à l'arrière du domicile, fierté de la dame y cultivant quelques fleurs, fut transformé en dépotoir recevant les objets les plus hétéroclites.
. On creva les pneus de la voiture, on dégradait la façade de la maison.
Barricadés, volets clos, ils subissaient les injures quotidiennes, les "barre-toi", "sale pute"...l'urine, les défécations au seuil de la porte d'entrée..
.Le jardinet situé à l'arrière du domicile, fierté de la dame y cultivant quelques fleurs, fut transformé en dépotoir recevant les objets les plus hétéroclites.
Lorsque je leur rendais visite, j'étais obligé de garer l'automobile en périphérie de Tourcoing.
Je me rendais chez eux, à pied, les "étrangers" se gaussant, à la vue de "l'envahisseur" que je représentais, à leurs yeux !
Je me rendais chez eux, à pied, les "étrangers" se gaussant, à la vue de "l'envahisseur" que je représentais, à leurs yeux !
Dernier réveillon de Noël, rue du Dragon : Des "étrangers" avaient acquis les deux maisons mitoyennes.
Durant la soirée, ces charmants voisins s'entendirent afin de faire fonctionner des marteaux-piqueurs dans leurs habitations.
Le réveillon fut gâché.
Le réveillon fut gâché.
Il était trop tard.
Mes connaissances furent obligés de vendre leur maison pour un prix dérisoire, à ...des "étrangers".
Ces derniers avaient gagné : Ils avaient chassé les français-de-souche, occupaient le quartier dans sa totalité.
Ejectés, mes amis s'installèrent dans une "ruine", loin de ce lieu devenu "maudit".
Ils moururent très rapidement de cancer...ou plutôt, de cancer causé par le chagrin.
Parachèvement de cette "agréable" comptine : L'épouse était d'origine "pied-noir".
Elle fut expulsée d'Afrique du Nord, emportant quelques biens, et...le fruit, bien maigre, des transactions opérées "en partenariat", vis-à-vis des nouveaux propriétaires des lieux.
Elle fut expulsée d'Afrique du Nord, emportant quelques biens, et...le fruit, bien maigre, des transactions opérées "en partenariat", vis-à-vis des nouveaux propriétaires des lieux.
Virée de son domaine, deux fois, de suite !
Les pieds-noirs ? "Les oubliés de l'Histoire".
Reconnaissons que cet oubli convient, parfaitement, à tous les partis, ainsi qu'à toutes les parties.
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Et, en guise d'épilogue, voici un texte écrit par un Algérien plus lucide que nous.
Extraits :
Extraits :
"Pour les Français, le train de l'Histoire est arrivé à son terminus. C'est fini. Il faut ramasser ses bagages et se préparer à descendre.
Quand la Seine-Saint-Denis a commencé à pourrir, les Français de souche ont quitté la Seine-Saint-Denis transformée depuis en coupe-gorge.
De la même manière, ils quittent Lille, Marseille, Roubaix, les quartiers nord de Paris.
Progressivement, viendra le jour où changer de ville ne résoudra pas le problème.
Il faudra alors s'écraser ou bien quitter le pays.
Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux.
Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux.
Il regarde béatement sa Nation partir dans le tout-à-l'égout...
Dans l'océan, quand un animal est blessé, les rapaces viennent de partout.
Chacun veut son petit morceau.
La France est aujourd'hui cet animal mourant.
Chacun veut son petit morceau.
La France est aujourd'hui cet animal mourant.
Jusqu'au fond de l'Afrique, le dernier des somaliens accourt pour prendre son petit morceau.
Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les soins de ceux qui sont en train de les remplacer.
Quand il n'y aura plus assez de travailleurs pour payer les parasites, ça sera le chaos et la violence.
Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les soins de ceux qui sont en train de les remplacer.
Quand il n'y aura plus assez de travailleurs pour payer les parasites, ça sera le chaos et la violence.
Pour son immigration, la France a particulièrement choisi des populations incapables de gagner ou de produire ne serait-ce que leur pain quotidien.
Les Français ne souhaitent qu'une seule chose : Disparaitre.
Ils ont trop honte d'exister.
Les Français ne souhaitent qu'une seule chose : Disparaitre.
Ils ont trop honte d'exister.
Ils se sentent tellement coupables qu'ils traversent ce monde en s'excusant.
Leurs ancêtres ont, pour diverses raisons, tué des gens.
Si je remonte assez en arrière, les miens ont aussi tué des gens.
Ça m'empêche de dormir la nuit ?
Ça me donne envie de faire envahir mon pays par des crevards ?
Probablement pas ! "
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