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jeudi 11 février 2021

Louis Fouché (ReinfoCovid) : « Aujourd’hui les gens sont plus malades de la politique sanitaire que du virus lui même » [Interview]


 

10/02/2021

Anesthésiste réanimateur à l’Hôpital de la Conception (Marseille) et fondateur du site REINFO COVID, le Dr Louis Fouché mène un combat depuis des mois contre la tyrannie sanitaire et la tyrannie de la peur distillée au sein de la population en raison de la crise du Covid-19.

Attaqué fréquemment par les médias du système, Louis Fouché est un des acteurs de la désobéissance civile aujourd’hui en France, un passage nécessaire selon lui pour parvenir à freiner, à renverser ceux qui veulent nous amener vers un « Nouveau Monde » en parallèle du « Great reset ».

« Nous sommes dans une guerre de l’information (…) je suis en résistance » nous dit-il à l’occasion d’un long et passionnant entretien audio que nous vous proposons ci-dessous et donc voici quelques morceaux choisis, à l’écrit. « Cette crise en réalité est une chance pour vous ramener ici et maintenant, pour reprendre le pouvoir ». 

 

Breizh-info.com : Avez vous vu la mise en scène d’Olivier Véran se faisant vacciner ?

Louis Fouché : Je ne l’ai pas vu. J’imagine que ce sont les hommes politiques qui vont se faire vacciner en disant que c’est génial. C’est de la propagande, les gens ne doivent pas être dupes. L’idée est de sortir de la peur, quelle qu’elle soit. Celle de Bill Gates, du vaccin. Il faut aller tâter le réel, et vous cesserez d’avoir peur.

Breizh-info.com : Quelle est votre position sur cette question de la vaccination ? Est-ce que se faire vacciner n’empêche pas, au moins pour les autres, la transmission du virus ? Quid par rapport à ce vaccin bien précis ?

Louis Fouché : Ce n’est pas une histoire d’être pour ou contre les vaccins. Il faut de la nuance et comprendre de quoi on parle. On parle d’une injection de l’ARN Messager à visée immunogène, c’est nouveau. Mais même si on parlait de vaccination plus classique, il n’y a pas de baguette magique dans une épidémie virale à virus ARN. Les gens qui espèrent que d’un coup, la vaccination résoudrait tous les problèmes, c’est une illusion.

Peut être que la vaccination fait partie d’une solution, mais il y a plein de choses à faire. Je prends juste la vaccination comme un outil, dont il faut étudier les bénéfices et les risques. Aujourd’hui, on veut faire ressortir le pêché culpabilisateur qui voudrait que si vous ne vous faites pas vacciner pour vous, alors il faut le faire pour les autres. C’est n’importe quoi. Qui allez-vous contaminer si vous n’êtes pas vacciné et que vous rentrez dans un restaurant où tout le monde l’est ?

Sur la pratique, sur les essais de phase 3 qui ont été rapportés par Pfizer, vous n’avez aucune donnée sur la diminution de la contagiosité. On ne peut donc pas conclure sur le sujet. Il n’y a pas de data (…) Les seuls que nous avons sont ceux de Pfizer, multinationale, qui a eu 2,3 milliards de dollars d’amende pour falsification de données, publicité mensongère, et commission occulte.

Breizh-info.com : Il n’y a pas que Pfizer en termes de vaccins.

Louis Fouché : Moderna, c’est du même acabit. Pour les autres, il faut prendre les choses dans l’ordre, évaluer un par un. Pour le vaccin Pfizer, énormément de warnings indiquent de se méfier. L’essai a été fait sur des formes bénignes à modéré, sur des gens sans facteur de risque qui avaient plus de 75 ans. Rien de significatif. Ce vaccin est sans intérêt si ce n’est qu’on va étudier (en phase 3) sur vous les effets des particules lipidiques qui entourent l’ARN Messager, et cela jusqu’en 2023. Vous faites partie d’une expérimentation thérapeutique. On vous l’a dit ça ? On vous a fait signer quelque part votre consentement ? Normalement c’est la base de la recherche médicale de vous expliquer à quoi vous êtes exposés. Vous avez le droit de ne pas être un cobaye (…)

Pour les autres vaccins, c’est peut-être intéressant pour ceux à virus atténués ou inactivés, ça peut servir à quelque chose. Mais la réalité historique c’est qu’il n’y a aucune vaccination dans les épidémies de virus ARN qui a permis d’endiguer un virus ou une épidémie, ce n’est pas vrai.

Breizh-info.com : Je me fais l’avocat du diable sans doute, mais des scientifiques expliquent que pendant les guerres ou les grandes crises, il y a eu des mesures sanitaires, médicales, ayant permis des avancées pour la médecine, et la population a donc déjà servi de « cobaye » dans ce cas, pour faire avancer la science…

Louis Fouché : Je pense que l’argument n’est pas recevable. Les médecins nazis ont été jugés à Nuremberg. L’affaire des sacrifiés d’Alabama a eu des conséquences également sur les perspectives médicales en matière de consentement et d’autonomie des patients. Quel monde veut-on ? Est-ce que l’on veut une tyrannie de Khmers blancs technosanitaristes qui au motif de l’urgence de la peur, de la crainte d’un virus, vont faire passer toutes les lois et expérimentations qu’ils veulent ? Peut-être que des gens diront oui. Mais d’autres diront non, pour moi le primat de la liberté est plus important. Il faut que les gens se rendent compte qu’aujourd’hui, les gens sont plus malades de la politique sanitaire que du virus lui-même. Le virus a 0,05 % de mortalité. Cela veut dire que 99,95 % des gens survivent. En termes de volume, on est entre la 9e et la 14e épidémie depuis 1945.

Réfléchissez de quoi vous souffrez actuellement : c’est de la politique sanitaire, pas du virus lui-même.

Breizh-info.com : Sur le terrain, constatez-vous ces conséquences de la politique sanitaire, de confinements en couvre-feu ?

Louis Fouché : En réanimation je constate surtout les cas graves de Covid. Il y en a, il n’est pas question de le nier. Il faut être pragmatique. Pourquoi les hôpitaux et les services de réanimation sont dépassés ? On a déshabillé l’hôpital public depuis 15 ans, on a supprimé 96 000 lits, on est pris en otage par un gang techno-administratif (…) On sature les hôpitaux, car on n’a rien mis en place en termes de médecine de ville de prise en charge précoce de cette maladie. Et pourtant il y a plein de choses à faire pour éviter cette saturation.

On vous dit « Paracétamol, bonne chance, on se revoit quand vous êtes en train de vous étouffer ». Ce n’est pas correct. On a des traitements qui fonctionnent. Et même si le corps médical n’est pas d’accord sur tout, il se rejoint sur l’efficacité des anticoagulants, des corticoïdes, et de l’oxygène. Ces trois là, sont très efficaces, diminuent la mortalité.

Il y a aussi un consensus sur la vitamine D, vitamine pour laquelle nous sommes carencés. Les gens doivent se recharger en vitamine D, cela a été recommandé par l’Académie de médecine et vous n’en avez pas entendu parler dans les médias mainstream.

La narration mainstream ne cherche pas à ce que vous soyez en bonne santé, elle cherche à dramatiser la situation et permet d’installer une tyrannie techno-sanitariste.

Breizh-info.com : Avez vous eu l’occasion de tester ou de faire tester le Xav-19, médicament prometteur développé à Nantes ?

Louis Fouché : Non je n’ai pas eu l’occasion de tester ce médicament, mais vous avez raison, il y a plein de traitements qui peuvent être pris en amont. Il y a des molécules candidates qu’on n’a pas encore pu tester. Mais en préventif il y a des choses qui marchent, comme le zinc, la vitamine C, mais aussi être en lien, rigoler, avoir de l’activité, arrêter d’avoir peur, pratiquer une activité physique régulière. Le syndicat des médecins du sport vous recommande 30 min d’activité physique par jour pour maintenir un bon système immunitaire. Bien manger, bio, local, de saison. Tout cela est hyper important.

Dans les thérapeutiques précoces, on a aussi plein de molécules candidates, mais maintenant, on va être censuré partout dès qu’on les évoque. La publication scientifique elle-même est censurée quand on veut en parler (Ivermectine, hydroxychloroquine, colchicine…).

Pour les traitements thérapeutiques tardifs, en réanimation, on a les corticoïdes certes, mais on a également d’autres molécules et de pistes pour traiter correctement cette maladie.

Sauf que, vous remarquerez que pour obtenir l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle (AMM) il y a cette condition que pour qu’il y ait AMM pour la vaccination, il faut qu’il n’y ait pas de traitement efficace. Les laboratoires qui cherchent à vous revendre un vaccin cherchent à dire qu’il n’y a pas de traitement efficace. C’est faux.

Il y a une organisation des soins, au-delà des traitements, qui permet de diminuer le recours aux hôpitaux et à la réanimation. En utilisant la médecine de ville, en laissant un malade à la maison. En le surveillant s’il a des facteurs de risque. En faisant un bilan de coagulation, en surveillant la saturation au niveau du doigt. L’infirmière coordinatrice en cas de manque d’oxygène, en fait venir à domicile, et passe matin et soir. Et si cela ne se passe pas bien, alors on va à l’hôpital et on met en place les traitements indiqués plus haut notamment à base de corticoïdes.

Vous avez plein de gens qui vont aller mieux en restant à la maison, qui ne feront ni hôpital (ou de manière coordonnée avec l’infirmière) ni en réanimation. Et cela se passe bien.

En aval, on peut aussi faire sortir les gens de l’hôpital, avec un peu d’oxygène, car on sait que c’est un peu long comme maladie, et on les fait sortir en soins de suite ou de réadaptation. Si on fait cela, il n’y a plus aucune raison que les hôpitaux soient surchargés, donc plus aucune raison d’arrêter l’activité habituelle, et d’oublier les victimes collatérales de cette politique. Les gens qui font des infarctus, qui arrivent avec des cancers avancés, qui arrivent avec un gros lymphome dans le cou… Toutes ces victimes sont très importantes.

Breizh-info.com : Est-ce qu’elles sont chiffrables ces victimes collatérales ?

Louis Fouché : Vous avez vu qu’on vous donne toute la journée, jusqu’à la nausée, les chiffres de l’épidémie. Mais quid des victimes collatérales ? On cherche les chiffres. Les unités de cancérologie ont un peu chiffré. Les coloscopies de diagnostic ont diminué de 98 % pendant la phase de confinement. Les gens vont donc venir en retard, avec un gros cancer… et auront donc de la chimio, de la chirurgie.

Idem, nous n’avons pas de chiffrage sur les conséquences psychiatriques, sur les effets secondaires sur les enfants, sur les étudiants à l’université qui se suicident. Où sont les chiffres ? Des gens tentent de faire des synthèses sur le sujet, et on en fait partie avec Reinfocovid. Les victimes collatérales sont absolument majeures.

Si on prend les 60 000 décès ne serait-ce que du Covid, et encore faudrait-il dire qui est mort vraiment du Covid ou avec le SARS-COv2 (qu’ils avaient dans le nez, mais qui sont morts d’une autre maladie) ou encore d’autre chose. À la fin, vous trouverez qu’il y a peut-être 25 000 morts du Covid lui-même.

Breizh-info.com : Mais comment expliquer alors cette politique de terreur, efficace puisque les gens ont peur, à se promener seuls dans la rue avec un masque, à masquer leurs enfants ? Il n’y a tout de même pas de complot derrière, de gens qui se réunissent pour martyriser la population dans le monde entier… nos dirigeants ont-ils peur eux aussi ?

Je n’ai pas envie de croire qu’il y ait un complot. Je pense que de toute manière, complot ou pas, il n’y a pas de prise là dessus. Il faut revenir là où il y a prise, puissance (…) Je vous ai parlé de thérapeutique précoce, c’est ça mon travail. Je vous ai parlé de rassurer dans les écoles, d’arrêter de masquer les enfants.

Mais il y a plusieurs pistes pour expliquer cela :

Une partie de la population qui forme les élites est déconnectée du réel, incapable de connaitre le prix d’un pain au chocolat ou d’un ticket de métro. Ils sont soumis à des influences, à des conflits d’intérêts. Certains sont les marionnettes de puissances d’argent. Les systèmes techno-administratifs sont devenus rigides, ne peuvent pas gérer l’exceptionnel. Sur les conflits d’intérêts, au sein du conseil scientifique anglais, Patrick Vallance a 500 000 livres d’actions chez GlaxoSmithKline, entreprise vaccinale. Il a touché 5 millions de livres de dividendes jusqu’en 2018. Vous imaginez bien qu’il n’est pas vierge dans la décision autour de la vaccination. On peut penser qu’il y croire, mais il y a trop d’argent en jeu.

Des gens avaient par ailleurs peur avant le virus. C’est comme si vous donniez un coup de gong qui raisonne. Mais les gens avaient déjà peur de la vie, de pas avoir de travail, de l’effondrement environnemental, économique. La peur du virus prend la place de toutes ces autres peurs.  Ils sont dans la peur, et vous ne prenez jamais de bonnes décisions dans la peur.

Une autre piste est que les décideurs soient dépassés, qu’ils soient mal conseillés, qu’ils ne voient pas les dommages collatéraux, l’œil rivé qu’ils sont sur le virus. Ils ne les voyaient déjà pas avant (appauvrissement de notre société) et veulent encore moins le voir.

Une autre option est qu’ils ont peur, des sanctions pénales ou autres si jamais ils n’en faisaient pas assez. Ils savent que ça au moins, on ne leur reprochera pas.

Je pense qu’aujourd’hui que la politique sanitaire est dirigée par des fous, qui n’ont plus le sens de la mesure, de la proportion, de la justice.

Breizh-info.com : Dans le monde médical, chez les soignants, c’est assez partagé aussi. Une partie du personnel a peur, applique à la lettre des protocoles administratifs délirants…

Louis Fouché : Le personne soignant ce sont des humains comme les autres. Ils sont soumis à la même propagande hypnotique, via la TV, les réseaux sociaux. Ils utilisent les techniques d’hypnose. Noam Chomsky a écrit le livre La Fabrique du consentement, et explique parfaitement cela. Tout le monde est sensible à ces techniques y compris les soignants. D’autant plus qu’ils ont été en première ligne d’une épidémie, donc potentiellement traumatisés. Aujourd’hui vous avez des réanimations du centre-ville, des réanimations de recours. et qui voient plus de jeunes que les autres. La réalité statistique et épidémiologique, c’est que le virus touche peu et tue très peu les jeunes. Vous avez eu 20 morts parmi les moins de 30 ans depuis le début de l’épidémie, cela reste à la marge. C’est triste pour les gens à qui ça arrive, mais on ne peut pas en faire une loi générale.

Mais si vous êtes réanimateur où on envoie ces malades jeunes, vous dites c’est terrible, ça touche les jeunes. Si vous prenez quelqu’un qui travaille dans un trauma center (où l’on soigne notamment les accidentés de la route), il va être obsédé par le respect du code de la route. Cela va être son obsession. Chaque personne qui ne regarde qu’un petit bout de la lorgnette et donc la fenêtre sur le monde est la télévision ou la presse mainstream a une vision déformée du réel.

La réalité, c’est que si vous sortez dehors, vous n’avez pas des chariots de cadavres qu’on va brûler en centre-ville dans des charniers, pour s’en débarrasser.

Breizh-info.com : Quelle porte de sortie voyez-vous à cette crise majeure, qui aura des conséquences sociétales, économiques, sociales lourdes, notamment pour les hommes qui ont envie de rester libres ?

Louis Fouché : Nous sommes face à un déferlement totalitaire au motif d’une crise sanitaire. Tous les historiens, les sociologues, les psychologues le disent au sein de notre collectif. La narration de la peur et de la culpabilité précède les périodes totalitaires comme il y en a eu au moment du stalinisme, du nazisme, des Khmers rouges. Il faut arrêter ça.

Sinon vous risquez d’avoir un déferlement de violence, comme les Giles jaunes en ont peut-être été un prémice, en partie. Et ce n’est pas souhaitable.

Nous proposons une voie de la non-violence. Nous proposons de tenir le rapport de force (la non-violence n’est pas de se faire taper dessus). De faire germer un dialogue, un débat. Essayer de comprendre que cette crise est une occasion de résoudre. Elle souligne qu’une maladie était déjà là.

Les gens qui veulent retrouver la vie d’avant se trompent. On ne retrouvera pas la vie d’avant. Certains suivront le déferlement totalitaire et cette narration labyrinthique faite de confinement, reconfinement, couvre-feu, vaccination….Cette narration nous conduit à une dystopie dégueulasse, où vous serez le rouage d’un système techno-industriel géré par les multinationales. Ce n’est pas une vie souhaitable que ce rêve transhumaniste porté par les Laurent Alexandre, Jacques Attali… Ce n’est pas acceptable.

Ce qui ont peur de la mort, de la maladie, qui vivent dans le rêve que la technique pourra les affranchir de la mort, de la maladie, sont dans l’illusion. Une illusion portée auprès de la génération des Baby-boomers, qui a toujours été élevée dans le confort. La technique a fait des miracles, c’est vrai, mais cela ne résout pas la souffrance.

Il faut ouvrir une autre voie qui a déjà commencé à s’ouvrir : vous avez déjà eu des ZAD, des expérimentations sur la monnaie, sur la démocratie directe, vous avez d’autres voies qui s’ouvrent en sciences, en santé. Ne pas dépendre de multinationales pour avoir juste le droit de vivre.

Tout est prêt. Vous avez des gens qui font des éco-lieux, des agriculteurs qui sortent du modèle agro-industriel, d’autres façons d’être en lien les uns avec les autres. On a besoin de tout ça. C’est urgent de se mettre en lien, de sortir de la peur, à son rythme. L’appel est lancé. Il est temps de résister et personne ne le fera à votre place. Ni Fouché, ni Raoult, il n’y a pas de messie. Il est déjà venu. Il est temps de se réveiller, comme l’ont fait les gens avec Gamestop au niveau financier. Comme le font les gens qui proposent des alternatives de toutes sortes. Il faut qu’ils construisent la société de demain. Beaucoup plus appréciable (…) qu’un avenir où vous avez un vaccin dans le cul toutes les deux semaines et une pilule pour juste avoir le droit de vivre.

Éteignez votre télévision. Ne faites pas confiance au Big Data. Reprenez contact avec le réel ! Transformez la colère en courage, la peur en prudence !

Prenez soin de vous d’abord avant de vouloir changer le monde. Si vous voulez la paix dehors, il faut que vous soyez en paix dedans. Si vous n’êtes en tyrannie à l’intérieur, aucune chance d’avoir la démocratie à l’extérieur. Prenez soin de vous, de ceux que vous aimez, mais aussi de ceux que vous n’aimez pas. Remettez-vous en lien avec eux, aidez-les, ayez de l’empathie.

Au-delà de toutes les croyances, idéologies (« mourir pour des idées d’accord, mais de mort lente » comme disait Brassens) nous sommes avant tout des êtres de partage et d’amour. Prenez soin du monde autour de nous. Partagez vos pépites, ce que vous avez compris.

Propos recueillis par YV


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