Indignation à Géométrie Variable

 

Publié le 4 décembre 2020 par rra137

On dirait vraiment, qu’entre la police et la population, c’est « je t’aime moi non plus ». 

Pourtant, nous  avons impérativement besoin des forces de l’ordre, elles sont le dernier écran protecteur entre les gens honnêtes  et les individus destructeurs.

Et ces malfaisants sont de plus en plus nombreux dans la société. Ce qui ne doit pas faire oublier qu’il existe aussi dans la police des éléments qui ne devraient pas en faire partie, compte tenu de leur comportement.

J’en arrive à l’affaire Zecler. Ce producteur antillais de « musique » de rap.  Mais comme d’habitude, la parole est donnée à la « victime », sur les plateaux TV et les radios. D’autant plus, qu’elle est de couleur et « artiste ».

Par contre, on ne voit jamais les policiers incriminés invités à s’expliquer dans ces mêmes structures. Comment dans ces conditions se faire une opinion sur ce qui s’est réellement passé ?

On sait déjà, que  Michel Zecler n’était pas un perdreau de l’année. Des condamnations pour vol et associations de malfaiteurs sont portées à son passif.

On peut voir, sur des photos floues, que des coups sont portés sur une personne qui crie. Cela,  avec un  acharnement malheureux. Mais que s’est-il passé avant, pour pousser à bout de nerfs ces 3 fonctionnaires de police ? Qui n’entend qu’une cloche, n’entend qu’un son.

Ces derniers devaient-ils être accusés et condamnés avant même que l’enquête faite par lGPN soit terminée ? Il fallait aussi sans doute, une enquête administrative, judiciaire, plus une commission de discipline avant toute révocation. Qui est d’ailleurs envisagée.

Or Darmanin, parle déjà de révocation, avant de connaître le fin mot de l’histoire. Avec un Retailleau qui exige une justice lourde et rapide.

Autrement dit, la prison, en compagnie de la racaille diversitaire. D’ailleurs deux d’entre ont été ensuite incarcérés, ce qui est inadmissible.

On se souvient de la jeune Fiorina Ligner, qui accompagnait son ami lors de la manif des GJ, et qui avait reçu un tir de LBD la privant d’un oeil.

A-t-on entendu, à ce sujet, un ministre, un député ou les médias, parler de justice lourde et rapide contre le CRS qui a sciemment visé le visage ? Toujours deux poids, deux mesures ! Macron s’est-il déplacé pour la réconforter et condamner le CRS concerné ?

Radio France Bleu, qui a eu connaissance du PV de la déposition des policiers, au sujet de l’affaire Zecler, donne leur version des faits : « Un individu, non porteur de masque, se dirige vers la rue des Emeraudes. Il ne cesse de jeter des coups d’oeil en direction de notre véhicule, en paraissant nerveux. Il est interpellé aux fins de contrôle. C’est alors, que l’on s’aperçoit que l’intéressé porte un sac en bandoulière d’où émane une forte odeur de stupéfiant. Alors que nous tentons de le saisir par le bras, pour le maintenir en place, il se débat et nous repousse violemment en se précipitant vers la porte, qui est celle d’un établissement recevant du public ».

Il se fait photographier avec du sang sur le visage. Par contre, il apparaît cinq jours après, frais et dispos, sans la moindre trace d’hématome dans l’émission d’Hannouna.

Quant aux injures raciales, qu’il aurait reçues, il ne peut en fournir aucune preuve.

Dernièrement, c’était  un policier littéralement lynché par un groupe haineux de black-blocs. Il aurait été parfaitement en droit de se servir de son arme de service, il ne fait rien par peur de sa hiérarchie.

Mais là aussi, pas un mot de la part de ceux qui pleurent sur le sort de ce producteur de musique de rapp.

Avec tout le bruit autour de cette affaire Zecler, veut-on faire oublier le drame autrement plus terrible de Samuel Paty ?

Il ne manque plus maintenant que le clan Traoré organise une manifestation de milliers des siens et des gauchos habituels, pour transformer ce fait divers en nouvelle affaire Georges Floyd.