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On entend parler de temps en temps,
d’occupations illicites de résidences secondaires, par des squatteurs
qui s’installent à l’intérieur, au détriment des propriétaires
légitimes.
Au besoin, ils changent la serrure, déposent leurs affaires et font chez les autres, comme chez eux.
C’est ce qui est arrivé, à un couple de
lyonnais, pour une maison de vacances, qu’ils possédaient à Théoule
(06), avec des occupants encouragés par de associations gauchistes.
Pourtant, l’article 2 de la Déclaration
des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 Août 89, qualifie la propriété
de droit naturel et imprescriptible.
Quant au Code pénal 226-4 il déclare que l’occupation illicite d’une propriété est punie d’un an de prison et 15 000 euros d’amende.
Quant au Code pénal 226-4 il déclare que l’occupation illicite d’une propriété est punie d’un an de prison et 15 000 euros d’amende.
Par contre, si le propriétaire légal se
permet de les chasser lui même, il risque 3 ans de prison et 30 000
euros d’amende.
Autrement dit, il va payer le double que le « sans gêne » qui a occupé sa demeure, sans son consentement.
Où est la logique dans cette contradiction ?
Autrement dit, il va payer le double que le « sans gêne » qui a occupé sa demeure, sans son consentement.
Où est la logique dans cette contradiction ?
Mais s’il existe des occupants de
demeures privées, on trouve aussi, depuis plus longtemps encore,
d’autres squatteurs qui viennent s’installer en passagers clandestins
dans toutes les provinces de France.
Et le problème, tout en étant le même sur
la forme est infiniment plus grave sur le fond.
Car si le propriétaire en titre d’une maison ou d’un appartement, peut après beaucoup de soucis avec l’Administration, avec de l’argent, et avec l’aide d’un avocat, récupérer son bien.
Quelquefois, au bout d’une année ou deux, les squatteurs de tout un pays, (le nôtre) ont la garantie à vie d’être inexpulsables.
Car si le propriétaire en titre d’une maison ou d’un appartement, peut après beaucoup de soucis avec l’Administration, avec de l’argent, et avec l’aide d’un avocat, récupérer son bien.
Quelquefois, au bout d’une année ou deux, les squatteurs de tout un pays, (le nôtre) ont la garantie à vie d’être inexpulsables.
Non seulement, ce Gouvernement idéologue
et laxiste ne fera rien pour les expulser, même s’ils sont déboutés du
droit d’asile, et même quand il s’agit de délinquants multirécidivistes.
Cette catégorie de squatteurs se
considère tellement dans la certitude de son bon droit, qu’après un
certain temps de présence dans un territoire qui ne lui appartient pas,
elle en fait le sien, sans la moindre retenue.
Après avoir pris possession de la salle à
manger, et de la chambre à coucher de l’hôte, il convoite sa femme et
sa fille, avant de s’attaquer à son garde manger et au contenu de son
assiette.
C’est un certain Abdelaziz Chaambi (proche des Frères musulmans) qui ne se prive pas de le dire: « Les français qui n’aiment pas l’lslamisme peuvent quitter le territoire national« .
Certes, on peut penser qu’il exagère par
provocation, mais il ne fait que dévoiler son ambition et celle de
beaucoup de ces coreligionnaires.
Dans la manifestation du comité Traoré, on a pu aussi entendre des slogans revendicateurs, comme : »La France est à nous ».
Mais sur le plan du pénal, quelle est la
différence entre celui qui squatte un domicile privé et ceux qui ont la
prétention de squatter tout un pays ?
Mais je suis certain que, si la belle
résidence normande de Macron était occupée illégalement, la procédure
pour la récupérer serait très rapide.
Onyx
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