29 août 2020
Exaspéré, le Dr Dominique Rueff, médecin cannois, spécialiste en médecine générale et cancérologie a partagé ce message d’un de ses confrères, le Dr Louis Fouché via Facebook [source] :
Bonjour à tous,
À quoi joue le gouvernement ?
À quoi jouent les médias ?
À quoi jouent les médecins ?
Quand réagirons-nous ?
Je lance ici un appel aux médecins, pharmaciens, soignants et administratifs de l’AP-HM de bonne volonté.
Il faut arrêter l’instauration et la pérennisation de lois d’exception liberticides.
Depuis quand le gouvernement se donne t‑il le droit de décider de ce que les médecins peuvent prescrire ?
Pourquoi les gens doivent-ils encore porter un masque aujourd’hui ? Pourquoi leur interdisait-on d’en acheter quand c’était utile ?
Pourquoi les pharmaciens n’ont-ils pas eu le droit de vendre des masques quand c’était utile ?
Ce sont désormais les supermarchés qui le peuvent avec la complicité de l’État et de ses forces de répression ?
Ceux qui constatent l’écart croissant entre le réel et la narration médiatique et politique se doivent de réagir.
Ceux qui savent lire et interpréter sans peur des courbes épidémiques se doivent de parler en masse et de ne pas laisser seul l’IHU dans cette bataille.
Il n’y a pas de seconde vague.
Nous ne sommes depuis bien longtemps plus en situation épidémique selon les définitions habituelles des standards d’épidémie pour la grippe (plus de 150 cas/j/100000 habitants).
Cette définition a été changée tout bonnement pour la COVID dans un but qui nous échappe.
Le réel est remplacé par une narration douteuse. Les « informations » diffusées par les médias sont désormais décorrélées de la réalité sanitaire.
Les courbes épidémiques sont interprétées de manière fallacieuse.
L’État aurait-il modifié les seuils épidémiques habituels pour maintenir un discours alarmiste et justifier des restrictions de liberté ?
Les nouveaux cas sont bénins.
Ils sont à la hausse du fait de l’incrémentation du nombre des tests.
C’est très rassurant quant à la bénignité de l’infection au final.
Nous n’avons pas constaté en avril le dénominateur des cas totaux faute de pouvoir tester comme le bon sens nous le recommandait.
Aujourd’hui nous testons de manière quasi systématique sans rapport avec une quelconque symptomatologie.
Nous trouvons simplement ce que nous nous sommes interdits de voir en mars, avril et en mai : le dénominateur et la foule des cas bénins.
Tous les partisans de la thèse de l’immunité collective devraient s’en réjouir.
Les hospitalisations en réanimation, les hospitalisations et les décès ne font que baisser tendanciellement !
Nous nous devons de sortir des polarisations politiques qu’on a voulu infliger au débat.
Nous devons retourner à des arguments de bon sens : médicaux en premier, scientifiques en second.
Merci à Jean-François Toussaint, à Alexandra Henrion-Caude, à Jean-Dominique Michel, à Didier Raoult, à Philippe Parola, à Jean Christophe Lagier, à Christian Perronne et à tous les autres héros que j’oublie.
La Science, la médecine et la politique sont ternies de tant de conflits d’intérêt et de corruptions.
Le « Nous » de nos concitoyens va mal. Nous devons réinformer et réouvrir l’espace du dialogue et du débat quand il se ferme.
Il y a aujourd’hui plus de morts quotidiens de suicide que de COVID.
Les soignants doivent réagir.
Nous devons libérer nos concitoyens. Veiller à leur santé. Nous avons tous prêté serment !
Chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé publique France :
419 personnes de maladies cardio vasculaires /460 de cancers /110 morts de maladies respiratoires /27 de suicides /10 morts d’accidents de la route /
Pour la COVID-19 : sur les 15 premiers jours d’août une moyenne de 8,3 morts hospitaliers /jour.
Je ne compte pas les morts en Ehpad puisque nous ne savons pas de quoi ils sont morts. Vous constaterez avec le sourire que du 1er au 15 août, 10 personnes auraient d’ailleurs ressuscité selon le cumul des morts en Ehpad.
Nous sommes devenus fous ?!
Merci à tous ceux qui voudront nous rejoindre pour que l’AP-HM se réveille du mirage et agisse.
Merci à tous ceux qui ne sont pas d’accord et qui voudront renouveler l’espace du débat pour une discussion courtoise et constructive.
Bien confraternellement,
Louis Fouché
Praticien hospitalier
Centre Interrégional des Brûlés de la Méditerranée
nice-provence.info
À quoi joue le gouvernement ?
À quoi jouent les médias ?
À quoi jouent les médecins ?
Quand réagirons-nous ?
Je lance ici un appel aux médecins, pharmaciens, soignants et administratifs de l’AP-HM de bonne volonté.
Il faut arrêter l’instauration et la pérennisation de lois d’exception liberticides.
Depuis quand le gouvernement se donne t‑il le droit de décider de ce que les médecins peuvent prescrire ?
Pourquoi les gens doivent-ils encore porter un masque aujourd’hui ? Pourquoi leur interdisait-on d’en acheter quand c’était utile ?
Pourquoi les pharmaciens n’ont-ils pas eu le droit de vendre des masques quand c’était utile ?
Ce sont désormais les supermarchés qui le peuvent avec la complicité de l’État et de ses forces de répression ?
Ceux qui constatent l’écart croissant entre le réel et la narration médiatique et politique se doivent de réagir.
Ceux qui savent lire et interpréter sans peur des courbes épidémiques se doivent de parler en masse et de ne pas laisser seul l’IHU dans cette bataille.
Il n’y a pas de seconde vague.
Nous ne sommes depuis bien longtemps plus en situation épidémique selon les définitions habituelles des standards d’épidémie pour la grippe (plus de 150 cas/j/100000 habitants).
Cette définition a été changée tout bonnement pour la COVID dans un but qui nous échappe.
Le réel est remplacé par une narration douteuse. Les « informations » diffusées par les médias sont désormais décorrélées de la réalité sanitaire.
Les courbes épidémiques sont interprétées de manière fallacieuse.
L’État aurait-il modifié les seuils épidémiques habituels pour maintenir un discours alarmiste et justifier des restrictions de liberté ?
Les nouveaux cas sont bénins.
Ils sont à la hausse du fait de l’incrémentation du nombre des tests.
C’est très rassurant quant à la bénignité de l’infection au final.
Nous n’avons pas constaté en avril le dénominateur des cas totaux faute de pouvoir tester comme le bon sens nous le recommandait.
Aujourd’hui nous testons de manière quasi systématique sans rapport avec une quelconque symptomatologie.
Nous trouvons simplement ce que nous nous sommes interdits de voir en mars, avril et en mai : le dénominateur et la foule des cas bénins.
Tous les partisans de la thèse de l’immunité collective devraient s’en réjouir.
Les hospitalisations en réanimation, les hospitalisations et les décès ne font que baisser tendanciellement !
Nous nous devons de sortir des polarisations politiques qu’on a voulu infliger au débat.
Nous devons retourner à des arguments de bon sens : médicaux en premier, scientifiques en second.
Merci à Jean-François Toussaint, à Alexandra Henrion-Caude, à Jean-Dominique Michel, à Didier Raoult, à Philippe Parola, à Jean Christophe Lagier, à Christian Perronne et à tous les autres héros que j’oublie.
La Science, la médecine et la politique sont ternies de tant de conflits d’intérêt et de corruptions.
Le « Nous » de nos concitoyens va mal. Nous devons réinformer et réouvrir l’espace du dialogue et du débat quand il se ferme.
Il y a aujourd’hui plus de morts quotidiens de suicide que de COVID.
Les soignants doivent réagir.
Nous devons libérer nos concitoyens. Veiller à leur santé. Nous avons tous prêté serment !
Chaque jour, il meurt en moyenne en France 1671 personnes selon Santé publique France :
419 personnes de maladies cardio vasculaires /460 de cancers /110 morts de maladies respiratoires /27 de suicides /10 morts d’accidents de la route /
Pour la COVID-19 : sur les 15 premiers jours d’août une moyenne de 8,3 morts hospitaliers /jour.
Je ne compte pas les morts en Ehpad puisque nous ne savons pas de quoi ils sont morts. Vous constaterez avec le sourire que du 1er au 15 août, 10 personnes auraient d’ailleurs ressuscité selon le cumul des morts en Ehpad.
Nous sommes devenus fous ?!
Merci à tous ceux qui voudront nous rejoindre pour que l’AP-HM se réveille du mirage et agisse.
Merci à tous ceux qui ne sont pas d’accord et qui voudront renouveler l’espace du débat pour une discussion courtoise et constructive.
Bien confraternellement,
Louis Fouché
Praticien hospitalier
Centre Interrégional des Brûlés de la Méditerranée
nice-provence.info
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